La montée en puissance:

Les contrats commencent à pleuvoir: de "du côté d'orouet" en 1973 à "les quatre charlots mousquetaires" en 1974, Bernard explose le box-office. Le résultat ne se fait pas attendre: il tournera ce qui aujourd'hui encore reste LE film culte par excellence: "Les lolos de lolo" en 1975. Il enchaînera ensuite avec de nombreux films très prisés par une certaine élite intellectuelle et on pouvait entendre lors des soirées branchées: " Ouaieuhh, ben c'est trop Good-Menez".
 


Bernard se la joue Saturday Night's Fever (photo prise au Queen)

L'apogée:

Bernard a alors consacré toute sa vie au 7ème art, qui le lui rend bien. En effet, il raffle 7 oscars en 1979 et on lui prête même une liaison avec Marylin Monroe, récemment séparée d'avec Mr Ballutin Jacques. Pourtant, le bonheur n'est pas complet.

MAIS POURQUOI DONC ?

Une rencontre lui donnera la réponse: le 23 mars 1980, il rencontre Bob Dylan, qui le met en relation avec le chansonnier Carlos. Voilà ce qu'il manquait à Bernard, la CHANSON. Carlos lui apprend alors à écrire et, après quatre années d'un travail intense, Bernard devient le Dieu vivant qu'il est de nos jours: "Jolie poupée" est enfin disponible.

Bernard chantant "Jolie poupée" aux British Awards

Suite de l'aventure ...

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