LIGNE
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C'est la ligne la troisième ligne la plus courte avec ses treize stations. La
presque totalité de la ligne, soit de Porte des Lilas à Châtelet fut ouvert en
1935. Le Prolongementjusqu'à mairie des Lilas date de 1937.
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Mairie
des Lilas
La commune des
Lilas provient du démembrement de celle de Romainville en 1867. Sa petite mairie
est beaucoup moins célèbre que son poinçonneur immortalisé par la chanson de
Gainsbourg.
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Porte
des Lilas
Anciennement, c'était
la Porte de Romainville des fortifications. En 1860, elle fut rebaptisée du
nom de la commune sur laquelle elle s'ouvrait. Cette localité fut détachée de
Romainville en 1867, son nom récent provient de ses guinguettes avec les lilas.
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Télégraphe
La rue du télégraphe
est l'ancien chemin de ronde du parc du château de Ménilmontant. Son nom provient
de l'invasion de Claude Chappe. Celui-ci, installa son appareil, qu'il appela
Tachygraphe, sur ce point culminant (128 mètres). La machine possédait 98 signaux
different fort suffisant pour un usage courant. La poopulation de Belleville,
croyait à une conspiration avec la famille royale incarcérée au temple, détruisit
ce premier télégraphe Chappe. Les esais, concluants, ne purent reprendre qu'un
an plus tard, suivis de la mise en route des lignes Paris-Lille et Paris-Strasbourg.
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Place
des Fêtes
La commune de Belleville
organisait ses fêtes sur la place devant l'ancienne église. Devenue trop petite,
on créa cette nouvelle place des Fêtes près de la rue des Fêtes.
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Jourdain
Les églises de
Belleville qui se succédèrent àcet endroit au fil des siècles furent toutes
dédiées à St Jean-Baptiste qui comme son nom l'indique baptisa le Christ dans
le Jourdain. Fort logiquement la rue qui mène à cette église prit le nom du
fleuve de Palestine.
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Pyrénées
La chaîne de montagne,
frontière naturelle entre l'Espagne et la France a donné son nom à la plus longue
rue du XX° arrondissement et au traité de paix de 1659 entre les deux pays précités.
Signé par Mazarin et Don Luis de Haro, sur l'île de faisans, au milieu de la
Bidassoa, cette paix des Pyrénées permettait à la France de récupérer le Roussillon,
L'Artois, une partie de la Cerdagne, et l'infante d'Espagne pour le mariage
de Louis XVI.
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Belleville
Ce n'est que tardivement,
au XVIII° siècle que la commune pris ce nom. Il découlait de Belleville-sur-Sablon,
jusqu'à son annexion à Paris en 1860, la ville avait deux visages : en bas,
le quartier tonitruant de la Haute Courtille avec ses limonadiers et ses ginguettes,
en haut, le plateau chmpêtre avec ses paisibles jardiniers, ses vignerons et
ses parisiens en villégiature. Assez peu peuplé avant la révolution, sa population
progressa rapidement pour arriver à 65000 habitants en 1857. Cet ancien village
était devenu la treizième ville de France.