La profondeur et le réaliste de Rhéal

(merci à toi de nous partager une partie de toi câlin)

Pourquoi est-ce si compliqué?

Je me retrouve à tes côtés.

Incapable de t'exprimer

que je ne serai jamais capable de cesser de t'aimer

à quelle point je suis subjugué par ta beauté

qui ne cesse de m'épater

Je ne sais guère ce qui s'est passé,

mais depuis, ma vie a changé

je me retrouve à penser

a ce que pourraient être nos journées

entrelacé dans tes bras de fée,

danser et se laisser bercer sous une musique enchantée

en regardant le soleil se coucher

Je ne cesserais de te caresser, de t'embrasser,

de te couvrir de mille et un baisers

de te chanter ce poème que tu m'as inspiré

Mais toi ma belle inconnu, je ne fais que rêver

je sais qu'il paraît insensé

de penser que cela puisse arriver.

Mais comme l'amour ne peut-être arrêter,

je continue d'espérer.

Toi maintenant, je sais que le coup de foudre existe,

tu me l'as fait vivre... Maintenant je sais,

ce qu'est le véritable amour, car je t'aime...

Je ressens pour toi ce que je n'ai jamais ressenti auparavant...

ce que je ressentirai jamais pour quelqu'un d'autre que toi..

Tu fais et tu feras dorénavant toujours partie de chacun de mes rêves

chacune de mes pensées, chaque moments de ma vie ...

je t'aime.

L'amitié

l'amitié n'a pas de fin,

l'amitié, c'est comme l'amour,

ce n'est pas achetable,

c'est comme une deuxième vie,

les vrais amis de se frustrent pas pour rien,

les vrais amis ne se séparent pas,

aucune chose n'est plus précieux que l'amour et l'amitié,

c'est comme le vrai amour, ça dure pour toujours,

une amitié, on ne la jette jamais,

c'est "4ever"

Ce que nous étions, nous ne sommes plus.

Pourtant de ce que nous avons vécu, tout n'est pas perdu:

Reste le souvenir des tendres moments connus

Et de toutes les discussions que nous avons eues.

Reste l'amitié et la complicité que l'on s'est forgées,

plus fortes et durables que cet amour-né

Qui a, une ibis, fais nos coeur chavirer,

Mais qui n'a toutefois su durer.

Ne me demande pas si ça fait mal,

car le froid qui serre mon coeur est loin d'être hivernal

mais ne crois pas que c'est pour moi une chose banale,

car ce fut pour moi une sorte d'aurore boréale.

J'ai compris et accepté ta décision

qui mettait fin à notre passion,

j'ai pris le chemin de la raison,

car j'ai perdu ton affection.

J'y ai perdu un chum, j'y ai gagné un ami,

je n'espère plus ton amour, j'en suis avertie,

j'ai connu les meilleurs moments de ma vie,

c'est grâce à toi et je t'en remercie.

Une période supposée d'être une heureuse liberté

Entre-deux périodes où l'on est délicieusement enchaînés

Devient l'histoire d'une vie, d'une extrême platitude

plongé dans une profonde solitude.

Vie où l'amour n'est que pur fantasme,

où il n'y a pas assez de témérité

pour pouvoir poser un cataplasme

sur mon coeur enflammé.

Vivre dans l'ombre de la gêne

dans la peur d'un seul refus,

D'être rejeté comme un vulgaire rebus:

n'avoir jamais voulu avoir de peine.

Vivre dans la crainte de perdre confiance,

à tel point que d'avoir à en hypothéquer,

toujours le considérer avec méfiance,

au lieu de complètement s'y abandonner

Vivre sans le moindre courage,

sans jamais dénoncer son amour,

s'en vouloir à en pleurer de rage,

mais la rage reste gravée, toujours

Et malgré tous mes vains efforts,

tu n'entends pas mes cris de détresse muets,

et je sais que toujours et encore,

aux tiens je ferai le guet.

Maudite maladie, pourquoi es-tu dans ma vie?

Tu m'as tellement fait souffrire, j'ai encore tellement mal

Des fois, je regrette de m'être battu

J'ai gagné, gagné une vie que je hais

j'aurais perdre la vie, mais gagner le paradis

pourquoi je ne me suis pas laissé aller?

Je ne savais ce qui m'attendait

je n'aime pas avoir des limites

j'ai peur de l'avenir car il est tellement incertain

Tu pourrais revenir sans avertir

je n'aurais jamais fini de souffrire

on m'a dit que je reviendrais comme avant

j'attends mais je sais que ce n'est pas vrai

on m'a trahi car j'ai tellement espéré

avoir su je ne me serais jamais battu...

Tu seras beau comme un coeur,

de ta joie tu couvriras mes pleurs,

tu me consoleras quand j'en aurai besoin,

assis dans un coin,

tu couvriras ma joue de tous tes bisous,

oui tu seras mon amour et pour toujours.

Je t'aimerai comme un folle,

mais je ne serai jamais un pot de colle,

quand tu en auras besoin,

je te réconforterai à mon tour,

oui tu seras mon amour,

l'amour que je ne connaîtrai jamais.

Tu seras gentil comme un chat,

oui c'est comme ça que tu m'aimeras,

avec tout l'amour que tu auras,

avec je n'aurai jamais peur,

car dans la vie tu seras mon guide,

comme l'aveugle et son chien,

je te suivrai partout où tu iras.

je t'aimerai comme personne ne t'a jamais aimé,

car tu seras l'amour que je ne connaîtrai jamais.

Oui je t'aimerai toujours,

tu seras l'amour de mes rêves,

mon amour à moi seule.

Quand tu liras cette lettre tu sauras,

que j'étais pour toi,

mais tu ne méritais pas.

Car tu n'avais aucune de ces qualités,

et tu avais d'autres coeurs à briser

avant le mien.

Mes yeux furent brillants

de toutes leurs pétillantes couleurs,

mon regard fut rayonnant,

envoyant tout plein de jets de fraîcheur,

mon coeur fut florissant,

proliférant partout la bonne humeur,

mon esprit fut plombant,

répandant autour de moi la chaleur,

mon âme fut heureuse

et ce fut le plus total des bonheurs.

Il y a plus dans mes yeux jadis rieurs,

éteignant mes flammes dansantes,

mon regard a diminué ses ardeurs,

rendant mes images plus déprimantes,

mon coeur a un jour changé ses couleurs,

faiblissant mes idées entraînantes,

mon esprit a perdu sa chaleur,

me laissant beaucoup moins invitante,

mon âme malade a eu bien peur

se demandant si j'étais vivante.

Mes yeux sont désormais glacés

et figent mes iris pleureurs,

mon regard est à présent givré

et confond la blancheur et la noirceur,

mon coeur est maintenant gelé

et perd toutes vives couleurs,

mon esprit est d'un froid prononcé

et éloigne mes plus proches visiteurs,

mon âme se trouve en berne forcé

et commence son deuil de malheur.

La peur s'empare de moi,

la paranoïa; me met en émoi,

à cause d'une dispute sans raison,

une seule question d'incompréhension.

Le froid entre nous me glace,

me fait une peine qui me mouille,

ça me donne une légère trouille

et j'aimerais en effacer la trace.

c'est notre premier différent

qui, j'espère ne durera qu'un moment,

il est loin de me plonger dans l'indifférent,

et je ne peux supporter cette nouvelle distance.

Je ne pourrais me consoler

d'avoir été la cause de cette tension,

je t'ai peut-être blessé

et je ne peux que te demander pardon.

Puisqu'on ne peut revenir dans le passé,

je n'ai le pouvoir que de regretter,

Je souhaite autant comme autant

Que tout redevienne comme avant.

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