Les réseaux de résistances à Toulouse et dans la Région

En 1941, le réseau Françoise, dirigée par la patronne d'un magasin de mode fait passer des centaines de français dans des pays sûrs et assurent la communication d'importants renseignements.

Les réseaux Maurice et Martial sont dirigés par des militaires qui font passer de nombreuses personnes recherchées en Afrique du Nord et en Espagne.

Le réseau Morhange comprend comme membre illustre Achille Viadieu.

MUR est dirigé par le forain François Verdier.

Franc-Tireur est dirigé par Jean Chabet.

Combat est dirigé par André Hauriou.

Le Lieutenant-Coolonel Pélissier dirige le maquis de la Région 4, la R4 que constitue la région toulousaine.

Le CAS est dirigé par Raymond Naves, le mouvement compte sur Vincent Auriol et les frères Lion, imprimeurs.

Le FTPF, le MOI (dirigé par Marcel Langer) et les guérillos espagnols représentent le maquis communiste.

En 1942, l'armée de l'Armistice est dissoute avant l'invasion allemande, le chef d'Etat-Major, le commandant Pommiès cache armes et munitions, il fonde le Corps Franc Pommiés.

Seront fondés en 1944 le Corps Franc de Libération et le Comité Départemental de Libération, fondamentaux pour la libération du pays.