Automne (colchiques dans les prés)
Paroles : F. Cockenpot
Musique : Francis Cabrel
Colchiques dans les prés, fleurissent, fleurissrent
Colchiques dans les prés, c'est la fin de l'été
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone tombant tourbillonnant
Nuage dans le ciel, s'étire, s'étire
Nuage dans le ciel, s'étire comme une aile
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone tombant tourbillonnant
Châtaignes dans les bois, se fendent, se fendent
Châtaignes dans les bois, se fendent sous nos pas
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone tombant tourbillonnant
Et ce chant dans mon coeur, murmure, murmure
Et ce chant dans mon coeur, murmure le bonheur
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone tombant tourbillonnant
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone tombant tourbillonnant
Souviens-toi de nous
Paroles et musique : Francis Cabrel
Quelques fois au fond de ma mémoire
Il m'arrive de te revoir juste à mes côtés
Derrière nous dix-huit ans à peine
Et devant les immenses plaines de l'éternité
On avait l'eau des cascades et des lits d'herbe mouillés
J'ecrivais des ballades pour te réchauffer
Souviens-toi de nous, toi qui t'es envolée...
Souviens-toi de nous, dans ton palais doré...
Dis-moi s'il se passe autant de choses
Dans ton palais de marbre rose et ta plage privée
Est-ce que tu entends le chant des cascades
Autour de tes miroirs de jade pour tout faire macler
Rappelle-toi les orages quand nos cheveux s'enmêlaient
Sous les grands arbres sauvages où l'on s'abritait
Souviens-toi de nous, toi qui t'es envolée...
Souviens-toi de nous, dans ton palais doré...
Mais quelques fois au fond de ta Rolls noire
Il m'arrive de te revoir
Ils sont tous à tes pieds
Je sais qu'ils se battent pour te plaire
Mais tu les apperçois qu'au travers de tes verres fumés, fumés
Souviens-toi de nous, toi qui t'es envolée...
Souviens-toi de nous, dans ton palais doré...
Souviens-toi de nous toi qui t'es envolée...
Souviens-toi de nous, sinon tu vas tomber...