CONCLUSION

 

* En vue de la rapidité de l’accès d’information de n’importe quelle sorte, l’Internet est vraiment le premier médium interactif mondial. Ce n’est donc pas surprenant que les gouvernements s’inquiètent à propos du content de l’Internet et les risques qu’il peut poser. Aujourd’hui les gouvernements cherche à définir des lois applicables à l’Internet. Cependant, à cause de la complexité de la régulation d’Internet, qui est un media en perpétuelle évolution et dont les enjeux sont donc incertains, il va sans dire qu’il est très difficile de définir et établir des lois, puis ensuite les exécuter. Certains disent que seulement une solution internationale de la régulation de l’Internet pourrait marcher. Une loi internationale implique donc une harmonisation des lois de tous les pays branchés à l’Internet, ce qui n’est pas possible à l’heure actuelle. C’est une proposition peu sérieuse car chaque pays tient a sa propre code moral et légal. Les pays considéreront une loi qui ne reflet pas leur position inacceptable et comme une infraction de leur souveraineté.

Pour l’unique raison que l’Internet est une forme de media sans frontière et constamment changeant, nous pensons qu’il faut implementer les lois, une fois définit, par un système de couches. Par cela nous envisageons une hiérarchie de lois et de système d’application. Au premier plan, des lois internationales général auxquelles tout les pays peuvent se mettre d’accord sur, par exemple, le commerce international, des questions de défense, et la pornographie d’enfant. Ensuite, selon le pays, la loi nationale serait mis en application par des logiciels de filtrage. Apres, si nécessaire, des lois établies par les régions pourraient être appliquées de la même manière. Cette idée pourrait même s’entendre sur l’échelle locale si une communauté établissait une loi diffère que sa voisine. Finalement, c’est l’individu qui déciderait s’il veut régulier le contenant qui arrive sur son logiciel par le moyen filtrage. C’est ainsi qu’on gardera le plus de flexibilité et liberté de l’Internet, tout en gardant un élément de régulation qui varierait selon différentes échelles.

 

* Certes, dans des pays démocratiques, cela sera difficile d’imposer des régulations et des barrières sans s’attaquer aux droits civils d’homme. Pour lutter contre cette menace il faudrait introduire des organismes qui veille sur la liberté de l’Internet. Ces organismes auraient comme but de veiller sur la liberté d’expression et de la presse, ainsi que sur la liberté du choix. Il faudrait également monter une campagne d’éducation et de responsabilité civile. Il faut trouver un moyen d’encourager les diffèrent ethnies à se brancher sur l’Internet afin d’enrichir la diversité culturelle. C’est vrai que l’Internet peut être un moyen de démocratisation pour des individus, des associations et des organisations minoritaires et opprimées. Mais, pour que l’Internet soit un outil de démocratie efficace il faut les éduquer pour qu’ils puissent lire et interpréter toute l’information possible, ainsi qu’y contribué. Le défi d’établir des régulations sur l’Internet est grand et complexe, néanmoins, l’Internet ne peut pas devenir le Far West de l’avenir. Les toutes premières années de l’Internet nous a appris que c’est un partage des missions d’encadrement entre acteurs publics et privés qui garantira une protection efficace et légitimité.

 

 

 

 

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