France Sri Lanka Cultural Exchanges - Suriyakantha

  The bilingual site devoted to the cultural life in Sri Lanka and in France                                                        
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Le site bilingue consacré à la vie culturelle au Sri Lanka et en France



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ARCHIVES

  • NOVEMBRE 2005 : Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI)

    Tunis (16-18 novembre 2005)
    "Qui doit diriger internet?"


    Jusqu'à une date récente, il s'agissait d'une question purement académique. Après tout, les Etats-Unis - grâce à l'argent public, et ultérieurement aux entreprises privées - ont été les accoucheurs du net dans les années 60 et ont assumé de fait son contrôle. Mais ce droit divin est maintenent en passe d'être contesté. Début octobre 2005, l'Union Européenne a proposé de nouvelles institutions, pouvant être sous le contrôle des Nations-Unies, afin de remplacer les institutions existantes telles que l'Icann qui contrôle la délivrance des noms de domaine tels que ".com" et les "root servers" qui jount un rôle essentiel dans le fonctionnement de l'infrastructure du réseau. Cela doit être décidé au prochain Sommet Mondial des Nations Unies sur la Société de l'Information à Tunis, où les Etats Unis risquent de se retrouver en très faible minorité face au reste du monde."
    The Guardian, 11 octobre 2005  

  • OCTOBRE 2005 - UNESCO : La Conférence générale adopte la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles

    20-10-2005 7:00 pm La Conférence générale de l’UNESCO, réunie à Paris du 3 au 21 octobre, a approuvé aujourd’hui (par 148 voix contre 2, 4 abstentions) la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, un instrument juridique international qui entrera en vigueur trois mois après sa ratification par 30 Etats.

    SRI LANKA, IRAK, TCHÉTCHÉNIE, ISRAËL...

    Aux origines des attentats-suicides


    Sri Lanka
    August 2004


      Bawa – « Le génie du lieu ».
      Un architecte du Sri Lanka
      Une exposition au musée d’architecture de Frankfurt jusqu’au 17 octobre 2004

      L’architecte sri lankais Geoffrey Bawa est de nos jours considère comme ayant été l’une des plus importants et des plus influents architectes d’Asie au XXe siècle. Son importance fut confirmée en 2001 quand il fut honoré de la célèbre Chairman's Award for lifetime achievement au Triennial Aga Khan Awards for Architecture. Il était seulement le troisième architecte et le premier non-musulman à recevoir cette récompense.

    C’est assez tard que Bawa vint à l’architecture, se qualifiant seulement à l’age de 38 ans, en 1957, mais il devint très vite le plus prolifique et le plus créatif architecte du Sri Lanka, réalisant quantité de bâtiments originaux en zone tropicale. S’il est bien connu pour ses maisons individuelles et ses hôtels, il a également réalisé des écoles et des universités, ainsi que des usines et des bureaux, des bâtiments publics et le nouveau Parlement. L’œuvre de Bawa se caractérise par une grande attention au site et au contexte. Il a produit ce que l’on peut appeler une architecture « durable » bien avant que ce concept ne soit à la mode et a développé sa propre modernité régionale. Il a détruit les barrières entre intérieur et extérieur, entre bâtiment et paysage. L’une de ses réalisations les plus exemplaires a été le jardin de Lunuganga qu’il a peu à peu, durant une cinquantaine d’années, façonné pour lui-même à partir d’une plantation de caoutchouc abandonnée.
    Geoffrey Bawa est mort en 2003. Par cette grande exposition, le German Architecture Museum rend hommage pour la première fois à la totalité de son oeuvre.


    Décembre 2001

    Geoffrey Bawa reçoit la plus prestigieuse récompense internationale en architecture

    L'architecte sri lankais Geoffrey Bawa est le troisième au monde à être honoré de la célèbre Chairman's Award for lifetime achievement au Triennial Aga Khan Awards for Architecture.

    Le "Chairman's Award", l'un des prix les plus importants dans ce programme mondial de récompenses en architecture, représente la consécration des 40 ans de carrière d'un homme qui est considéré comme le sage de l'architecture sri lankaise.

    Le "Chairman's Award" a été créé afin d'honorer les réalisations sortant du champ défini par le mandat du jury international qui, tous les trois ans, sélectionne les neuf bénéficiaires de l'"Aga Khan Award". Il n'a été précédemment décerné que deux fois, en 1980 à l'architecte et urbaniste égyptien Hassan Fathy et, en 1986, à Rifat Chadirji, architecte et éducateur iraquien.

    L'attention internationale est également sollicitée par la publication d'un essai de David Robson sur l'oeuvre de Geoffrey Bawa, accompagné d'un dossier photographique de ses chefs-d'oeuvre réalisé par Hélène Binet et Christian Richters et publié en novembre par Thames and Hudson sur le "2001 Aga Khan Awards".

    Né en 1919, Geoffrey Bawa ne commença sa carrière d'architecte qu'à l'âge de 37 ans. Parmi ses oeuvres les plus connues, on peut citer Lunuganga, le jardin à Bentota qu'il a entretenu au cours des 40 dernières années, le Parlement à Kotte, le Kandalama Hotel, le Blue Water Hotel à Wadduwa, la Ruhunu University, la "Yahapath Endera" Farm School à Hanwella, et le Madurai Club en Inde.

      Publié par Thames & Hudson...

      Geoffrey Bawa, Architect in Sri Lanka, de Brian Brace Taylor, Geoffrey Bawa et Barbara Sansoni, publié par Thames & Hudson.

      Cet ouvrage intéressera particulièrement ceux qui construisent dans les régions tropicales. Geoffrey Bawa développe ses superbes architectures modernes et ses jardins en s'appuyant sur les incroyables ressources locales pour en faire des modèles classiques : ce sont de solides et logiques réalisations pour les tropiques au-delà des particularités architecturales régionales.

     

    Le premier Musée du Thé au monde inauguré dans
    la "Cité des montagnes"

    Le premier Musée du Thé au monde a été récemment ouvert à Hanthana Estate, Kandy. Le Musée a trouvé place dans un bâtiment de 4 étages et comporte un auditorium, une bibliothèque, ainsi que des bureaux. Il s'agit d'une ancienne usine de thé qui fut en activité pendant 75 ans.

    L'on peut y voir le vieux materiel nécessaire à la préparation du thé tel qu'il existait au début de cette industrie au Sri Lanka, un magasin de thé, et un certain nombre d'équipements utilisés par James Taylor qui fut à l'origine des plantations de thé dans ce pays en 1867.


      The first tea roller

    L'ouverture de ce Musée sert de façon importante et digne d'éloges l'industrie du thé au Sri Lanka. Il était également nécessaire de faire découvrir au visiteurs comment cette industrie a démarré et s'est développée jusqu'à ce jour où elle représente un élément vital dans l'économie nationale. L'industrie du thé fournit un apport de devises essentiel pour le pays.

    Le Musée est ouvert au public à partir du 1er janvier 2002. Tickets d'entrée : 20 Rs pour les adultes et 5 Rs pour les enfants.


    March 2002

    L'UNESCO décerne un Prix au "Tea Factory Hotel"

     

      Le "Tea Factory Hotel" à Kandapola (Nuwara Eliya) a remporté le

      'UNESCO Asia Pacific Heritage Merit Award 2001'

      pour l'impressionnante transformation d'une usine de thé vétuste en un hôtel de luxe, apportant ainsi la preuve qu'un projet ambitieux de réutilisation pouvait être mis en oeuvre avec un talent digne d'éloge.

     

    France

    "La plus belle piscine de France"
    accueille le Musée d'Art et d'Industrie de Roubaix.

      La Piscine - Musée d'Art et d'Industrie,
      23, rue de l'Espérance, 59100 Roubaix.
      tél 00 33 3 20 69 23 60
      lapiscine.musee@mairie-roubaix.fr

      L'ancienne piscine municipale de Roubaix, qui fut construite par l'architecte lillois Albert Baert entre 1925 et 1932, était fermée depuis quinzaine d'années. Elle accueille aujourd'hui - après les travaux d'aménagement réalisés par l'architecte Jean-Paul Philippon - le Musée d'Art et d'Industrie.

      "Ville d'art et d'histoire", Roubaix affirme ainsi son souci de revaloriser et préserver son patrimoine industriel.

     

    L'architecte japonais Tadao Ando choisi pour
    la construction de la Fondation Pinault


    Octobre 2001

    Tadao Ando - l'architecte japonais le plus renommé de sa génération - a été choisi pour mener à bien la construction de la Fondation d'Art Contemporain qui va prendre place sur "l'île Seguin" - partie centrale de l'ancien site des usines automobiles Renault - à Boulogne-Billancourt. Cette décision ouvre la voie à une vaste restructuration des bords de Seine.



    Tadao Ando, l'architecte du silence...

    "Je ne crois pas que l'architecture doive être bavarde."


    "Elle doit rester silencieuse et laisser la nature sous la forme de la lumière et du vent parler."

     

    Les projets résidentiels et institutionnels de Ando Tadao (né en 1941) sont caractérisés par l'utilisation de matériaux naturels et un souci d'intégration des bâtiments à la nature. Ando est connu pour un austère, quasi-monastique style, le plus souvent des constructions de béton superbement travaillé, développant des formes géometriques simples et dépourvu d'ornements.


    Sur une île du Japon, Ando a réalisé en 1993 un Temple Bouddhiste autour d'un bassin d'eau en forme d'ellipse. L'une des ses oeuvres majeures est le Suntory Museum à Osaka, ouvert en 1995, et pourvu d'espaces pour l'art contemporain des maisons et pour des spectacles. En 1995, il remporta la récompense internationale la plus prestigieuse en architecture, le Pritzker Architecture Prize.

    En 1997, Ando fut également le vainqueur de la compétition pour le projet de construction d'un nouveau musée d'art moderne à Fort Worth, Texas (ci-dessus), sa première commande américaine.


     

    Décembre 2001

    Une copie en sanscrit d'un légendaire Sutra bouddhique
    découverte au Tibet

    Une ancienne copie d'un légendaire Sutra bouddhique, rédigée en sanscrit, a été découverte dans la ville de Lhasa au Tibet, nous apprennent des chercheurs de la Taisho University.

    C'est la première fois, à l'époque moderne, que l'original en langue sanscrite de ce texte, appelé ''Yuima-kyo'' en japonais et ''Vimalakirti Sutra'' en sanskrit, est découvert. Jusque là, les bouddhistes se référaient à des traductions en vieux chinois ou tibétain.

    Selon les chercheurs, ces écritures, qui remontent au VIIIe siècle, ont été trouvées en juillet 1999 dans le Potala Palace de Lhasa.

    Ce palais fut bati par le Dalai Lama au XVIIe siècle et enregistré au Patrimoine culturel mondial en 1994. Il comporte plus de mille pièces et accueille un grand nombre de précieuses statues de Bouddha, peintures et écritures.

    Selon ces universitaires, les spécialistes du bouddhisme ont, de part le monde, depuis longtemps cherché ce texte et cette découverte revêt une grande importance à différents niveaux.

    Cela devrait permettre d'éclairer davantage la question de l'implantation d'une des deux grandes branches du bouddhisme en Inde, aux alentours des 1er et 2e siècles, et de sa propagation en Chine et au Japon.

    Le Vimalakirti est l'un des plus célèbres Sutras bouddhiques. Au Japon, le Prince Régent Shotoku Taisi, qui vivait à la fin du VIe ou au début du VIIe siècle, écrivit également un ouvrage sur le Vimalakirti durant l'ère d'Asuka.

     

    Novembre 2001

    Les statues d'Asoka en Orissa confirment
    la théorie sur la propagation du Bouddhisme

    Selon les archéologues, les statues de l'ancien Empereur Asoka découvertes cette année dans l'Etat d'Orissa (Est de l'Inde) apportent une confirmation à la théorie selon laquelle il propagea le Bouddhisme à partir de la terre qu'il avait conquise.

    C'est en juin-juillet dernier que le Département de la Culture de cet Etat mit à jour deux statues d'Asoka à Langudi Hill, dans le district de Jaipur. Mais cette découverte n'est rendue publique que maintenant.

    L'Empereur Asoka fut à la tête de l'Empire Mauryan, situé dans l'actuel Etat du Bihar, au 3e siècle av. J-C. Après avoir envahi le Kalinga - aujourd'hui Orissa - lors d'une campagne militaire particulièrement sanglante, il devint pacifiste et adhéra au Bouddhisme. Il passa le reste de sa vie comme un moine bien qu'il soit toujours au pouvoir.

    Deux de ses représentations ont été découvertes : la première en position assise (hauteur : 33 cm, largeur : 18 cm) ; les dimensions de la seconde statue sont respectivement 46 cm et 36 cm.

    Dans la première, il porte des boucles d'oreille (kundala) mais pas de couronne (mukuta) et il a une distinctive marque vermillon au front (tilak). Elles le montrent vénérant un sanctuaire bouddhiste (stupa).

    En Orissa se trouvent de nombreux sanctuaires bouddhistes dont les plus anciens datent du XVIe siècle. Les sites bouddhistes mis à jour jusqu'à présent sont ceux de Ratnagiri, Udaygiri, Lalitgiri, Kuruma, Brahmavana, Langudi et Ganiapali. Ces sites comportent de grands stupas, des monastères (viharas), des sculptures et autres richesses archéologiques.

    Les historiens sont d'accord pour faire de la conquête du Kalinga par Asoka, en 261 avant notre ère, un tournant dans l'histoire du Bouddhisme. L'ancient Kalinga constituait une importante enclave géographique entre le Nord et le Sud. Pourvu de ports riches et prospères, cet Etat maintenait des liens commerciaux et culturels très étroits avec la Birmanie (Myanmar), Ceylan (Sri Lanka) et d'autres îles de l'Ocean Indien. L'on sait que l'Empereur envoya ses enfants propager le Bouddhisme à Ceylan.

    Si l'on en croit les historiens, Asoka mena égalememt à bien la propagation du Bouddhisme au Kalinga. Mais ce n'est qu'avec les découvertes de ces représentations de l'Empereur à "Langudi Hill" que cette théorie a pu trouver confirmation. Cela donne maintenant quelque force à l'argumentation des historiens selon laquelle Asoka commença à propager le Bouddhisme à partir du Kalinga.

    Référence : Indo-Asian News Service

    Tourisme

    La France demeure la première destination touristique mondiale

    Les 75 millions de visiteurs étrangers ont renforcé leurs rangs de 2,7% en un an, selon une estimation du Secrétariat d'Etat au Tourisme. Leurs arrivées se sont accentuées de manière continue depuis 1995.

    Ils étaient ainsi 73 millions en 1999, 70 millions un an plus tôt, et environ 60 millions en 1995.

    La France s'est placée en 2000 largement devant les Etats-Unis (52,7 millions de visiteurs étrangers, selon l'Organisation mondiale du tourisme) et l'Espagne (48,5 millions).

    2001 La France toujours en tête du tourisme mondial.
    Au total, 73 millions de visiteurs devraient fouler le sol français en 2001. La Côte d'Azur et Paris sont toujours les points de chute favoris des étrangers. La France paraît conforter ainsi son rang de première destination touristique mondiale.


    Sri Lanka

    Sunday Observer, Colombo
    25 février 2001
    Opinion

    Touristes injustement traités dans les sites culturels

    J'ai récemment eu le plaisir de passer des vacances au Sri Lanka avec ma famille. Les paysages grandioses des montagnes du Centre, les vastes plantations de thé, une hospitalité unique et les plages magnifiques du Sri Lanka sont autant d'éléments qui assurent des vacances réussies et reposantes.

    Cependant, il est un problème qui ternit l'image du Sri Lanka et qui, je le crois, peut occasionner une perte de revenus. Je veux parler de la différence en droits d'accès aux sites culturels entre les nationaux et les touristes étrangers. Par exemple, pour visiter Sigiriya et Polonnaruwa, un Sri Lankais paie 10 Rs, un touriste 1230 (USD 15), ce qui représente l'exorbitante différence de 123 fois le droit payé par un national. Je comprends la nécessité de demander aux touristes des droits plus importants (bien que je la trouve inacceptable).

    Si l'on prend le cas de l'orphelinat des Eléphants à Pinnawella, l'accès au site pour un national est de 20 Rs. Un touriste paie 150 Rs. Cette différence (7 fois et demi la somme payée par un national) peut être acceptée, et un droit raisonnable pour les touristes qui visitent Sigiriya et Polonnaruwa peut également être accepté. Ce qui ne peut l'être, c'est l'énorme différence dans les droits requis pour visiter Sigiriya et Polonnaruwa entre nationaux et touristes.

    Je pense que cette importante discrimination est préjudiciable au tourisme dans une perspective à long terme et va provoquer une perte de revenus dans la mesure où les touristes rechignent à payer de tels droits pour avoir le plaisir de visiter ces sites. Notre groupe, 14 personnes comprenant nationaux et touristes, a visité deux sites :

    Sigiriya - Une partie seulement a visité Sigiriya à cause du prix élevé. Il y eut une perte de de revenus dans la mesure où tous les touristes n'ont pas visité le site.

    Polonnaruwa - Personne ne visita le site en signe de protestation contre les droits d'entrée élevés exigés des touristes. Là encore, perte de revenus.

    Je pense que le Ceylon Tourist Board ne devrait pas considérer les touristes comme "des vaches à lait". Ce serait une vue a court terme qui découragerait les visites répétées de touristes. Il ne faut pas oublier que les touristes ne sont pas tous millionnaires...

    Il conviendrait que le Board et le Gouvernement privilégient une vision à long terme et demandent des droits raisonnables afin de pouvoir assurer l'apport de devises... J'espère que cette approche sera la voie choisie par le Board et le Gouvernement.

    Ashley Symons - NSW, Australia

       

    Cette lettre nous donne l'occasion d'ouvrir le débat concernant le sujet qui est ci-dessus clairement évoqué de la disparité entre les catégories de visiteurs des sites culturels : nationaux et étrangers.
    Cette dernière catégorie comprend les touristes mais aussi les étrangers résidant et travaillant au Sri Lanka parfois depuis plusieurs années.
    Ayant été plusieurs fois confrontés à ce problème, nous ne pouvons que souscrire à l'opinion de ce correspondant du Sunday Observer. Qu'en pensez-vous? Merci de nous en faire part.

    Suriyakantha



     

    Archives

  • La France choisit le Sri Lanka comme base pour son commerce avec le marché asiatique. - Novembre 2000 (FR)

  • La Presse française rend hommage à Théodore Monod. - Novembre 2000 (FR)

  • Développement des arts et de la culture à l'école : un plan de 5 ans - Décembre 2000 (FR)

  • Résultat des examens de français, un désastre. - Janvier 2001 (SL)

  • Une unité microfilm pour la Bibliothèque du Colombo National Museum. Janvier 2001 (SL)

  • Réouverture de deux musées parisiens : Musée Guimet, Musée Dapper. - Janvier 2001 (FR)

  • "Un siècle pour l'Asie" Les 100 ans de l'Ecole française d'Extrême-Orient. - 2001 (FR)

  • Dernier représentant de l'Ecole de Paris, maurice Esteve est mort à l'âge de quatre-vingt-dix-sept ans.- Juin 2001 (FR)