II
Le rêve de la baleine.
Son sommeil durait depuis
l'éternité.
Et puis soudain, nul ne
sait pourquoi, dans la nuit, il fit un rêve.
En lui gonfla un immense désir…
Et il rêva la lumière.
Ce fut le premier rêve, la
toute première route.
Longtemps, la lumière
chercha son accomplissement, son extase.
Quand finalement elle
trouva, elle vit que c'était la transparence.
Et la transparence régna.
Mais voilà qu'à son tour,
ayant exploré tous les jeux de couleurs qu'elle pouvait imaginer, la
transparence s'emplit du désir d'autre chose.
A son tour elle fit un rêve.
Elle qui était si légère,
elle rêva d'être lourde.
Alors apparu le caillou.
Et ce fut le deuxième rêve,
la deuxième route.
Longtemps le caillou
chercha son extase, son accomplissement.
Quand finalement il trouva,
il vit que c'était le cristal.
Et le cristal régna.
Mais à son tour, ayant
exploré tous les jeux lumineux de ses aiguilles de verre, le cristal s'emplit
du désir d'autre chose qui le dépasserait.
A son tour il se mit à rêver.
Lui qui était si solennel,
si droit, si dur, il rêva de tendresse, de souplesse et de fragilité.
Alors apparut la fleur.
Et ce fut le troisième rêve,
la troisième route.
Longtemps, la fleur, ce
sexe de parfum, chercha son accomplissement, son extase.
Quand enfin elle trouva,
elle vit que c'était l'arbre.
Et l'arbre régna sur le
monde.
Mais vous connaissez les
arbres, on ne trouve pas plus rêveurs qu'eux (ne vous amusez pas à pénétrer
dans une forêt qui fait un cauchemar).
L'arbre, à son tour, fit
un rêve.
Lui qui était si ancré à
la terre, il rêva de la parcourir librement, follement, de vagabonder au
travers d'elle.
Alors apparut le ver de
terre.
Et ce fut le quatrième rêve,
la quatrième route.
Longtemps, le ver de terre
chercha son accomplissement, son extase.
Dans sa quête, il prit
tour à tour la forme du porc-épic, de l'aigle, du puma, du serpent à
sonnette.
Longtemps il tâtonna.
Et puis un beau jour, dans
une immense éclaboussure, au beau milieu de l'océan, un être très étrange
surgit, en qui toutes les bêtes de la terre trouvèrent leur accomplissement.
Et ils virent que c'était
la baleine.
Longtemps cette montagne de
musique régna sur le monde.
Et tout aurait peut-être dû
en rester là, car c'était très beau.
Seulement voilà…
Après avoir chanté
pendant des lunes et des lunes, la baleine, à son tour, ne put s'empêcher de
s'emplir d'un désir fou.
Elle qui vivait fondue dans
le monde, elle rêva de s'en détacher.
Alors, brusquement nous
sommes apparus, nous les hommes.
Car nous sommes le cinquième
rêve, la cinquième route, en marche vers le cinquième accomplissement, la
cinquième extase.
Et ici je vous dis : Faites
très attention ! Car voyez-vous :
Dans la moindre couleur,
toute la lumière est enfouie.
Dans tout caillou du bord
du chemin, il y a un cristal qui dort.
Dans le plus petit brin
d'herbe, sommeille un baobab.
Et dans tout ver de terre,
se cache une baleine.
Quant à nous, nous ne
sommes pas " le plus bel animal ", nous sommes le rêve de l'animal !
Et ce rêve est encore inaccompli.
Théorème de la
grenouille :
Un chercheur dit à une grenouille : « Saute », et elle
saute.
Il lui coupe une patte et lui dit « Saute », elle saute.
Il lui coupe une deuxième patte et lui dit « Saute », elle saute.
Il lui coupe une troisième patte et lui dit « Saute », elle saute.
Il lui coupe la quatrième
patte et lui dit « Saute », elle ne saute pas.
Conclusion : Quand on coupe les quatre pattes d’une grenouille, elle
devient sourde.
D'après
une théorie,
le jour ou quelqu'un découvrira exactement à quoi sert l'Univers et pourquoi
il est là,
ledit Univers disparaîtra sur-le-champ pour se voir remplacé par quelque chose
de considérablement plus inexplicable et bizarre.
Selon une autre théorie, la chose se serait en fait déjà produite.
Loi N 1 :
Quand un scientifique distingué mais âgé déclare que quelque chose est
possible il a certainement raison.
Quand il dit que c'est impossible, il a très probablement tort.
Loi N 2:
Le seul moyen de découvrir les limites du possible est de s'aventurer un peu au
delà dans l'impossible.
Loi N 3:
Toute technologie suffisamment avancée est indiscutable de la magie.
On ne peut pas tout avoir. Où le mettrait on ?
Je sais qu'il n'y a qu'une chance sur un million d'être
dévorer vivant par un lion sur les Champs Élysée,
mais il suffit d'une fois.
Celui qui est réveillé
sait qu’il dort.
Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il croit.
La liberté est comme une
flèche lancée en direction du ciel...
les fous et les poètes espèrent qu'elle l'atteindra,
les politiciens attendent qu'elle retombe,
les sages en aiguisent une autre.
L'amour, c'est comme le nombre Pi . naturel, irrationnel et très
important.
" Le
sens ne se trouve qu’au présent, comme le bonheur qui est l’absorption
complète dans ce qui arrive. Et cette absorption prend toute la personne, qui
cesse alors d’être divisée entre le passé et l’avenir, pour ne vivre que
là où tout prend son sens. "
La preuve irréfutable qu'il
existe de l'intelligence sur les autres planètes
c'est qu'ils n'ont JAMAIS cherche a entrer en contact avec nous.
Rien
n'est plus semblable à l'identique que ce qui est pareil à la même chose et
réciproquement.
" La
Joie est le passage de l'homme d'une moindre perfection à une plus grande.
La Tristesse est le passage de l'homme d'une plus grande perfection à une
moindre. "
Ah! Soit TOI, pour t’élever.
"Comme la vie est un rêve dans un rêve,
l'univers est un reflet dans un reflet ; l'univers est une
image absolue."
Le
bonheur naît du malheur, le malheur est caché au sein du bonheur.
Ce n'est pas que j'ai peur
de mourir. Je veux juste ne pas être là quand ça arrivera.
"L'anagramme
de norme, c'est morne".
" Dans la vie, il faut savoir choisir entre l'ennui et les ennuis. "
Rappelez-vous
que vous êtes uniques comme tout le monde.
Règles du jeu de la vie :
Il existe deux types de gens :
ceux qui divisent les gens en deux catégories,
et les autres
Quand un homme pointe un doigt vers un autre homme, il ne doit
pas perdre de vue le fait que quatre autres doigts se trouvent pointés dans sa
propre direction.
On
ne peut pas mettre tous les racistes en prison, car elles sont pleines d'arabes.
1 seconde avant leur mort, quelle différence y a
t-il entre un immensément pauvre, et un immensément riche ?
Mue
et t’es toi.
Qu'est-ce
alors que le beau ? Voltaire l'a écrit : « Ce qu'il a de plus beau, pour le
crapaud, c'est sa crapaude. »
Heureux
l'étudiant qui, comme la rivière, suit son cours dans son lit.
Il
y a un principe bon qui a créé l'ordre, la lumière et l'homme.
Il y a un principe mauvais qui a crée le chaos, les ténèbres et la femme
Il
y a quelqu'un sans qui tout ce que j'ai fait jusqu'à présent n'aurait pas été
possible: MOI.