PARTIE II : Introduction aux systèmes d'exploitation Retour

 

II.1. Définition d'un système d'exploitation

II.2. But d'un système d'exploitation

II.3. Notion de compatibilité

II.4. Exemples de systèmes d'exploitation

II.5. MS-DOS

II.6. UNIX   

II.7. LINUX

Comment monter un lecteur de CD-ROM sous Linux ?

Qu’est-ce que Vi et comment l’utiliser ?

   

 

II.1. Définition d'un système d'exploitation

 

         Un système d’exploitation est le logiciel maître dans un micro-ordinateur, car il est indispensable à son fonctionnement. Sans un système d’exploitation, le micro-ordinateur et les organes d’entrée-sortie seraient des assemblages de composants électroniques et autres sans aucune valeur.

 

         Les systèmes d’exploitation sont des programmes qui gèrent et surveillent automatiquement le déroulement des diverses tâches que peut exécuter un micro-ordinateur. Les systèmes d’exploitation rendent plus facile l’utilisation de la machine. Ils se chargent des tâches ordinaires que tous les programmes/logiciels ont besoin de faire. Il existe des systèmes d’exploitation multi-tâches, c’est-à-dire qu’ils permettent de partager le temps processeur pour plusieurs applications. Ces applications sont exécutées selon le degré de priorité qui leur est associé.

 

         Les micro-ordinateurs peuvent fonctionner avec plusieurs systèmes d’exploitation à condition de partager leur disque dur en plusieurs unités logiques. Sur chaque unité logique sera enregistré un système d’exploitation qui fera tourner les applications le concernant. 

 

II.2. But d'un système d'exploitation

 

         Le but d'un système d'exploitation est de faciliter aux utilisateurs les tâches suivantes :

-         le déroulement des programmes ;

-         la création et la gestion des fichiers ;

-         l'utilisation des unités connectées à l'ordinateur telles qu'imprimantes, lecteurs de disquettes ;

-         l’utilisation et la gestion en mode réseau, etc.

              II.3. Notion de compatibilité

            Autrefois, compatible signifiait compatible avec l'IBM PC. L'adjectif "compatible" était relatif aux micro-ordinateurs capables de faire fonctionner les mêmes logiciels et les mêmes périphériques que ceux signés IBM. Actuellement, pratiquement tous les micro-ordinateurs, sauf les Macintosh, sont compatibles. Compatible est donc utilisé pour distinguer un Macintosh d'un PC (Macintosh qui est une gamme d'ordinateurs de la firme Apple). Dès lors, on parlera indifféremment d'un compatible ou d'un PC. Les PC et les Macintosh utilisent un système d'exploitation différent. Chaque système d'exploitation dépend de la structure du micro-ordinateur et de son mode de fonctionnement.

 

II.4. Exemples de systèmes d'exploitation

 

         Le Système d'exploitation le plus connu du grand public étant le Windows 95 & le Windows 98 (la toute dernière version remplaçant le Windows 98 est le Windows millenium Edition ou Windows me), il existe d'autres systèmes d'exploitation disponibles pour les micro-ordinateurs PC.

 

            On peut citer le MS-DOS 6.22 et antérieurs, UNIX, LINUX, SOLARIS, OS/2 (Système d’exploitation 32 bits développé par IBM et Microsoft pour remplacer MS-DOS), le Windows NT 4.0 et Windows 2000.

 

II.5. MS-DOS

 

         MS-DOS est l'acronyme de MicroSoft Disk Operating Systems.  C'est un système d'exploitation qui permet de faire marcher la plupart des micro-ordinateurs vendus aujourd'hui.

 

         Conçu au début de la décennie 80, MS-DOS ne cesse d'évoluer. Chaque nouvelle version l'enrichit, le rend plus maniable et plus convivial*. Il en est actuellement à sa sixième version et les nouveautés de ses variantes sont, entre autres, la possibilité de doubler la capacité du disque dur par un utilitaire, appelé DoubleSpace dans MS-DOS version 6.2 et Drivespace dans la version 6.22, d'optimiser la mémoire de son ordinateur avec l'utilitaire MemMaker, de défragmenter le disque dur et les disquettes avec Defrag et de les vérifier avec Scandisk. MS-DOS est un système d’exploitation mono-tâche.

   

II.6. UNIX 

 

       Système d’exploitation puissant dont la première version est apparue en 1969. Ce système est Multi-Utilisateurs et multi-tâches dont il existe plusieurs versions notamment AIX pour IBM, SOLARIS pour SUN, etc. Le système d’exploitation UNIX est constitué d’un noyau (le système en lui-même), d’un interpréteur de commande (shell) et de divers utilitaires indispensables (traitement de texte, messagerie, etc.).

 

Voici un tableau qui décrit les principales commandes d’UNIX :

 

Commandes Unix

Rôles et description

Equivalent

MS- DOS

Ls

liste le contenu d'un répertoire

dir

Cd

change de répertoire

cd

Cd ..

répertoire parent

cd

Mkdir

crée un nouveau répertoire

md

Rmdir

supprime un répertoire

deltree

Cp

copie de fichier

copy, xcopy

Mv

déplacement de fichier

move

Rm

supprime le fichier

del

Passwd

change le mot de passe de l'utilisateur

 

Cat

affiche le contenu du fichier

type

More

affiche le contenu du fichier avec des pauses

type |more

man

apropos

aide sur la commande demandée

help

Lpr

imprime le fichier demandé

print

Chmod

change l'attribut d'un fichier

chmod XXX fichier

XXX= Utilisateur|Groupe|Autres ou X représente un entier 1<X<7

Lecture=1, Ecriture=2, Exécution=4

X=Lecture+Ecriture+Exécution

 

Chfn

change les informations personnelles vues avec finger

 

Chsh

change le shell : chsh user emplacement_du_shell

 

Finger

liste des utilisateurs en ligne

 

traceroute

trace le chemin entre la machine locale et la machine visée

 

ftp [machine] [port]

 

get

put

quit

transfert de fichier entre la machine locale et la machine cible

récupère un fichier

envoie un fichier

quitte la session FTP

 

telnet [machine]

effectue un telnet

 

talk

permet de parler à un utilisateur connecté

talk user

 

mesg

autorise ou non la commande talk

mesg n : Empêche la réception de messages talk

mesg y : Permet la réception de messages talk

 

bye

déconnexion

 

 

 

Zone de Texte:  II.7. LINUX   

 

         Système d’exploitation freeware dont l’inventeur est Linus B. Torvald. La première version de Linux remonte à 1991. L’originalité de ce système d’exploitation qui s’inspire du système Unix réside dans sa gratuité (son code source est disponible). Linux est multi plate-forme, multi-utilisateur, multi-tâche et multi-processeur.

 

         Il n’existe pas une seule version de Linux mais ce qu’on appelle des « distributions » dont les plus connues sont RedHat et Mandrake.

 

         Linux est doté d’un système x-window nommé XFree86 qui supporte un grand nombre de cartes graphiques.

 

         Linux n’est pas un système gourmand en ressources matérielles, c’est pourquoi tous les micro-ordinateurs actuels sont capables de le supporter et de le faire tourner correctement.

 

  Etapes à respecter pour l’installation de Linux  

Ø      création des disquettes d'amorçage ;

Ø      amorçage du système à partir de la disquette ;

Ø      création de la partition principale du disque dur ;

Ø      création de la partition swap ;

Ø      création du système de fichiers ;

Ø      installation de Linux ;

Ø      configuration du noyau ;

Ø      réamorçage du système.

  Création de la disquette Boot et Root

·         La disquette Boot est celle qui contient un noyau Linux permettant d'amorcer le système, la disquette Boot, quant à elle, contient le programme d'installation.

Le fichier image à choisir dans chacun des cas dépend de la configuration de votre système, il se nommera :

Ø      scsi, dans le cas d'un lecteur de CD-ROM SCSI

Ø      Mitsumi, dans le cas d'un lecteur de CD-ROM de marque Mitsumi, par exemple.

Il ne vous reste plus pour chacun des deux fichiers images (boot et root) qu'à vous placer dans le répertoire contenant le bon fichier image puis de taper « \rawrite ». Le programme vous demandera alors le nom du fichier image (scsi par exemple pour le fichier image de la disquette boot), puis le lecteur (a:) 

 

Une fois l’opération de création des disquettes terminée, insérez la disquette Boot dans votre lecteur et réinitialisez votre micro-ordinateur. Le message « boot : » apparaîtra, tapez alors sur la touche Entrée. Ensuite, il vous sera demandé de placer la disquette Root.

 Pour installer Linux, il faut au préalable créer une partition d’une taille minimale de 900 Mo afin d’y installer toutes ses options. Pour ce faire, l’utilitaire fdisk de MS-DOS est connu pour la création de partition (il faudra seulement créer avec une partition non DOS).

  Installation de distribution RedHAT la plus répandue :

  La distribution RedHat est actuellement l’une des distributions les plus plébiscitées étant donné que la procédure d'installation est assez simple. Les étapes de son installation sont les suivantes :

·          choix du langage : choisissez le langage dans lequel se fera la procédure d'installation ;

·          choix du clavier : choisissez la langue du clavier (pour un clavier français, choisissez fr-latin1) ;

·          choix du support d'installation : si votre distribution Linux est sur CD, choisissez CD-ROM, sinon (si vous l'avez téléchargé par exemple), choisissez Hard drive ;

·          choix du style d'installation : s’il s'agit d'une mise à jour d'un système précédent ou bien d'une installation à part entière ;

·          type d'installation : le système vous laisse le choix entre station de travail, serveur ou personnalisée ;

·          choix des adaptateurs SCSI : si vous possédez un adaptateur SCSI, vous devez répondre oui à cette question. Le système d'installation va essayer de détecter votre matériel. Si jamais cette recherche automatique est infructueuse, il vous suffira d'entrer une ligne de paramètres lui permettant de savoir de quel type d'adaptateur SCSI il s'agit, ainsi que de connaître son (ses) IRQ et son adresse mémoire ;

·          partitionnement du disque dur : cette distribution vous permet de partitionner votre disque à ce niveau de l'installation (si ce n’est déjà fait) ;

                      ·          choix du disque dur : choisissez le disque dur sur lequel vous allez créer les partitions ;

o   suppression des partitions inutiles : sous fdisk grâce à la touche "d" vous pouvez supprimer les partitions inutiles (faites attention à ne pas supprimer vos partitions Windows !)

o   création des partitions Linux : la touche n et la touche p vous permettront de créer les partitions racine et swap ainsi que toutes les autres partitions dont vous pourriez avoir besoin. Le numéro u premier cylindre de la partition, ainsi que sa taille (en Mo) vous seront demandés ;

o   changement du type de partition : grâce à la touche t vous pourrez affecter le type 82 à la partition swap, et le type 83 aux partitions Linux ;

o   sortie de fdisk : en appuyant sur la touche q vous quitterez fdisk en abandonnant les modifications, en appuyant sur la touche w vous sauvegarderez les modifications avant de quitter ;

·          sélection des points de montage : un écran vous propose les différentes partitions que vous pouvez monter, il vous faut sélectionner celles que vous désirez utiliser et les nommer une à une, c'est-à-dire préciser le point de montage. La racine est obligatoire, elle représente la partition maîtresse et doit être nommée « / ». Chaque partition que l'on désire exploiter sous Linux doit se voir assigner un point de montage (/home par exemple, ou bien /mnt/dos pour votre partition DOS, si vous voulez qu'elle soit montée automatiquement après l'installation ;

·          sélection de la partition swap : le système vous demande naturellement de choisir la partition qu'il utilisera comme mémoire secondaire ;

·          formatage des partitions : formatez toutes les nouvelles partitions en évitant les partitions existantes, par exemple celle qui contient Windows ;

·          choix des paquetages : choisissez les éléments que vous désirez installer ;

·          installation/copie des paquetages : Linux installe un à un tous les éléments sélectionnés dont l’opération peut durer jusqu’à une demi-heure ;

·          configuration réseau : si votre micro-ordinateur est doté d’une carte réseau ;

·          choix de l'horloge : choisissez l’heure GMT qui correspond à votre pays.

·          choix des services de démarrage : choisissez  les services qui seront activés à chaque démarrage ;

·          choix de l'imprimante : configurez l’imprimante en choisissant notamment le port sur lequel elle est branchée ;

·          saisie du mot de passe: un mot de passe vous sera demandé pour le compte du superutilisateur « su » (root) qui possède tous les droits ;

Après toutes ces étapes, votre micro-ordinateur redémarrera et l’invite suivante s’affichera « LILO : ». Tapez alors « Linux » pour booter sur Linux (ou dos pour booter sur Windows, par exemple).

         Ensuite, il ne vous restera qu’à installer l’interface graphique Xfree86 en tapant « xF86Setup » (équivalente à X-window qui est l’interface des stations UNIX). Il vous faudra configurer la souris (PS/2 ou COM), le clavier et surtout bien configurer les paramètres de votre carte graphique. A la fin, à la ligne de commande, tapez « Startx » pour démarrer l’interface graphique.

 La procédure d’installation de Linux Mandrake est à peu près identique, seulement l’installation de l’interface graphique se fait automatiquement à la fin de tous les paramètres vus ci-dessus. Lorsque vous rebooterez votre micro-ordinateur, Linux démarrera automatiquement, il suffira d’introduire une disquette de démarrage de Windows 98 à l’allumage de votre micro-ordinateur pour entrer en mode Windows. Sinon, il faut réinstaller Windows pour qu’il démarre par défaut et utiliser la disquette de boot (de démarrage) de Mandrake, qui peut être créée lors de son installation, pour démarrer Linux.

Notions de hiérarchie des fichiers sur le système d’exploitation Linux :

La notion de fichier sous le système Linux est différente de celle de Windows et MS-DOS. En voici une brève description :

/

(slash) la racine qui contient tous les répertoires principaux

/bin

Répertoire qui contient les commandes exécutables essentielles livrées avec le système, employées par tous les utilisateurs

/boot

Répertoire qui contient les fichiers systèmes de Linux permettant de le faire démarrer.

/dev

Répertoire qui contient les points d'entrée des périphériques.

/etc

Répertoire qui contient les commandes et les fichiers nécessaires à l'administrateur de Linux

/home

Répertoire qui contient les données personnelles des utilisateurs.

/lib

Répertoire qui contient des bibliothèques partagées essentielles à Linux lors de son démarrage.

/mnt

Répertoire qui contient les points de montage des partitions temporaires tels que le lecteur cd-rom ou de disquette, etc.

/opt

Répertoire qui contient des packages d'applications supplémentaires.

/root

Répertoire de l'administrateur root.

/sbin

Répertoire qui contient les systèmes binaires essentiels.

/tmp

Répertoire qui contient les fichiers temporaires.

/usr

Répertoire de hiérarchie secondaire.

/var

Répertoire qui contient des données variables.

 

   

Voici un tableau qui décrit les principales commandes de Linux :

 

Commande

Description

équivalent DOS

ls

liste le contenu d'un répertoire

dir

cd

Permet de changer de répertoire

cd

cd ..

Revient au répertoire parent

cd

mkdir

crée un nouveau répertoire

md

rmdir

supprime un répertoire

deltree

cp

copie de fichier

copy, xcopy

mv

déplacement de fichier

move

rm

supprime le fichier

del

passwd

Change le mot de passe de l'utilisateur

 

cat

Affiche le contenu du fichier

type

more

Affiche le contenu du fichier avec des pauses

type |more

man

apropos

aide sur la commande demandée

help

lpr

imprime le fichier demandé

print

chmod

change l'attribut d'un fichier

chmod XXX fichier

XXX= Utilisateur|Groupe|Autres ou X représente un entier 1<X<7

Lecture=1, Ecriture=2, Execution=4

X=Lecture+Ecriture+Execution

 

chfn

change les informations personnelles vues avec finger

 

chsh

change le shell : chsh user emplacement_du_shell

 

finger

liste des utilisateurs en ligne

 

traceroute

trace le chemin entre la machine locale et la machine visée

 

ftp [machine] [port]

get

put

quit

transfert de fichier entre la machine locale et la machine cible

récupère un fichier

envoie un fichier

quitte la session FTP

 

telnet [machine]

effectue un telnet

 

talk

permet de parler à un utilisateur connecté

talk user

 

mesg

autorise ou non la commande talk

mesg n : Empêche la réception de messages talk

mesg y : Permet la réception de messages talk

 

bye

déconnexion

 

  Comment monter un lecteur de CD-ROM sous Linux :

Pour monter un lecteur de CD-ROM, il suffit de se logger en administrateur système et de taper dans /mnt/cdrom la commande suivante :

         Mount –t iso9660 /dev/cdrom/mnt/cdrom

Qu’est-ce que Vi et comment l’utiliser ?

Vi est l’un des éditeurs de texte les plus populaires sous Linux et UNIX. Vi est un éditeur entièrement en mode texte. Cet éditeur, bien que peu pratique à première vue, est très puissant et peut être très utile en cas de non-fonctionnement de l'interface graphique.

La syntaxe pour lancer Vi est la suivante :  vi [nom_du_fichier]

   L’éditeur de texte Vi possède trois modes de fonctionnement :

v  Mode normal : celui dans lequel vous êtes à l'ouverture du fichier. Il permet de taper des commandes.

v  Mode insertion : ce mode permet d'insérer les caractères que vous saisissez à l'intérieur du document. Pour passer en mode insertion, il suffit d'appuyer sur la touche Insert de votre clavier, ou à défaut sur la touche i.

v  Mode de remplacement : ce mode permet de remplacer le texte existant par le texte que vous saisissez. Il vous suffit de réappuyer sur insert (ou i) pour passer du mode insertion au mode remplacement, et d'appuyer sur la touche Echap pour revenir en mode normal.

Voici un tableau qui décrit les commandes de base de Vi :  

Commande

Description

:q

Quitte l'éditeur (sans sauvegarder)

:q!

Force l'éditeur à quitter sans sauvegarder (même si des modifications ont été apportées au document)

:wq

Sauvegarde le document et quitte l'éditeur

:filenom

Sauvegarde le document sous le nom spécifié

  Et voici un tableau qui décrit les commandes d’édition :

Commande

Description

x

Efface le caractère actuellement sous le curseur

dd

Efface la ligne actuellement sous le curseur

dxd

Efface x lignes à partir de celle actuellement sous le curseur

nx

Efface n caractères à partir de ceux actuellement sous le curseur

x>>

Indente x lignes vers la droite à partir de celle actuellement sous le curseur

x<<

Indente x lignes vers la gauche à partir de celle actuellement sous le curseur

 

 Les mini HowTo (en français « comment faire ? ») sont de la documentation écrite sur des éléments concernant l’environnement Linux. Par exemple, 3Dfx-HOWTO décrit l’utilisation des cartes accélératrices 3Dfx sous Linux et CD-Writing-HOWTO décrit l’utilisation de graveurs de CD sous Linux.

 

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