y a quelques temps tous les sites français publié l' edito du cmf
les petites histoires "mini"
Il a fumé quoi Laurent ?
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| Votre passion mérite mieux ! |
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 J’ai acheté le dernier British Cars, le journal trimestriel qui est en kiosque quand il a le temps, et encore, pas partout. Un édito sur la disparition de John Cooper, nous annonce qu’il n’y a pas beaucoup de Mini dans ce numéro. Et ils font bien de le préciser, car en effet, 4 pages sont consacrées à une Mini peinte de toutes les couleurs à la bombe, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur ! Si certes ce véhicule à la gloire d’une petite fille me ferait sourire sur une concentration de Mini (tototte à la place du badge de calandre, et tétine en lieu et place de pommeau de levier de vitesse), ne parler que de ce seul véhicule dans « Le coin des Mini » provoque chez moi une réelle et amère déception, voire même de l’agacement comparativement aux 35 FF dépensés. |
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La Mini, on aime ou on aime pas... |
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| C'est vrai pour ceux qui en ont, mais aussi pour ceux qui roulent autour de nous. Au sourire plein de sympathie et parfois même de compassion des automobilistes (souvent féminines, Bonsoir jolie Madame) se substitue parfois un comportement routier muflesque et typiquement macho de gros durs en grosse cylindrée qui ne digèrent pas de se faire étouffer au démarrage d'un feu rouge (qui vient de passer au vert) par l'une des ces adorables petites sorcelleries sur roues. Cela peut atteindre des sommets de la bêtise routière. J'ai déjà eu maille à partir avec une Mercédès deux cent quèquechose et un Drocanion. |
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| L'une pour une queue de poisson et l'autre pour un con de poisseux. Ne cherchez pas, c'est du pareil au même. On a l'impression que ces deux représentants à poils laineux l'oeil hirsute et la chevelure glauque, à moins que ça ne soit l'inverse (en tout état de cause ils se reconnaîtront), à défaut de se prouver aux autres, se délestent avec un rire gras et chevalin de leur manque de civisme sur un combat gagné d'avance. Non mais j'vous jure, un camion qui s'amuse à faire la course, sur un boulevard, à l'heure de grande affluence, rien que pour se venger d'un moustique qui a une meilleure accélération, une seule solution, la camisole. Pour la Mercédès, il ne m'avait pas vu. Un peu léger comme défense. Je maintiens que tout ceci est arrivé parce j'avais une Mini. Ca énerve les gens, c'est vrai quoi, c'est de la provoc: on se gare n'importe où, on se faufile partout, on attire la sympathie, on nous pardonne quand on n'a pas de ticket de parking parce que le tableau de bord est inexistant pour le poser (et de toute façon, on devrait payer demi-tarif), y'a pas à dire, les gens sont jaloux. | |
| Frédéric,
(l'auteur des
Screen Savers), son
site : Ambiance
Sixties
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12 e EDITO La Mini, une voiture pour tous, vraiment pour tous. |
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11e EDITO La Mini remboursée par la sécurité sociale ?
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Je tourne la clef, et le doux bruit de mon moteur envahit le sous-sol du garage, ouf ! Durant tout le trajet (20 à 30 minutes de bouchons), je peux penser à ma journée avec bonheur. La musique dans les oreilles, j’observe d' autres conducteurs qui ont l'air bien tristes au volant de leurs voitures, et je guette toujours une éventuelle copine avec qui je pourrais partager la route. Je n’ai jamais trouvé les embouteillages aussi amusant que depuis que je conduis en Mini ! Le point positif est que je ne suis ni stressée, ni pressée, mais plutôt contente d’aller bosser, avec parfois des petites poussées d’adrénaline quand je suis pas très bien réveillée. Arrivée sur Paris, l’aventure pour trouver une place commence. Après quelques péripéties et des demi-tours sauvages dans la rue, je trouve toujours un petit trou de souris dans lequel me glisser. Je suis passée pro dans l'exercice du créneau, qui me permet de me muscler les deux bras en même temps. La journée se passe dans les cris et la chaleur tropicale ponctués par des coups d'œil par la fenêtre afin de m'assurer que ma Mini va bien, (et là on se pose des questions sur la nature de mon travail ?). Lorsque la fin de la journée approche, l’envie de rentrer à la maison devient de plus en plus forte, mais pas autant que celle de prendre la volant. C’est là que j’ai remarqué mes deux façons de conduire : raisonnable et moins raisonnable. La plupart du temps je conduis cool, la route défile sous mes roues tranquillement, paisiblement. J’accepte de me faire doubler par d’autres voitures, et par la même occasion (vu que je traîne), de me faire draguer par des conducteurs intrigués ! Puis tout d'un coup, ne supportant plus les lambins, je me met à doubler à tout va. Lorsque j’arrive chez moi, je suis alors sereine, et je peux offrir une bonne soirée à mon futur mari… Alors, la Mini qui nous permet de nous décontracter d’une journée stressante, et nous apporte l’envie d’aller travailler le lendemain, ne serait-elle pas digne d’un financement par l’état ? Aude |
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10e Édito Êtes vous allés à Rétromobile ?
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Ce grand
rendez-vous des "amateurs" d'automobiles anciennes est devenu
incontournables par sa grandissante couverture médiatiques. Mais ne
serait ce pas plutôt le rendez vous d'un cercle de "happy few"
venant célébrer une certaine conception de l'automobile ancienne ? Entre
les vendeurs, les restaurateurs (qu'ils fassent dans la restauration
automobiles ou dans le jarret de porc) et les marchands du temple, il n'y
a pas beaucoup d'amateurs. Les allées sont pleines de vendeurs de
miniatures de marchand de volants, casques, et autres babioles. Tout ce
que le marché compte de commissaires priseurs, de maisons prestigieuses,
d'artisans réputés et de Maîtres Carrossiers se retrouvent sur Leur
Salon pour célébrer le Rétro Business. |
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Déçu je le suis, à la fois par l'attitude condescendante d'une grande partie des exposants, voir un franc mépris pour les novices, et par le fossé grandissant entre la majorité des simples collectionneurs et cette vitrine médiatique qui ne reflète absolument pas le monde de l'automobile de collection. Comme bien des salons, la réalité est tout autre, que se soit en bien ou en pire. Et la Mini dans tout ça, me direz vous ? Point de Mini, rien, nada, nothing ! Et plus généralement la sous représentativité de l'automobile Anglaise était criante. Alors consolons nous en parcourant nos rubriques favorites sur l'histoire de la Mini, et disons nous qu'a DREUX, on a vu tout plein de Minis, des vieilles, des récentes, des originales, des rares, des bizarres et même des dérivés. Olivier Augier dit Greystock. |
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9e Édito Un édito ? Ou lala! |
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Quand Alexandre m'a demandé un petit édito, ça m'a franchement surpris, je ne pensait pas être autant apprécié pour mes incursions sur le forum. Je crois qu'on est quand même plusieurs à s'entraider grâce à ce superbe outil, avec plus ou moins de réussite au bout du compte. V'là un truc qu'il est utile ! Combien d'entre nous ont été sauvés grâce aux conseils de Loïc, Greg, Seb,.... et tout les autres. Chacun pouvant aider sont prochain (Faut que j'arrête, j'commence à parler comme un curé...). |
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8e Édito Moi, je les aimes toutes Les anglaises, les allemandes, les italiennes, et même les japonaises pourtant souvent dénigrées. C'est vrai que les japonaises, pour la majorité d'entre elles, ont un physique ingrat, mais, quand elles commencent à développer des formes sensuelles, qui s'associent à leur caractère doux et discret, elles en deviennent hautement désirable. |
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| Les
italiennes n'ont pas ces problèmes. La beauté latine, ostentatoire,
parfois exubérante est toujours associée à un tempérament très affirmé
(caractère de cochon diront certains, caractère de feux pour d'autres),
ce qui nécessite néanmoins une attention de tous les instants. Il faut
quand même être vigilant à ne pas trop s'éloigner de contrées
ensoleillées, au risque de les voir inexorablement se faner. La rigueur
allemande contraste avec ce tempérament, sous des atours moins fins, bien
que loin d'être disgracieux, elles possèdent du coffre, et tout le monde
sait que ce sont des voyageuses infatigables qui parcourent le monde
entier par tous les temps.
Mais il n'en reste pas moins que les petites anglaises restent mes préférés !. |
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Je les aimes
dans leurs contradictions, frêles mais résolues, elles sont nées sous
la pluie mais s'enrhument si facilement. Et même si elles n'ont pas l'élégance
des grandes dames de la noblesse britannique raffinées à l'extrême, qui
ne sont pas de notre monde, elles dégagent un flegme et une ténacité
face à l'adversité qui force le respect. |
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| Si
vous avez, ou avez eu, des problèmes avec des garagistes pas très
scrupuleux dans leurs intentions, n’hésitez pas à me contacter :
X-Aude (super hérote), et X-titine (sa super voiture supersonique),
le postier sera faire suivre le courrier… Aude
la vengeresse
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5e Édito Février 2001 |
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