Faire la critique du fruit d’un long travail est une chose très difficile.
L’auteur d’un logiciel pour REVO, comme tout créateur, a passé un moment de sa vie à imaginer, à penser, à conceptualiser et à rendre opérationnel une idée, une intuition, voire même une réponse à un problème. Et pour cela, nous leur devons du respect. Et respecter leur travail, c’est aussi le reconnaître à travers la contribution lorsqu’il s’agit d’un shareware.
Toutefois, le critique d’un outil informatique, comme le critique littéraire,
ne peut pas être seulement le représentant de l’auteur. Il
est avant tout, le représentant de l’utilisateur.
Le concepteur du logiciel, une fois qu’il a mis son produit sur la
place publique (en freeware pour certains, en vente (shareware) pour d’autres),
doit être préparé à la critique et à
la discussion de son produit. Nous ne pouvons pas admettre qu’une chose
publique ne puisse être débattue et mon propos s’inscrit dans
cette idée.
Bien sûr, un commentaire succinct ne permet pas de rendre compte
de la « valeur » du travail réalisé, du temps
passé à créer un logiciel. Le critique n’est pas cela.
Il s’agit tout simplement de dire comment, moi, utilisateur lambda,
je considère si ce logiciel me convient, en quoi il me convient
et pourquoi il me convient. Inversement, il s’agit aussi de dire, en quoi
il ne me convient pas et pourquoi il ne me convient pas. Et ainsi de suite.
Certains auteurs ne seront pas d’accord avec les critiques qui suivent
et qui parlent de leur logiciel. Je souhaiterai qu’ils participent aussi
à ce débat. Je considère que la qualité du
travail ne peut pas être une autosatisfaction personnelle où
le concepteur se congratule seul de son côté et pour lui-même.
Il faut aussi que les utilisateurs puissent porter un regard sur leur
production. Peut-être est-ce un vœux pieux, mais c’est dans cet esprit
que je compte écrire les critiques qui suivent et, bien sûr,
la règle définie ici s’applique aussi à mes écrits
déposés en place publique. Je souhaite vivement qu’elles
soient dénoncées, rectifiées et discutées.
La démocratie passe, il me semble, par la libre expression et le respect de tous.
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