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Lundi 23 Février 1998
Partisan !
Je fais de nouvelles pages et toujours de nouvelles pages autour de tout ce que j'aime. J'essaye de faire vivre un site Internet qui soit intéressant ou tout au moins qui me plaise et me permette de faire partager mes passions. Je laisse sur le rézo quelques bouts de moi, en quelque sorte. C'est comme ça que je vais essayer de construire dans ce domaine un site qui soit plus "partisan" que ce que j'ai pu faire auparavant. Peut être parce que mes idées évoluent ou simplement parce que j'ai envie d'exposer certaines choses qui me tiennent de plus en plus à cœur. 

Etre Partisan c'est quoi !? 

Etre partisan, c'est d'abord croire en quelque chose. Ce quelque chose, ça peut être une idée, un modèle de société, ou encore quelque chose qui ressemble à ça. C'est un peu une conception de la vie, une vision du futur, un modèle vers lequel je voudrais tendre. Ainsi, je me suis toujours considéré comme un idéaliste, comme un doux rêveur quand je parle de politique. Comme un illuminé, un utopiste rencontrant un "Dieu". Enfin, un Dieu, sûrement pas celui des Chrétiens. De ces pensée, de cette idéologie, et de cette lumière, j'en retire toujours une certitude, une vérité issue des chemins parcourus: jamais, nous ne pourrons atteindre un modèle où chacun sera exactement ce qu'il veut les appareils détruire et gangrène toujours les idées. Pourtant, quand je regarde certains trucs, je me dis que tout est possible. 

Ainsi, quand je me pose en partisan, je fais d'abord référence à une idée, à un modèle qui ressemble à mes idées. Je fais déjà à la fois le sacrifice de ma personnalité vis à vis d'un modèle mais je suis aussi là pour faire évoluer le modèle suivant mes aspirations plus particulières. L'utilité d'une telle démarche est de pouvoir enfermer l'ambition personnelle et donc les intérêts qui lui sont liés pour réellement chercher à créer quelque chose de neuf. Neuf, tout est relatif, dans un "combat" de société la nouveauté est avant tout le choix d'une nouvelle relation entre les dirigeants et les dirigés qui doit conduire à l'inutilité de cette séparation dans la société. On remarque toujours que les idées sont belles, surtout celles de Gauche, mais que dans toutes les expériences que les âges ont pu traversé, les appareils ont gâchés et détournés les idées. De fait, l'opinion et le sens commun ont souvent conclu à l'échec de quelque chose qui n'avait jamais eu sa chance. 

Mitterrand… de Gauche ? 

Je dirais que j'ai toujours eu depuis que la politique existe pour moi, un sensibilité de gauche. Je ne pense pas quelle soit héréditaire mais je ne crois pas que ma famille n'ait jamais rien fait pour me convaincre du contraire. Dans ces conditions, d'une certaine façon, je suis parti de celui qui a pu être d'abord le Président de la République, le seul que je n'ai jamais vu, François Mitterrand. Ma Gauche est un peu parti de lui, elle s'est construite autour de cet homme qui pourtant même si il exerce sur moi un profond respect et une admiration immesurable, ne représente plus pour ainsi dire une idée de la Gauche mais plutôt une idée du Mitterrandisme qu'il ne faudra jamais chercher à imiter comme d'autres ont essayé avec un certain Général. 

Partir de la Gauche à partir de Mitterrand ce n'est peut être pas la façon la plus à gauche, ni la plus propre de découvrir la politique par contre c'est sûrement une façon très positive de découvrir la politique et la façon de diriger un pays car avec Mitterrand on a vécu au quotidien une page d'histoire de France. Tout ce que le Président nous a montré durant quatorze ans avait une ampleur digne de l'histoire. Mais de cette Gauche, j'ai quand même pris des choses, d'abord un certain humanisme. Ce qui est capitale et puis aussi une relation avec la masse, cette façon de regarder la Nation et de lui montrer que malgré les événements, autant la maladie, la cohabitation ou les affaires, le patron c'était Tonton. 
C'était vis à vis d'aujourd'hui une époque où un homme était capable de prendre les choses en main pour réussir un projet même si des sacrifices, des alliances, des compromis avaient dû être fait. Cette capacité aura permis à la Gauche de prendre le pouvoir et de le garder de montrer une alternance. Malgré les erreurs. 

Communiste ? 

Toujours, dans cette optique, j'ai au cours des années transformées et fait évoluer mes idées. C'est souvent la cas chez les gens, avec le temps les idées se transforment les projets évoluent, les situations aussi. On voit souvent les jeunes migrer de la Gauche de leur insouciante jeunesse vers la "solide droite" de leur retraite. Pourtant, je ne crois pas que un jour, quelqu'un qui aura fait le tour de la société et se sera projeté au travers des différents modèles ne pourra croire que la Droite offre d'autres alternatives qu'un immobilisme et un retour sur soit même que l'on avait pourtant tant rejeté dans notre jeunesse. 

De fait, la Gauche n'est plus une idée politique mais un modèle de vie, et de réflexion dont les courants et les parties ne sont que des façons de mettre en œuvre ce que la vie nous demande. 

Demain, un avenir… 

Dans ce contexte, c'est aux partisans, à celui qui croit en des idées de vouloir les appliquer et de mettre tout en œuvre afin de donner naissance à une politique qui ne soit pas uniquement une utopie. Car même si toutes les politiques doivent se nourrir d'une utopie pour tendre vers cette perfection et cette égalité que la raison nous demande, on ne pourra jamais l'atteindre. Et même l'atteindre serait la plus grande des déceptions, car notre rêve n'était pas assez prétentieux, et nous en avons oublié de chercher l'impossible. 

Soyons Réalistes, Exigeons l'impossible ! 

Dès lors je sais qu'avant de vivre dans l'action des choses, il faut qu'elles vivent dans les têtes. Une Révolution commence toujours par des idées, des mots impossibles voire impensables qui trouvent tout à coup parmi nous au milieu d'un groupe d'Hommes un sens supérieur et deviennent l'idéal qui donnera naissance à une nouvelle société. 
Tout cela nous le vivrons d'abord dans nos têtes puis au travers de notre groupe et finalement viendra le moment ultime, celui où les actes rejoindront les mots, celui où les actions dépasseront les pensées, ce moment où l'Homme se libérera comme il l'a voulu. Il se libérera de lui-même et de ces règles qui auront dérivé pour donner naissance à ce que l'esprit aura toujours voulu ! 

Au cours du temps, on monte aussi des idées, des concepts, des choses que l'on aurait voulu vivre mais que jamais on aurait pu espéré croire. 

Je me retrouve aujourd'hui à écrire, je me retourne sur ce que j'ai pu pensé, sur ce que j'ai pu avoir comme idées, comme désirs aux cours de ces dernières années, je me retourne et je regarde quel va être cette idée partisane qui devrait guider ma vie. Et puis voilà, je me retourne, je ne sais pas encore, je ne comprends pas où ça va me mener que de d'avoir des idées. 

Des idées aux actes, je vois une distance, pas un obstacle mais pourtant un certain éloignement qui face aux différentes situations de la vie font que l'on a la force de franchir le pas de la Révolution ou que l'on croit encore à des modifications dans les systèmes. La vie fait et défait les idées que l'on souhaite donner à son avenir. Je suis tourmenter par toutes ces idées qui se bousculent dans ma tête et bien que la Révolution me semble intellectuellement comme la seule solution pour des changements fiables. Bien qu'elle puisse être à la fois le résultat d'une révolte direct ou la conséquence d'une crise d'une Nation comme une guerre par exemple. Il faut toujours un événement traumatisant qui marque la fin d'une époque, notre histoire n'a jamais encore vécu de transition dans la douceur. Bien sûr, je me rapproche des idées Marxistes et je parle bien là de celles de Marx, mais pourtant mes premières idées dans ce sens sont antérieures à cette lecture. 

Bien sûr, on entend ici et là que ces idées sont dépassés mais comment peut on le dire, jamais encore personne n'a essayé sans la déformé ce que Marx avec Hegel avait proposé aux prolétaires européens. Et oui, pour eux déjà, l'Europe avait une signification, c'était il y un siècle et demi… 

Carlejilu,
Politologue à la petite semaine, et même le dimanche…
 
 
 
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