N'avoue jamais, jamais, jamais, jamais, jamais N'avoue jamais que tu aimes N'avoue jamais, jamais, jamais, oh non, jamais N'avoue jamais que tu l'aimes Si tu veux qu'on te donne Tout ce que tu attends Si tu veux que l'automne Ait le goût du printemps Soit celui qui déroute Et souviens-toi toujours Qu'il faut semer le doute Pour récolter l'amour Si tu tiens à défendre Ton bonheur d'amoureux Si tu tiens à entendre Les plus tendres aveux Soit celui que l'on aime Pour ce qu'il ne dit pas Qui commence un poème Mais ne le finit pas |