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COMMUNIQUER 1 |
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| Ne confondons surtout pas "bavard" avec "soucieux de donner les précisions nécessaires pour essayer d'éviter des malentendus, et encore plus le sentiment qu'on est enfin sur la même longueur d'onde quand ce n'est pas encore devenu le cas". |
| Disposer d'une
information trois seconde plus tôt ou trois secondes
plus tard peut changer bien des choses. Et c'est bien
pourquoi, non obstant les progrès divers de la
téléphonie, arriver trois secondes plus tôt ou trois
secondes plus tard devant son téléphone n'est pas
toujours sans importance et conséquences Et c'est bien pourquoi encore, à la limite, aller chercher son journal en voiture, si ça vous fait gagner cinq secondes, ça peut parfois avoir beaucoup de sens et même parfois valoir pas mal d'économie (si çà vous évite de devoir payer vous-même la conversation en cas de rappel d'un interlocuteur raté de peu). Et c'est encore plsu vrai pour quelqu'un qui milite ou est disponible à rendre service 24 heures sur 24. |
| Entre
. Ce que je pense, Ce que je veux dire, Ce que je crois dire, Ce que je dis, Ce que vous avez envie d'entendre, Ce que vous croyez entendre, Ce que vous entendez, Ce que vous avez envie de comprendre, Ce que vous comprenez, Il y a dix
possibilités qu'on éprouve, vous et moi,
NB. La dixième est encore "non identifiée" et c'est donc peut-être la plus nuisible au dialogue. D'après .... Encyclopédie du savoir relatif et absolu ..... EDMOND WELLS |
| Il est lamentable et non sans conséquences graves pour l'intérêt général qu'on puisse confier l'information quotidienne télévisuelle de la population française à des gens qui, comme Daniel Bilalian par exemple, n'avaient pas encore compris, toujours par exemple, le 20 décembre 2001, que le premier jour du siècle n'était pas le 1er janvier 2000 (ce que j'avais personnellement commencé à souligner dès 1995); alors que le célébrissime Yves Mourouis n'a pas été le seul à témoigner de cette erreur de sens critique, commise également par de nombreus responsables politiques. Mais ça n'est là, hélas, qu'une illustration parmi des milliers de l'irréflexion et de la superficialité irrespectueuse des personnes auxquelles on s'adresse de la part de beaucoup d'hommes et de femmes de médias, ainsi que d'hommes et de femmes publiques dont les responsabilités dans la qualité de l'opinion publique n'est pas moindre. |
Je crains beaucoup l'homme d'un seul
livre
fut-ce, voire surtout, si c'est la Bible
ou encore le Coran, ou la Bhagavad Gita
| Il est peut-être dommage que n'a pas eu de succès une collection de petits livres à deux auteurs qui devait s'appeler quelque chose comme "Pour/Contre" dans lequel l'autre point de vue était lisible quand on retournait le livre tête-bèche et recto-verso.Rien de tel que de bénéficier de deux points de vue con- traire pour évoluer dans ses analyses d'un concept. |
| Un auteur sérieux d'un livre sérieux devrait toujours soumettre son avant-dernier brouillon à quelques proto-lecteurs sérieux , et si pos- sible pas seulement constitués de gens favorables à son point de vue. |
A MEDITER L'ordinateur obéit à vos ordres, pas à vos intentions. Ne dites jamais à votre ordinateur que vous êtes pressés ! Les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénus. Les ordinateurs viennent de l'enfer. La durée maximale de concentration d'un ordinateur est aussi longue que le fil électrique qui le relie à la prise. Plus un ordinateur possède de RAM, plus vite il peut générer un message d'erreur. Un ordinateur peut, en un clin d'oeil, commettre une erreur si monumentale qu'il faudrait des centaines de calculateurs travaillant pendant des mois pour commettre la même. L'ordinateur a de la mémoire mais aucun souvenir. Nos études ont montré que la probabilité qu'un programme corrigé fonctionne comme avant la correction est seulement de cinquante pour cent. Les ordinateurs facilitent beaucoup de choses, mais la majeure partie de ces choses qu'ils rendent plus faciles ne nécessitait pas d'être faite. Un langage de programmation est censé être une façon convention- nelle de donner des ordres à un ordinateur. Il n'est pas censé être obscur, bizarre et plein de pièges subtils (ça ce sont les attributs de la magie). L'ordinateur est un appareil sophistiqué auquel on fait porter une housse la nuit en cas de poussière et le chapeau durant la journée en cas d'erreur. Journaliste et humoriste français [ Philippe Bouvard ] Extrait des Pensées Achetez ce livre >> On peut apprendre à un ordinateur à dire : " Je t'aime ", mais on ne peut pas lui apprendre à aimer. Je ne crois pas que ce soient les ordinateurs eux-mêmes qu'il faille redouter, mais bien plutôt la façon dont la culture digérera leur présence. Le vrai danger, ce n'est pas quand les ordinateurs penseront comme les hommes, c'est quand les hommes penseront comme les ordina- teurs. Les experts sont formels et unanimes : en règle générale, l'ordina- teur le mieux adapté à vos besoins est commercialisé environ deux jours après que vous ayez acheté un autre modèle ! Ordinateur : moyen conçu pour accélérer et automatiser les erreurs. Les ordinateurs sont inutiles. Ils ne savent que donner des réponses. Un ordinateur, c'est comme une femme; c'est quand tout va appa- remment bien qu'il faut commencer à s'inquiéter |
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