10ème Division Militaire
21 Fructidor An CCXI

BULLETIN n°11

CENDRIEUX
Pour la 2ème année consécutive, le musée de La Pommerie accueillait du 7 au 9 juin dernier le célèbre trophée Marbot, organisé par le non moins célèbre Maurice Larbre. Ce dernier, sans doute après en avoir avisé ses plus proches conseillers, a sans surprise décidé de nous faire établir notre camp de fantassins le plus loin possible de celui des cavaliers. D'aucuns diraient que l'on ne mélange pas les torchons avec les serviettes… mais il nous a été dit que la raison de ce choix tenait à la crainte des cavaliers que leurs chevaux ne soient effrayés par les coups de feu [que nous ne tirons pas, NDLR]. Notre camp fut ainsi établi on ne peut plus à l'écart de tous les autres campements, en bordure d'un terrain boisé, humide et trop souvent à l'ombre, et qui pour le même prix nous a offert le pénible désagrément d'une odeur fétide provenant d'une charogne voisine… Alors pour ce qui est de parler de nous en terme de groupe qui " ne se mélange pas spontanément " ou qui " reste à l'écart ", que celui qui n'a jamais pêché jette la première pierre, " bordel de merde " ! Et sans chercher à paraître plus incisif, peut-on se réjouir d'une paille tant qu'il existe des poutres ?

Je me contenterai de rapporter ici une série de tableaux qui illustreront cette sortie, en précisant que leur ensemble est loin de couvrir la totalité de la rencontre, et que si par hasard, le lecteur n'y trouvait qu'une série d'histoires dont la connotation générale porterait à croire que Cendrieux 2003 n'est qu'un ramassis d'incommodités et de désagréments, qu'il se garde bien de conclure trop vite : une seule discussion avec Mr le Compte de Witt vaut bien à elle seule que l'on participe à tous les trophées Marbot du monde, pourvu qu'ils se déroulent à La Pommerie…

1er tableau : 4 hommes forment un magnifique carré à l'entrée du terrain. Ils portent le fusil et l'habit de laine. Il fait chaud. Mais ces 4 hommes sont braves. On leur a dit d'attendre, alors ils attendent. Une demi-heure. De temps à autres, parviennent jusqu'à leurs oreilles quelques sons harmonieux de cors de chasse. Une heure. Le temps d'identifier que les cors sonnent avec douceur en alternance avec le chant calme et monotone d'une voix humaine. Une heure et demie. A force de ne rien voir venir d'autre que le soleil qui rougeoie, l'herbe qui verdoie ou le ciel qui poudroie, nos 4 individus reconnaissent les psalmodies d'un prêtre qui officie et célèbre une messe champêtre du 1er Empire. Deux heures. Ils ont assez attendu et quittent la place. Mais nos 4 hommes sont braves. Le dépit ne leur fait pas perdre le goût de l'ordre : ils partent en rang. Godot n'est pas venu.

2ème tableau : dialogue

- Ça va ?
- J'ai mal aux pieds.
- Je n't'ai pas demandé comment vont tes pieds, je t'ai demandé si ça allait, bordel de merde ! J'en ai rien à foutre de tes pieds. Alors à part tes pieds, ça va ?
- Oui.
- Oui, Major.

La suite est un aphorisme sur les similitudes et les dissemblances entre l'armée et la reconstitution.

3ème tableau : Une grande table en U est dressée. Les cavaliers en occupent le centre et le début des ailes. Les fantassins sont disposés à chaque extrémité. L'œil peut contempler la scène et s'en satisfaire grâce à la lueur des flammes de bougies. Mais seulement au centre du U. Car au bout des ailes, les bougies se font rare, et la lumière vient à manquer…

4ème tableau - fiction, entendons prétexte à démonstration - : Une escouade composée de fantassins et de cavaliers traversent route, champs, chemins et forêts. Ils sont groupés. Très groupés. Excessivement groupés. Pourtant l'on devine qu'un sentiment impénétrable mûrit et porte atteinte à l'harmonie de ce groupe. L'unité poursuit sa progression, d'une manière toujours aussi serrée. Tout à coup, l'avant-garde explose : " Pas si vite derrière ! " L'ordre de faire halte est donné. L'on avise, l'on discute, l'on cherche une solution. Euréka ! " Nous allons faire le contraire ! Nous allons mettre les chevaux devant et les fantassins derrière ! "

5ème tableau : Une escouade composée de fantassins et de cavaliers traversent route, champs, chemins et forêts. L'ensemble est étiré. Très étiré. Excessivement étiré. L'organisation est définie par 2 règles faussement tacites. Règle n° 1 : tu fais partie de l'arrière-garde si et seulement si tu es fantassin. Règle n° 2 : si tu fais partie de l'avant-garde, alors si tu es cavalier. L'arrière-garde sollicite l'établissement d'une communication constante entre les éclaireurs et le reste de la troupe. L'avant-garde s'impatiente : " Ils sont lents, et ils se plaignent. " Une voix off tout à coup s'élève et semble s'adresser aux deux partis : " Messieurs savez-vous lire ? Faute de connaître vos classiques, avez-vous jamais ouvert un livre ? Mais savez-vous ce qu'est un livre ? Puisque oui, que ne lisez-vous ? Et si vous ne lisez pas, ignorez-vous donc qu'un bon soldat est un soldat qui marche ? " - Si ce 5ème tableau était une fiction, l'on pourrait dire qu'une solution pose toujours un problème…

Fusilier Beau Parleur

Je tiends à réciser que les divergences sur cette sorie ont été expliquer par la suite dans le calme et la sérénitée

BOULBON
Nous étions une nouvelle fois réunis, nous le 18ème régiment d'infanterie de ligne accompagné d'un garde national pour une sortie dans le sud de la France, une partie tout au moins, le sergent la Provence, et sa famille, le fourrier et sa famille, Henri et la Marie "itinéraire bis", ainsi que Joli-Cœur qui nous a fait une belle démonstration de son art, Olivier et moi-même.

Nous étions accompagnés pour cette sortie de Thierry Vette des chasseurs de la garde et de deux hussards locaux du 7ème régiment, dont un qui avait organisé le son et lumière de la fête.

Boulbon fête ses mille ans et désire retracer toutes les époques par une présentation des personnages, quelques troupes théâtrales, quelques associations et beaucoup de locaux ont pu donner le change et profiter aussi bien du soleil que de la musique locale, une horde de grillons qui avait établi leur campement au-dessus du notre.

Dans cette petite ville très authentique du sud de la France entre Tarascon et Avignon, voilà le décor, nous nous sommes installés avec quatre tentes dans une des rares esplanades encore vertes, et entre deux défilés très laborieux et un grand marché d'artisans victime de la mauvaise publicité de cet événement, nous avons profité de l'acceng et de la farniente, quelques exercices pour former les membres rares et donner un petit rappel aux autres......enfin un week end trannquille.

Le point positif : l'accueil général du groupe au sein de cette ville.

Le point négatif : l'organisation assez confuse de l'événement.

Fusilier L'aiguille

FONTAINEBLEAU
Nous n'avons pas à ce jour de programme précis pour cette sortie. Mais nous sommes invités par les Grenadiers d'Ile de France que nous avons rencontré à Thenissey et à Cendrieux. Une chose est certaine, le site est exceptionnel.

Lieu : Bivouac au musée

Sont invités :

1er Chasseurs de la Garde
Grenadiers d'Ile de France
Musique de Fréjus
RHEMP

Prise en charge : oui (à condition d'être au moins 3/4 par voiture).

Déjà 6 inscrits. Certains n'ont toujours pas répondu…

ASSEMBLEE GÉNÉRALE 2003
La sortie de Que chacun songe dès à présent à l'Assemblée Générale 2003. Notre association a besoin d'avoir des membres unis sur le terrain, en bivouac, mais aussi autour de l'entité administrative qu'elle constitue. En tant qu'association loi 1901, elle obéit à la règle de l'Assemblée Générale annuelle.

À ce jour, quelques propositions circulent par Internet. Toulouse, Saint-Amant-Soult, Carcassone, Lectoure, Pau, Labastide Murat… Il est temps de choisir le lieu et d'arrêter une date.

MIREPOIX
Charmant petit village médiéval, avec sa place centrale entourée d'arcades anciennes, Mirepoix organisait comme chaque année ses Médiévales. La commune peut fournir jusqu'à 300 costumes ou déguisements, et sollicite pour les porter tous ses habitants désireux de produire une animation touristique.

Thierry Sourry avait contacté le comité des fêtes et convenu que RHEMP y participerait moyennant une rémunération correcte pour notre association (90€ par personne). Nous avons établi le camp sur un carré d'herbe de la fameuse place, avec six tentes qui ont abrité Le Sergent La Provence, l'appointé Caporal Dominique, accompagné d'un jeune volontaire tout frais sorti du Gers, Renaud dit L'Aiguille, Martin et son cousin Léo originaire de Tours mais de passage en vacances dans les Hautes Pyrénées, Nicolas et moi-même. Je n'ai pas oublié Thierry, notre Mange-Poudre préféré, que la paille incommode, et qui, à 20 kilomètres de chez lui, ne s'est pas privé du luxe d'y dormir lors des deux nuits successives. Quant à Christian Lacherade, malgré l'importance de son cours d'équitation, il nous a rejoint le lendemain et a défilé avec nous dans son superbe costume de Trompette Major…

Le temps a été clément et le soleil radieux, tout à notre avantage. Les nuits en plein centre de la cité plutôt tranquilles, en dépit des essais de lumière et du ronflement de la machine auto-nettoyeuse matinale…

Il a suffi pour nous de réaliser deux scènes ou tableaux différents, répétés 4 à 5 fois chacun au cours des soirées. Le premier s'est fait en commun avec notre voisin de camp, un professionnel de l'animation touristique, pour le second nous n'avons dû compter que sur nous-mêmes. Le défilé du dimanche après-midi n'a posé aucune difficulté.

On se souviendra de la visite exceptionnelle du clocher de l'église, des repas tout à fait convenables servis dans la cantine de l'école primaire, du plaisir de tous à surprendre les touristes par un feu de peloton ou un simple coup isolé…

On se souviendra aussi de la visite éclair de l'extraordinaire Hippolyte, venu le dimanche avec une vingtaine de gars qu'il avait fait venir en sa demeure dès le vendredi soir sans les prévenir que le motif de son invitation à leur égard était la manifestation de Mirepoix, tout cela sans même leur dire que le samedi, il allait leur faire défaut pour se rendre à son travail ! On comprend mieux le désenchantement de ses hôtes ahuris, en arrivant dimanche matin à Mirepoix… Une fois sur place, la plupart ont cédé au devoir moral de rester jusqu'au repas de midi - juste réconfort - ce qui les a obligé à gonfler nos rangs pour une durée de 10 minutes et 43 secondes environ, le temps d'exécuter une tentative de succession de trois exercices. Puis ils ont tous retourné dare-dare dans leurs pénates, non sans avoir omis de nous avouer que notre compagnie n'a pas été en mesure d'enrichir ni de juguler la pauvreté de la rencontre en manœuvre de bataille rangée, en odeur de poudre à canon, en cavalerie et en fifres et tambours… Mais croyaient-ils trouver tout cela chez Hippolyte ?

En ce qui nous concerne, nous savions à quoi nous attendre, nous nous sommes engagés à participer, nous avons rempli notre contrat, et si c'était à refaire, je prétends que nous serions tous prêts à le refaire. Sans désenchantement aucun.

MURAT
Joachim Murat, le cadet de douze enfants, de parents aubergistes, entreprend des études au séminaire des Lazaristes de Toulouse. En février 1787, à la suite d'une querelle avec un camarade, il abandonne la voie ecclésiastique pour s'engager dans un régiment de chasseurs à cheval. En deux ans, il devient maréchal des logis. Mêlé à une mutinerie, il est renvoyé de l'armée. Quand son père le voit revenir, il lui ferme sa bourse. Murat se fait épicier. Déjà, son panache impressionne et il est désigné par son canton pour participer à la fête de la Fédération du 14 juillet 1790. L'année suivante, il obtient d'être réintégré dans les rangs de l'armée comme simple soldat. Il est nommé sous-lieutenant le 30 mai 1791. Un moment inquiété par la chute de Robespierre, ce républicain fervent allé jusqu'à adopter le nom de Marat se retrouve finalement sans affectation en cette fin d'année 1794, à Paris. A l'aube du 13-Vendémiaire, Barras et un jeune général corse, Bonaparte, demandent un volontaire pour récupérer les canons parqués aux Sablons. Murat se propose.

Il revient avec 40 pièces, qui permettront d'étouffer l'insurrection royaliste. Par ce geste, Murat lie son destin à celui de Bonaparte. Ce dernier le nomme chef de brigade le 2 février 1796 et en fait un de ses aides de camp. A ce titre, Murat l'accompagne en Italie en 1796 où il se signale par sa bravoure. Chargé de porter les drapeaux ennemis au Directoire, à Paris, il est également prié d'intercéder auprès de Joséphine pour qu'elle rejoigne son époux. Il revient de Paris avec le grade de général de brigade. Il participe au siège de Mantoue. Après Campoformio, Bonaparte l'envoie au congrès de Rastatt.

En Egypte, Murat s'illustre à la tête d'une brigade de cavalerie. Après la prise d'Alexandrie (2 juillet 1798) et la bataille des Pyramides (21 juillet 1798), il est le premier à monter à l'assaut de Saint-Jean-d'Acre (28 mars 1799), lors de l'expédition de Syrie. A la bataille d'Aboukir, le 25 juillet 1799, il s'empare personnellement du pacha Mustapha, à qui il tranche deux doigts dans le feu de l'action. Cela lui vaut une blessure peu ordinaire une balle lui traverse la mâchoire de part en part et le grade de général de division. Murat est devenu une figure populaire.

Pourtant, tout au long des années passées ensemble, Bonaparte se montrera abrupt avec celui qui lui a donné des gages de sa loyauté le 18-Brumaire en lançant à ses grenadiers devant les parlementaires éberlués : "Foutez-moi tout ce monde-là dehors ! ". Bonaparte lui accorde la main de sa sœur Caroline, en février 1800, mais après l'intervention de Joséphine. Il le fait maréchal en 1804, grand amiral et prince l'année suivante, mais semble répugner à lui confier des commandements importants.

Gouverneur de Paris en 1804, Murat signe avec réticence la constitution de la commission qui préside à l'exécution du duc d'Enghien. Il part l'année suivante pour la campagne d'Autriche, à la tête de toute la cavalerie. Après la prise d'Ulm (15-20 octobre 1805), il poursuit les armées russes et autrichiennes le long du Danube. Alors que Napoléon lui ordonne de couvrir les flancs de la Grande Armée, il entre dans Vienne à la tête de ses hommes, le 11 novembre 1805. Napoléon lui fait de sévères remontrances pour cet acte d'insubordination. Murat se rattrape par sa conduite lors de la bataille d'Austerlitz, le 2 décembre.

Napoléon lui accorde le grand-duché de Berg et de Clèves en 1806 ; il lui faut un homme de confiance pour assurer le blocus continental. Murat goûte au pouvoir, s'avère soucieux du bien-être de ses sujets. C'est l'occasion de nouvelles tensions avec l'Empereur, qui le rappelle bientôt dans les rangs. En 1806, en effet, la Prusse, l'Angleterre, la Suède et la Russie ont déclaré la guerre en France. Murat chasse les Prussiens jusqu'à Leipzig, participe brillamment à la bataille de Iéna le 14 octobre 1806, fait capituler Blücher à Lübeck. Il entre le premier à Varsovie le 28 novembre 1806. A Eylau (8 février 1807), il commande toute la cavalerie française. Sur l'ordre de Napoléon, il lance ses troupes pour repousser le centre russe. Cette charge reste dans la légende sous le nom de "charge des 80 escadrons".

Napoléon offre à Murat la couronne de Naples en 1808, mais à condition qu'il demeure un pion de la politique impériale. Murat a sans doute rêvé du trône espagnol pour lequel il a payé de sa personne. Envoyé en Espagne sans instructions précises, c'est lui qui réprime durement l'insurrection du 2 mai 1808, organise l'exode de Ferdinand VII et Charles IV vers Bayonne. Et cette couronne napolitaine enfin acquise, il tremble de s'en voir décoiffé, à l'instar du roi de Hollande, dont le royaume est purement et simplement annexé à l'Empire en 1810.

Ce roturier s'avère roi consciencieux. Il introduit des réformes, organise une armée… Les frictions avec l'Empereur reprennent, exacerbées par la dissension entre Caroline et Murat, qui se disputent le pouvoir.

En 1812, Napoléon appelle son beau-frère à ses côtés pour la campagne de Russie, à nouveau à la tête de la cavalerie. Durant les six mois de la campagne, Murat sera constamment au contact des armées russes. Lors de la bataille de Borodino le 7 septembre, il charge à la tête de 15 000 cavaliers au devant des canons russes.

Alors que Napoléon est à Moscou, en octobre 1812, il manque de se faire encercler à Taroutino (18 octobre 1812) mais parvient à se dégager. En décembre, Napoléon lui laisse le commandement de la Grande Armée pour rentrer précipitamment à Paris. Murat ne veut pas de ce commandement : il veut sauver son royaume. A Wilna, il perd son sang-froid et abandonne la Grande Armée. De retour à Naples, il écrit à Napoléon pour expliquer sa conduite. Il demande à revenir au service de l'Empereur.

Il revient pour participer à la campagne d'été de 1813 ; Napoléon lui confie le commandement de l'armée du sud, chargée de contenir les Coalisés de Schwarzenberg. Après la défaite de Leipzig (16-19 octobre 1813), il rentre dans son royaume. En janvier 1814, Murat signe un traité avec l'Autriche.

Au congrès de Vienne de 1815, les généreux subsides qu'il a versés aux diplomates, à Talleyrand notamment, ne servent de rien. Il est question de restaurer les Bourbons sur le trône napolitain. Murat, désespéré, tente des ouvertures de tous côtés ; il écrit une lettre cordiale à Louis XVIII, renoue avec Napoléon exilé à l'île d'Elbe. Ce dernier lui fait part de ses projets de retour. Murat déclare la guerre en Autriche dès qu'il apprend le débarquement de l'Empereur. Il occupe bientôt Rome, Ancône, Bologne. De Rimini, il lance une proclamation où il appelle à l'unification de l'Italie. Mais bientôt les troupes autrichiennes, menées par Neipperg, l'encerclent. C'est la défaite de Tolentino, le 21 avril 1815.

Murat doit prendre la fuite tandis que Ferdinand retrouve son trône. Il arrive en France où Napoléon refuse de le recevoir. En Corse, il réunit 600 hommes. Cela lui suffit pour rêver de reconquérir Naples ; il s'embarque pour la côte italienne. Débarqué à Pizzo, il est fait prisonnier, incarcéré. Un décret du Roi ordonne à la commission qui le juge de lui laisser une "demi-heure pour recevoir les secours de la religion" avant de le fusiller. Murat donne lui-même l'ordre de tirer, le 13 octobre 1815.

Fusilier L'aiguille

DANS LE PROCHAIN BULLETIN
Lucien Napoléon Charles, second fils de Joachim Murat et de Caroline Bonaparte, par le fusillier L'Aiguille.
CALENDRIER 2003
Vous trouverez ci-dessous la mise à jour du calendrier 2003 avec les renseignements standards de date, lieu et thème

DATE LIEU THEME ORGANISATEUR
19 au 21 sept Ceva (Cuneo), ITALIE Reconstitution de la bataille Ceva
4 au 5 Oct Fontainebleau, FRANCE (77) [Nous y sommes invités par les Grenadiers de la Garde.] Mairie
3 au 5 oct MALTE Reconstitution de la bataille E.N.S.
17 au 20 Oct. Leipzig, ALLEMAGNE Reconstitution de la bataille E.N.S.
Oct Iena Allemagne Reconstitution de la bataille 18ème de ligne (All)
29-30 nov Austerlitz, Théquie Reconstitution de la bataille E.N.S.

Design © 2003 yassineb pour kitgrafik. script © 2002-2004 scaramouche.