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MUSCLEMAN

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Oyez oyez bonnes gens...

Sachez tout d'abord que ce site s'adresse à tous, mais alors là absolument tous, aussi bien aux quelques rares élus qui se souviennent du génial Muscleman et qui n'attendaient que ça, à savoir enfin un bon site français assez complet sur Muscleman (car oui, Muscleman a bien eu son heure de gloire, mais celle-ci semble -et je dis bien semble- s'être éteinte), que aux néophytes désireux de ne pas passer à côté d'un tel chef-d'oeuvre et soucieux d'élargir leur culture musclemanesque. Donc que vous soyez atteint de musclemania aigüe ou pas encore, ce site pourra de toute façon répondre à vos attentes, conscientes ou inconscientes, à ce sujet.
Mais commençons donc par le commencement, et apprenons en un peu plus sur Muscleman, tous médiums confondus, et sur sa diffusion. A l'origine, au tout début des années 80, Muscleman était un manga japonais appelé Kinnikuman. Un manga tout ce qu'il y a de plus classique (noir et blanc, 32 volumes, environ 170 pages par volume). Puis le succès aidant vinrent un nombre fou de nouvelles oeuvres artistiques faisant la part belle à Muscleman, et notamment un tas de figurines (dont une ligne, M.U.S.C.L.E. en abréviations, fit et fait toujours vraiment fureur aux Etats-Unis), mais surtout une série de dessins animés de qualité (137 épisodes de 22 minutes, faits en 1983 et 1986). Kinnikuman est donc le nom original, et Muscleman sa traduction française. Car oui, la France a eu l'énorme chance d'être le seul pays à avoir bénéficié d'une traduction (mêmes les Américains n'y ont pas eu droit, c'est dire). Mais en fait c'est un peu normal parce qu'à une époque la France traduisait énormément de dessins animés japonais, et c'est d'ailleurs une des principales raisons au fait que l'animation japonaise marche encore si bien en France (merci pour ça Dorothée, mais vraiment là, sans aucun second degré). Cependant, malgré la dizaine d'années de disette en ce qui concerne Muscleman, on a toutes les chances d'espérer, parce qu'au Japon Kinnikuman is back !!! (véridique, au Japon il y a vraiment ces dernières années un manga appelé "Kinnikuman : Second Generation")


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Ci-dessous, les différentes parties de ce site sur Muscleman...
(toutes plus intéressantes les unes que les autres, cela va de soi)


kinnikuman2.gif PRESENTATION RAPIDE DE MUSCLEMAN

MUSCLEMAN : L'ANIME

MUSCLEMAN : LE GENERIQUE new.gif

PURS DESSINS DE MUSCLEMAN
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Mais revenons un peu à nos moutons et au sujet qui nous intéresse au plus haut point (c'est à dire Muscleman pour ceux du fond qui suivent pas). Entrons donc dans le vif du sujet, et parlons un peu de l'histoire de Muscleman...
Au commencement, c'est on ne peut plus banal. Muscleman est le prince héritier de la fameuse planète Muscle, malheureusement n'étant pas très doué (comment dire, même assez catastrophique pour dire la vérité), son père l'avait abandonné enfant en le jetant par le vide-ordure du vaisseau spatial, lorsque celui-ci passait au large de la planête Terre. Et voici donc Muscleman exilé sur la Terre, faisant sa petite vie et arrivant à se hisser jusqu'au statut tant envié de héros. Seulement voilà, c'est un des super héros les moins aimés par le public. Et il souffre, il est triste, malheureux... pourtant comme il le dit lui-même il est le seul super héros à marcher à l'ail (l'ail c'est vraiment son truc, il en mange un peu et ses forces -ainsi que sa taille- décuplent). Il est donc le parfait exemple du super héros qui n'est pas reconnu à sa juste valeur. D'ailleurs il en est venu à ne plus pouvoir supporter Terryman, le super héros vraiment tout ce qu'il y a de plus classique, hyper policé et au succès foudroyant, ce qui n'est pas pour calmer Muscleman. Et au milieu de ce petit monde, tout est possible (que cela soit une arrivée de martiens dans une soucoupe volante en forme de hamburger, une attaque du gang des super monstres, Dédé Cubitus bien évidemment à leur tête, ou encore une participation de Muscleman au grand tournoi olympique des super héros). Des tas de bons combats de catch intersidéraux en perspective donc (car oui, ici ça rigole pas, les combats entre les divers protagonistes se règlent dans un style qui, pour ne pas dire que ça en est vraiment, rappelle furieusement le catch).