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HUMOUR
 

Dans un endroit reculé à la campagne, un couple vit péniblement avec ses
huits enfants. Un jour, la femme dit à son mari :
- Marcel, dis-moi donc, j'ai deux mois de retard !
- Deux mois de retard ? Tu es bien sûre ?
- Oui, puisque j'te l'dis !
- Faut pas qu't'en parles ! T'as entendu ?!
-Pas d'problème ! J'en parlerai à personne, j'te promets.
Puis l'homme part travailler aux champs.
Un peu plus tard dans la matinée, un employé du gaz et de l'électricité sonne
à la porte. La femme lui ouvre :
- Bonjour madame, c'est l'employé du gaz et de l'électricité. Je viens pour
relever les compteurs.
- C'est par ici.
Après avoir regardé ses papiers, l'homme déclare :
- Mais dites-moi donc, vous avez deux mois de retard !
La femme très troublée lui répond :
- Mais comment qu'vous l'savez ? C'est mon mari qui vous l'a dit ?
- C'est inscrit sur mon papier. Faudra dire à votre mari qu'il passe nous voir
au bureau à la ville le plut tôt possible.
- OK, l'ui dirai, répond-elle très inquiète.
Le soir, quand le mari rentre, la femme lui raconte la visite de l'employé du
gaz, et son mari lui assure qu'il n'en a parlé à personne. Le lendemain matin,
il prend la route de la ville et se rend au bureau du gaz et de l'électricité.
- Bonjour madame. J'viens ici car y paraît que j'ai deux mois de retard !
- Quel est votre nom ?
- L'homme lui donne son nom. La secrétaire lui répond :
- Ah oui, effectivmeent, vous avez deux mois de retard.
- Mais comment qu'vous l'savez ?
- C'est l'ordinateur qui le confirme !
- Mais qu'est-ce que je dois faire ?
- Il faut l'acquitter, répond la jeune femme impassible.
- Mais j'peux pas la quitter, c'est pas possible !
- Si vous ne l'acquittez pas, on vous la coupe !
- Mais c'est pas possible, répond l'homme, vous pouvez pas m'la couper !
- Si, si, répond la jeune femme. Cà arrive souvent, vous savez !
- Mais, si vous m'la coupez, comment que j'vais faire ?
- Avec une bougie, comme les autres !

Cette histoire se passe à l'époque Reagan-Gorbi. Gorbi est chez Reaga, dans
sa somptueuse demeure, avec des tapis épais de trente centimètres, des
poignées en or sur chacune des deux cent portes, des robinets en or sur des
baignores en nacre dans les quatorze salles de bain etc...
Alors Gorbi lui demande :
- Mais comment  tu as réussi à avoir tout çà ?
- Eh bien, tu vois le pont là-bas ?
- Oui ...
- Eh bien, j'ai fait voter un crédit de deux cent millions, alors qu'il n'en coutait
que cent...
Quelque mois plus tard, c'est Reagan qui est à Moscou, dans la splendide 
demeure de Gorbi. Il marche sur des tapis épais de soixante centimètres, les
poignées des quatre cent portes sont en or, les robinets de vingt-huit salles de
bain sont en or et les baignores en nacre ... Bref, tout est doublement luxueux.
Alors Reagan lui demande :
- Mais comment as-tu fait pour avoir le double de ce que j'ai ?
Et Gorbi de répondre :
- Tu vois le pont, là-bas ?
- Le pont ? Quel pont ?

Quelle est la différence entre le Parti Communiste d'il y a vingt ans et celui 
d'aujourd'hui ?
- Avant c'est Super Marchais, maintenant c'est Super Hue !

Un jour, le PDG des restaurants Flunch va visiter Rome et rencontre le pape.
Il luit dit :
- Votre Sainteté, j'ai une proposition à vous faire. Si vous changez dans le
"Notre Père" la phrase "Donnez-nous notre pain quotidien" par "Donnez-nous
notre Flunch quotidien", je ferai don d'un million de dollars à l'Eglise.
Le pape :
- C'est impossible mon fils. C'est une prière sacrée ! Nous ne pourrons rien y
changer.
Le PDG insiste :
- Je vous offre deux millions de dollars !
- Non, non, mon fils. C'est impossible.
Le PDG :
- Quatre millions de dollars !
- Impossible !
Et ainsi de suite jusqu'à dix millions de dollars !
Le lendemain, au conclave, le pape annonce à ses évêques :
- J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer... La bonne, c'est
que l'on vient d'offrir dix millions de dollars à l'Eglise. La mauvaise, c'est que
l'on vient de perdre notre contrat avec Banette !

C'est un homme qui regarde un match de foot du PSG à la télé dans un bar.
Son chien est assis à ses côtés et regarde aussi le match. Le PSG marque un
but, et le chien se met à japper et à courir dans tout le bar en sautant sur les
tables !
Un client demande à l'homme :
- Qu'est-ce qui lui arrive, à votre chien ?
- Il est supporter du PSG, il est contet.
- Ben dites donc, juste pour un but ! Et qu'est-ce qu'il fait quand le PSG gagne
un match ?
- Je sais pas, je l'ai que depuis deux ans...

Comment dit-on : "Rentrez chez vous" en brésilien ?
- Troasero

Un type entre dans une pharmacie réputée. Il demande :
" Je voudrais une capote s'il vous plaît."
La pharmacienne, offusquée, lui répond :
" Moins fort monsieur. Nous somme dans une pharmacie réputée ! Nous
avons des codes pour ce type d'accessoire. Si vous voulez un préservatif,
vous n'avez qu'à me demander un ticket de métro. "
Alors en même temps qu'il demande un ticket de métro, une soeur arrive
derriere lui. Après que le type a payé son dû, la soeur achète quelques
petit bonbons et autre trucs dans le genre. Ensuite elle retourne au
couvent, mais arrivée à la station de métro, il y a une file d'attente
énorme !
Alors elle se dit :
" Pourquoi attendre ici pour acheter un ticket alors qu' ils en vendent à la
pharmacie ! "
Arrivée à la pharmacie, elle demande à la caissière un ticket de
métro.
La caissière lui dit :
" Ma soeur, je ne peux pas vous remettre cela ! Pas à vous, une dame de
dieu !"
Alors la soeur de lui répondre :
" Par la grâce de dieu, donnez moi en un et vite, vous verriez la queue qui
m'attends là bas !!! "

Trois moines sont au silence perpétuel sauf le dimanche, pendant une minute.
Un dimanche, un premier moine ne peut s'empêcher de dire :
"Hummm... comme j'aime les salsifis !"
Le dimanche suivant, le deuxième moine lui répond :
"Eh bien moi, je déteste les salsifis !"
Le dimanche d'après, le troisième moine s'énerve :
"Vous n'avez pas fini de me casser les pieds avec vos salsifis !"

Un homme qui passe l'après-midi chez sa maîtresse entend un bruit de clé dans la
serrure. Il ramasse ses vêtements à tout allure et court se cacher dans la penderie.
Il entend alors une petite voix derrière lui :
- Il fait rudement noir là-dedans !
- Qui êtes-vous ?
- Je m'appelle Jacquot, je suis le fils de la maison. Vous voulez bien m'acheter ma
collection de billes ? C'est cinq cent francs !
- Cinq cent francs ? J'espère que tu plaisantes !
- Bon, eb ben, je vais tout dire à papa !
- Espèce de voyou ! Tiens, voilà tes cinq cent francs !
Deux jours plus tard se reproduit le même scénario et dans la penderie, l'homme
entend la même petite voix derrière lui.
- Il fait rudement noir là-dedans !
- Encore toi !
- Dites ... vous voulez bien m'acheter mon jeu de 7 familles ? Il coûte mille francs !
- Petit escroc ! Tu crois pas que je vais te donner mille francs pour un jeu de cartes!
- OK ! Je vais tout dire à Papa !
- D'accord ! Voilà tes mille francs !
Le soir, tout fier, Jacquot annonce à son père :
- Je vais pouvoir me payer mon vélo ! Regarde !
Et il exhibe les billets. Son père se lève :
- Ecoute Jacquot, je ne veux pas savoir où tu t'es procuré cet argent, mais c'est
sûrement une de tes combines malhonnêtes... Demain, tu iras te confesser !
Jacquot se rend donc le lendemain à l'église. En s'agenouillant dans le confessionnal,
il murmure :
- Il fait rudement noir là-dedans !
A ce moment-là, la paroi intérieure s'ouvre et le curé s'écrie :
- Ah non, tu ne vas me relance jusqu'ici !
 


 
 

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Last update : 30-09-1999
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