La série, suite du film, reprend un des rêves de l’homme : l’exploration et la colonisation de l’univers.
Elle continue le film en montrant la porte des étoiles (Stargate) hors service après la destruction de Râ car, semble-t-il, le gouvernement l’a jugée trop dangereuse. Malheureusement pour le gouvernement la porte est actionnée par Apophis, un seigneur Goa’uld, qui tue 3 gardes et en capture un autre ce qui a pour effet de rappeler toutes les personnes ayant participé au premier voyage et de remettre la porte en état de fonctionnement.
Les Goa’uld existent en fait sous forme larvaire et de ce fait ont besoin d’hôtes pour survivre. Ce sont des parasites qui quand ils ont « intégré » un nouvel hôte s’emparent de sa pensée. Les hôtes actuels des Goa’uld sont les Jafas, peuple qui vit sur une planète appelée Chulak (les Goa’uld les plus puissant se font passer pour les dieux mythologiques égyptiens), qui leurs vouent un véritable culte car ils étaient beaucoup moins évolués quand les Goa’uld sont arrivés chez eux.
Les ennemis des terriens, les Goa’uld comme vous avez dû le comprendre, dans cette série sont fatalement plus avancés technologiquement donc mieux armés. Mais qu’importe, la valeureuse équipe du SG-1 parvient toujours à se sortir de situations plus inextricables les unes que les autres. Commandée par le colonel Jack O’Neill (Richard Dean Anderson) qui entretient envers les scientifiques et ces messieurs du gouvernement fédéral des Etats-Unis un véritable dégoût et dont l’humour détend un peu l’atmosphère dans les situations critiques, l’équipe se compose du Capitaine Samantha Carter (Sam pour les intimes, Amanda Tapping) grande physicienne de l’U.S.A.F (traduire armée de l’air des Etats-Unis), du docteur Daniel Jackson (Michael Shanks) spécialiste des anciennes civilisations et cerveau qui a permis de faire fonctionner la porte, à qui s’ajoute Teal’c (Christopher Judge) grand guerrier Jafa anciennement au service d’Apophis (éminent tirant Goa’uld) qui s’est rebellé ne croyant pas à l’existence des faux dieux (les seigneurs Goa’uld) pour sauver son peuple. Bref tout ce petit monde est dirigé par le général Hammond (Don S. Davis) sympathique commandant du SG-C qui n’hésite pas à contredire ou à ne pas exécuter les ordres du gouvernement pour garantir l’équilibre galactique avec les puissantes civilisationes rencontreés par les équipes SG.
L’imagination des scénaristes a dû
déborder pour mettre au monde cette grande variété
de peuple aussi différents les uns que les autres, bien qu’ils se
soient inspirés parfois de cultures terriennes ancestrales. On ne
peut pas leur en vouloir car d’après eux, de nombreuses civilisations
qui peuplent la galaxie viennent de la Terre (Tori), donc il peut paraître
normale que des coutumes qui ont disparu depuis longtemps sur Terre subsistent
ailleurs car non influencée par l’avancée technologique terrienne.
Il semble aussi que notre avancée technologique soit dérisoire
à côté de civilisations qui existent depuis beaucoup
plus longtemps que nous (normal), celle-ci nous méprisant parfois
(Goa’uld, rebelles ritous…) ou mettant des terriens sous leur protection
en prenant l’apparence de dieux pour les protéger (Asgard) ou les
asservir (Goa’uld...).
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