Association Auguste François – (A.A.F.)

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L’A.A.F. s’intéresse à un patrimoine culturel et documentaire français, centré sur la période 1886-1904, recoupant histoire, politique, diplomatie, géographie, ethnographie et concernant principalement l’Extrême-Orient, Chine du Sud, Viêt-nam, Japon, mais aussi le Paraguay et la France.

Ce patrimoine constitué par Auguste FRANÇOIS comporte des collections d’objets, des photographies, des films, des récits, des correspondances officielles ou privées, des relevés topographiques et des cartes, des observations météorologiques, …

 

Sommaire

*  Qui était Auguste François

*  Présentation de l’Association Auguste François

*  Actualité de l’Association – Projets en cours

*  Publications

*  Comment contacter l’Association

*  Liens vers d’autres sites

 

Qui était Auguste François

Auguste FRANÇOIS (1857-1935), ministre plénipotentiaire et forte personnalité, a donné sur son époque un témoignage exceptionnel.

Lorrain, il débute une carrière administrative à Arras, puis à Nancy et Paris.

Rattaché aux Affaires étrangères en 1885, il est lancé, un peu par hasard, dans une carrière diplomatique en Extrême-Orient. A la fin du XIX° siècle – avec l’intermède d’une mission consulaire au Paraguay – il effectue plusieurs missions au Tonkin puis en Chine, où il se trouve dans une situation d'autonomie exceptionnelle.

Consul général de France et délégué du Gouvernement, confronté aux rivalités, aux intérêts contradictoires de nos administrations centrales (Colonies, Affaires étrangères), aux pressions des groupes industriels, aux aspirations religieuses des Missions étrangères, il ne trouve qu'en lui-même le ressort nécessaire pour se faire un jugement et mener son action dans un environne­ment perpétuellement hostile.

Lucide sur les impasses d'une confrontation, même pacifique, avec la Chine, il ne se montre ni boutefeu ni disposé au martyre. Il fera preuve néanmoins d'un courage remarquable. Lors des soulèvements xénophobes de 1900 son consulat fut assiégé et pillé par les émeutiers chinois. Le sang froid dont il fit alors preuve, et qui valut la vie sauve à tous ses nationaux qu’il avait regroupés, lui mérita un moment de célébrité. Son nom demeure aussi associé au chemin de fer du Yunnan dont il avait été chargé de négocier la concession.

Esprit curieux et indépendant, observateur amusé et infatigable, dévoré par le besoin de raconter à ses amis parisiens, il fait montre d'un talent d'écrivain exceptionnel (Ci-dessous, quelques extraits de ses correspondances vous en donneront une idée). Photographe passionné, il réalise des milliers de clichés d'une Chine encore intacte des influences occidentales. Dès 1901, six ans après l'invention du cinématographe, il tourne au Yunnan des images d'un intérêt ethnographique indéniable.

 

Extraits des correspondances d’A. François, publiées dans « LE MANDARIN BLANC ».

 

(Sur sa vocation pour l’Extrême-Orient)

AF : « En 1885, il fallait me résoudre à la sous-préfecture alors que la cuisine de politique électorale n’avait rien qui me séduisit. Mais la conquête du Tonkin s’achevait, le ministère des Affaires étrangères demandait du personnel à celui de l’Intérieur. Je changeai avec joie. Quinze jours plus tard, je m’embarquais pour l’Extrême-Orient. Je devins le premier Résident de France à Son-Taÿ en 1886. » (MB p. 38-39)

 

 

(Sur son expérience administrative au Tonkin et la façon de communiquer avec ses administrés – 1886)

AF : « Jeune homme, j’avais à gouverner, presque sans contrôle, un territoire immense ; j’avais à réprimer et à pacifier, disposant du pouvoir redoutable de faire tomber des têtes. Cela marque. » (MB p. 39)

 

AF : « Mon lettré interprète est un catéchiste prêté par la Mission ; je converse avec lui par le moyen du latin qu’il a appris des bons pères et de celui qui subsiste de mon bachot. Nous avons pu nous enseigner réciproquement quelques bribes de français et d’annamite. Je commence à chanter assez agréablement du nez un certain nombre de mots pratiques et même à les écrire. Je reconnais, à ma honte, que Nguyen-Van-Trac est plus avancé dans la pénétration de notre idiome ; mais il faut ajouter qu’il reçoit aussi les leçons des zouaves nos voisins et qu’il enrichit là singulièrement son vocabulaire. » (MB p. 54-55)

 

 

(Sur ses sentiments lors des soulèvements xénophobes et du siège du consulat – Chine, 1900)

AF : « Dame ! c’est austère. Quand on se sent entre ces lignes de soldats chinois - qui n’ont pas ce qu’on peut appeler des têtes sympathiques, les tridents, les hallebardes, les étendards dentelés, le mugissement des trompes et le son des gongs pèsent sur l’esprit ; c’est forcé… » (MB p. 289)

 

AF : « On n’imagine pas la douceur de cette sensation qui consiste à se dire : « Eh bien ! mon Dieu, si cela tourne plus mal, nous nous ferons sauter le caisson ». Voyez-vous, le tout est de supprimer l’inquiétude d’esprit par l’adoption d’une décision. Rien n’est ennuyeux comme de ne pas savoir ce que l’on pourrait avoir à faire ; tandis qu’une fois que l’on a pris son parti, on trouve la sérénité. » (MB p. 289-290)

 

AF : « J’ai passé dans cette nuit du 10 juin 1900 des minutes inoubliables. Pendant que la populace déchaînée hurlait à dix mètres de nous, je ne me suis jamais senti plus de calme et de liberté dans mes jugements. L’état d’esprit de mes compagnons était également excellent : tous montraient courage, fermeté et bonne humeur. J’avais pris la résolution de ne faire feu que lorsqu’il deviendrait trop stupide de se laisser massacrer. Au moment critique, je rappelai avec le plus grand sérieux que la politique du Gouvernement devait être avant tout pacifique et que la conquête du Yunnan ne pouvait se faire que par des procédés économiques et avec des sentiments amicaux. L’effet de cette déclaration dans un moment comme celui-là eut un succès fou. Un rire homérique me répondit. Les missionnaires eux-mêmes se tenaient les côtes. » (MB p. 263-264)

 

AF : « Pour moi, l’idéal consiste à vivre à ma guise, dans la plus complète indépendance et à ne pas m’enliser dans la banalité. Vivre d’action et puis, le moment venu, souffler ma chandelle en souhaitant bonsoir à la compagnie. Aussi, malgré le poids des responsabilités qui pèsent sur moi en ce moment, je ne donnerais pas ma place pour un empire. » (MB p. 263)

 

 

(Sur ses sentiments envers la Chine – 1904)

AF : « Fouler une telle nature, vierge encore de voies ferrées, de poteaux et de fils télégraphiques, est un enivrement. Mais c’est surtout le spectacle de la population qui est pour transporter l’imagination. Les gens qui s’agitent devant moi sont les représentants d’une civilisation qui dure depuis plus de cinq mille ans. » (MB p.377)

 

AF : « Cinq fois je suis revenu, à des époques différentes ; onze années j’ai vécu dans cette Chine pouilleuse, usée, râpée, sans cesser d’en ressentir l’attirance, sans avoir épuisé l’étonnement, la curiosité et l’intérêt qui se dégagent de cette chose énorme, de ce monde étrange, de sa monstruosité. J’ai parcouru son sol, ses fleuves, sur des milliers de lieues ; mes semelles même ont couvert plus de huit mille kilomètres de ce qu’on nomme des routes ; je n’attends plus beaucoup d’inconnu et cependant, au moment de la quitter, cette Chine, je me sens entraîné par une sorte de vertige à m’enfoncer encore dans sa masse, à faire le tour de son énormité. » (MB p. 376)

 

 

(Sur sa philosophie – 1903)

AF : « J’accepte toutes les situations avec une sereine philosophie. Je ne m’insurge contre aucune destinée, je ne cherche pas à la mener, je ne suis pas de ceux qui se sont fixé un but ; je prends ce qui passe, pourvu que cela ne nécessite pas des pincettes. Si parfois mon attente n’est pas pleinement réalisée, il ne subsiste pas d’amère déception. N’ayant à pourvoir qu’à moi, la vie matérielle m’importe peu. J’aurai toujours quelque part un soleil pour m’égayer, une nature à contempler et des étoiles pour y bailler. Je ne vois l’existence ni en noir ni en rose ; elle est grise et verte comme la nature, avec de beaux tons de grisaille et des feux de lumière dans les arbres. » (MB p. 325-326)

 

 

            

Auguste François : chez les Guarani du Paraguay - 1894

 

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Présentation de l’Association Auguste François

L’Association Auguste FRANÇOIS - (A.A.F.) : Créée à Paris en 1990 sous la forme d’association non commerciale, l’A.A.F. s'est donné pour but de faire connaître le personnage dont elle porte le nom. Pour cela, elle a entrepris la sauvegarde et la publication de son œuvre.

L’A.A.F. compte actuellement une centaine de membres actifs ou sympathisants. Elle vit des cotisations de ses adhérents et du produit de ses activités. Elle agit tantôt seule, tantôt en collaboration avec différents partenaires. Son action se manifeste principalement dans les domaines suivants :

*   Publications :

Deux ouvrages ont été les premiers jalons de notre entreprise, l'un de photographies, L'ŒIL DU CONSUL, paru en 1989 et réimprimé en 1995, l'autre de textes, LE MANDARIN BLANC, publié en 1990.

Bien d’autres publications traitent d'Auguste François.

*   Collections :

L'Association s'attache aussi à la mise en valeur des collections qu'Auguste François avait rassemblées au cours de ses voyages. Une grande partie est aujourd’hui conservée dans des musées à Paris (Musée national des Arts asiatiques Guimet, Musée du Quai Branly) ou en province, à Angers, Lunéville, Saint-Etienne, Crépy-en-Valois et La Rochelle. Mais l’A.A.F. ou certains de ses membres détiennent encore un important patrimoine notamment des manuscrits et des photographies (Chine du sud 1896-1904 et Paraguay 1894-1895).

*   Expositions : Des expositions de photographies ont été organisées. La première en 1991 à Lunéville, ville natale d'Auguste FRANÇOIS. D’autres ont suivi, notamment à Paris, Angers, La Défense, Nantes et Versailles. En 1996, à l’occasion d’une exposition de photos inédites réalisée avec le concours du Musée Guimet, le Musée Georges Labit de Toulouse a édité un album bilingue intitulé DE LA MER DE CHINE AU TONKIN. Après Toulouse cette exposition a circulé en Espagne et à Singapour.

L’Association a permis aux Chinois de découvrir comment, il y a cent ans, un Français voyait leur pays. En 1997, au Musée provincial du Yunnan à Kunming, plus de 80.000 personnes ont visité une exposition de photos qui suscita un immense intérêt. D’autres expositions eurent lieu par la suite. Une à Pékin, au Musée d’Histoire de la Chine, inaugurée par l’Ambassadeur de France. D’autres à Chongqing, Chengdu, Xian, Zhengzhou, etc. En 1999 une nouvelle exposition a été organisée à Kunming à l’occasion des Floralies internationales. Parmi les nombreux visiteurs chinois ou étrangers on y remarqua des personnalités françaises comme le Président du Sénat, le Président du Conseil économique et social ou le Ministre de l’Agriculture. En Chine, à l’échelon national ou provincial, presse et télévisions ont consacré de nombreux reportages à l’ancien consul français et à ses photos ; les publications se multiplient ; un site Internet chinois est consacré à A. François.

 

*   Films : L'Association s'est aussi consacrée à la sauvegarde et à la diffusion d'images cinématographiques d’Auguste FRANÇOIS, parmi les toutes premières, tournées en Chine entre 1901 et 1903. Des copies en ont été acquises par plusieurs musées et instituts scientifiques français ou étrangers. En 1999, un documentaire de 52 minutes consacré à Auguste François et intitulé L’ŒIL DU CONSUL a été diffusé sur France 3.

 

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Actualité de l’Association – Projets en cours

- Février 2006 : Les Éditions L’Harmattan réimpriment les textes d’A. François : LE MANDARIN BLANC - Souvenirs d’un consul en Extrême-Orient 1886-1904. L’ouvrage était épuisé chez Calmann-Lévy.

 

- 12 Avril 2006 : Une vente de photographies anciennes de Chine a eu lieu à la Salle Drouot à Paris.

 

Voici un extrait du compte rendu publié dans La Gazette de l’Hôtel Drouot du 21 avril 2006 :

 

Notes sur les indigènes Lo-Lo du Kien-Tchang de 1904, montait à 7 500 €. Ses 38 pages sont illustrées par 9 tirages argentiques légendés. 3 autres carnets de voyage étaient préemptés par l’Etat à 1 100 € pour deux d’entre eux et 900 € pour le troisième. 89 plaques de verre stéréoscopiques positives Elgé […] légendées par leur auteur partaient à 7 000 €. […] 6 200 € s’inscrivaient ensuite sur 46 plaques de verre positives Ilford […] portant sur le Kouang-Si et le Si-Kiang en 1896-1897. »

 

 

- Du 3 au 9 Mai 2006 : A l’occasion de la réimpression de l’ouvrage Le Mandarin blanc, Exposition de photographies anciennes de Chine et présentation de films.

Espace le Scribe-l’Harmattan, 21 bis, rue des Écoles, 75006 Paris. De 11 heures à 18 heures 45, tous les jours, y compris dimanche et fêtes.

          

- Juin 2006 : Ouverture du Musée du Quai Branly. Quelques objets d’A. François seront présentés dans les salles d’exposition permanente. En salle de lecture, sur écrans, on pourra consulter l’intégralité de la collection François (500 objets) sous forme de base de données photographique.

 

- 28 Juillet 2006 : Dans le cadre de l’opération « Eté solidaire » organisée par la Maison des Associations du 7° Arrondissement, 93 rue Saint Dominique à Paris, la journée sera consacrée à l’Association Auguste François qui présentera ses activités : exposition de photos, projection de films, …

 

- Septembre 2006 : Dans le numéro 3-2006 de la revue Le Pays Lorrain à Nancy : un article de souvenirs d’Auguste François au début de la guerre intitulé « Eté 1870 à Lunéville ».

 

- Un livre historique de Désirée Lenoir consacré aux missions d’Auguste François en Extrême-Orient est achevé. Des contacts ont été pris pour sa publication. Nous communiquerons les références et la date de parution sur ce site dès qu’elles seront connues.

*   Projets d’expositions en France et à l’étranger : Seule ou en partenariat avec d’autres propriétaires de photos anciennes sur la Chine, l’association étudie des projets d’expositions dans des lieux prestigieux à l’étranger. Répondant aux exigences de qualité des spécialistes des photos anciennes, ces expositions visent cependant le public plus large de tous ceux qui s’intéressent à l’histoire ou à l’Extrême-Orient. De tels projets impliquent la publication de catalogues dont l’établissement doit être confié à des spécialistes.

 

*   Projets de publications : De nombreux textes d’Auguste François sont encore inédits. Ces écrits assez variés donnent un éclairage complémentaire sur différentes périodes de la vie et de la carrière de l’auteur : souvenirs d’enfance à Lunéville au moment de la guerre franco-allemande de 1870, épisodes de sa vie parisienne au Quai d’Orsay vers 1893 ou de sa mission consulaire au Paraguay en 1894, notes de voyage en Palestine en 1909, etc. Une grande quantité de photographies encore inédites en rapport direct avec les textes devrait permettre de les mettre en valeur.

Une étude historique est en cours sur les événements dont Auguste François fut à la fois le témoin et l'acteur en Extrême-Orient.

Un projet de film pour une fiction de long métrage est à l’étude avec des producteurs internationaux.

 

*   Protection du patrimoine photographique : Un gros travail reste à accomplir tant pour la numérisation des photos que pour la restauration et l’amélioration des moyens de conservation des originaux. A cet effet nous recherchons toutes compétences, concours techniques ou aides financières.

 

*   Inventaire et recherche : Nous poursuivons le travail de repérage et d’identification des très nombreuses photos, correspondances, documents, rapports, cartes, objets qu’Auguste François, aidé de son collègue Jean-Joseph Beauvais, n’avait cessé d’adresser à ses amis comme à toutes sortes d’institutions : Affaires étrangères, Sté de Géographie, Sté d’Anthropologie, Missions étrangères, musées, Langues’O, etc. Une première visite a été faite aussi aux archives chinoises du Yunnan. Les traces du passage d’A. François y sont nombreuses. Il n’est pas exclu que de ce côté-là on retrouve documents ou objets perdus lors du pillage du consulat en 1900.

 

*   Echanges culturels franco-chinois : L’association s’enorgueillit d’avoir contribué à sensibiliser les Chinois du Yunnan à la nécessité de sauvegarder leur patrimoine. Suite aux expositions des photos d’A. François, des initiatives locales ont été prises pour la création à Kunming d’un musée consacré au passé de la cité.

Un éditeur, Éditions des Beaux-Arts du Yunnan, est venu spécialement à Paris explorer les collections des musées français. Il en est résulté la publication à Kunming d’un luxueux album en chinois de photos sur la vie quotidienne au Yunnan à la fin de la dynastie des Qing et au début de la République. Le même éditeur a publié ensuite la traduction en chinois du Mandarin blanc d’Auguste François. Dans la foulée, il a entrepris la traduction d'œuvres de Victor Ségalen.

 

*   Exposition clef en main L’Œil du Consul : L’A.A.F. propose de mettre à disposition tout le matériel d’une exposition prête à accrocher comportant une centaine de photos réalisées dans les provinces du sud de la Chine entre 1896 et 1904.

 

*   Recherche d’un lieu et d’un cadre pour le dépôt du patrimoine de l’association (photos, films, manuscrits, documents, objets, etc.) assurant non seulement sa conservation à long terme, mais aussi si possible sa présentation au public.

 

*  Livres : Les livres et albums d’Auguste François s’adressent à un large éventail de lecteurs. Ils constituent des cadeaux originaux généralement appréciés. L’association peut vous indiquer où vous les procurer.

 

*  Assemblée générale : En principe, elle se réunit à Paris chaque année au printemps.

 

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Publications                                

Il existe de nombreuses publications consacrées à Auguste François, à ses photos ou ses écrits. Certaines sont récentes, d’autres plus anciennes. Il s'agit de livres et d’albums ou d’articles dans des revues ou périodiques, tant en français, qu'en chinois ou en anglais.

 

Plusieurs films et vidéos sont aussi disponibles :

 

 

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Comment contacter l’Association Auguste François

*   Adresse :                    14 bis, avenue Bosquet - 75007 Paris (France)

*   Téléphone et fax :         00 33 – (0) 1 39 54 51 37

*   E-mail :                      auguste.francois@libertysurf.fr

*   Site Internet :              http://www.chez.com/augfrancois/index.htm

 

N’hésitez pas à nous faire part de vos questions, remarques et suggestions.

 

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Quelques liens

Vous trouverez peut-être des informations complémentaires en visitant les sites suivants :

 

-         Musée des Arts et Civilisations Asiatiques Guimet, Paris.

 

-         Musée du Quai Branly, Paris.

 

-         Musée de Lunéville (Meurthe-et-Moselle).

 

-         Musée Pincé à Angers (Maine-et-Loire).

 

-         Musée d’Art et d’Industrie à Saint-Etienne (Loire).

 

-         Musée de Crépy-en-Valois (Oise).

 

-         Amitiés Franco-Chinoises Nancy-Lorraine.

 

-         Contacts Anjou-Chine à Angers (Maine-et-Loire).

 

-         A.S.P.A.C.B. (Sauvegarde du Patrimoine) à Blénod-lès-Toul.

 

-         Fonds Auguste Pavie (Cambodge, Laos, Viêt-nam) à Dinan.

 

-         Musée Albert Kahn à Boulogne-Billancourt.

 

-         Site chinois sur A. François et les expositions de photos en Chine.

 

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Dernière mise à jour : 24 mai 2006