Coutumes et traditions

Ô grand Saint-Nicolas, patron des écoliers ...

Saint Nicolas est fêté dans l'est (Lorraine et Alsace) et le nord de la France, la Belgique, l'Allemagne, l'Autriche et les Pays-Bas.
Tous les 6 décembre, il fait le tour de toutes les villes de ces pays et régions, précédé par son effigie en pain d'épices et en chocolat dans les confiseries et pâtisseries. Il distribue des friandises aux enfants et parfois se voit remettre les clés de la ville par le maire comme en Lorraine. Chars, défilés prestigieux, feux d'artifices... Saint-Nicolas est une fête importante dans la vie culturelle de ces régions.
Dans son costume d'évêque, saint Nicolas fait équipe avec un personnage sinistre, le père Fouettard appelé Zwarte Piet par les néerlandophones. Celui-ci, tout vêtu de noir n'a pas le beau rôle puisqu'il est chargé de distribuer les coups de trique aux garnements.
La Saint-Nicolas est aussi l'occasion pour tous les petits enfants de recevoir des cadeaux trois semaines avant que le Père Noël ne passe dans les cheminées. Chaque année, saint Nicolas et le père Fouettard visitent également les écoles fondamentales en distribuant friandises et autres présents.
Il existe une multitude de personnages, qui entretiennent une relation plus ou moins évidente au christianisme, chargés de la distribution des cadeaux de fin d'année. En Italie, à la Noël, les enfants reçoivent parfois les cadeaux de la "Befana" dont le nom provient vraisemblablement du mot "épiphanie".
Mais en Belgique, en Allemagne et dans l'est de la France surtout en Alsace et en Lorraine, c'est saint Nicolas, patron des enfants, qui apporte les présents. Dans ces régions la
date du 6 décembre, fête de la Saint-Nicolas, revêt autant d'importance, si ce n'est pas plus que Noël, le 25 décembre.

Saint Nicolas

Qui est donc ce mystérieux personnage ?
Le personnage de saint Nicolas est inspiré de Nicolas de Myre, un évêque qui vécut dans la ville portuaire de Myre en Asie Mineure, au IVe siècle . Nicolas est né au IIIe siècle à Patare en Lycie, région appelée maintenant Turquie. On dit que le jour de sa naissance il se tint debout dans le bain. Devenu grand, il évitait les divertissements et préférait fréquenter les églises.

Lorsque son oncle, l'évêque de Myre, mourut, une petite voix recommanda aux évêques assemblés pour désigner son successeur, d'élire celui qui entrerait le premier à l'église et se nommerait Nicolas. Dès lors, l'évêque Nicolas accomplit de nombreux miracles. Il sauva des matelots qui allaient se noyer. Il multiplia la farine pour préserver une région de la famine, etc.

Il fut emprisonné puis tué aux temps des persécutions sous l'Empire romain. Il serait décédé le 6 décembre 343. Pour cette raison, on célèbre la Saint-Nicolas à cette date. On l'ensevelit dans un tombeau de marbre. On dit que de sa tête jaillit une fontaine d'huile et de ses pieds une source d'eau et que de tous ses membres, il sort une huile sainte qui guérit beaucoup de personnes.

Longtemps après la mort de Nicolas, les Turcs détruisirent la ville de Myre. Or, 47 soldats de Bari (Italie) y étant venus et quatre moines leur ayant montré le tombeau de saint Nicolas, ils l'ouvrirent et trouvèrent ses os qui nageaient dans l'huile. Ils les emportèrent avec respect dans la ville de Bari.
Les reliques du Saint accomplirent de nombreux miracles en Italie. Elles protégèrent des voleurs et du diable. Elle sauvèrent de la noyade et ramenèrent à leurs parents les enfants perdus ou volés.
Quelques années après l'arrivée des reliques du Saint en Italie, un chevalier lorrain qui revenait de croisade passa à Bari. Il déroba un doigt du Saint pour l'amener dans sa ville natale : Saint-Nicolas-de-Port. Bientôt des pèlerinages importants furent organisés dans cette petite ville de Lorraine. Lorsqu'on priait saint Nicolas, des miracles se produisaient. Des chevaliers enchaînés par les infidèles furent miraculeusement transportés devant le portail de l'église de Saint-Nicolas-de-Port et saint Louis fut sauvé de la noyade.
Au fil des siècles la légende disparut peu à peu à l'exception d'un épisode conté par saint Bonaventure au XIIIe siècle. Celle des enfants enlevés, tués, mis au saloir et sauvés par saint Nicolas qui leur rendit la vie. Le décor ainsi que certains détails évoluèrent et l'épisode s'adapta progressivement. Pourtant cette légende serait inspirée par une hagiographie selon laquelle saint Nicolas serait apparu en songe à l'empereur Constantin pour obtenir la libération de trois officiers romains injustement emprisonnés dans une tour. Pour certains folkloristes, la légende serait née d'une interprétation naïve de l'iconographie médiévale : on aurait pris pour des enfants les trois officiers que les miniaturistes du Moyen Âge avaient rapetissés à l'échelle de leurs enluminures, et l'on aurait confondu avec un cuveau la tour qu'ils avaient tronquée pour qu'on en vit l'intérieur. Saint Nicolas a peut-être bâti sa légende sur une myopie ...

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Philippe Longfils

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Coutumes et traditions
La tradition des œufs de Pâques en chocolat

Si l'œuf est un symbole d'une vie nouvelle, donner des œufs en cadeau à Pâques ou pour célébrer l'arrivée du printemps, est une tradition installée depuis des centaines d'années.

On peut, à juste titre, se demander quel est le rapport entre une fête religieuse comme Pâques qui vit la résurrection du Christ et la quête des œufs en chocolat.
Il faut savoir que Pâques se situe dans la période de l'équinoxe de printemps. C'est évidemment le moment de la renaissance de la nature. Rien d'extraordinaire donc à ce que, comme dans l'Égypte antique, l'œuf devienne le symbole du renouveau.

Les poules ne font pas Carême !

Chez nous, pendant le Carême soit les 40 jours précédant Pâques, il était interdit de manger de la viande, des œufs, des laitages ou encore de boire du vin. Les paysans se retrouvaient alors avec beaucoup trop d'œufs.

A partir du Moyen-Âge, apparaît la coutume d'offrir ces œufs après les avoir peints en rouge. Certains chroniqueurs y voient la couleur du sang et le symbole de la résurrection. D'autres rappellent que des coutumes semblables existaient déjà dans les périodes pré-chrétiennes, chez les Romains comme chez les Perses, en lien avec l'arrivée du printemps. Cette tradition des œufs colorés est encore aujourd'hui très vivace dans des pays comme la Russie et l'Ukraine.

Cloches de Rome

Les cloches de Rome…


Dans notre village, la cloche sonne trois fois par jour l’angélus qui se caractérise par trois fois trois coups de cloche suivi d’une volée, et le dimanche, en plus, elle invite les fidèles à assister à la messe. Sauf au moment de Pâques, où elle est silencieuse du Jeudi au Samedi Saint.  C'est à ce moment qu'elle profite avec ses congénères des autres paroisses pour faire une petite excursion à Rome où elles se rassemblent par milliers, attendant que le dernier pape décédé vienne les bénir en les arrosant d'eau du ciel. Elles peuvent alors repartir vers leur clocher d'origine en rapportant sous leur grosse jupe de fonte ou d’airain, des œufs aux enfants sages, toutes carillonnantes d'avoir été bénies

Vatican II a bouleversé la semaine sainte, la pratique religieuse a beaucoup diminué. On croit moins aujourd'hui au pouvoir des cloches et leur symbolisme s'est perdu. Mais il reste grand, à Pâques, le moment où les enfants attendent leur retour en espérant qu'elles ne se soient pas égarées en route. C'est ainsi que, quand les cloches de Pâques sonnent, les enfants partent dans le jardin pour une course à l'œuf... ou à la poule en chocolat que les parents ou les grands-parents dissimulent dans les haies, sous les buissons, …

Mais les cloches ne sont pas les seules émissaires. Au Tyrol, c'est la poule, en Suisse, un coucou, en Allemagne, c'est un lapin blanc, dans les pays anglo-saxons et en Alsace un lièvre ce qui est aussi le cas aux États-unis, avec Easter Bunny, le "lièvre de Pâques" et en Westphalie, il s'agit du renard.

Les enfants d'Angleterre, d'Hollande et de France vont de maison en maison en quête d'œufs de Pâques.

Les Russes orthodoxes, eux, font bénir les œufs à l'église et les font cuire pour leur déjeuner de Pâques.

Quant aux petits Allemands, ils échangent des cadeaux camouflés dans un emballage en forme d'œuf.

 

Pourquoi des œufs en chocolat ?

De prime abord, la coutume d'offrir des œufs ou des lapins en chocolat est d'origine commerciale. Après les privations du carême, les gens ont trouvé l'idée intéressante, de pouvoir se sucrer le bec après s'être privé de sucreries en guise de sacrifice durant toute cette période.

C'est  au XVIIIe siècle, en France, qu'on décide de vider un œuf frais et de le remplir de chocolat. Puis vinrent plus tard les moules, les décorations et la tradition gourmande et depuis, les œufs « durent » déclinés dans toutes les tailles.


La tradition du lapin en chocolat a suivi un long processus d'évolution apporté par les anciens Teutons qui croyaient fermement qu'à Pâques, c'était au tour des lapins de couver les œufs. Étrange, non ?

 

Philippe Longfils

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Coutumes et traditions
D’où viens-tu Noël

La liturgie latine désigne la célébration de la Nativité de Jésus par les mots Festum Nativitatis Domini Nostri Jesu Christi ou, en résumé, Dies Natalis Domini, jour de naissance du Seigneur. De là sont venues les expressions populaires pour nommer Noël : Natale en Italien, Navidad en espagnol, Natal en portugais, Nadal dans le sud de la France puis Noël dans toute la France".

Mais est-ce bien ce jour que Jésus est né ?

Le solstice d'hiver

Dès que l'homme a commencé à cultiver la terre, il s’intéressa attentivement à la trajectoire du soleil tout au long de l'année, car  il savait que c'était de lui que dépendaient la nourriture, la chaleur et le bien-être.

Le cours des saisons déterminait aussi le moment des fêtes. Depuis la nuit des temps, les rites de remerciements et de sacrifices étaient célébrés dès que le soleil atteignait les points significatifs de son orbite, c'est à dire aux solstices d'été et d'hiver. Et ce fut au solstice d'hiver, la période de l'année où les journées commencent enfin à être plus longues, que l'on concéda le plus d'importance.
Bien avant l'époque romaine, on fêtait en Europe la renaissance tant attendue de la nature et l'espérance de vie nouvelle. 
Mais en revanche on ne sait rien de précis sur les cérémonies qui se déroulaient à cette époque. Il est probable que le feu et la lumière, en tant que symboles, jouaient un rôle prépondérant.

Veillée de Noël

Noël

 

Les Saturnales

Les Romains invoquaient Saturne, dieu des semailles et de l'agriculture, dont le nom vient du verbe latin « severe » (semer). Sa fête, les Saturnales, donnait lieu à des réjouissances du 17 au 24 décembre. On disait qu'elles s'étendaient jusqu'aux calendes (1)  de janvier, le jour de l'an romain.

Les peuples nordiques célébraient Njord, dieu de la fécondité et Idun, gardienne "des pommes de providence", nourriture des dieux.

Les Orientaux, quant à eux, rendaient un culte à Mithra, divinité de la lumière.

Toutes ces religions antérieures au christianisme donnaient l'occasion de fêter le solstice d'hiver avec pour but de redonner  courage et espoir au peuple effrayé par les sols gelés, l'absence de vie et l'obscurité.

A l'origine, les Saturnales avaient lieu au moment des semailles, mais cette tradition se perdit avec le temps. Cette célébration servit peu à peu à justifier toutes sortes de réjouissances effrénées, de fêtes et … d'orgies.

Comme on le fait encore de nos jours pendant nos fêtes de Noël, on offrait des cadeaux : des porte-bonheur, du miel, des gâteaux, de l'or; c’était là des présents courants. On décoraient les maisons avec du lierre, des branches de houx et de gui et tout travail, à part celui de la cuisinière et du banquier, était interdit.

Rome confrontée au culte de Mithra

Malgré l'influence croissante de l'Église et de ses disciples, les rites liturgiques chrétiens ne parvenaient pas à s'imposer face aux festivités païennes des Saturnales. Cette fête pleine d'entrain entrava longtemps la propagation du christianisme. Mais la chrétienté fut également menacée par un autre culte fortement implanté dans l'Empire romain : le culte de Mithra.
Au IVe siècle, pour enrayer ce culte païen, l'Église chrétienne prit une mesure très astucieuse. La fête de la naissance du Christ fut avancée du 6 janvier au 25 décembre.
En effet le solstice d'hiver du 25 décembre était la fête la plus importante de l'an mithraïen : on fêtait la renaissance du "sol invinctus" (dieu solaire invaincu). L'Église n'hésita pas à déclarer le Christ "sol invinctus".

Les chrétiens procédèrent de la même manière au cours de l'évangélisation d'autres peuples : la fête de Noël fut transférée aux jours de fêtes païennes importantes, tels que la fête de Jul chez les Germains. L'objectif restait le même : faciliter le passage de la coutume païenne à la foi chrétienne.

Un élément facilita cette démarche : il s'avérait impossible de fixer une date précise pour la naissance du Christ, car à l'époque il n'existait pas de calendrier universellement valable. La plupart des chrétiens furent vite persuadés que la date de la naissance du Christ était le 25 décembre.

On s'interrogea sur la manière dont on allait célébrer l'événement. Les autorités ecclésiastiques calquèrent globalement l'esprit des Saturnales. Même si ces fêtes exubérantes choquaient un peu les moeurs chrétiennes, il ne fut pourtant pas impossible de concilier les deux rites. En effet, beaucoup d'éléments de la fête païenne s'adaptaient très facilement au nouveau cadre chrétien. Il ne fut donc pas difficile, par exemple, de créer un lien entre le houx aux feuilles piquantes et la couronne d'épines du Christ.

Mithra

Les traditions païennes

Au VIe siècle ap. J.C., le Pape Grégoire médisait ces fêtes exubérantes, les danses et le couronnement des portes et se prononçait en faveur d'une fête sublime et non laïque. La coutume qui choquait le plus était celle des hommes déguisés en femme ou en animal ou même nus, qui improvisaient des saynètes. L'Église tenta d'interdire toute représentation de pièces de théâtre pendant les fêtes de Noël afin de contrer ce type de rite.

En Europe du nord et en Europe de l'ouest, l'Église se montra longtemps très réticente à intégrer les traditions du solstice d'hiver dans la fête de Noël et c'est ainsi que les coutumes de Noël devinrent de plus en plus variées.
Noël au Moyen Age

C’est encore au VIe siècle que le Pape Grégoire envoya Augustin sur les îles britanniques pour évangéliser la population anglo-saxonne. Il donna l'ordre aux moines d'intégrer les cérémonies chrétiennes dans la tradition des païens afin que les mutations ne les effraient pas trop.


Avec la propagation du christianisme, la fête de Noël commença aussi à jouer un rôle de plus en plus important dans la vie politique des peuples européens. Suite à l'écroulement de l'administration romaine et du système de transport, la communication entre les souverains se fit de plus en plus rare. Ainsi, Noël, devint l'une des rares occasions pour les princes de se rencontrer. Dans l'Europe entière, les Rois chrétiens se faisaient couronner ce jour là, tel Charlemagne, Roi des Francs, qui fut nommé Empereur du Saint Empire romain, par le Pape, le jour de Noël de l'an 800.

On se réunissait pour d'immenses festivités, qui étaient caractérisées par un gaspillage invraisemblable. On se retrouvait autour d'immenses tablées, autour desquelles on mangeait et on buvait souvent en excès, on dansait et on jouait. Les jeux de cartes étaient particulièrement à la mode. En Angleterre cette pratique n'était autorisée que durant la période de Noël.

 

Les pièces de théâtres et les représentations scéniques étaient très appréciées en Europe. Elles étaient en général assez crues, animées et équivoques. Leur contenu, symbolique, puisait souvent dans les traditions et les rites païens. Au lieu d'interdire formellement ces pratiques, l'Église tenta de leur opposer des pièces et tableaux vivants qui avaient pour thème principal la naissance du Sauveur selon les données des Évangiles de Matthieu et de Luc. Les crèches vivantes que nous connaissons aujourd'hui en sont vraisemblablement issues.

Elles étaient surtout répandues, à l'époque, dans les régions alpines. Les santons de Provence proviennent directement de cette tradition et apparurent au XVIIIe siècle, favorisant, en France tout d'abord, la diffusion des crèches domestiques. Les personnages étaient alors façonnés avec de la mie de pain séchée, puis peints à l'huile et au vernis.


Une fête en famille

Peu à peu, les fêtes devinrent symbole de largesse ce qui déplaisait aux puritains. En Écosse les presbytériens interdirent dès 1583 les fêtes de Noël. Les puritains anglais finirent par faire triompher leurs conceptions lors de la guerre civile de 1642. On était obligé de travailler le jour de Noël comme un jour ordinaire. Mais certains continuèrent à fêter Noël en famille. Le Roi finit alors par lever cette interdiction.

Déjà, on avait pris l'habitude à cette époque de fêter Noël beaucoup plus discrètement et les coutumes devinrent semblables à celles que nous connaissons aujourd'hui.

Même dans les pays catholiques comme l'Italie et la France, où les puritains n'avaient pas beaucoup d'influence, Noël était devenu une fête de recueillement en famille.
Au XVIIIe et XIXe siècle, la tradition qui consiste à échanger des cadeaux à Noël ou des étrennes au jour de l'an commença à se répandre. Les cadeaux de Noël sont sans doute une représentation symbolique des présents que les Roi Mages apportèrent à Jésus. Déjà au temps du règne de César, les fonctionnaires se faisaient offrir des cadeaux par les populations au début de chaque année et même les esclaves recevaient des cadeaux de leurs maîtres. Avant Jésus-Christ, chaque foyer offrait des sacrifices aux dieux pour la fête du solstice d'hiver, afin que ceux-ci protègent la maison des mauvais esprits et qu'ils veillent sur la fertilité des champs. 

A l’heure actuelle, cette fête qui a eu tendance à vouloir être « sur popularisée », redevient de plus en plus familiale et si elle a quelque peu perdu de son faste chrétien, il n’est pas rare de trouver dans les foyers une crèche à côté de l’épicéa, symbole celte. Mais cela, c’est une autre histoire ...

Philipppe Longfils

Sapin de Noël
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