UN VOL BIZARRE
Tout commença un beau jour de printemps quand tout à coup, il y eut un cri de terreur. Le malfaiteur avait volé le coffre de la banque de Monsieur Jean-Denis. Dans ce celui-là, il y avait sept millions de francs. Le caissier effrayé, avait donné tout l'argent au bandit et avait mis l’alarme grâce à un bouton situé sous son bureau. La police n’arrivait pas. Les élèves de «Madame Latouche décidèrent de faire une réunion dans la cour de récréation qui est juste devant la banque. Ils rentrèrent dans la classe des grands et en parlèrent Nicolas dit : « Il faut appeler la police ou la laisser faire elle-même.
- Non, dit
Michaël, car on peut se débrouiller lorsqu'on est trois.. - Je suis d'accord
avec Michaël puisque c'est mon
copain, répondit Céline.
Ils décidèrent de mener leur petite enquête.
Ainsi les trois enfants prirent leur bicyclette le lendemain matin
parce qu'il faisait beau et ils vinrent à
la banque. Ils trouvèrent des traces de pneus.Ils allèrent chez le marchand et
lui demandèrent: « Avez-vous déjà vendu ce genre de pneus »
-Je ne les ai pas vendus depuis dix jours repondit-i1
-Si nous allions chez le marchand de motos suggéra Nicolas?
-D'accord, on va chez le marchand de motos acquiesça Céline
-Je suis d'accord avec vous, approuva Michaël
Nous étions dans une impasse. C'est alors que nous avons pensé à notre
instituteur de cours préparatoire, NI.
Bricolo. C'était un grand bricoleur et, depuis qu'il était à la retraite il
consacrait son temps à construire des robots. Justement il venait d'en finir un
petit policier sur lequel il avait travaillé dur. Ensuite les enfants prirent
leur vélo et allèrent chez lui et lui demandèrent s'ils pouvaient avoir l'automate.
L’instituteur qui leur en donna un. Cet androïde avait des grandes
antennes, une radio, une loupe, un haut-parleur Sur son habit était marqué «police 009» Le robot trouva un numéro
de téléphone sur un papier où était écrit : Rendez-vous devant la
banque à sept heures précises.
A sept heures précises. Ce numéro était le 07.88.99.00.11
Il dit: « Je vais
téléphoner à ce numéro afin que nous sachions ce que mijote le voleur
—Téléphone, on verra bien ce qui se passera ajoutèrent les enfants.
—Je veux une rançon, dit le voleur au téléphone.
—Combien voulez-vous, demanda son interlocuteur?
—Je veux un million de dollars, répondit le bandit
—D'accord, acquiesça l’autre. »
—Ils se donnèrent rendez-vous le lendemain après-midi à 14h30.
Le lendemain, a la place de l'argent ils mirent des pièces en chocolat.
Ils appelèrent la police qui attrapa le
voleur . David, Clément et Alexandre