Non seulement l'exclusion telle que pratiquée par les Témoins de Jéhovah n'est pas biblique parce que secrète et éxagérément punitive , mais en plus l'ex-adepte est fiché, tant au niveau local que national.

Sur une mailing-list consacrée à la problématique des Témoins de Jéhovah, un ex-Témoin de Jéhovah vient de fournir les documents internes révélant la bureaucratie de ce mouvement. En voici les reproductions:

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Les Témoins de Jéhovah fichent leurs anciens membres tant au niveau local que national. L'organisation nationale sait donc tout de la vie privée de ses ex-membres, il est donc ironique de dire qu'elle tient à la confidentialité de la vie privée dans les affaires de pédophilie.

Par le fait que l'organisation demande d'être prévenue lors du décès d'un de ses ex-membres, on peut supposer qu'elles gardent ses fichiers pour une durée illimitée.

Se prétendre comme le défenseur de la vie privée dans les affaires de pédophilie, et donc de refuser de témoigner sur ce que l'on sait dans un procès mettant en cause un pédophile est une pure hypocrisie de la part de l'organisation des Témoins de Jéhovah. Les anciens sont incités à braver la loi et à s'opposer tant qu'ils peuvent face à un mandat de perquisition, ce n'est pas pour préserver la confidentialité des affaires des adeptes, c'est de peur que l'on y découvre ce système de fichage peu reluisant.   Quand il s'agit de mettre au courant les instances dirigeantes du mouvement, le principe de confidentialité disparait. Big Brother ?