La bibliographie de l'Auteur....

"Mémoire d'un jeune homme dérangé"
 La table Ronde, 1990, 


"Vacances dans le coma", Grasset 1994,

" Les Chiottes " tel est le nom du night-club branché que l'on inaugure place de la Madeleine. Marc Marronnier, jeune chroniqueur mondain, s'y rend à l'invitation de son vieux copain Joss, le DJ le plus demandé de New York à Tokyo, virtuose du sampler digital.
Top models de la veille ou du lendemain, visages liftés, stylistes à la page, décadents de tout poil se pressent sur la piste, entre dance music et pilules d'ecstasy. " Le fric permet la fête qui permet le sexe. " Marc, lui, sait bien qu'il ne pense qu'à l'amour. Il le rencontrera à l'aube avec le visage le plus inattendu...
Chroniqueur à Elle et à Max, Frédéric Beigbeder connaît à fond les bards branchés et les fêtes du jet set, le noyau dur - cinq cents personnes - des nuits parisiennes. Il aime trop ce monde-là pour moraliser. Il le connaît trop pour n'être pas lucide. Chamfort et Balzac étaient de la même trempe.



"L'amour dure trois ans", Grasset, 1997,



"Nouvelles sous ecstasy", Gallimard, 1999,
Dans les années 1980, une nouvelle drogue fit son apparition dans les milieux noctambules : le MDMA dit " ecstasy ". Cette " pilule de l'amour " provoquait d'étranges effets : bouffées de chaleur, envie de danser toute la nuit sur de la techno, besoin de caresser les gens, grincements de dents, déshydratation accélérée, angoisse existentielle, tentatives de suicide, demandes en mariage. C'était une drogue dure avec une montée et une descente, comme dans les montagnes russes ou les nouvelles de certains écrivains américains. L'auteur de ce livre n'en consomme plus et déconseille au lecteur d'essayer : non seulement l'ecstasy est illégal, mais en plus il abîme le cerveau, comme le prouve ce recueil de textes écrits sous son influence. Et puis, avons-nous besoin d'une pilule pour raconter notre vie à des inconnus ? Alors qu'il y a la littérature pour ça ?


"Barbie" aux éditions Assouline
Symbole ultime du rêve américain, Barbie, qui vit le jour en 1959, n'est pas seulement la poupée la plus vendue dans le monde : elle est surtout le premier top model de l'ère postmoderne. Serait-elle le mannequin idéal ? La cyberwoman d'avant les supermodels siliconés ? Dans ce livre, les couturiers et créateurs les plus en vogue ont mis la main aux ciseaux pour habiller (et déshabiller) cette célèbre poupée : Azzedine Alaïa, Giorgio Armani, Dolce Gabbana, Jean-Paul Gaultier, Marc Jacobs, Tom Ford pour Gucci, Calvin Klein, Christian Lacroix, Alexander McQueen, Prada, Gianni Versace, Vivienne Westwood...Barbie, je t'aime .
Dans son ouvrage, un recueil des plus belles parures dessinées par les grands de la couture, il parle de ce qu'il ressent pour cette miniature produite par un géant. Voici son témoignage: 
"Bien que d'une extrême virilité, je suis amoureux de Barbie depuis ma plus tendre enfance. Etre un
 petit garçon est un désastre, car on est obligé de jouer à des jeux ennuyeux: au train électrique, aux
soldats de plomb, au Lego ou au Meccano au lieu de fréquenter cette poupée fatale. J'ai des souvenirs
pluvieux de parties de Monopoly interminables où tous mes immeubles finissaient hypothéqués pendant
que Barbie dormait dans le placard de ma cousine, sans personne pour la réveiller ou la dorloter... Le
mot "maussade" semble avoir été inventé pour désigner les après-midi privés de poupée Barbie." 


"99 francs", Grasset, 2000.
Octave est le maître du monde. Octave exerce en effet la profession lucrative de rédacteur publicitaire : il décide aujourd'hui ce que vous allez vouloir demain. Octave est un mort-vivant, couvert d'argent, de filles et de cocaïne. Un jour, il se rebelle. Le doué Octave déjante. La cliente idéale ? " Une mongolienne de moins de cinquante ans. " Les nababs de la publicité ? " Ils mènent la troisième guerre mondiale. " De l'île de la Jatte où négocient les patrons d'agence à Miami où l'on tourne un spot sous amphétamines, d'un séminaire en Afrique à Saint-Germain-des-Prés, de l'enfer du sexe à la pureté perdue, Frédéric Beigbeder, entre fiction et pamphlet, écrit la confession d'un enfant du millénaire. En riant il dénonce le mercantilisme universel. En quelque sorte, un livre moral. Pour 99 francs, seulement.