Bienvenue à Raphaël Maion et Ludovic Carcenac. Ces deux volontaires rejoignent le 18ème de ligne…
CENDRIEUX, droit de réponse
Nous étions une Suite à l'article publié dans le bulletin n°11 concernant Cendrieux, théâtre du dernier Trophée Marbot, Maurice Larbre, président de la SCI et organisateur dudit trophée Marbot, a réagi et nous a fait parvenir une lettre que nous publions ici dans son intégralité, au caractère près. Seul, la mise en forme diffère dans notre format " deux colonnes ", modifiant la position exacte des retours à la ligne.
Il nous a paru important, ce faisant, d'avertir les lecteurs que si l'impression de la lecture de l'article du bulletin n°11 semblait faire passer un sentiment de déception et d'irritation vécu par les reconstitueurs du 18ème de ligne présents à Cendrieux, et si la réponse de Maurice Larbre pouvait paraître rogue et revêche en retour, les deux partis se sont depuis mutuellement confiés l'un à l'autre, par l'intermédiaire de leur président respectif. Il s'ensuit que les relations entre les deux groupes ne sont nullement entachées et qu'elles conduiront leurs membres à se rassembler sur des théâtres d'opérations comme celui du musée de la Pommerie, domaine privé où nous avons été très favorablement accueilli, ce qui est à mettre avant tout sur le compte du Comte de Witt…
Messieurs,
Le bulletin N°11 appelle un droit de réponse, et il est a espérer que celui-ci soit publié dans le prochain numéro.
1) Il est écrit dans le 1er paragraphe un tas de billevesées concernant l'emplacement du bivouac d' infanterie. Pas de polémique, c'est Baudoin de Witt propriétaire des lieux qui avait défini les emplacements pour des raisons d'espace d'évolution.
2) Nous ne savons pas qui s'abrite sous le pseudo de " l'aiguille ", mais il devrait regarder un dictionnaire avant d'écrire Compte pour Comte !
3) Le major ayant terminé ses humanités à l'Ecole des Fusiliers Marins, puis dans les Commandos Marine,( il y a hélas une quarantaine d'année) il est certain que son vocabulaire s'en ressent, il prie les donzelles et puceaux de bonne famille égarés sur les bivouacs de bien vouloir excuser son langage soldatesque.
4) Les places au banquet : I y a une table d'honneur, le reste des convives se place comme il l'entend et s'il manque de lumière n'a qu'à se lever pour aller chercher des bougies.
Pour le ton et l'ironie du reste de la prose, n'est-il pas malséant de critiquer ce qui est offert de bon cœur ?, et si notre compagnie est si désagréable, eh bien nous saurons nous passer de la vôtre.
A bon entendeurs, Salut !
Le président et le conseil de la S.C.I.
Nous tenons à redire ici que suite à ce courrier, Maurice Larbre s'est entretenu par téléphone avec Christophe Cormary, d'où il est ressorti que sa réponse en quatre points un soupçon acrimonieuse a été le fruit d'une première réaction vive et impétueuse qui ne reflétait pas le fond de son âme et passait outre la pérennité de son estime à notre égard.
Nous tenons à notre tour à souligner qu'en dépit de tout ce qui a été écrit et que nous renions pas, les qualités de Maurice Larbre, tant humaines que professionnelles, ne sauraient être remise en question par un compte rendu qui s'est voulu avant tout original, mais qui n'a surtout pas la prétention de dépeindre avec une justesse absolue l'intégrité et l'entièreté des sentiments qui ont animé les soldats du 18ème à Cendrieux. Entendons par là que la série des 5 tableaux a éclipsé les impressions heureuses que nous ont procuré ces deux jours, lesquelles ont leur importance dans le cœur des fusiliers et cantinières de RHEMP.
Nous tenons aussi à dire combien nous regrettons de n'avoir pas été assez informé des raisons qui ont placé nos tentes à l'écart de celles de nos voisins, et qui à mauvais escient nous ont conduit à en imputer l'origine à l'organisateur plutôt qu'à notre hôte…
Enfin, la question que posait Maurice Larbre sur l'identité de " L'aiguille " pose celle de l'auteur des articles du bulletin. C'est l'occasion de rappeler que l'auteur de ces lignes est un membre de l'association RHEMP répondant au nom de Marc Trichard ; qu'il a délibérément choisi, et jugé bon, de ne pas l'apposer au bas de chaque article ; que par contre, lorsque quiconque autre lui fournirait de la matière en titre et paragraphes, il insèrerait le texte en question dans le bulletin en précisant l'identité du pourvoyeur. En d'autres termes, et pour être plus concis, jusqu'à nouvel ordre et sans injonction aucune : dans le bulletin de RHEMP, absence de signature vaut ma signature.
Marc Trichard
Fusilier Beau Parleur
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2003
L'assemblée Générale de l'association s'est déroulée à Saint-Amans Soult, dans le Tarn, samedi 2 novembre 2003.
Les membres
Étaient présents : Christophe Cormary (président), Dominique Fédèle (trésorier), Marc Trichard (secrétaire), Jean-Philippe Pailhé, Henri Caporali, Ludovic Carcenac, Catherine Fédèle, Gladys Cormary, Raphaël Maion, Renaud Blanlœil, Jérôme Cormary, Thierry Sourry, François Fédèle. Ont été représentés par procuration : Daniel Mussetti, Marie-Line Caporali, Nicolas Becquet, Martin Fortier, Jean-Marc Atlan.
Après une entrée en matière où les différentes sorties passées de l'année en cours ont été évoquées (Golfe Juan, Thenissey, Cendrieux, Boulbon, Mirepoix), les comptes de l'association ont été présentés et approuvés.
Appel à cotisation
À ce jour, trois personnes étaient membres de RHEMP en 2003 et n'ont pas répondu à l'invitation à l'Assemblée Générale du 2 novembre dernier. Ce nombre de trois personnes étant assez réduit, il ne me paraît pas indispensable de les nommer. Je m'adresse donc à vous trois : sachez donc que vous êtes tous trois invités à nous communiquer votre position par rapport à RHEMP pour l'année 2004.
Investissement
Il a été décidé de procéder à quelques investissements : une grande bâche ou une grande toile pour le confort d'un abri commun au groupe lors des manifestations ; un ou plusieurs nécessaires de nettoyage pour fusil ; un livre répertoriant les sites géographiques pertinents en matière d'Histoire Napoléonienne ; achat de cuir afin de fabriquer les gibernes et les havresacs qui font défaut dans nos rangs.
Manifestations prochaines
Les sorties prochaines ont été mentionnées, avec une réserve concernant les dates définitives qui ne sont pas toujours définitivement arrêtées à cette époque de l'année : Boulogne, Le Quesnoy et Folkestone ont des chances de nous intéresser particulièrement. Ces sorties auront lieu à cheval sur les mois de juillet et août, assez proches l'une de l'autre. Entre deux d'entre elles, le Maire de Domart En Ponthieu (Somme, 1100 habitants) nous donnerait alors accès à un terrain pour camper, avec accès aux douches et sanitaires. Les modalités de cette proposition amicale se confirmeront dans des temps futurs.
Un projet important est en cours d'élaboration, en la commune de Saint-Amans-Soult, pour le mois de mai. Affaire à suivre, avec d'autant plus d'attention que RHEMP s'implique dans l'organisation de cette manifestation.
Intéressons-nous aussi à La Corogne, sortie intéressante s'il en est, puisqu'elle rassemble plusieurs centaines de reconstitueurs venus des quinze, voire vingt quatre coins de l'Europe.
L'Italie, l'Allemagne et l'île de Malte ne sont pas en reste : les programmes sont nombreux, riches et variés.
Mais notre objectif demeure la sélection des sorties les plus intéressantes et les plus à notre portée, afin de rassembler lors de celles-ci un maximum de soldat de notre groupe. L'unité et la force de notre ligne en dépend.
Toujours aussi historique, mais plus culturel certainement, le bicentenaire du sacre de Napoléon aura lieu le 2 décembre 2004. L'idée a germé de réfléchir à l'organisation d'un concert célébré à cette occasion en l'église Notre-Dame-De-Paris…
Bourse aux armes
Toulouse, le 5 et 6 décembre prochain (samedi après-midi et dimanche toute la journée) ; Olonzac, dans l'Hérault (22 février) pour laquelle, d'une part sont volontaires Thierry, Christophe et Dominique, et d'autre part, un contrat financier non négligeable a été établi avec les organisateurs.
Plomb : avis de recherche
Que chacun se mette en quête de plomb ! Thierry se fera un plaisir de fabriquer des balles pour l'association, ce qui nous permettra de pratiquer le tir à balle réelles, en marge des sorties, selon les possibilités.
Les plus grandes chances de s'approvisionner en plomb restent le remplacement des anciennes installations sanitaires privées qui ont justifié l'appellation du métier de plombier. Nous attendons le produit de vos quêtes !
Austerlitz 2005
Nous avons abondamment traité de la question du bicentenaire d'Austerlitz 2005, bicentenaire de la plus haute importance. La date de l'événement à proprement dit sera le week-end le plus proche de la date anniversaire, du 2 au 4 décembre, sur le plateau de Pratzen, en Tchéquie. Mais le projet du voyage prend la forme d'un voyage organisé en bus ouvert aux reconstitueurs en priorité, mais aussi non-reconstitueurs, sur la route qu'a emprunté la Grande Armée quittant Paris, en passant par l'Allemagne, l'Autriche, puis la Tchéquie actuelle. Il faudra donc compter pour ce grand événement une durée d'une semaine entière. RHEMP se penche déjà sur toutes les questions que posent l'organisation d'une telle entreprise.
Un voyage pour lequel à ce jour trois candidats seulement se sont proposés pourrait s'organiser dès cette année, pour Austerlitz 2003, afin de faire une reconnaissance indispensable.
Election du bureau
Le bureau, selon les statuts de l'association, a été élu l'année dernière pour une période de deux ans. Les élections n'étaient donc pas nécessaires. Cependant, après discussion, et tenant compte du désir de certains de s'impliquer davantage dans le fonctionnement de l'association, ou celui de partager les responsabilités selon le cas, nous avons procédé à des modifications du bureau. Marc Trichard a présenté sa démission en tant que secrétaire, démission acceptée par tous, tandis que dans le même temps, Renaud Blanlœil présentait sa candidature à ce poste. Dominique Fédèle a invité toute personne désireuse de s'investir dans les comptes de RHEMP à se manifester, sans remettre en cause sa condition de trésorier. Finalement un vote à bulletin secret a été organisé, au terme duquel Renaud Blanlœil a été élu secrétaire, Dominique Fédèle et Christophe Cormary reconduits dans leur fonction respective de trésorier et président.
Le détail des votes : pour le poste de secrétaire, 1 candidat (RB), et les résultats : RB (15), MT (1) ; pour le poste de trésorier, pas de candidat déclaré (DF étant trésorier en 2002), et les résultats : DF (9), HC (2), TS (1).
Rédaction du bulletin
Des nombreuses et différentes tâches qui m'incombaient en tant que secrétaire, je ne conserve que la rédaction du bulletin. J'en profite pour vous inviter à me faire parvenir vos articles, et les articles que vous souhaiteriez voir publier ici.
Fusilier Beau Parleur
LA FAMILLE MURAT SUITE....
Les Murat font partie de la famille civile de l'Empereur comme descendants de Caroline Bonaparte, dernière sœur de Napoléon Ier. Toutefois cette appartenance est limitée aux petits-enfants inclusivement. C'est ainsi que Joachim, 4ème prince Murat sera le dernier de sa famille à bénéficier du titre d'altesse. Le titre de prince même est depuis limité à l'aîné de la famille.
Le second fils de Joachim Murat
Né à Milan le 16 mai 1803, second fils de Joachim Murat, roi de Naples, et de Caroline Bonaparte, Lucien Napoléon Charles fut élevé à Naples. Après les événements de 1815, il suivit sa mère aux environs de Trieste, résida à Venise et s'embarqua en 1824 pour aller rejoindre aux Etats-Unis son oncle et son frère aîné Achille ; son vaisseau ayant fait naufrage, il fut conduit en prison en Espagne. Arrivé aux Etats-Unis, il épousa le 18 août 1831 à Trewton (New-Jersey) Caroline Georgina Frazer, protestante, née à Charleston (1810-1879). De ce mariage, cinq enfants : Caroline (1833-1902) mariée en 1850 au baron Charles de Chassiron, Joachim, 4ème prince Murat (1834-1901), Anna (1841-1924), mariée le 18 décembre 1865 au comte Antoine de Noailles, duc de Mouchy, Achille (1847-1895) marié le 13 mai 1868 au palais des Tuileries à la princesse Dadiani de Mingrelli, Louis-Napoléon (1851-1912) marié le 11 novembre 1872 à la princesse Eudoxie de Somow.
Il fut réduit, par suite de faillites commerciales, à une situation si précaire qu'il n'eut pendant plusieurs années d'autres ressources que le produit d'une école de jeunes filles tenues par sa femme. Par deux fois il vint en France, en 1839 et 1844. Il regagna la mère patrie en 1848, fut élu député du Lot à la Constituante, puis député de la Seine à la Législative de 1849, il fut membre du comité des Affaires étrangères. Le 3 octobre 1849, il fut ministre plénipotentiaire à Turin (1849-1850). Cette même année, il fut choisi comme colonel par la garde nationale de la banlieue de Paris. Devenu sénateur à la suite du coup d'état par décret du 25 janvier 1852, il obtint en 1853 le titre de prince. Au lendemain du coup d'état de décembre 1851, les dignitaires du Grand Orient, Berville et Desanlis ne virent d'autres moyens pour sauver l'obédience que d'offrir la grande maîtrise au prince Murat qui l'accepta. Il fit voter la constitution de 1854 qui donnait au Grand-Maître, élu pour sept ans, de grands pouvoirs. Il créa la Société civile pour l'édification du temple de la maçonnerie française (1853-1854) et fit l'achat de l'immeuble du 16, rue Cadet à Paris. Le 14 juin 1856, il est fait grand croix de la Légion d'honneur. Le 28 octobre il créa un institut dogmatique composé des Frères des 31ème, 32ème, 33ème degrés. En 1859, le prince se heurta à la majorité des membres du Grand Orient à propos de l'unité italienne et du pouvoir temporel du pape. A la suite d'incidents, à la demande de Napoléon III, il donna sa démission le 29 juillet 1861 et le maréchal Magnan lui succéda. Fin mars 1861 il déclara, dans un manifeste, ses prétentions au trône de Naples. Le prince Lucien avait reçu en don de l'Empereur, outre une importante dotation, le château de Buzenval près de Versailles et l'hôtel qui est à l'extrémité du cours de la Reine. Il est mort à Paris le 11 avril 1878.
Le fils aîné du prince Lucien Murat
Né le 21 juillet 1834 à Bordentown, fils aîné du prince Lucien Murat et de Caroline Frazer. Marié le 23 mars 1854 à Malcy Louise Caroline Frédérique Berthier de Wagram (1832-1889) et le 7 décembre 1894 à Lydia Harvey, veuve d'Arthur Hainguerlot, d'origine anglaise (1841-1901). Du premier mariage il eut 3 enfants : Eugénie (1855-1934) mariée le 19 juin 1887 à Joseph Caracciolo, 9ème prince Torella, Joachim Napoléon, 5ème prince Murat (1856-1932) marié le 10 mai 1884 à Marie Cécile Ney d'Elchingen, Anna Napoléone Caroline (1863-1940) mariée le 2 juin 1885 à Agénor Marie Adam comte Goluchowski.
Il était venu en France avec son père après la révolution de 1848. Dès l'âge de 18 ans il s'engagea au 3ème chasseurs d'Afrique. Il se distingua au cours de deux expéditions en Kabylie et d'une troisième dans le sud de la province de Constantine, sous le commandement du général Mac-Mahon ; sa brillante conduite lui valut les galons de maréchal des logis, la médaille militaire et le grade de sous-lieutenant. C'est alors qu'il passa au régiment des guides. Cousin de l'empereur Napoléon III, il fut désigné pour servir auprès du souverain en qualité d'officier d'ordonnance. En 1859, il participa avec le grade de capitaine à la guerre d'Italie. Il fut à Magenta et à Solferino. A la suite de cette campagne, le prince Murat devint colonel des guides. En novembre 1869, lorsque l'Impératrice se rendit à l'inauguration du canal de Suez, elle fut accompagnée d'une suite choisie et nombreuse dont faisait partie le colonel des guides.
Lorsque éclata la guerre de 1870 le prince Murat venait d'être nommé général, il prit part à la tête de sa brigade aux charges de Gravelotte et de Saint-Privat. Le 16 août, à Rezonville, il attaqua avec fougue la cavalerie prussienne. Sa brigade fut citée à l'ordre du jour de la division.
La chute du second Empire marqua la fin de la carrière du général prince Murat. Il ne put obtenir un commandement de son grade, ni sous les présidences de Thiers et de Mac-Mahon. Il fut un assidu de Chislehurst, lieu d'exil de Napoléon III. Ce fut lui qui, à la tête d'une délégation, reçut en rade de Spithead, à bord de l'Enchantress le cercueil du Prince impérial ; avec le Dr Scott il procéda à la reconnaissance du corps marqué de dix-huit blessures de sagaie.
Rayé des cadres par la loi du 22 juin 1886 il se pourvut devant le Conseil d'état qui lui donna gain de cause, il fut réintégré dans les cadres de l'armée et placé en tête de liste de la 2ème section des généraux de brigade.
Frappé par la maladie, éprouvé par le décès de sa seconde épouse, le général prince Murat décéda au château de Chambly le 23 octobre 1901. Il était commandeur de la Légion d'honneur, décoré des médailles militaires et d'Italie et titulaire de plusieurs ordres étrangers.
Fusilier L'Aiguille
Extraits du site "napoleontrois.free.fr"
GENEALOGIE
I. MURAT Joachim (1767-1815)
Roi de Naples et des deux Siciles
ép. BUONAPARTE Caroline (1782-1839)
Comtesse de Lipona
A. MURAT Napoléon Achille (1801-1847)
Prince Royale des deux Siciles
ép. DUDLEY Caroline (?-1867)
B. MURAT Laetitia Joséphine (1802-1859)
ép. PEPOLI Guy-Thadée (?-?)
Comte de Castiglione
C. MURAT Napoléon Lucien (1803-1878)
Prince de Ponte Corvo
ép. FRASER Caroline (1810-1879)
1. MURAT Caroline Laetitia (1832-1902)
ép. CHASSIRON Charles Gustave (1818-1871)
Baron de Chassiron
2. MURAT Joachim Napoléon (1834-1901)
Prince Murat
ép. BERTHIER de WAGRAM Malcy (1832-84)
3. MURAT Anna (1841-1924)
ép. de NOAILLES Antoine (1841-1909)
Duc de Mouchy
4. MURAT Charles Louis Napoléon (1847-95)
Prince Murat
ép. DADIANI Salomé (1848-1913)
Princesse Mingrelie
5. MURAT Louis Napoléon (1851-1912)
ép. SAMOWA Eudoxie (?-1924)
a. MURAT Eugène Louis Michel Napoléon
(1875-1906)
Prince Murat
ép. NEY d'ELCHINGEN
Violette Jacqueline (1878-1936)
a1. MURAT Eugène Louis Michel
Joachim (1900-1948)
Prince Murat
ép. d'ORLEANS Isabelle (1900-1983)
Princesse de France
a2. MURAT Paule Caroline Mathilde
(1901-1937)
ép. (1) de FAUCIGNY LUCINGE et
COLIGNY Bertrand Marie (1898-1943)
Prince de Lucinge
ép. (2) EDMONT BLANC Eddy
(1904-1952)
b1.de FAUCIGNY LUCINGE et
COLIGNY Diane Marie Violette
(1922- ?)
ép. AINSLEY Ian (1914-1975)
b2. EDMONT BLANC Isabelle
(1930- ?)
a3. MURAT Caroline Rose Eugénie
(1903- ?)
ép. de GHEEST Henry David (? - ?)
b. MURAT Oscar Charles
(1876-1884)
c. MURAT Michel Anne Charles Joachim
Napoléon (1887-1941)
ép. (1) MAC DONALD STALLO Hélène
(1893-1932)
ép. (2) MAC MILLIN Isabelle (1889-1952)
D. MURAT Louise Julie Caroline (1805-1889)
ép. RASPONI Guilio (1787-1876)
Comte Rasponi
Fusilier L'aiguille
CARTES DE MEMBRES
Nous avons beaucoup parlé l'année passés des cartes de membres, chose somme toute logique dans une association… Notre ami " Beau-Parleur " en avait établi plusieurs ébauches. Au vu de ce travail qui m'a paru achevé, nous les faisons paraître dans ce bulletin…
Elles sont de deux types, carte de soldat ou carte de cantinière. Le troisième encadré serait le verso de chacune des deux. Nous vous proposons ces modèles, et vous demandons impérativement votre avis. Si aucune objection n'est présentée, l'association adoptera ces cartes définitivement le 1er février 2004, et vous pourrez les recevoir peu après… C'est à vous, nous attendons votre avis qui nous sera précieux et agréable.
Fusilier L'aiguille
Les modèles disponibles dans la version papier ne sont pas transposable sur internet
CALENDRIER 2004
Vous trouverez ci-dessous la mise à jour du calendrier 2004 avec les renseignements standards de date, lieu et thème
