France Sri Lanka Cultural Exchanges - Suriyakantha

  The bilingual site devoted to the cultural life in Sri Lanka and in France                                                        
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Le site bilingue consacré à la vie culturelle au Sri Lanka et en France




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Ceylan / août 1959
LE CHE PHOTOGRAPHE

Figure emblématique du XXe siècle photographiée par les plus grands, Ernesto Che Guevara était également, et cela ce sait moins, un photographe affirmé. Pour la première fois en France, ses images, parmi lesquelles d’émouvants autoportraits, sont montrées à la galerie Photo de Montpellier.

L’exposition du Che Guevara photographe, sous la direction du commissaire Josep Vicent Monzo, a été rendue possible grâce à la collaboration du Centre d’études Che Guevara de la Havane.

 
L'exposition est accompagnée par l'édition d'un magnifique livre-catalogue de 200 pages, reproduisant toutes les photographies du Che Guevara. En vente exclusive à la Librairie Sauramps et à la Galerie Photo.

Ambassadeur itinérant de Cuba à partir de 1959, le Che continue à photographier là où il passe, en Afrique ou en Asie,
et notamment à Ceylan
en août 1959.


Budas tallados en las rocas...


...en un templo del Sureste asiatico.



Templos budistas, Sureste asiatico.

 


Ruinas en el sureste asiatico.


Templos budistas, Sureste asiatico.


Sureste asiatico.

Inde
L'OMBRE DES GARES

      Textes et photographies de Bernard Lachaud
      Préface d'Alain Corneau
      Editions France Delory

Delhi, Calcutta, Bombay ou Madras.

"Tout a commencé dans cette petite ville du Rajasthan au nord-ouest de l'Inde..."

Un documentaire très personnel qui semble avoir trouvé ce que d'autres cherchent encore : le résultat - peut-être - d'une méditation, d'une alliance entre texte et image qui va au-delà ou en-deçà de cette foule de visages restés dans l'ombre. Anonymes, presque semblables, indifférents et sereins. Si étrangement éloignés les uns des autres.

Claire Gilly (Arts interactifs)

NOSTALGIES...

William Baker and John Burke

BOOK
"Du Cachemire à Kaboul :
Photographies de Burke et Baker, 1860-1900"

De Omar A. Khan
Editions Gallimard - ISBN : 2070117359
Octobre 2002.


Du Cachemire à Kaboul est le premier ouvrage qui rassemble les carrières remarquables de Baker et Burke. Aucun photographe de cette époque n'a été le témoin d'autant de guerres, découvertes, nouveautés et diversités humaines que ces deux Irlandais.



L'Inde de Samuel Bourne (1834-1912)

EXPOSITION
"Samuel Bourne photographe en Inde (1863-1870)"
Palazzo Fontana di Trevi (Roma)
Récemment

Le nom de Samuel Bourne est synonyme de photographie britannique aux Indes. Il est le plus recherché et apprécié photographe colonial.

Si Samuel Bourne expose des photographies de paysage dès 1858, c'est en Inde, où il passa au total six années, que sa véritable carrière commence.

En 1864, il ouvre, à Simla, un atelier photographique, puis vers 1868, s'associe avec Charles Shepherd qui se charge de la commercialisation des images, pendant que Bourne continue à explorer et à photographier le sous-continent indien où il réalise plus de trois mille plaques.

Bourne effectue notamment trois expéditions himalayennes (1863 & 1866), et réalise au cours de ses épopées les premières vues de montagne de très haute altitude (plus de 6 000 mètres).

Il rédige une série de reportages pleins de vie sur ses aventures qui paraissent dans The British Journal of Photography.


L'Indochine d'Emile Gsell (1838-1879)

LIVRE
"Photographes en Indochine.
Tonkin, Annan,
Cochinchine, Cambodge et Laos
au XIXe siècle"

Philippe Franchini et Jérôme Ghesquière
Marval / RMN / Musée Guimet
Paris 2001.

 

Emile Gsell (1838-1879) est le premier professionnel installé à Saigon en 1866. Il retourne au Cambodge en 1873 et photographie le Tonkin en 1876.

Une place particulière lui est réservée dans cet album remarquable qui révèle le contenu des collections publiques françaises.


    Emile Gsell, Percement du canal de
    Cho Cao, vers 1875.

 

Mosquées en terre du Mali
Sebastian Schutyser


Récemment.
Maison Européenne de la Photographie
5/7 rue de Fourcy
Paris IV
Saint-Paul
01 44 78 75 01

Sculpture ou architecture ? Nos yeux ébahis devant la beauté étrange de ces constructions, peinent à conclure. Aux formes évocatrices, à la fois robustes et tout en finesse, ces mosquées en terre, construites dans le désert du Mali, ni par des architectes, ni par des sculpteurs, mais par de simples artisans villageois, nous laissent inexorablement sans voix. Ces bâtisses aux parois craquelées, véritables fruits de la terre aride qui les entoure, semblent en effet relever du miracle.

 

Pourtant, c'est bel et bien du travail des hommes qu'il s'agit, celui des maîtres d'oeuvre, qui actualisent une pratique ancestrale de la terre crue et du modelé, perpétuant, non sans inventivité nouvelle, un geste et un savoir-faire qui leur ont été transmis depuis des générations. Car, ce n'est pas d'une culture populaire révolue qu'il s'agit ici, mais d'une expression vivante : la majorité de ces mosquées ont été édifiées ou remaniées au XXe siècle, inscrivant cette pratique très ancienne dans une continuité qui transperce la modernité.

Discret mais précis, le travail de photographe de Sebastian Schutyser permet de révéler l'immuable beauté de ces constructions,

Source : Anna Rosen


Faces

Agence Vu
Exposition présentée en novembre 2001
17, Bd Henri IV - 75004 Paris -
Tél. : (33) 01 53 01 85 85.

Hien Lam Duc, photographe de l'Agence Vu et Régine Deforges écrivain, Présidente d'Honneur de l'Association "Enfants du Monde - Droits de l'Enfant", ont décidé d'unir leur talent et leur enthousiasme pour soutenir les actions de cette association qui se bat pour la reconnaissance de l'enfant en tant que personne.

Vietnam, Kosovo, Algérie, Guinée, Irak, Colombie et Afghanistan....

Des visages d'enfants qui ne sourient pas, des adolescents qui ont déjà un regard d'adulte et semblent consternés. Parce que reprendre sa dignité n'est pas concevable quand on vit dans des conditions difficiles.

"Parce que l'essentiel, c'est eux, elles, petits individus qui vont devenir, le temps d'une prise de vue, le seul "objet ", transformé en "sujet ", d'une image qui ne veut conter aucune anecdote mais nous confronter, œil pour œil, individu pour individu, à ce que nous sommes ou ne réussissons pas à être...

Ici, point de jeu, point de recours aux larmes, point d'anecdote ou de contextualisation en forme de justification, juste des visages.

Et si vous ne vous sentez pas concerné, c'est votre problème...."

Christian Caujolle
Directeur artistique de l'Agence Vu

 

Marseille
au temps de Nadar

Musée du Vieux-Marseille
Récemment

Nadar, premier grand portraitiste de l'histoire de la photographie, a vécu l'avènement du XXe siècle à Marseille.

A 77 ans, Nadar, grand voyageur séduit par la cité phocéenne, s'y installe, en 1897, pour y créer un studio de photographie.

Le studio du grand photographe, qui fut aussi journaliste, écrivain, caricaturiste et aéronaute, a été reconstitué, avec ses appareils et ses oeuvres.


    Nadar, autoportrait

De 1850 à 1910, l'exposition retrace l'histoire de Marseille et un pan de l'histoire de la photographie qui, durant ces années, accomplit d'importants progrès techniques, du daguerréotype à l'industrialisation du portrait en studio.

Marseille dispose alors d'une cinquantaine de photographes qui laissent des clichés du 25e centenaire de la ville en 1899, de la construction du pont transbordeur en 1905 ou de l'Exposition Coloniale de 1906.

Nadar y réalise le premier reportage photographique sous l'eau: "les travaux sous la mer", au cap Pinède.

Il quitte définitivement la cité phocéenne en 1904 pour rejoindre Paris, sa ville natale.

FÉLIX TOURNACHON (1820-1910) dit Nadar

 

    En 1854, il commence à publier le Panthéon Nadar. Cet album périodique de visages contemporains frappe par l'extraordinaire vitalité qui en émane malgré la "pose" des modèles et témoigne, chez Nadar, d'une honnêteté artistique égale à son instinct pour choisir de chaque visage la meilleure expression...

    A l'époque, les sujets posent bien raides, sans ciller, devant des fonds peints. Nadar saisit ainsi Frédéric Mistral, les frères Lumière ou Louis Pasteur.

    Encore aujourd'hui, ses effigies de Charles Baudelaire, de Théophile Gautier, de Victor Hugo restent inégalées.

    Puis Nadar s'enthousiasme pour les ballons ; en 1858, il dépose un "brevet d'invention pour un nouveau système de photographie aérostatique" et sa première photographie prise d'un ballon, au-dessus du Petit-Clamart, date certainement de cette même année.

    Resté très lié au monde des arts et du spectacle, il prête son atelier aux impressionnistes pour leurs deux premières expositions, en 1874 et en 1887.

    C'est grâce à lui, bien plus qu'aux "photographes d'art" qui le méprisaient, que la photographie conquit son autonomie comme moyen de recherche esthétique.

De haut en bas : Charles Baudelaire, George Sand, Eugène Delacroix.
Photographies de Nadar.

"Le Livre des tempêtes",
lauréat du Prix Nadar

Le prix Nadar 2001 - surnomé le "Goncourt de la Photographie" - a été attribué à l'ouvrage :
"Le Livre des tempêtes, à bord de l'Abeille Flandre."
Photographies : Jean Gaumy - Récit : Hervé Hamon, Editions du Seuil, 40,85 €.

 

Voir aussi :

  • Fascination du Corps : Lionel Wendt, Jeanloup Sieff et Antoine Bourdelle.
  • Kandy Alliance Photo 2003.