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1. Données-clés
2. Les villes Le passage du monde rural vers le monde urbain a provoqué un véritable traumatisme au sein des groupes familiaux dont les valeurs sociales sont traditionnellement bâties autour de la terre et de la famille.Les premières victimes de cet exode sont les enfants qui vivent, soit avec leur mère dans des conditions précaires, soit dans des familles dadoption qui les exploitent et quils tentent de fuir, soit dans les rues.Ainsi, les lakous (enceintes familiales des campagne) ont été remplacés par les bidonvilles et la pauvreté par la misère.3. Les enfants Sans véritables familles pour les accueillir, les enfants subsistent en petits groupes, selon la loi des cartels. Ils mènent une vie sauvage dans un environnement de violence et de répression, vivent de chapardage, de restes, de petits travaux ou de prostitution, et dorment à même la rue. (Les données clés ont été re-copiées elles sont donc véridique et vérifiable) Pour survivre, des familles démunies vendent leurs enfants pour quelques sous à des familles un peu moins pauvres. En effet, ce ne sont pas les riches Haïtiens qui exploitent ces enfants mais des familles pauvres qui perpétuent cette tradition qui sévit en Haïti depuis de nombreuses années. Le Réseau de l'information (RDI) présente ce soir (le 22 juillet 2003) un reportage réalisé par des journalistes français sur le dur quotidien des enfants esclaves en Haïti. Les Petits Esclaves d'Haïti lève le voile sur une réalité choquante dont sont victimesLes enfants esclaves sont surnommés en créole «reste avec», ... parce qu'ils restent avec leurs maîtres de nombreuses années, jusqu'au jour où ils ne peuvent plus supporter leur situation et s'enfuient. La majorité des «reste avec» qui réussissent à quitter leur enfer finissent toutefois dans la rue. Mais pour Abraham, 18 ans, vivre dans la rue est plus agréable que de supporter les mauvais traitements de ses anciens maîtres. Certains enfants esclaves réussissent à trouver de l'aide auprès des quelques ONG qui oeuvrent dans ce pays miné par la pauvreté. Des Haïtiens travaillent également pour changer les mentalités, mais les familles pauvres sont réticentes à renoncer à cette main-d'oeuvre gratuite. Dans une légende vaudou, l'enfant esclave est un zombie, c'est-à-dire un être passif, muet, sans volonté et sans âme. «Chez nous, on appellerait ça un enfant traumatisé», souligne la journaliste française. NOTE PERSONNELLE: DONC RÉSUMÉ... Haïti est le seul pays au monde à "légaliser" la pédophilie! et les enfants du québec!!!... la rive sud... ils crèvent de faim...prostitués???? cliquez-ici http://www.office-de-la-guadeloupe-montreal-canada.com/election_du_canada_2004.htm |
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Mgr Turcotte...LE... SAVIEZ-VOUS??? NON!!!CLIQUEZ ICI ...POUR SAVOIR QUI A FORMÉ ET OU A ÉTÉ FORMÉ MONSIEUR JEAN BERTRAND ARISITDE
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Cliquez cette phrase la vidéo,Claude Charron s'entretient avec Paul Guilbault le Mari de Mamilou VOS GARANTIES SANS MAGOUILLES (C'est la première fois en 60 ans que j e m' implique personnellemnt mais non pas en politique et surtout comme certain de vouloir changer les valeurs de vie qui sont propre à chaque pays...) Cet argent servira uniquement pour l' achat de nourriture sur place en Haïti par Alain Marion lui même dès que la sécurité sera en place en Haïti. ou bien vos donts seront donnés a une organisation recommandée uniquement par "Mamilou" |
Aussi Alain Marion (création de site web) recommande pour les 18 à 108 ans et plus de la Francophonie de louer directement chez PLUS DE 50 PROPRIÉTAIRES Cliquez en jaune: La France et Europe La Guadeloupe La Martinique Le Canada Le Maroc Cuba Les Échanges entre vous Voir le Spécial en Martinique Le Club 50 et plus du Québec en référence à vos amis cliquez cette phrase E-mail: HEBERGEURWEB@HOTMAIL.COM Radio Canada en
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