Chacun apporte-t-il sa pierre au grand édifice

 

                        Le "grand édifice" pour moi, c’est notre bonne vieille terre, cette planète aujourd’hui fragilisée par l’homme et ses intérêts égoïstes. Les spécialistes, les savants tirent la sonnette d’alarme, et les philosophes essayent d’enseigner responsabilité, citoyenneté : des valeurs au delà de l’intérêt financier !

                        Le respect de l’environnement est nécessaire pour l’air que l’on respire et à l’équilibre de la nature. Encore faut-il l’équilibre des consciences, l’équilibre entre les nations… qui n’ont pas toutes les mêmes scrupules !

                        Etre "philosophe de l’environnement" implique d’être crédible, puissant et écouté… pour être respecté et entendu ! Le "Monde des Lumières" c’est notre spécificité culturelle, historique, à nous les européens. Mais avons-nous toujours la parole ??

                        Comme un verre d’eau est politique, le tri sélectif par exemple est devenu un petit geste citoyen de proximité primordiale et le reflet de préoccupations internationales de survie de notre planète. Or beaucoup négligent encore ce petit geste, comme une contrainte.

Dans notre monde de puissances affrontées, être entendu implique de faire partie de ces puissances.

Pour l’immédiat, faire l’Europe, faire poids entre Etats-Unis et Chine est primordial, au-delà même d’arguments symboliques de "légitimité historique".

                        L’union c’est la force, dans un contexte planétaire, bien au-delà des enjeux internes qui sont un autre sujet.

                        Que de temps perdu déjà !

                        Il y va de notre responsabilité pour les générations à venir et la santé de notre bonne vieille terre.

Jacques