Titre : Une soirée avec Toi, version 2

Nom : Célia BURCKEL

E-Mail : celia-isis.burckel@laposte.net

Catégorie : romance Jack/Sam

Résumé : Si vous voulez passer une soirée de rêve avec la jolie Sam, prenez cette version de mon fic.

Attention : Les personnages et la série sont la propriété de la MGM. Le seul but de cette fiction est de divertir tous les fans de Stargate SG-1. Comme je respecte la MGM ainsi que tous les romanciers, j’aimerais qu’on me respecte et que mes idées et mes créations ne soient pas utilisées sans mon accord.

Note de l’auteur : Ce n’est pas vraiment facile d’imaginer les pensées d’un personnage auxquelles on na jamais accès dans la série, mais bon j’espère avoir assez bien retranscrit le perso de Jack ! (En plus je ne suis pas un mec !) Et comme d’hab’, j’attends vos commentaires !

STARGÅTE

SG-1

Une soirée avec Toi

Ça faisait déjà plusieurs semaines que le SGC avait retrouvé son état habituel… enfin je l’espérais… peut-être pas pour tout le monde en fait ! Je me doutais bien que si on n’avait pas eu de mission sur le " terrain ", c’était pour laisser le temps à Sam de reprendre ses esprits. (Cf. : Rencontre avec soi-même) Enfin j’avoue que moi, je " m’emmerder " un peu et j’avais hâte que Sam soit de nouveau… opérationnelle ! Si elle m’entendait, elle dirait que je parle d’elle comme d’une machine… Remarquez, elle travaille tout le temps… comme une machine !

Bon Janet disait que tout allait bien dans le meilleur des monde, mais on ne repartait toujours pas en mission ! Finalement, peut-être qu’en la sortant de son labo, Sam irait plus vite mieux… Et puis elle n’avait jamais accepté ma proposition… cette fois-ci, c’était décidé ! Je l’emmènerais, de gré ou de force ! En même temps, la perspective de passer une soirée avec cette jolie intello n’était pas désagréable !

Ainsi, je me dirigeais vers le labo de Sam après avoir demandé une permission au général Hammond, qui avait tout de suite accepté en disant que Sam avait vraiment besoin de se changer les idées.

J’arrivais à son bureau. Il me semblait entendre un liquide qui bouillonnait. Je poussais donc grand la porte. Je n’eut que le temps de voir un crachat rosâtre passer à un centimètre de mon nez, se coller au mur en un immonde " slurp ", et dégouliner le long du mur blanc en laissant une jolie traînée rose translucide. Sur le coup, j’avoue avoir été un peu, mais rien q’un peu, surpris. Je me révoltais gentiment :

Jack : Hé Carter !!! Ça va pas la tête ! Vous voulez ma mort au quoi !

Sam se mit à rire comme une folle… je devais faire une sacré tête… Son petit coup tordue avait dû l’amuser ! Elle arriva tout de même à esquisser, entre deux – jolis – éclats de rire :

Sam : Oups !!! Je suis désolé, mon colonel !!! Ça ne devait pas exploser, normalement !!!

Je continuais ma rébellion :

Jack : Normalement !!! Vous plaisantez ! ? On aurait dit que ce truc en avait après moi !

Elle se calma un peu et dit avec ce sérieux qui lui allait si bien :

Sam : Vraiment mon colonel, je suis désolé ! La prochaine fois je vous avertirais ?

Jack : Heu… oui ce serait sympa !!! Vous savez comme les bûcherons avant que les arbres ne s’écroulent à terre ! Ils disent quoi déjà ?

Sam : Heu… " Tombe ! " Je crois !

Jack : Bon ben la prochaine fois vous faites pareil d’accord !!

Sam : D’accord, je ferais ça pour vous, mon colonel !

Pour vous ? Qu’est-ce que ça voulait dire, ce petit " pour vous, mon colonel " ? Sam me faisait-elle du… non impossible ! Elle était bien trop sérieuse ! Elle était peut-être fatiguée ou alors… Ce n’est pas possible elle me fait du rentre-dedans !! Non, non, non, ne rêvons pas !

Sam me regardait d’un air interrogateur… Je réjouissais enfin sa curiosité :

Jack : Vous savez Carter, après ses dernières semaines, je suis convaincu qu’un peu de détente, et surtout pas de travail aussi… , je regardais, méfiant, la solution rosâtre, aussi agressif, je suis convaincu que le programme que je vais vous proposer va vous enchanter…De toute façon vous n’avez pas le choix Carter !!! Je peux vous kidnapper avec la bénédiction du général Hammond !

Je lui fit un grand sourire… énorme… peut-être un peu trop ! Je la vis tournée vers ses pensées quelques instant :

Sam : Ça me ferait vraiment plaisir !

Je restais bouche-bée… J’avais bien entendu le major Carter dire " ça me ferait vraiment plaisir "… ? Eh bien ! C’était ma journée ! Carter se pliait à toutes mes demandes ! N’empêche, elle venait de dire OUI pour faire autre chose que rester cloîtrée dan son labo !!!

Sam : Pas vous ?

Je reprit mes esprits pour faire semblant que je n’étais pas étonné… mais c’était un peu tard !

Jack : Au contraire, Carter ! Seulement à chaque fois que je vous demande d’aller dans mon chalet, vous avez soit une expérience, soit une moto ou encore c’est Thor qui vient nous déranger ! Mais bon là c’est pas de votre faute. Non vraiment je suis étonné mais avant tout ravi !!!

Sam : Vous avez en ce moment je n’ai pas la tête à travailler !

Jack : Alors là je ne sais pas quoi dire !!! Je crois que je vais mettre une croix dans le calendrier : " jour où Carter ne voulait pas travailler " – précisons quand même : " UNIQUE jour où Carter ne voulait pas travailler ! "

Elle rit de bon cœur. Moi aussi. Il paraît que les femmes adorent les hommes qui les font rire ! (Intervention du narrateur : alors ne l’oubliez pas les mecs ! C’est une fille que vous le dit !)

Jack : Bon alors puisque vous êtes de toute façon d’accord pour m’accompagner, le programme de la soirée restera secret ! Surprise, surprise !!! Je vous prends chez vous ? Ce soir ? 19h30 ?

Sam : 19h30 ! D’accord ! À ce soir mon colonel !

A moi de faire un peu de rentre-dedans !

Jack : Jack !

Sam : D’accord : JACK ! Juste pour cette soirée je suppose ?

Je dus bien me résoudre à lui répondre avec une mine dépitée :

Jack : Ben je crois qu’on n’a pas trop le choix, SAM. Bon hé bien, à ce soir Sam !

Sam : A ce soir mon… Jack.

OUAOUH !!!! Décidément c’était vraiment MA journée ! Voilà que Sam m’appelait " mon Jack ". Bon, je suppose, hélas, que ce n’était pas fait exprès…

Je sortis tout heureux, sifflant gaiement. J’allais me préparer, il fallait que notre unique soirée juste entre nous soit merveilleuse.

Je fut près à 7h environ. J’avais trouvé un petit smoking noir très chic, sans cravate car je ne les supportais pas. Je mis encore une chemise blanche que je laissais entrouverte, je glissais un œillet rouge dans la poche de mon smoking. Je me parfumais rapidement Je me fixais devant la glace : Allais-je lui plaire ?

Je m’étais plaqué les cheveux avec du gel. Cet après-midi, j’étais rapidement passé chez le coiffeur pour qu’il me cache les horribles cheveux blancs qui, je craignais, ne rappelle à Sam que je restais tout de même un " vieux pépère qui en plus était son supérieur "… Bon pas si vieux que ça…

J’arrivais vers 7h30 chez Sam. La divine créature qui m’ouvrit la porte était tout simplement… , étonnante, adorable, merveilleuse, délicate, unique, gracieuse, charmante, aimante, douce, exquise, céleste, enivrante, sensuelle…

Je me perdais dans ma contemplation… Je ne pus retenir un sourire au coin de mes lèvres… je pensais au sienne. Et elle était si belle dans sa longue robe violet sombre, pailletée, et hautement fendue sur les côtés, très hautement, oulala ! Et cette robe, si près du corps, si moulante ! Et ces yeux bleus, qu’elle avait délicatement ombré d’un blanc nacré pur ! Et cette bouche, brillante, gourmande, attirante ! Et ce décolleté ! Qu’il attirait l’attention ! Et ce joli cœur en diamant qui m’éblouissais ! Et ce joli poignet quasiment nu, q’une fine chaînette d’argent mettait en valeur la finesse ! Et ce doigt, si fin, orné d’un solitaire comme d’une alliance ! Et ces longues et sensuelles jambes qui apparaissaient furtivement ! Elle avait un air de femme fatale ! Et ce parfum, sensuel, attirant, si enivrant, à l’image de Sam !

Je ne pensais plus qu’à une chose : lui dire et…

Je dus me contenter d’une bise amicale… mais rien que de poser mes lèvres sur ses joues me donner le vertige ! Non, non je devais me calmer.

Mais enfin, je fus dans le salon et il fallut bien reprendre ses esprits et trouver quelque chose pour calmer mon désir… Le mien seulement ?

Jack : C’est mignon chez vous !

Sam : Merci mon colo…lo.. lo… Jack !

Visiblement, elle n’avait pas oublié notre compromis, enfin presque… je lui souris devant sa mine embarrassée.

Sam : Juste le temps de chercher mon sac et de mettre mes chaussures et nous pouvons y aller.

Jack : Vous êtes très élégante Sam.

Elle rougit jusqu’au oreilles… en temps normal, je lui aurais fait une jolie remarque bien sadique… mais là, rien n’était plus normal. C’était magique. Et de la vouvoyer rendait la scène plus magique encore… on aurait cru deux vieux richards qui se faisaient la cour…

Pardon pour Sam, elle n’est pas vieille !

Sam : Vous êtes encore plus élégant Jack.

Elle monta rapidement les escaliers, ses pieds étaient nus, sa robe suivait le mouvement de ses hanches. Je l’admirais. Elle revint bientôt, un petit sac noir sous le bras. Je la vis qui visiblement, cherchait quelque chose des yeux.

Jack : Vous avez perdu quelque chose ?

Sam : Bien, vous n’auriez pas vu une paire d’escarpins ?

Jack : Oh, si, si, si ! Attendais, je crois que…

J’avais cru les voir près de sa cheminée. Bingo ! Je n’aurais pas l’air poireau en revenant bredouille. Je tenais dans mes mains une paire d’escarpins noirs, très fins, très chics. Elle se dirigeait vers moi pour les prendre, mais en homme courtois, je riposta :

Jack : Ah non, non, non ! Asseyez-vous, là sur le canapé.

Elle s’assit en me souriant. C’était peut-être un peu démodé, cette façon de draguer… Ou bien ça marchait ?

Sam : Merci prince Jack ! Cendrillon Sam vous remercie !

Elle avait compris. Je renchéris donc :

Jack : Si Madame veut bien se donner la peine de se diriger vers son carrosse !

On pris donc ma voiture et en quelques minutes, on était au restaurant que j’avais choisi : Le Crocodile*. C’était le nec plus ultra des restos chics : l’intérieur était très glamour. Les tables étaient séparées par des fleurs multicolores et des plantes tropicales, ainsi que de nombreux aquariums aux poissons bariolés. On s’asseyait sur des bancs de coin en cuir rouge. Les tables étaient en acajou. Un serveur élégant, trop peut être à mon goût - pas qu’il ne me dévalorise ! - habillé en noir nous conduisit vers une jolie table située dans un coin intime de la pièce. On s’assit. La lumière de notre aquarium peignait sur la table des reflets bleutés qui devenaient violets sur le bois rougeâtre. Les couverts étaient élégants, les verres en cristal fin. Bientôt, une charmante serveuse, mais pas aussi charmante que Sam, habillée d’une longue robe rouge vint prendre notre commande. La soirée dans ce merveilleux restaurant passa vite, trop vite. On parla de tout, de rien, de souvenir amusant de mission, de souvenirs angoissants aussi pour vider notre sac… On n’aborda jamais notre relation.

Finalement, il était bientôt minuit et demie. Le restaurant était encore bien rempli, mais Sam commençait à plisser des yeux. Ça n’aurait pas été de bon goût de l’obliger à rester alors qu’elle était exténuée. Un peu de détente, oui ! Mais il fallait la ménager. Elle était encore fragile.

Jack : On va peut-être y aller ? Qu’en dites-vous ?

Sam : J’avoue que je commence à fatiguer !

Jack : On n’est pas très loin de chez moi… Je vous embarque ?

Une fois encore, elle partit mystérieusement dans ses pensées. Heureusement, elle me répondit.

Sam : Pourquoi pas ! Et quand m’emmènerez-vous dans votre chalet ?

Jack : Quand vous le voudrez, Sam !

J’espère qu’elle était bien consciente que la prochaine fois, je pourrais l’emmener dans mon chalet ! Je n’allais pas oublier ce qu’elle m’avait dit ce soir !

On monta donc dans la voiture. Elle mit tout de suite le siège en couchette. Je lui souris, elle ferma doucement les yeux. Après quelques minutes, on était arrivé. Elle s’efforçait d’ouvrir les yeux. Je l’aidais à quitter la voiture puis, je retournais fermer les portières. Naturellement, je lui proposais de dormir dans mon lit.

Sam : Non, Jack, je ne veux pas vous forcer la main. J’ai une grande amitié pour les canapés, vous savez !

Jack : Ne dites pas de bêtises !! Major c’est un ordre ! Vous allez dormir dans mon lit et que ça saute !

Je souris d’abord, tut majestueux mais je me repris en me rappelant les mots que j’avais utilisés :

Sam : Jack, il faut que je vous parle de quelque chose…

Jack : Dans cet état ? Ah non ! Vous allez tomber par terre si ça continue ! Hop, au lit !

Finalement, elle consentit. Elle était bien trop fatigué pour délibérer sur qui dormirais dans le canapé. Et moi aussi.

Je la conduisit dans ma chambre, je lui souhaita une bonne nuit et je repartis dans le salon. Je dépliais le canapé l’esprit embué de milles une choses. Je m’écroulais, tout habillé, sur le lit improvisé.

Finalement, je m’endormis pensant que je pourrais être au côté de Sam, ici et maintenant. Je me contenta en définitive d’en rêver.

Sur le coup des trois heures, je me réveillais, je ne sais trop pourquoi. J’avais envie d’agir. D’aller la voir, de tout lui dire, de tout osé. Rien que de penser qu’elle était là, à quelques mètres de moi, me rendais fou. Sur un coup de tête, je monta les escaliers et arriva dans sa chambre. Appuyé contre la porte, je la regardais. La lumière du couloir éclairait faiblement son visage. Je distinguais ses cheveux embroussaillés. J’entendais sa respiration, faible, douce comme une musique, et j’imaginais ses lèvres qui s’écartaient légèrement. Elle entourait mon coussin fortement, je voyais son bras nu sous son visage. Je restais planté là, les mains dans les poches, à la contempler. Je la guettais depuis la porte comme le criminel fou admire sa victime avant de l’assassiner. Mais moi, si j’étais fou, je ne désirais pas la tuer. Je m’approchais donc doucement du lit, tachant de ne pas la réveiller, je sortais lentement mes mains de mes poches. Je me glissais furtivement sous les couvertures, puis attirais Sam vers moi. Je l’entourais d’abord d’une main puis de la seconde puis d’une jambe et de l’autre jambe. Je la plaquais enfin sur moi. Elle m’entoura des ses bras, puis l’instant d’après, elle commença à s'effaroucher. Je sentis qu’elle voulait retirer ses mains de mon dos, je l’en empêcha : D’un geste sur, peut-être un peu brusque, je les pris et les plaqua, écartées aux angles du lit. Pour la rassurer, je lui dis doucement :

Jack : Oublions un peu les ordres ! Je te désire tant !

Mais elle résista en tenta en vain, de se séparer de moi.

Sam : Non, mon colonel…

Sur de moi, je lui dis :

Jack : Je suis désolé, je ne vous laisserais pas !

Et finalement, elle ne put plus résister à son propre désir :

Sam : Moi non plus !

Elle passa enfin ses bras autour de mon cou. Je cherchais sa fermeture éclair et en un instant je la descendis au bas de son dos. Sous mes doigts, je sentais Sam qui frissonnait. Je glissais mes mains sur sa peau, j’explorais les moindres détails de son corps, je suivais la ligne de ses jambes pour remonter à ses épaules. De ses mains, elle caressait mon torse. Je déposais de petits baisers sur son cou. Elle prit ma tête entre ses doigts et caressa mes cheveux. Je fis de même, et je l’embrassais sur toute sa peau, si douce pour remonter à ses lèvres. Un long baiser naquit. Long et doux, délicieux, sucré, entouré de caresses brûlantes. Il faisait chaud. J’éloignais les draps en les faisant virevoltés. Sam ôtait ma chemise, ses doigts tremblaient. D’un geste délicat, je baissais les bretelles de sa robe et m’attaquais ensuite à son soutien-gorge qui je lui enlevais avec les dents. Elle laissa échapper un petit éclat de rire. Je souris moi aussi. Puis, je repris mes caresses : J’embrassais, tour à tour, son ventre, sa poitrine, son cou, son front pour revenir à ses lèvres. Elle enleva d’un geste assuré mon pantalon : elle le déboutonna, lentement, trop lentement, et le fit glisser le long de mes jambes, en caressant celle-ci. Je terminais le travail pour elle en le faisant voler à l’autre bout de la pièce. Je dirigeais mes mains sur sa robe, je caressais d’abord ses jambes fines, relevant, descendant sa robe qui fut finalement repliée sur son ventre. Je la fis glisser le long de ses jambes fines, lentement, très lentement, les effleurant à peine. Sam se retourna sur moi et envoya sa robe rejoindre mon pantalon. Nos jambes s’enroulèrent tels deux serpents amoureux. Serrés l’un contre l’autre, nos deux corps brûlant vibraient à l’unisson. Nous nous enroulâmes dans les draps. Nos mains s’exploraient, nos jambes se liaient, nos lèvres se joignaient…

Tout à coup, brûlant de fièvre, je me réveillais… j’étais sur mon canapé. J’avais donc rêvé ? Impossible, tout cela me paraissait encore si présent, si réel, j’avais encore la sensation d’entendre la respiration de Sam. Mais lorsque je me leva pour aller me rafraîchir, à ma grande surprise, je remarquais que j’étais nu ! Oui complètement ! Je me souvenais pourtant m’être affalé sur le canapé tout habillé… J’avais du rêver, encore ?

Arrête de te poser des questions idiotes, Jack ! Je pris un peignoir et partit vers la salle de bains pour me rafraîchir. Il était 6h du matin. En passant devant la chambre de Sam, j’eus juste le temps de la voir se rallonger dans le lit. Peut-être avait-elle aussi trop chaud ?

Finalement, je me recouchais, et me rendormis.

Il était 10h30 lorsque je me réveillais, et je n’avais pas l’impression d’avoir beaucoup dormi. Je fis du café et bientôt, Sam ne tarda pas à me rejoindre. Elle était très décoiffée, avait l’air aussi fatigué que moi. Je fus un peu gêné lorsque je la vis, gêné d’avoir rêvé d’elle comme ça. Mais je n’en montrais rien. En revanche, je sentis chez elle aussi une certaine gêne. Je n’en tins pas compte.

Jack : Bien dormi, major ?

Sam : Très bien mon colonel, et vous ? Le canapé n’était pas trop dur ?

Jack : Non, non, ça va, j’ai passé une très bonne nuit.

 

Fin

 

Alors c’était bien ? J’espère que leurs ébats ne faisaient pas trop osé !

J

 

 

* Ben oui que voulez-vous, je suis alsacienne ! (Pour ceux qui n’auraient pas compris, le Crocodile est le meilleur restaurant de Strasbourg. Attention ici je n’emprunte que le nom. Je n’y suis jamais entré alors je ne peux pas vous le décrire !)