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Un dépressif roule en pleine nuit, en rase campagne. Il pleut et il fait froid. Un pneu crève. Le type est encore plus déprimé ! Il se rappelle avoir vu un garage fermé dans le village précédent et décide d'y aller à pied. Sur le chemin, tout en marchant, il se fait des idées sur le prix que le garagiste va lui demander à cette heure de la nuit. Ca va coûter du pognon pour emporter le cric, des garanties, un tarif spécial de dépannage... Il se monte tant et si bien la tête qu'il arrive au garage, frappe jusqu'à ce qu'une lumière s'allume et qu'un type tout endormi ouvre et demande: - Qu'est-ce que vous voulez, à cette heure? Et le type répond: - Eh bien votre cric, vous pouvez vous le mettre où je pense ! ------------------------------------------------------------------------ Un type va voir le psychiatre : - Docteur, j'ai un problème. Ma femme se prend pour moi ! Le médecin lui dit : - Bon, alors envoyez-la-moi. Le type répond : - Mais, docteur, je suis là ! ------------------------------------------------------------------------ C'est un gars qui fait une oraison funèbre lors de l'enterrement d'une personne bien connue : Il dit entre autres choses " Et sa disparition laissera un vide douloureux " Le lendemain, un autre gars qui était présent demande à l'orateur : - Comment un vide peut-il être douloureux ? Et l'orateur répond : - Vous n'avez jamais eu mal à la tête ?... ------------------------------------------------------------------------ Lorsque le vieux Monsieur Bronzki est mort, Madame Bronzki alla voir le croque-mort pour lui dire : - Monsieur Bronzki, mon mari, portait une moumoute. Personne d'autre que lui et moi n'était au courant. Il faudra vous assurer que, lors de la présentation du corps, personne ne puisse se douter qu'il était chauve. Si j'insiste sur ce fait, c'est parce que chez nous en Moldavie, les proches du défunt ont l'habitude de lui serrer les mains et de lui caresser les cheveux en guise d'adieu. Alors le directeur des pompes funèbres la rassure : - Vous inquiétez pas Madame Bronzki, sa moumoute sera tellement bien fixée qu'elle ne risquera pas de bouger d'un poil. La présentation du mort et la bénédiction ont lieu. Tout se passe très bien malgré les traditionnelles effusions moldaves. Tellement bien que le soir, lorsque tout est terminé, Madame Bronzki dit au croque-mort : - Vous avez fait un formidable travail. Merci encore pour avoir permit de garder le secret de la moumoute de mon mari. Pour cela, je vous donnerai un supplément de 200 Euros aux frais d'obsèques ! Le croque-mort lui répond : - Oh Madame Bronzki, je ne peux pas accepter. Vous savez, ça n'était jamais que quelques clous... ------------------------------------------------------------------------ Un jeune des cités déjà jugé irrécupérable par la police est finalement expédié par ses parents chez un grand oncle, agriculteur... Le premier jour, le grand oncle lui montre les trucs basiques comme la basse-cour avec les poulets et les canards, mais aussi les vaches, la truie, etc... Mais dès le deuxième jour, il apparaît évident que le neveu des villes se languit de sa cité. L'oncle n'étant pas né de la dernière pluie, il trouve très vite le moyen d'intéresser le jeune citadin : - Dis donc fiston, qu'est-ce que tu dirais de prendre un fusil, d'emmener les chiens et d'aller tirer quelques cartouches ? Le gamin enthousiaste et armé s'en va alors sur le chemin avec les chiens sur ses traces. Quelques heures plus tard, il est de retour. Son grand tonton l'interroge : - Alors, ça t'a plu? - Ouais, super! Il te reste d'autres chiens ? ------------------------------------------------------------------------ Un gars est allé voir un match de foot dans un grand stade. A peine est-il assis qu'il entend une voix derrière lui crier: - Hé ! Norbert Durant ! Il se retourne, essaie de retrouver un visage connu dans la foule, mais ne reconnaît personne. Un quart d'heure plus tard, il entend à nouveau crier: - Hé ! Norbert Durant !! A nouveau, il se retourne, et ne voit rien... Quelques minutes plus tard, il entend pour la troisième fois crier : - Hé ! Norbert Durant !!! Alors il se retourne en direction de la voix, et dit : - Arrêtez hein ! Et puis d'abord, je ne m'appelle pas Norbert Durant ! ------------------------------------------------------------------------ Guy et Denis sont des malades mentaux qui résident dans un hôpital psychiatrique. Un bon jour où ils passaient près de la piscine de l'hôpital, Guy plongea soudainement à l'eau et coula à pic au fond de la piscine. Denis sauta à son tour et alla chercher Guy au fond pour le ramener à la surface et sur le bord de la piscine. Quand le directeur médical de l'hôpital appris l'acte héroïque de Denis, il ordonna immédiatement de laisser Denis sortir de l'hôpital parce qu'il le jugeait être maintenant mentalement stable à cause de cet acte de bravoure. Quand le Directeur alla rencontrer Denis pour lui apprendre la nouvelle, il lui dit : - Denis, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à t'apprendre ! La bonne est que nous te laissons sortir de l'hôpital parce que tu a été capable de d'accomplir un acte de bravoure en sautant à l'eau et en sauvant la vie d'une autre personne. Je crois que tu as retrouvé ton équilibre mental. La mauvaise nouvelle c'est que Guy, le patient que tu as sauvé, s'est pendu avec la ceinture de sa robe de chambre dans sa salle de bain ! Denis de répondre au Directeur : - Il ne s'est pas pendu, c'est moi qui l'ai accroché là pour qu'il sèche... ------------------------------------------------------------------------ C'est un gars qui se réveille à l'hôpital : Il a une gueule pas possible avec un oeil au beurre noir, des griffures partout, les lèvres déchirées... Le docteur lui dit : - Vous avez une fracture du crâne, mais elle n'est pas trop grave. D'autre part, la fracture de votre bras est réparée, et vos divers hématomes mettront une à deux semaines pour disparaître. Alors maintenant, pouvez-vous me dire ce qui vous est arrivé ? Le gars répond : - Je suis vendeur d'aspirateurs et je fais du porte-à-porte. Je sonne à la porte d'une maison, une femme m'ouvre, j'entre et je vide tout un sac de saletés, de cailloux même le contenu d'une litière de chat sur la moquette du salon. Puis, je lui dis que grâce à mon SuperPompeur l'Aspirateur, je vais lui nettoyer ça en deux coups de cuiller à pot. Le gars marque une pause dans son récit, donnant l'impression de réfléchir, puis il ajoute : - La femme me prend alors le SuperPompeur l'Aspirateur des mains et se met à hurler: "C'est malin! Espèce de blaireau!!! Je viens juste d'emménager et l'électricité n'est pas encore branchée!" C'est tout ce dont je me souviens... |