Les Camps de déportation

Sous l'Etat de Vichy, il existe deux camps de déportation dans le Sud-Ouest, un au Récébédou (près de Toulouse), l'autre au Vernet, en Ariège.

Dans les Pyrénées Orientales, se trouve le camps de Rivesaltes.

On trouve aussi le camp de Gurs dans les Pyrénées-Atlantique et de Noé en Haute-Garonne.

Y sont enfermés les juifs, mais aussi les opposants au fascisme immigrés d'Italie (Silvio Trentin) dans les années 30, les communistes ou guerillos espagnols arrivés dans les années 30, les opposants français à Vichy et ceux qui ont aidé tous ces immigrés tels que le professeur Soula et le professeur de Médecine Ducuing).

L'armée française est faite prisonnière aussi.

C'est sans oublier les aviateurs polonais.

Des camps existent aussi à Argelès, Saint-Cyprien, Le Barcarès, Agde, Les Milles.

D'autres apparaissent à Saint-Sulpice-la-Pointe, Sisteron, Fort-Barraux, Rieucros, Clairfont.