PHILOSOPHER

Philosopher : aimer (réfléchir sur) la Sagesse

 

Les propos les plus courts sont parfois les meilleurs. Mais .......

 

 

  QUI TROUVE NOTRE SOCIETE RATIONNELLE
NE L'EST GUERE.
ELLE/IL FAIT PREUVE D'UN AUTO-AVEUGLEMENT
IRRESPONSABLE ET COUPABLE.
MAIS CE N'EST NEANMOINS PAS
UNE RAISON DE BAISSER LES BRAS.

 

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Ne jamais remettre au lendemain ce qu'on aurait déjà pu,
sinon dû faire la veille

 

 

  Ne prenez pas la vie très au sérieux; de toutes façons vous n' en sortirez pas vivant.

 

 

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"Ce qui reste à faire est plus important
que ce qui a déja été fait."

 

 

La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe

        Jacques Prévert  

 

 

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Il faut savoir rêver très haut pour ne pas réaliser trop bas

        Maurice Donnay  

Hommage à l'auteur de la devise de mon adolescence

 

 

 

Mais au fait qui êtes-vous ?

Avant que vous ne passiez à un autre site, j'aimerais mieux vous connaître, cher lecteur inconnu. Je suis un écran interactif.

Déclinez, s'il vous plaît, devant mes pages vos noms, sexe, nationalité, profession. Décrivez-vous. Quels sont vos pôles d'intérêts dans la vie ? Quelles sont vos forces et vos faiblesses ? Quel est votre souvenir le plus agréable ? et le plus pénible ? Parlez- moi un peu de vos parents, de vos amis et de vos ambitions. Quel genre de musique écoutez-vous ? Quel genre de livres lisez-vous ? Qu'est ce qui vous énerve le plus ? Qu'est ce qui vous enthousiasme le plus ? Oh, et puis peu importe. Je sais qui vous êtes. Je sens vos mains qui caressent mes pages. C'est assez jouissif d'ailleurs. Sur le bout de vos doigts, dans les sinuosités de vos empreintes digitales, je lis vos carac- téristiques les plus secrètes. Tout est inscrit dans le moindre fragment de vous. Je perçois même les traces de vos ancêtres. Dire qu'il a fallu que ces milliers de gens ne meurent pas trop jeunes, draguent et s'accouplent pour arriver jusqu'à votre nais- sance. Aujourd'hui, j'ai l'impression de vous voir en face de moi. Non, ne souriez-pas, restez naturel. Laissez-moi voir plus profondément en vous. Vous êtes beaucoup plus que vous en croyez. Vous n'êtes pas seulement un nom et un prénom avec une histoire sociétale. Vous êtes 71 % d'eau claire, 18 % de carbone, 4 % d'azote, 2 % de calcium, 2 % de phosphore, 1 % de potassium, 0,5 % de soufre, 0,5 % de sodium, 0,4 % de chlore. Plus une belle cuillère à soupe d'oligoéléments divers : magnésium, zinc, manganèse, cuivre, iode, nickel, brome, fluor, silicium. Et une petite pincée de cobalt, aluminium, molybdène, vanadium, plomb, étain, titane, bore. Voilà la recette de votre existence. Tous ces matériaux proviennent de la combustion des étoiles et ils sont répartis ailleurs que dans votre corps. Votre eau est similaire à celle du plus anodin des océans, votre phosphore vous rend solidaire des allumettes et votre chlore est semblable à celui qui sert à désinfecter les piscines. Mais vous n'êtes pas que ça. Vous êtes aussi une cathédrale chimique, un jeu de construction faramineux avec des dosa- ges, des équilibres, des mécanismes d'une complexité à peine concevable. Car vos mo- lécules sont elles-mêmes formées d'atomes, de particules, de quarks, de vide, le tout lié par des forces électromagnétiques, gravitationnelles, électroniques d'une subtilité qui vous dépasse. Maintenant installez-vous un peu mieux pour lire. Tenez votre dos droit, respirez plus amplement. Décontractez votre bouche. Ecoutez-moi.

Tout cela, tout ce qui vous entoure dans le temps et dans l'espace ne sert pas à rien. Vous ne servez pas à rien. Votre vie éphémère à un sens, elle ne mène pas nulle part. Tout a un sens. Ce n'est pas un hasard, si vous êtes là en train de me lire. Respirez amplement, détendez vos muscles, ne pensez à rien d'autre qu'à l'univers dans lequel vous n'êtes qu'une infime poussière. Imaginez le temps en accéléré. Pfout, vous nais- sez, éjecté de votre mère comme un vulgaire noyau de cerise. Tchac, tchac, vous vous empiffrez de milliers de plats multicolores, transformant quelques tonnes de végétaux et d'animaux en excréments. Pif, vous êtes mort. Qu'avez-vous fait de votre vie ? Seu- lement ? Ce n'est pas assez... Faites quelque chose, n'importe quoi, de tout petit même, mais bon sang, faites quelque chose de votre vie avant cette "mort"-ci. Vous n'êtes pas né pour rien. Trouvez (ou retrouvez ?) pourquoi vous êtes né. Quelle est votre minuscule mission ? Vous n'êtes pas né par hasard.

    D'après Bernard Werber
et son livre "Le secret des fourmis"

 

 

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SOCIETE DE CON-
SOMMATION

Le progrès, le bonheur, est-ce, par exemple, de pouvoir choisir, dans un hypermarché du Nord, début février, parmi la gamme plus ou moins complète de sept fournis- seurs de vins alsaciens différents, alors que pendant ce temps des millions d'humains crèvent de faim (au sens propre du terme), et près de deux milliards d'humains vivent en dessous du seuil de pauvreté ?

 

 

http://www.simplicitevolontaire.org/

 

 

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HELAS

Réfléchir, c'est détranger ses pensées. Hélas, même chez les "responsables" de hauts niveaux, il y en a beaucoup qui ne sont sécurisées que si les idées sont bien rangées .... depuis longtemps.,

 

 

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Le discours de la Méthode

S'il est incontestablement idiot de répéter dans cesse que le Français est cartésien, y compris celui qui est naturalisé depuis huit jours, comme si nous étions tous fait sur un moule unique, il peut s'avérer intéressant d'avoir au moins survolé ce célèbre discours.

http://pages.globetrotter.net/pcbcr/methode.html

 

 

 

Comme toujours armés
des flèches de l'amour,
mais également
du bouclier de l'humour,
pensons aussi, parfois,
à combattre la connerie
à coups de points
d'interrogation.

 

 

 

 

Il peut s'avérer intéressant d'aller, de temps à autre, pour philosopher plus juste, faire un tour sur le site du passa- blement influent CREDOC

Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de vie

http://www.credoc.asso.fr/

Même si parfois ses analyses et surtout les commentaires qu'en font les médias ....

N.B. Tout responsable d'une étude dont il sait qu'elle fera l'objet d'une large exploitation médiatique devrait adjoindre dans l'étu- de quelques pages intitulées "Journalistes, attention", avec des conseils prévisionnels sur ce qu'il ne faudrait surtout pas écrire et dire de travers.

 

 

JUGER
pour ne pas être mal jugé

Contrairement à ce qui est souvent affirmé, mais n'est-ce pas là une sorte d'auto-protection pour ceux qui ne sont pas ou n'étaient pas clairs, c'est un devoir impératif et sage de juger, c'est à dire de por- ter en permanence un jugement critique (qualificatif dont on oublie souvent qu'il concerne autant le positif que le négatif) sur soi-même d'abord, et, parallèllement, dans notre environnement immédait en particulier, sur les faits et les personnes, ne serait-ce qu'afin d'éviter de commettre des erreurs, d'en entraîner d'autres dans nos erreurs, ou simplement d'en laisser d'autres aller ou rester dans l'er- reur. Mëme si, jusqu'à un certain point, toute expérience en soi peut servir positivement à l'évolution spirituelle.

A base de critères qui ne soient pas forcément et même jamais avant tout du genre dogmatique ou encore légal, mais uniquement à base de critères d'amour et de respect des droits, mais aussi des devoirs des autres, au bénéfice de chacun qui inclut donc celui de la collectivité aussi imparfaite et désolante souvent soit-elle.

Mais bien évidemment lorsqu'il s'agit de personne, tout jugement négatif comme positif d'ailleurs, c'est à dire toute appréciation négative comme positive, doit impérativement s'appuyer sur des faits avérés, c'est à dire des écrits personnels récents, des actes personnels les plus récents possibles parce qu'il peut y avoir eu amendement ou dégradation entre temps.

Et tout ausss évidemment, en cas de toujours déplorable jugement négatif fondé, il ne saurait être question, même si les faits sont récents ou réitérés quotidiennement de condamner définitivement ou même provisoirement une personne, sauf à être juré, ou encore de déclarer définitivement irrécupé- rable, et encore moins de refuser une main qui demanderait de l'aide .... pour enfin bien faire ou à nouveau bien faire. Encore une fois pas sur des bases bien trop humaines du genre dogmatique ou encore légal,

A défaut de juger en permanence, y compris et prioritairement ses propres actes évidemment, on pourrait être accusé au minimum de "non assistance à personne en danger", et donc être jugé ou apprécié , à juste titre, comme responsable de notre irresponsabilité.

 

Tous les contextes, y compris donc toutes les pratiques "religieuses", semblent être des occasions de progresser, de stagner ou de régresser dans son évolution spirituelle. Et il semblerait même que les régressions peuvent s'avérer bénéfiques, voire passages obligés.

Faut-il en déduire que, en effet, la pratique de la plus insensée des "religions" tout comme de la philosophie les plus athée est utile, voire indispensable dans l'une ou l'autre vie, à toute évolution spirituelle ?

Peut-être. Mais est-ce que ça dispense du devoir - si seulement s'en est un - d'attirer l'attention de quelqu'un qui croise votre chemin sur ce qui, modestement, vous semble être les "faiblesses" d'une conception du sens de la vie sur laquelle il s'informe dans le but éventuel de l'adopter ?

 

 

 

 

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