CONFIDENTAL

 

 

Légende :

=== …=== signifie : note de l’auteur

***nom*** signifie pensée de la personne***nom***

Lettre Maj. plus un tiret- signifie que c’est soit la première lettre du nom du personnage ou si il y en a qui ont les premières lettres pareilles eh bien il y a la deuxième en minuscule !

 

 

TITRE : Confidential
AUTEUR : Gasst
EMAIL : ndaga@brutele.be
CATEGORIE : aventure, romance Sam/Jack, Crossover J.A.G, romance Mac/harm
SPOILERS : Plusieurs épisodes de la saison 3
SAISON : 3 et 4
PUBLIC : Tout public

RESUME : Jack est pris au piège et décide d’apeller son vieil amis Harm …

STATUT : Première partie d’une serie de fics sans nombre determiné jusqu’à présent.
ARCHIVE : Il suffit de demander.  www.ifrance.com/mglayer

DISCLAIMER : les personnages présents dans ce fan fic sont la propriété de MGM et SHOWTIME.

Je ne suis pas paye pour le fan fics que j'écris et je le fais uniquement en tant que fan et par plaisir.

 

NOTES DE L'AUTEUR : Ce serait assez sympa de me dire ce que vous pensez (réellement des mes histoires, comme ça je ferai mieux la prochaine

PS : pour mieux être au courant des deux séries 2 sites a vous proposer :

Stargate: le top 100  du classement de sites tous en français

The French JAG Site :le meilleur site sur J.A.G (et en français.)

M.G-Layer : ou alors vous pouvez aller voir mon site qui parle des deux séries, il n’est pas aussi complet que les autres mais ça me fera plaisir… hein ?

 

 

Le téléphone sonna longtemps avant qu’une main ne se décide a décrocher.

H- ( endormi) oui.

O- Raby c’est moi, j’ai absolument besoin de ton aide.

H-(se réveillant soudain) Jack c’est toi ?

O- non c’est le père noël … bien sur que c’est moi.

Harm regarda vers son réveil.

H- mais il est plus de trois heures du matin, tu aurais pu attendre.

O- Raby tu sais que le sommeil c’est sacré pour moi et je ne t’aurais pas réveillé si ça n’en valait pas la peine.

H- très bien, que puis je faire pour t’aider ?

O- ben j’aurais juste besoin d’une trousse de secours, pour le reste ça ira.

H- tu es blessé ?

O- Juste des égratignures ça va aller …

H- bien dis moi ou tu es je viens t’apporter ça.

O- non je peux pas, c’est trop risqué … retrouvons nous au QG.

H- Au QG ? … notre QG ?

O- oui Raby.

Harm allait raccrocher il hésita et finalement reprit le téléphone et dit.

H- Jack, je suis content de te revoir.

O- moi aussi Raby.

Jack raccrocha son portable et rampa vers l’un des 2 arbres ou étaient Gravés son nom ainsi que celui da Harm.

Il s’adossa a l’arbre et essaya de dormir en attendant que Harm vienne, mais il avait beaucoup trop mal et décida d’imaginer un mensonge pour que Harm ne veuille pas le conduire a l’hôpital.

Harm roulait vite car quand Jack disait des égratignures c’était beaucoup plus grave que ça et il commença a imaginer comment il pourrait bien le convaincre d’aller a l’hôpital.

De son cote jack n’avait rien  trouvé et se dit qu’il allait improviser comme d’habitude.

Puis lui vint le souvenir de deux petits garçons se disant qu’ils resteraient amis quoiqu’il arrive, puis l’un des petits garçons avait du déménager pour aller vivre dans le Minnesota et là ils s’étaient perdus de vue, mais Harm avait tenu sa promesse et il était allé au mariage de jack et plus tard a l’enterrement de Charlie, c’est là qu’est arrivé cette dispute stupide.

L’un comme l’autre auraient voulu l’effacer mais aucun des deux ne voulait présenter ses excuses a l’autre.

Harm aussi y pensait et trouvait ça stupide de gâcher une si grande amitié pour quelques mots que de toute façon ni l’un ni l’autre ne pensaient.

Il tourna a gauche pour s’engager dans un petit chemin de bois et eu le réflexe d’éteindre ses phares.

Jack ouvrit soudain les yeux, il sentait une présence quelqu’un était là, il sortit son Zat et se prépara a toute éventualité.

Sa jambe lui faisait si mal et sa vue faiblissait, mais il put tant bien que mal distinguer un Jaffa qui se préparait à l’abattre, il voulut soulever son bras pour tirer mais son bras ne voulait plus obéir le jaffa se mit en position pour tirer.

Jack sourit en se disant qu’après tout ça n’était pas si terrible de mourir et puis quelle raison avait il encore de vivre, en tant normal il se serait répondu « Elle… » mais non il n’en avait plus aucune.

Juste avant de s’évanouir il vit un masse blanche se jeter sur le jaffa et puis plus rien.

 

**************************************************************************

 

H- mais enfin Mac je vous assure que ils tiraient avec des sortes de boules de feux.

M- mais bien sur des petits hommes verts ?

H- Mac … je suis sérieux… attendez que jack se réveille et il vous confirmera ce que je vous dis.

Mac ne dit rien hésita un peu puis ajouta.

M- d’ailleurs je pense qu’on devrait conduire votre ami a l’hôpital, je lui ai donné les premiers soins mais je ne suis pas docteur et je ne sais pas a quel point ses blessures sont profondes..

H- j’ai trouvé dans sa poche une photo d’une certaine Sam, derrière il y a un numéro je vais appeler peut-être qu’elle nous en apprendra plus.

Il se dirigea vers sa chambre où jack dormait il regarda mais il n’y avait aucune raison de s’inquiéter.

Il prit le téléphone et composa le numéro sur la photo.

S- Carter.

H- Bonjour est ce que vous êtes bien Sam ?

S- qui êtes vous monsieur ?

H- je suis un ami de jack, est ce que vous êtes sa petite amie ?

Sam ne prit pas le temps de répondre a sa dernière question car elle réfléchissait.

Normalement Jack devrait être dans le vaisseau de Thor en ce moment car ils s’étaient mis d’accord pour discuter d’une certaine arme que les goa’ulds avaient trouvé.

H- veuillez excuser mon indiscrétion mais c’est par ce que il est ici et très blessé alors j’ai pensé que si mon amie était blessée j’aimerais le savoir.

S- QUOI? il est blessé ?

Sam avait hurlé si fort que Harm avait du éloigner le combiné pour ne pas s’éclater les tympans.

H- oui il ne voulait pas aller a l’hôpital mais je pense qu’il devrait.

S- bien emmenez le.

O-( assez faiblement) ça suffit je n’ai pas besoin d’aller a l’hôpital. A chaque fois que je dors on veut m’emmener a l’hôpital.

H- jack, tu es réveillé ?

O- non je parle en dormant.

H-( au tel) il est réveillé.

S- passez- le moi s’il vous plait et encore merci.

H- mais de rien.

Il passa le téléphone a jack.

O- alors comme ça on se fait passer pour ma petite amie ?

S-( ignorant sa remarque) Mon colonel est ce que ça va ?

O- oui ça va j’ai juste mal a la  tête.

S- mais vous ne devriez pas être avec Thor en ce moment ?

O- si mais c’est une très longue histoire, carter je veux parler au général.

S- mais il est très occupé en ce moment et …

O-( criant) c’est un ordre major.

S- bien mon colonel.

O- ( se calmant) Carter je suis désolé, veuillez m’excuser.

S- c’est oublié mon colonel.

O- dites au général que c’est une alerte invasion.

Harm qui n’était pas très loin fronça les sourcils.

Ham- colonel O’Neill ne devriez vous pas être ..

O- avec Thor je sais mais je ne suis pas avec lui et apophis a encore fait des siennes.

Ham- expliquez- vous.

O- plus tard mon général pour l’instant il faut que vous envoyiez SG-1, 3, et 11.

Ham- mais colonel ça fait trois équipes c’est beaucoup, en plus SG-3 est en mission et aucune autre équipe n’est disponible ; je vais essayer de vous trouver des hommes mais je ne vous promets pas grand-chose.

O- bien je me contenterai donc de SG-1 et 11 plus les hommes que vous pourrez me trouver, mais je ne veux pas Backer dans l’une de mes équipes.

Ham- colonel, je sais que vous ne le portez pas spécialement dans votre cœur mais c’est un bon élément et il peu vous sauver la vie…

O- tu parles …

Ham- colonel il est important de pouvoir séparer vos sentiments de votre vie professionnelle …

O- très bien mais si jamais un jaffa le descend, je n’ai rien a voir la dedans …

Ham- colonel !

O- a vos ordres mon général.

Ham- bon de quoi aurez vous besoin ?

O- eh bien il me faut des zat et des armes normales, et dites a teal’c de ne pas amener son zak.

Ham- très bien colonel et ou êtes vous exactement ?

O- a Falls Church en virginie, dites a sg-1 de me retrouver au bureau du J.A.G

Ham- et pour la personne qui nous a appelé, sait-elle quelque chose sur les goa’ulds  ou la porte des étoiles ??

O- non mon général c’est un ami que j’ai contacté et il ne sait strictement rien.

Ham- Je me permets de vous rappeler que ce projet doit rester top secret.

O- vous n’avez pas besoin de me le rappeler, je le sais déjà.

Ham- bien colonel tenez bon jusque là ; je vous repasse le major carter qui veut vous parler.

Jack changea d’oreille.

O- carter quelque chose ne vas pas ?

S- non c’est parce que votre ami m’a dit que vous étiez blessé, est ce que c’est grave ?

O- je vous remercie mais ce n’est rien, vous connaissez les blessures des tortures goa’ulds, elles ont l’air terribles mais elle ne sont pas insupportables que ça.

S- vous avez été torturé mon colonel ?

O- oui mais nous en reparlerons quand vous serez là, je ne voudrais pas retarder la rencontre d’Apophis et Backer.

S- Mon colonel !

O- a plus tard carter.

Il raccrocha sans même voir si elle n’allait pas répliquer quelque chose car ça le mettait toujours en colère lorsqu’elle prenait la défense  de Backer.

Juste après avoir raccroché il se leva et  Harm lui tendit son bras pour l’aider.

O- merci Raby.

H- quand est ce que tu arrêteras de m’appeler Raby ?

O- je ne sais pas … sûrement jamais.

Ils se dirigèrent vers le salon ou les attendait Mac.

H- jack j’aimerais vous présenter le colonel MacKenzie.

O- et elle a un prénom… le colonel MacKenzie ?

M- oui Sarah mais tous mes amis m’appellent Mac.

Jack tiqua un peu en entendant le prénom de Mac, soudain des images de lui et sa femme lui revirent en mémoire suivies comme a chaque fois de la mort de Charlie, c’est ce que voulait éviter Harm ….

O- puis je me considérer comme l’un de vos amis ?

Elle lui sourit et il prit ça pour un oui.

H- et voici le colonel O’neill.

O- mes amis a moi m’appellent Jack.

Mac lui sourit encore et jack fut heureux de faire une bonne impression.

O- je suppose que c’est a vous que je dois d’être encore en vie ?

H- oui et sans elle tu serais sans doute dans… un certain vaisseau.

En entendant ces mots jack redevint très sérieux, il ne pouvait pas mentir a Harm car s’était son ami et sans lui il ne serait plus en vie mais en plus il avait vu de ses propres yeux les jaffas et de ce fait il ne pouvait rien lui cacher.

H- je pense que tu vas avoir une longue histoire a nous raconter jack.

O- Raby je ne peux pas, c’est classé secret défense.

H- Jack ne me dis pas que tu n’a pas mieux comme excuse …

O- C’est pas ça … seulement il vaut mieux pour toi que tu n’en saches rien.

H- je suis assez grand pour décider ce qui est mieux pour moi.

Jack le regarda puis il regarda Mac pour chercher un peu d’aide mais ne vit que de la curiosité dans ses yeux.

O- c’est une très longue histoire …

M- nous avons environ 3 heures devant nous avant que vos amis ne viennent.

Il hésita mais il n’avait pas le choix, il regarda Harm puis Mac simultanément.

H- tu peux lui faire entièrement confiance.

O- que me diriez vous si je vous disais que nous ne sommes pas seuls dans l’univers ?

M- a moins d’une bonne explication je vous dirais que vous avez besoin d’une radio du crane.

O-Non seulement nous ne sommes pas seuls dans l’univers mais en plus  nous avons un ennemi qui a déjà essayé a plusieurs reprises essayé de nous … détruire.

Et mon boulot consiste a les en empêcher.

H- tu veux dire qu’il y a des petits hommes gris qui veulent détruire notre planète ?

O- non les gris sont nos amis et c’est en partie grâce a eux que nous discutons en ce moment.

Jack essayait de prendre un air sérieux car il savait que ce n’était pas facile de croire du jour au lendemain aux extra-terrestres.

H- mais celui que j’ai vu nous ressemblait sauf qu’il était habillé de fer.

O- oui ça c’était un jaffa. c’est un humain mais il est esclave des goa’ulds et les prends pour des dieux...c’est une espèce de « maman »

H- mais qui sont ces « goa ‘ulds » ?

O- ce sont eux nos véritables ennemis, particulièrement un qui s’appelle apophis.

M- vous vous fichez de qui ? … Apophis est une divinité égyptienne.

O- oui ils se basent sur l’Egypte enfin d’après ce qu’on sait c’est plutôt l’Egypte qui est basée sur eux.

M- vous voulez dire que …

O- écoutez je n’ai jamais été très fort en histoire mais Daniel sera ravi de vous parler de l’Egypte.

H- donc ses goa’ulds ont vécu sur notre planète ?

O- oui.

H- et pourquoi en sont-ils partis ? il fait beau ici ….

O- ça j’en sais rien, ils avaient sûrement d’autres peuples a coloniser.

H- parce que il y a d’autres races ?

O- inimaginables, la plupart de tous ceux que nous avons rencontré sont nos amis.

M-( étonnée ) la plupart ?

O- oui il y en a qui sont pas sympa et pas joli a voir d’ailleurs.

FLASHBACK : Les démons ou sg-1 est fait prisonnier sur une planète.

O- puis d’autres super sympa …

FLASHBACK : Les nox, sg-1 rencontre un peuple technologiquement évolué.

FLASHBACK : La cinquième race, jack rencontre des petits hommes gris.

H- et comment as tu été sur toutes ses planètes ?

O- grâce a la porte des étoiles, c’est une technologie qui mets en pratique la théorie d’Einstein selon qui on peut voyager plus vite dans l’univers grâce a des trous noirs.

Mac et Harm étaient maintenant assis et ne disaient rien.

O- écoutez, je sais que ce n’est pas facile a digérer mais c’est la vérité et personne d’autre ne doit le savoir est ce que je peux compter sur vous ?

Ils ne répondirent qu’après quelques secondes car apparemment ils étaient choqués.

Soudain le portable de Mac sonna faisant sursauter tout le monde.

M- oui.

*- Mac c’est moi.

M- ah mic, je suis heureuse de t’entendre.

Elle se dirigea vers la cuisine tandis que Harm la suivait des yeux.

O- qui est ce Mic que tu détestes tant ?

H- qui te dit que je le détestes ?

O- y a pas besoin d’être médium pour le savoir.

H- je ne supporte pas ce type, il m’énerves par sa façon de penser d’agir …

O- c’est seulement par ce qu’il sort avec Mac.

H- mais qu’est ce que vous avez tous a me dire ça ?

O- c’est parce que c’est vrai.

H- remarque toi c’est pas mieux avec ce backer.

O- Peut-être, mais pour l’instant s’agit de toi !

H- il n’y a rien a ajouter.

Ils commençaient a entendre les voix s’élever

O- erreur ! je suis sur que ça peut s’arranger.

H- elle a déjà accepté de l’épouser, il ne reste plus que la date a fixer.

O- on parie 50 dollars qu’ils sont entrain de se disputer a ton sujet.

H- comment veut tu qu’on le sache ?

Il n’eut pas besoin de répondre qu’ils étaient déjà collés a la porte entrain d’écouter.

B- écoute Mac, tu passes pratiquement la moitié si pas les trois quarts de ta vie avec lui.

M- mais c’est normal, c’est mon coéquipier et mon ami aussi.

B- peut-être pour toi mais lui il te voit autrement.

M- mais non tu délires et puis il a bien le droit non ?

B- a chaque fois que je t’appelles au J.A.G on me dit que tu es chez harm, encore harm et toujours harm, pour finir j’ai l’impression que tu sors avec lui et non pas avec moi, heureusement que tout ça va changer a notre mariage.

M- qu’est ce que tu entends par « tout ça va changer » ? je te préviens Harm restera dans ma vie quoiqu’il se passe.

B- non mais tu te rends compte que tu parles de lui comme si c’était ta moitié ?

M- mic je dois y aller je te reparlerais quand tu seras plus raisonnable.

B- tu choisis lui ou moi, tu ne peux pas avoir les 2.

M- c’est deguelasse ce que tu me fais.

B- la vie est deguelasse Mac et il est temps que tu ouvres les yeux.

M- je n’ai pas a choisir entre toi et Harm … vous n’avez rien en commun.

B- justement …

Mac coupa et essuya ses larmes puis se prépara a entrer alors jack et Harm se dirigèrent vers la canapé et firent comme si ils discutaient.

H- ça va mac ? vous avez l’air pas bien.

M( s’efforçant de sourire) je vous remercie mais c’est juste la fatigue.

H- (chuchotant vers jack) je vais le tuer …

Jack se contenta de lui sourire et dit

O- les enfants on va y aller car j’ai des goa’ulds a rattraper moi.

H- oui viens je vais te passer des vêtements civiles.

Lorsqu’ils furent prêts ils descendirent et c’est la que harm s’aperçut que jack boitait.

H- mais comment vas tu faire pour poursuivre ces … « goa’ulds » en boitant ?

O- t’en fais pas pour moi raby, je vais y arriver … je dois y arriver.

Pendant tout ce temps là Mac n’avait pas dit un seul mot et elle réfléchissait, de temps en temps elle jetait des petits coups d’œil vers Harm puis secouait lentement la tête.

***Mac***

Désolée mic, mais je ne peux pas lui faire ça, c’est mon ami et je l’aime … je ne sais même plus ce que j’éprouve pour lui … une chose est sure que ce que je ressens pour lui soit de l’amour ou de l’amitié, c’est plus fort que tout ce qui a pu se passer entre nous … vraiment désolée …mais je l’aime … tellement si seulement il savait … si seulement …

***Mac***

H- eh Mac vous êtes sur que ça va, vous n’avez pas dit un mot depuis que nous sommes partis.

M- ça va aller Harm merci …

***Harm***

Rhaaaaaa cet espèce de crétin a encore réussi a lui faire de la peine, un de ces jours il va finir par lui briser le cœur, je ne veux pas … pourquoi est ce que je n’ai pas saisi ma chance sur ce ferry ? ahhhhh quel imbécile tu es Harmon Rabb … tu l’aimes plus que tout au monde et tu la laisses dans les bras de ce crétin sans réagir ? … oh tu es un lâche Harmon Rabb … oui un lâche …

***Harm***

Ils continuèrent ainsi jusqu'à arriver au bureau du J.A.G.

O- mhhh c’est joli ici …

Ils lui sourirent tous les deux mais se renfoncèrent aussitôt dans leurs pensées.

Lorsqu’ils furent dans l’ascenseur Bud les rejoignit.

M- bud, voici le colonel O’Neill, jack Voici le Lt roberts.

Jack lui tendit la main tout en disant son prénom et bud fit pareil.

Depuis que Bud avait perdu son enfant ça l’avait beaucoup affecté bien sur il le cachait mais c’est le genre de choses que jack sentait car ayant lui même vécu l’expérience.

Il se contenta de regarder Bud sans dire un mot admirant sa volonté de « continuer » malgré la perte de quelqu’un qui lui était aussi proche, il ne savait pas que c’était son enfant mais c’était quelqu’un qu’il aimait beaucoup.

Jack discuta avec Bud en attendant son équipe qui devait arriver d’un moment a l’autre.

Soudain Tiner entra dans le bureau de Bud en disant.

T- Colonel, l’amiral aimerait vous voir dans son bureau, le capitaine te le colonel MacKenzie y sont déjà.

O- Bien bud, enchanté de vous avoir connu.

Bud ne put que sourire et Jack lui rendit son sourire admirant toujours sa bravoure, personne mieux que lui ne pouvait savoir ce qu’il ressentait , mais malgré tout ça Bud avait blagué le faisant rire ; il avait d’ailleurs remarqué qu’ils avaient un sens de l’humour assez similaire.

Jack frappa a la porte avant qu’une voix qu’il crut reconnaître ne lui dise d’entrer mais il se dit que c’était impossible.

Lorsqu’il entra et qu’il vit l’amiral il en resta sans voix, quant a l’amiral il avait le nez plongé dans de la paperasse.

O- A.J c’est vous ?

L’amiral se leva en entendant sa voix.

A- colonel O’Neill ? mhhh je vois que vous m’avez écouté!

O- on peut dire ça oui …

Il lui serra la main en souriant.

Harm toussota pour rappeler sa présence et celle de Mac

A-( en pontant son doigt vers Harm) mais je vois que vous avez toujours du mal a choisir les bons amis ?

Ils sourirent tous sauf Harm qui avait un air de « c’est même pas marrant ».

Tout a coup Tiner entra.===eh oui je sais il est enervant …====

T- désolé de vous déranger amiral mais il y a une femme qui prétend être le major Carter et qui demande a voir le colonel O’neill.

L’amiral jeta un regard a jack qui lui fit oui de la tête et l’amiral demanda a Tiner de la faire entrer dans son bureau.

Lorsque Sam entra elle était accompagnée de teal’c et de Daniel, aussitôt Jack entama les présentations.

Ils restèrent environ dix minutes et puis Jack dit qu’ils devaient absolument y aller et en sortant Harm et Mac partirent avec eux.

Lorsqu’ils furent hors du J.A.G jack prit Harm a part et lui dit.

O- tu sais je te remercie pour ton aide et je …

H- tu me remercieras plus tard lorsque ce sera fini.

O- mais c’es déjà fini…

H- oh non tu n’espères quand même pas me dire que tu vas aller vers ces types sans moi.

O- Harm je me suis déjà compromis en te racontant …

H- Allez …

O- bon très bien mais après cela tu oublies tout ce que j’ai pu te raconter et tout ce que tu as pu voir.

H- hein ? mais qui êtes vous monsieur ?

Jack sourit lui tapa sur l’épaule et alla vers le vanne militaire qui les attendait a l’entrée du J.A.G.

***Jack***

Pfffff … vraiment discret ça un gros vanne où il est marqué US ça va passer inaperçu, même si les goa’ulds savent pas lire …

***Jack***

Il ne fut pas surprit lorsqu’il vit que c’était Backer qui conduisait le véhicule.

O- Tiens … tiens Lt backer, j’espérais que le général me fasse une faveur mais apparemment il est sans pitié.

Backer ne dit rien a part le regarder en ne haussant les sourcils.

O- bien les enfants embarquez, Lt Préparez moi trois équipements.

Ba- Mais mon colonel, vous …

O- Exécution.

Ba- mais pourquoi mon colonel ?

O-( en criant) on ne pose pas de questions lorsqu’un officier supérieur vous donne un ordre vous vous contentez d’obéir.

Ba- mon colonel je ne pense pas qu’ils  devraient venir avec nous …

O- bien LIEUTENANT, je crois que vous n’avez pas compris ici vous n’avez pas a penser ça c’est mon boulot, vous vous contentez juste d’obéir et de la fermer.

Sam regardait sans dire un mot, d’une certaine façon elle sentait que son colonel lui en voulait depuis le jour où il avait su pour elle et Kevin tout ce qu’elle ignorait c’était la raison, elle hésitait entre « la jalousie » ou le fait qu’elle le lui ai caché . Mais quelque part au fond d’elle elle voulait que ce soit de la jalousie.

Backer se dirigea vers le fond du Van pour préparer les trois équipements.

O- bon Raby, Mac préparez vous a aller vous changer derrière je vais conduire et puis Carter ou Daniel me remplaceront.

S- sauf votre respect mon colonel, c’est le travail du Lt backer…

O- vous n’allez pas vous mettre a deux contre mes ordres …

S- non mon colonel …

O- bien.

Harm et mac allèrent se préparer et puis Sam remplaça jack pendant que celui-ci allait également se préparer.

O-(revenant a coté de Sam) allez y je vous dirais la direction a prendre.

S- bien mon colonel.

Ils roulèrent jusqu’à l’endroit où harm avait trouvé jack et ils y trouvèrent du sang.

S- c’est a vous tout ce sang ?

O- oui je pense…

S- mais mon colonel il y en a beaucoup trop, vous devriez vous reposer pour récupérer.

O- Merci major mais ça va aller …

S- mon colonel je ne pense pas …

O- Sam …

S- d’accord.

Ils suivrent les traces laissées par les Jaffas mais apparemment il y en avait plus que prévu.

O- Je ne comprends pas, il n’y avait que trois planeurs de la mort derrière moi, d’où viennent ces autres traces…

D( pour la première fois) Que trois ? vous trouvez que ce n’est pas largement suffisant ?

O- je veux dire a moins que les jaffas soient devenus très inattentionnés, il y a un bordel pour au moins vingt jaffas …

S- c’est vrai qu’il y a beaucoup trop de désordre, mon colonel je pense que nous devrions repartir.

O- quoi vous êtes tombée sur la tête où quoi ? ces imbéciles ont essayé de me tuer, et puis on ne peut pas se permettre de laisser des jaffas ici sans agir.

S- mon colonel si vous faites tout ça par vengeance …

Elle s’arrêta en voyant le visage réellement blessé par ce qu’elle venait de dire.

O- bien on continue …

Ils continuèrent sans plus dire un mot, Sam regrettait qu’elle ai du faire du mal a jack, mais elle devait … elle n’avait pas le choix ….

***Jack***

Oh ça m’a fait très mal que tu penses ça de moi Sam, vraiment mal … mais après tout peut-être que tu as raison …mais ça ne fait pas moins mal pour autant …

***jack***

Ils s’avancèrent quand tout a coup teal’c  fit signe de s’arrêter.

O- qu’est ce qui ne vas pas teal’c ?

T- regardez le sol O’Neill, je pense qu’il y a un camp goa’uld pas très loin.

O- ah bon et qu’est ce qui vous dit ça ?

T- eh bien ça ce sont des mini-bombes (en montrant deux petites boules espacées d’environ 5 mètres) quant vous passez entre eux , ils explosent.

O- bien les enfants, je crois que nous allons devoir aller rejoindre le général pour revoir toute notre stratégie.

Sam sourit en entendant jack lui dire ça.

O- bon on fait un petit break puis on repart, teal’c vous allez nous dire tout ce qu’il ne faut pas faire pour se faire attraper par … apophis …

Ils s’installèrent et pendant qu’ils revoyaient leur stratégie Harm alla parler a Mac qui était toujours aussi pensive.

H- Mac vous savez …

M- non harm il faut que je vous demandes quelque chose.

H- allez-y …

M- est ce que … vous …

H- est ce que je quoi Mac. ?

Elle hésita avant de reprendre péniblement.

H- Sarah, vous pouvez me demander n’importe quoi …

M- est ce que je représente quelque chose de pour vous ?

H- mac comment pouvez vous me demander ça, bien sur que …

M- non je veux dire … quelque chose de spécial…

Ce fut autour de Harm d’hésiter, il n’avait jamais su comment s’y prendre avec elle mais une fois encore elle lui ouvrait un passage vers le bonheur, un passage vers elle et cette fois ci il était bien décidé a ne pas faire l’imbécile comme cette nuit sur le ferry.

H- Mac vous savez, jack est un ami génial …

Elle allait parler mais il la devança.

H- laissez moi continuer ….

M- désolée …

H- donc je disais jack est un très bon ami, bien sur il passe tout son temps a blaguer mais une fois qu’il devient sérieux, il dit des choses vraiment très touchantes.

Si il y a une chose que j’ai tiré de ma conversation avec lui c’est- que nous avions fait la même erreur, mais il est encore temps de la corriger enfin pour moi en tous cas.

M- et quel est cette erreur ?

H- pour moi je vous ai laissé avec ce type, je n’ai aucune raison de haïr Brumby si ce n’est qu’il sort avec vous, qu’il peut vous serrer dans ses bras quand bon lui semble, tandis que moi je dois attendre de frôler la mort pour que je puisse vous prendre dans mes bras et sentir votre parfum qui …

Il s’arrêta pour la regarder et puis comme il ne voyait rien dans son regard il se dit qu’il venait de compliquer sa situation mais au point ou il en était… il tendit son bras et lui caressa lentement la joue, puis comme elle ne réagissait toujours pas il s’avança et lentement il l’embrassa lentement, puis de plus en plus passionnément.

M- Harm … je peux pas … Mic …

H- au diable Brumby !

Il se remit a l’embrasser et elle l’entoura de ses bras et Brumby partit tout d’un coup très loin.

Jack qui était entrain d’expliquer sa théorie remarqua la scène et parla de moins en moins vite au fur et a mesure que le baiser avançait.

O- eh ! les enfants, pensez quand même a respirer.

Sam regarda dans la direction où jack regardait et vit Harm et Mac qui souriaient a jack.

Elle se retourna et fut vraiment très gênée de rencontrer les yeux de son colonel qui la dévoraient, Jack fut trop surpris pour détourner les yeux a temps !

S- mon colonel un problème ?

O-(sèchement) non major aucun !

Ils allaient se bouger quand Mac se pencha pour ramasser quelque chose !

O- Mac ? c’est quoi ça ?

M- oh mon dieu.

H- il y a un problème ?

M- c’est la chaînette da Mic.

H- allons mac il y a plein de gens qui ont des chaînettes comme ça.

M(en la retournant) pas avec «  i love RMOA »

Jack lui lança un regard interrogateur.

M- Royal Marine Of Australia.

O- et que ferait-elle ici ? votre ami est du genre a se balader par ici ?

M- non, non… nous avons encore parlé il n’y a pas si longtemps !

O- bon on en reparlera des qu’on se sera tiré de la ok ?

M- très bien.

Jack eut le temps de pointer son arme vers un jaffa et de tirer juste avant lui.

O- les enfants on bouge !

Mais a peine avait il dit ça que une vingtaine de jaffas arrivèrent  et les mirent en joue.

O- laissez vos armes les enfants, je ne veux prendre aucun risque !

Ils leur donnèrent tous leurs armes et furent conduits pas les jaffas dans une sorte de petite grotte.

O- ou je rêve ou il n’y a pas de camp goa’uld.

Teal’c fronça les sourcils et des anneaux de transports les balayèrent.

H- eh mais ces trucs vont nous tomber sur la tête.

O- du calme Raby …

Lorsqu’ils furent quelque part en dessous de la terre Harm et Mac regardèrent au dessus se demandant comment ça se faisait mais personne n’avait le temps de leur expliquer …

Ils furent conduit dans une pièce ou des femmes étaient couchées sur un lit avec un homme au centre et elles lui mettaient des raisins dans la bouche, il rajusta ses habits a l’arrivée de SG-1.

O- je ne suis pas sur que Apohis sera content de savoir ce que vous faites avec son … argent.

Un jaffa s’approcha alors et ponta un Zat sur Jack.

Ja- on s’agenouille devant son dieu.

Jack commençait a en avoir vraiment ras le bol de passer la moitié de sa vie  a genoux.

Tout le monde s’agenouilla mais jack hésita quelques secondes.

S- mon colonel s’il vous plait …

Il s’agenouilla a contre-cœur.

Goa- Tu as eu de la chance d’échapper a mes jaffas.

O- la chance n’as rien a voir la dedans, même un bébé échapperait sans problèmes a vos Jaffas.

En réponse il reçut un coup de pied au ventre de la part du jaffa.

Goa- (faisant briller ses yeux) Jaffas kree.

Le jaffa s’éloigna de jack.

Goa- (s’adressant a lui) je ne voudrais pas que vous nous quittiez aussi simplement.

Jack savait déjà ce que voulait dire le goa’uld et il connaissait trop bien se petit sourire, il préférait mourir plutôt que de se refaire torturer.

O- vous ne pouvez pas nous tuer, vous avez besoin de nous.

Goa- je n’ai besoin que d’un ou deux d’entre vous.

O- si vous  touchez a un membre de mon équipe vous ne saurez rien de nous tous, par contre si vous acceptez de les relâcher je vous dirais tous nos codes et je vous donnerais même coordonnées de la terre.

S- Mon colonel …

O- n’en rajoutez pas major … je sais ce que je fais.

Elle se tut et ne dis plus rien.

O(se tournant vers le goa’uld) alors ?

Goa(réfléchissant) Vous me donnez vos coordonnées et je vous libérerez … même vous pourrez partir.

O- désolé mais mon expérience avec vous m’a appris a ne jamais vous faire confiance.

Gua- bien tau’ri, je vais réfléchir a ton offre. – s’adressant aux jaffas- emmenez les dans les cachots.

O- super… les cachots.

Ils furent jetés dans les cachots ou Harm alla s’occuper de Mac et Backer se chargea de Carter et Daniel alla avec teal’c jack se sentait un peu … rejeté, alors il alla s’asseoir dans un coin et commença a réfléchir.

***Jack***

Voilà Harm qui est heureux… et moi … et moi je suis là je crève de mal au côtes et Carter s’en va avec cet imbécile … bon sang qu’il m’énerve.

Je suis sur qu’Hammond était au courant, j’arrive pas a croire qu’il ai pu risquer ma vie comme ça et sans m’en informer, attends que je sortes d’ici vivant, je vais te dire 2 petits mots. Et carter, est ce qu’elle …. Non arrêtes jack, elle ne pouvait pas savoir n’est ce pas ?

…Non elle ne pouvait pas … aurait-elle pu ?

***Jack***

Il fut tire de ses rêveries par une main sur son bras.

O- carter ?

S- j’aimerai jeter un œil sur votre torse.

O- plein de femmes aimeraient jeter un œil sur mon torse carter.

Backer qui avait entendu soupira, jack aurait voulu aller lui coller un poing sur la tête mais il n’était même pas sur  de tenir debout alors se battre …

Sa vue commença légèrement a se brouiller et Sam vit qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas.

S- Mon colonel ?

O- ce n’est rien carter juste un petit problème de vision.

S- il faut pas le prendre a la légère mon colonel.

O- dites moi que vous n’étiez pas au courant …

Elle essaya d’ignorer sa question et souleva son T-shirt.

S- mon colonel il semble que ce jaffa vous ai fait plus mal que se que j’ai cru.

O-( cette fois en criant) Major dites moi que vous n’étiez pas au courant.

S- je … il va falloir vous bander mon colonel…

Il ne pouvait pas y croire, elle le savait et elle ne lui a rien dit soudain il sentit un sommeil lourd qui l’appelait, il aurait encore voulut crier pour lui demander de lui dire qu’elle n’était pas au courant mais il ne put murmurer qu’un « non » inaudible avant de sombrer …

S- Mon colonel ?

Elle vérifia son pouls, il était régulier mais il allait avoir besoin de soins.

Elle tenta de le gifler et appela un peu plus fort.

S-mon colonel … jack répondez-moi, allez …

Tout le monde qui avaient déjà entendu le cri de jack furent interpellés par ceux de sam.

Harm fut le premier a se déplacer  de son coin, suivit de Daniel, tel’c Mac et Backer.

H- qu’est ce qui ne vas pas major ?

S- (n’arrivant plus a bien parler) il s’est évanoui … il …

D- Sam ? ça va ?

S- (criant) Non ça vas pas … ça va pas … c’est ma faute …

Elle alla se mettre dans un coin et refusa la compagnie de tout le monde même de Backer et quand elle vit que tout le monde s’éloignait de jack elle alla près de lui et commença a l’éponger.

Tout le monde resta ainsi a attendre que jack se réveille et le moral  a zéro.

Quand jack ouvrit les yeux il tomba avec ceux de carter qui a son tour n’eut pas le temps de détourner les yeux.

O-( avec colère) vous saviez que j’allais risquer ma peau et vous m’avez laissé partir sans rien me dire, et moi qui croyait que nous étions amis …

S- je …

Elle s’éloigna de lui et alla pleurer dans un coin pour que personne ne la voie.

H- jack content de te revoir … tu penses pas y être allé un peu fort.

O- Backer va se faire un plaisir de la consoler.

H- un autre Brumby …

O- c’est un peu ça …

Ils n’eurent pas le temps de terminer que tous les autres furent la et félicitèrent O’Neill pour son réveil.

O- major venez ici.

Comme elle ne réagissait pas il n’énerva un peu.

O- major, c’est un ordre.

Elle sécha rapidement ses larmes et se présenta.

S- a vos ordres mon colonel.

O- racontez moi tout.

S- je ne vois pas de quoi vous voulez parler mon colonel.

O- me laisser entre les mains des goa’ulds sans lever le petit doigt n’était pas suffisant Carter ?

Elle fut sincèrement blessée par ses mots mais comment pouvait- elle lui en vouloir ?

D- jack de quoi parlez-vous ?

O- très heureux de savoir que j’ai encore des « amis », dites moi une chose Daniel …

D- oui …

O- si vous saviez que je vais tomber entre les mains des goa’ulds, qu’ils vont essayer de me tirer les vers du nez et ce en utilisant tous les moyens possibles y compris la torture est ce que vous me le diriez où vous me laisseriez y aller en ne sachant rien. ?

D-(outré) mais bien sur que je vous le …

Il se tut en comprenant la situation et essaya de se rattraper.

D- je ne sais pas jack … ça dépend.

Le mal était déjà fait et Sam avait entendu son outrage quand il s’était exclamé, mais elle lui avait caché …si seulement …

***Sam***

Je ne lui ai rien dis et il a failli mourir par ma faute, comment aurais-je pu me le pardonner… comment pourrais- je me le pardonner ?

Il m’en veut, je le sens a son regard, quand pourra t il me pardonner, le moins que je puisse faire c’est de répondre a ses questions avec le plus  de franchise possible.

Si seulement il savait … mais non il ne sais pas… et comment pourrait-il le savoir alors que je le cache si bien ?

***Sam***

S- les asghards nous ont dit qu’ils allaient vous transporter  dans 6 heures car il y avait des stiks autour de la terre, des appareils capable d’intercepter une personne qui se fait teleporter par les asghards.

Il nous a donné une position où vous deviez vous mettre pour une totale sécurité et à ajouté que ça concernait une certaine attaque, il nous a dit que les goa’ulds avaient une base sur terre et que ils allaient nous attaquer a partir de là pour les renforts viendraient du ciel, mais ils avaient absolument besoin de vous pour les codes et qu’ils allaient essayer de vous capturer…

O- et alors ?

D- jack …

S- alors le général a dit que je ne devais pas vous en parler je lui ai demandé pourquoi mais il a dit que c’était un ordre …

O- et c’est tout, par ce que c’était un ordre …

H- jack …

S- j’ai insisté et le général m’a expliqué son plan qui était de vous remettre dans les mains des goa’ulds avec une puce magnétique, on vous aurait détecté grâce a elle une fois dans le camp et on vous aurait délivré tout en faisant échouer leur plan.

Je lui ai dit que vous aviez le droit de savoir mais il m’a dit que je vous connaissait suffisamment pour savoir que vous alliez accepter et que si vous n’étiez pas au courant ce serait plus persuasif … j’ai essayé de lui faire entendre raison mais ça n’a servi a rien.

O- vous auriez du me faire confiance major, comme vous avez dit j’avais le droit de savoir et de toute façon j’y serais allé mais en étant mieux préparé, et si j’étais mort ? car la chose que vous avez oublié de tenir en compte et a mon avis la plus importante c’est qu’une fois que vous n’avouez pas ils vous tuent.

S- le général a dit qu’il avait fait changer les codes et …

O- c’est pour ça que je devais savoir.

S- je suis désolée mon colonel …

O- oui … ben moi aussi et aussi déçu, je croyais que vous me faisiez confiance, c’est comme ça que tout marche Carter avec la confiance.

Elle le regarda ses yeux marrons qui n’étaient toujours pas prêts a lui pardonner mais elle y décelai a la foi colère mais pour une raison qu’elle ignorait elle se demandait pourquoi il lui en voulait …

Bien sur elle savait qu’officiellement c’était parce qu’elle l’avait laissé aller vers les goa’ulds sans rien lui dire mais … officieusement …

 

 

Jack se rendormit un peu car il valait mieux prendre des forces, Sam resta a côté de lui pour le surveiller au grand mécontentement de Backer.

Harm quant a lui alla discuter avec Mac pour voir où elle en était avec  Brumby, en arrivant elle voulut lui parler mais il la devança.

H- Attendez, quoique vous ayez décidé sachez que je vous aime et que ça ne cessera jamais.

Elle le regarda dans les yeux et pressa sont front contre le sien.

M- Harm vous savez, je me suis dit qu’avec le temps j’apprendrais a aimer Mic car en voyant le mal qu’il se donnait pour me séduire je n’avais pas le droit de le laisser en plant ….

Elle marqua une pause avant de continuer.

M- mais … je ne peux pas me forcer a aimer un autre homme alors que celui que j’aime réellement et près de moi et veut rester avec moi …

Harm ne dit rien il se contenta de la regarder et il la prit dans ses bras.

Ils passèrent tout leur temps a discuter et bientôt la nuit tomba, bien qu’à l’intérieur des cellules il faisais constamment très sombre ils s’aperçurent de la tombée de la nuit et tombèrent de sommeil les uns après les autres.

Jack qui avait passé la moitié de la journée a dormir décida de rester et de prendre le premier tour de garde.

Lorsque tout le monde fut couché et qu’il fut bien sur de ça il releva légèrement une mèche de cheveux de Carter pour observer ce si beau visage.

***Jack***

J’ai beau prétendre que je t’en veut Sam … je te comprends … bien sur que ça me fait mal que tu n’ai pas eu confiance en moi mais je te pardonnerais n’importe quoi … si seulement ce crétin de Backer n’était pas là …je suis sur que les choses iraient de mieux en mieux … mais non il faut q’il soit la pour tout compliquer encore plus qu’avant …si tu savais … si seulement tu savais … mais comment pourrais-tu savoir alors que je le cache aussi bien ? …

***Jack***

Backer qui n’arrivait pas a fermer l’œil aperçut toute la scène et ne pu se retenir, il se leva et se dirigea vers jack.

B- mon colonel j’ai vu votre petit manège.

O-(ironiquement) allez dormir et continuez a faire des beaux rêves Backer …

B- non mon colonel, je suppose que vous n’ignorez pas que Sam est … ma fiancée ?

O- fiancée est un bien grand mot … mais je ne vois pas pourquoi je l’ignorerai étant donné que vous avez tenu a le crier dans toute la base …

B- alors je ne vois pas de quel droit vous vous permettez de la toucher …

O- surveillez votre langage Lt, nous en reparlerons dès que nous serons sortis d’ici et j’inviterai même le général a la  fête si vous voulez, maintenant allez dormir …

B- non mon colonel, nous allons en parler … maintenant.

O- mais criez pas … vous allez réveiller les autres …

B- je parlerai comme bon me semble et …

Jack s’énerva et le prit par le col bien qu’il ai affreusement mal aux côtes il était sur que si jamais ils devaient se battre il aurait le dessus sur Backer.

O- Lieutenant c’est la dernière fois que je vous donne l’ordre d’aller vous coucher si vous ne voulez pas de ma part un rapport qui vous fasse perdre toute votre avenir oubliez tout ça et allez dormir …

B- (beaucoup plus doux) Mais vous vous servez de votre grade mon colonel ?

O- pas du tout, si je dis la moitié de ce que vous avez fait aujourd’hui vous en avez pour une grosse marque dans votre dossier, mais même si je ne vous aime pas, je n’irai pas jusqu’à ruiner votre carrière … a moins que vous ne m’y forciez, alors Lieutenant allez dormir et oubliez tout ceci ok ?

Jack le lâcha et croyant que l’autre allait aller dormir il baissa ses gardes lorsqu’il reçut un coup de poing qui lui fit saigner un peu au coin de la bouche.

O-(criant et se levant) cette fois vous êtes allé beaucoup trop loin lieutenant.

Tout le monde se réveilla en entendant la voix enragée de jack.

S- mon colonel que se passe-t-il ?

O(ignorant la question de jack) Vous venez de faire la plus grosse et la seule erreur de toute votre carrière, ne dites pas que je ne vous aurait pas prévenu … vous avez de la chance qu’apophis ait pris nos armes sinon vous n’auriez plus de jambes … ah mais non il n’a pas pris TOUTES nos armes .

Backer haussa les sourcils ne comprenant pas ce qu’il voulait dire quand tout a coup jack sortir un petit pistolet de sa chaussette.

O- ce pistolet a 2 balles … une pour vous et une pour apophis…

S- mon colonel baissez votre arme …

O- restez en dehors de ça carter …

H- allons jack si tu tires ils vont entendre et vont rappliquer et la seule chance que nous avions sera perdue.

Jack ne fit pas attention et se rapprocha de Backer

B- mais enfin colonel …

O- répétez tout haut ce que vous venez de faire Lieutenant.

B- mais …

Jack avança un peu plus le canon.

B- d’accord … j’ai …

O- allons Lieutenant un peu de courage.

Teal’c qui avait vu toute la scène puisqu’il méditait afficha un petit sourire, l’arme était un plan pour les cas les plus difficiles, jack avait l’arme et teal’c avait les balles.

B- je vous ai frappé.

O- merci Lieutenant maintenant vous pouvez mourir

et sur ce il appuya sur la gâchette mais au lieu d’un coup de feu on entendit qu’un petit clic métallique.

O’Neill commença a rire jusqu’à ce qu’il ait encore mal aux côtes et aille se remettre sur sa « couchette »

O- Si vous avez eu peur lieutenant ceci n’est rien a côté de ce qu’il vous attends quand on sera sortis d’ici.

Backer le regarda et ne dis rien il retourna simplement a sa place et se coucha.

S- mon colonel que s’est il passé ?

O- eh bien votre petit copain est venu me disant que je n’avais pas a vous toucher …

S- et vous m’aviez touché ?

O- ce n’est pas encore un crime à ce je saches si ?

S- non mon colonel mais …

O- vous êtes le couple qui me hait le plus en ce moment.

Il savait qu’il faisait du mal a carter mais il ne voulait pas continuer cette discussion.

Lorsque tout le monde se recoucha Harm qui n’arrivait pas a s’endormir non plus alla vers jack.

H- alors colonel, tu as encore mal ?

O- ça aurait pu aller si ce crétin ne m’avait pas fait me lever, maintenant j’ai encore mal …

H- tu ne l’aimes vraiment pas …

O- non.

H- tu pourrais pourtant te débarrasser de lui …

O- je sais mais je ne veux pas faire usage de mes connaissances ou même de mon grade, je veux faire ça en toutes règles et il vient en me frappant de commettre une erreur impardonnable.

H- Tu sais jack c’est grâce a toi que Mac et moi …

O- pas la peine de me remercier Raby.

H- je ne t’ai pas remercié, mais je veux pouvoir te rendre la pareille.

O- (tournant la tête vers Backer) a  moins que tu ai un silencieux je ne vois pas ce que tu pourrais faire…

H- jack …

O-Ca va … mais c’est vrai Raby tu ne peux rien faire hélas …

H- si je peux faire quelque chose …

O- ah bon et quoi donc ?

H- je peux seulement te conseiller de ne pas faire ce que tu veux faire …

O- quoi a propos de Backer ?

H-oui.

O- mais tu es fou ? c’est ma seule chance …

H- si tu le fais il n’y a  qu’a toi que ça fera du tort.

O- comment ça ?

H- eh bien elle ne te le pardonneras pas …

O- mais …

H- crois moi jack …

Il regarda Carter qui dormait a côté de lui et soupira.

H- tu as pris la bonne décision.

O- j’en ai marre de me battre pour quelque chose que je n’aurai jamais.

H- qu’est ce que tu veux dire par là ?

Il fit un signe  de tête vers carter.

H- tu te trompes …

O- j’aimerais te croire Raby …

H- tout a l’heure elle est allée pleurer dans un coin, ce que tu lui as dit l’a vraiment blessée.

O- elle ne pleurait pas elle ne faisait que bouder et puis c’est normal que ça la blesse nous sommes « amis » mais moi aussi ça m’a blessé quand j’ai su qu’elle m’avait laissé partir vers les goa’ulds sans dire un mot …

H- et tu crois vraiment que la bonne solution est de lui faire tous ces reproches ? … je ne veux pas dire que si j’étais a ta place je ne ferais pas la même chose mais … enfin jack… tu vas lui briser le cœur … et ça je sais que ce n’est pas ce que tu veux … tout ce que tu veux c’est son bonheur…

O- non … si je voulais son bonheur je la laisserai tranquille avec ce …

H- crétin ? J je sais mais c’est justement par ce que tu sais qu’elle n’est pas heureuse avec lui, tu le sais et tu ne peux pas l’accepter pourtant tu ne fais rien pour l’en empêcher n’est ce pas ? Jack ouvre les yeux je vis exactement la même chose que toi et c’est grâce a toi que j’ai pu avoir Sarah …

Il s’arrêta se souvenant qu’il venait de prononcer le nom se l’ex femme de jack devant lui…

H- je …

O- tu n’as pas a être désolé Raby …

H- tu sais quel bonheur on peut ressentir, je ressens ce bonheur là en ce moment et si ces « goa’ulds » devaient me tuer, est bien mon seul regret serait de ne pas avoir agit plus tôt …

O- oui je sais ce qu’on peut ressentir Raby, mais ….

H- ça ne finira pas de la même façon jack …

O- tu lis dans mes pensées Raby ?

Il lui sourit lentement et puis ils parlèrent d’autres choses jusqu'à arriver sur la mort de Charlie.

O- tu sais quand tu vois ce genre de choses, tu … tu … as envie de tuer la personne qui a fait ça … quand tu découvres que il n’y a personne a tuer ça fait très mal … mais quand tu découvres que la personne qui à fait ça a ton fils c’est  … toi même …

H- Jack tu … enfin tu dois comprendre que tu n’y est pour rien et Charlie t’aimait jack il ne voudrais pas que tu passes le reste de ta vie a souffrir « a couse de lui ».

O- je sais Raby … mais je ne peux pas m’empêcher a chaque fois de me dire que si je n’avais pas laissé cette arme, il ne l’aurait pas …

H- et lui il doit se dire «  et si je n’avais pas pris cette arme … » mais ça ne sert a rien jack si tu n’avais pas pris cette arme peut-être que tu serais resté au travail et il aurait pu se faire renverser par une voiture et …

O- mais pas de mes mains Raby … pas de mes propres mains …

Ca faisait longtemps que jack n’avait pas versé un seule larme, il se disait toujours «  les bons soldats ne pleurent pas … » mais là il y a avait son meilleur ami et ils parlaient de son fils, cela l’aidait beaucoup d’avoir l’avis de Harm.

O- merci Raby, a charge de revanche …

H- tu n’as pas a me remercier colonel.

Il sourit et puis Harm décida qu’il était grand-temps d’aller dormir mais il se retourna pour demander :

H-Comment est ce que tu as connu L’amiral Chegwidden ?

O- j’ai connu A.J au cours d’une de mes missions, il était dans les commandos et il m’a sauvé quand j’avais voulu faire exploser le bâtiment dans lequel j’étais avec du C4.

H- mais pourquoi ?

O- on avait tué tous mes gars et c’était tous mes amis, et il y a avait trop de terroristes et ils ne devaient pas s’enfuir, nous avions pour ordres de collaborer avec A.J et ses gars.

H- et comment a-t-il bien pu te sauver, ne me dis pas qu’il vole ?

O- pendant que je posais les C4 j’ai vu tous les terroristes tomber un à un et là je n’y comprenait plus rien, c’est alors que j’ai  vu un sniper sur le toit il les a tous descendu avant qu’ils ne comprennent qu’il était là, plus tard il m’a conseillé de ne pas toujours agir aussi vite et surtout a faire attention, c’est lui qui m’a appris comment faire pour garder mes équipes en vie, je lui dois vraiment beaucoup.

H- oui c’est un très chic type !

Ils se sourirent mutuellement et Harm alla reprendre sa place au près de Mac qui commençait a avoir froid !

Jack regarda encore Carter dormir puis il s’endormit lui même.

Le lendemain ce fut jack qui ouvrit les yeux avant tout le monde, sa tête touchait celle de carter et pas moyen de la retirer sans la réveiller il essaya mais elle ouvrit les yeux et lui ferma les siens faisant comme si il dormait encore.

Il s’attendait a se que carter se retire brusquement mais au lieu de ça elle prit gentiment sa tête et la déposa sur le côté puis elle lui murmura à l’oreille :

S- si seulement tu savais.

***Jack***

Si seulement je savais quoi Sam ? pourquoi me caches tu encore des choses, ne me fais-tu donc pas confiance ?

Tout ce qui se passe est de ta faute Jack O’Neill, tu es un imbécile comment peux tu rester sans rien faire alors que cet imbécile …

***Jack***

Il décida qu’il allait tenter une chose, Carter allait se lever mais il lui attrapa la main et elle sursauta.

S- mon colonel, vous m’avez fait peur …

O- vous pensiez que c’était Backer ?

S- Mon colonel …

O- de toute façon je n’ai pas envie de parler de lui non  plus …

S- Il y a un problème ?

O- pourquoi je ne peux pas simplement avoir envie de vous parler sans qu’il y ait un problème ?

S- si mon colonel bien sur que si …

O- bien alors …

S- qu’est ce que vous vouliez me dire ?

O- eh bien .. vous savez pour … hier …

S- oui …

O- eh bien … je voulais vous présenter mes excuses et vous dire que je ne pensais pas un seul mot de ce que j’ai dit … bien sur que ça m’a fait de la peine … mais je n’avais pas le droit de m’en prendre a vous comme ça et …

S- non mon colonel, je vous assure que vous n’avez pas a me présenter d’excuses … c’est au contraire a moi de me faire pardonner car j’aurais du vous faire confiance et …

O- disons que c’est la faute a Hammond et que c’est lui qui va m’entendre ok ?

S- ok mais …

O- je sais que le général est un commandant super, mais ça ne change rien du tout au fait qu’il n’avait pas a vous ordonner de ne rien me dire …

S- alors on oublie tout ?

O- non pas si vite, vous allez devoir me payer une bière quand on sera rentré … non un dîner, ça mérite un dîner …

S- il faudrait d’abord qu’on sorte d’ici …

O- promettez moi mon dîner et je ferais ce qu’il faut pour ça …

S- eh … bien …

O- ah oui Backer …. Je vois ….

S- (immédiatement) non! Je vous le promet …

O- super …

Ils se regardèrent dans les yeux ne disant rien pendant environ plus de 3 minutes et puis un garde arriva.

Jaffa- Kildar veut vous voir …

O- je suppose que Kildar est  notre gentil hote ?

Le jaffa ne repondit pas et entreprit de réveiller les autres par des coups de pieds.

O- eh allez-y doucement …

C’est alors qu’il remarqua que le jaffa était tout seul et il était a sa merci, seulement il ne pouvait pas agir a cause des ses nombreuses blessures non soignées correctement et qu’il soupçonnait de commencer a s’infecter.

S- mon colonel a quoi vous pensez ?

O- (chuchotant) ben le jaffa … il est seul …

S- je m’en occupe …

O- non major, je ne veux pas prendre ce risque.

S- mon colonel sans vouloir vous offenser, j’ai plus de chances que vous en ce moment …

Il réfléchit environ deux secondes avant d’accepter.

O- bon très bien mais si vous avez le moindre petit doute, vous revenez ok ?

S- bien mon colonel

Elle se dirigea vers le jaffa avec le plus de discrétion possible jack devait avouer qu’il aimait voir les mouvements « gracieux » qu’elle effectuait quand elle faisait ça.

Le jaffa arriva près de teal’c et Sam pensa que c’était le moment d’agir car si jamais le jaffa arrivait a la surprendre t’eal’c l’aiderait mais elle n’eut même pas a le faire puisque teal’c dans un mouvement sans pareil avait pris la tête du jaffa et l’avait tournée dans un petit bruit d’os rompu.

O- eh bien teal’c heureux de voir que vous avez toujours vos réflexes.

T- merci O’neill.

O- bon préparez-vous, moi je vais réveiller le Lt backer.

Sam regarda dans sa direction mais elle ne voulait pas détruire tout ce qu’ils venaient de se dire, et puis c’était lui qui l’avait provoqué et elle allait le laisser se débrouiller.

Jack donna un grand coup de pied dans le derrière de Backer qui dormait encore.

B- (encore somnolent) mais vous êtes fou ?

O- agression envers un officier supérieur ne vous suffit pas en plus il faut que vous m’insultiez ?

B- eh bien …

O- bon allez on y va … je dois dire que j’ai été tenté de vous laisser dormir mais le général ne m’aurait pas donné mon week-end.

Backer comprit en voyant le jaffa qui gisait mort au centre de la pièce.

Jack avait très mal a la tête et ses blessures lu faisaient de plus en plus mal mais il le cachait bien et personne ou presque ne s’en apercevait.

H- jack mais qu’est ce que tu es entrain de faire ?

O- ben je marche et j’essaye de vous ramener tous vivants sur en haut.

H-ça je le vois bien mais … pourquoi ne nous dis-tu pas que tu as si mal ?

O- mais je n’ai pas mal Raby …

H- a d’autres … je te connais beaucoup trop bien pour ça …

O-hé oui mais ça ne servira a rien de me plaindre ça ne fera qu’inquiéter des gens … enfin j’espère…

H- oui tu as sans doute raison mais laisse moi t’aider …

O- je n’ai pas besoin d’aide et puis Carter serait vexée …

H- je vois … bon je te laisse dans ton héroïsme et je vais rejoindre Mac.

O- bien … vas-y … t’en fais pas pour moi !

Harm s’en alla en secouant un peu la tête, il savait que ses blessures lui faisaient mal mais il avait tenu a ne rien dire pour ne pas ralentir les autres dans leur escapade, mais il ne pouvait pas lui en vouloir car lui aussi aurait fait pareil a sa place.

***Jack***

Bon sang … qu’est ce que j’ai mal … tout ce que je veux c’est me reposer, j’en ai marre de tout le temps marcher … merde en plus je ne vois pas bien qu’est ce qui m’arrives … merde une de mes blessures commence a saigner mais si je le dis a carter elle va s’inquiéter et elle voudra qu’on s’arrête … mais si je ne lui dis pas les jaffas pourront nous suivre avec toutes ces traces de sang et quand ils nous retrouveront je serais vidé de mon sang …raaaaah allez O’neill tu n’as pas le choix, apelle la et dis le lui…

***Jack***

O- Carter ?

Sam cherchait justement une excuse pour aller l’aider sans éveiller de soupçons car elle savait qu’il avait affreusement mal et lui enviait le courage de souffrir ainsi en silence.

S- Oui mon colonel ?

O- venez par ici !

Elle se rapprocha de lui et remarqua alors le sang qui avait maintenant commencé a traverser ses vêtements.

S- mon colonel vous perdez beaucoup trop de sang.

O- merci pour la nouvelle carter mais je préférerais quelque chose comme « je vais arrêter ça … »

S- Bien sur mon colonel, je vais arrêter ça !

O- mhhh ça va déjà mieux, allez-y.

Il vit un groupe de jaffas qui passaient par là et eu juste le temps de dire a son equipe de se planquer, ce qui avait de bien dans les constructions goa’ulds c’est qu’il y  avait pleins de planques et ça tout le monde l’appréciait !

O- bon major on est ici en sécurité et je pense qu’aucun jaffa ne viendra ici de si tôt, mais faites quand-même vite il faut profiter avant que quelqu’un remarque que nous sommes partis.

Juste quand il eut fini sa phrase il vit les champs d’énergie qui s’enclenchaient.

O- eh merde, maintenant ils vont nous courir après … Carter faites vite.

Carter commença a défaire sa chemise et vit qu’il avait une grande blessure a la limite du dos et des côtes.

S- eh mais vous n’aviez pas cette blessure hier …

O- mais bien sur des blessures qui se font toutes seules la nuit maintenant.

S- je suis sur que…

O- major vous avez du mal regarder .. maintenant si vous voulez bien arrêter ce saignement je me sentirais mieux.

S- bien mon colonel.

***Sam***

Mais où est ce qu’il s’est fait cette blessure, je suis sur qu’il ne l’avait pas hier j’… j’ai regardé partout et il ne l’avait pas elle est trop importante pou que je ne l’aie pas vue…

Non c’est impossible… il me cache des choses … après tout il a le droit …

Mais si sa blessure n’était pas là hier où a-t-il bien pu la dénicher …

 Ce n’est pas kevin il ne l’a frappé qu’au visage … mais alors comment ? … comment…

***Sam***

Elle commença a y toucher quand Jack fut pris d’une douleur qu’il n’avait jamais ressenti auparavant !

O- eh Carter ça fait mal, allez-y doucement !

S- mhhh désolé mon colonel mais il va falloir que j’y touche pour arrêter votre sang.

Rien que le contact de ses vêtement lui créait des décharges incroyables alors y toucher ….

O- ça va pas la tête ?

Elle sortit un bandage de sa poche sans répondre a sa question mais elle était étonnée aucun bandage n’avait fait peur a jack auparavant… et il en avait eu des bandages …

O- ce truc là est censé être dans la trousse de secours …

S- oui mais si il y était je n’aurais pas pu l’utiliser sur vous …

O- Ben voyons …

Elle prit une petite bouteille en plastique et mit le contenu sur de la ouate.

O- attendez c’est pas ce que je crois que c’est … n’est ce pas ?

S- de l’alcool mon colonel, j’en ai toujours utilisé quand s’était nécessaire …

O- vous savez quoi tout ça ne fait que nous retarder, allons-y et on me soignera a la maison.

S- si je n’arrête pas votre sang, vous n’y arriverez jamais … à la maison.

Il se tint tranquille et se demanda ce qu’il pourrait bien faire, mais il n’y avait rien a faire il ne pouvait pas prendre le risque de crier quand elle lui appliquerai l’alcool, pouratant il se demandait si il allait pouvoir s’en empêcher.

O- bien attendez, qui a un mouchoir sur lui ? … propre …

Mac lui tendit le sien qu’il mit en boule et se le mit dans la bouche puis voyant le regard de tout le monde il ajouta péniblement a cause du mouchoir.

O- quoi ? … j’avais faim …

H- on ne parle pas la bouche pleine.

Tout le monde sourit, malgré les circonstances jack et harm arrivaient encore a plaisanter.

Sam commença a appliquer l’alcool et jack ressenti … il ne pouvait pas le dire … mais en même temps que cette immense douleur il vit une image mais elle était passée trop vite et il n’avait pas eu le temps  de bien l’identifier il mordit le mouchoir autant qu’il put et ferma les yeux puis après il ressenti encore  la douleur du bandage qui s’enroulait lentement sur sa poitrine et au fur et a mesure que les couches se mettaient les une sur les autres, il se sentait de mieux en mieux.

Mac regardait en ne comprenant pas ce qui se passait, pendant que elle lui mettait ses bandages il n’avait pas bronché, pourtant il venait juste de se réveiller quand elle a commencé et Sam prenait bien plus de soin a ne pas lui faire mal que elle ne l’avait fait, jack n’était pas (enfin il lui semblait) un homme a faire du cinéma alors qu’ils étaient dans une situation si terrible.

***Mac***

Je n’y comprend plus rien, d’abord jack qui débarque avec des très sérieuses blessures que je n’avais jamais vu auparavant puis ses histoires d’extra-terrestres, on se fait emprisonner on s’évade et jack a une blessure qui semble venue de nulle part.

Et harm, comment va-t-il j’espère qu’il n’a rien …et puis Mic …cette chaînette, il ne s’en séparait jamais … comment a-t-il pu la perdre ? … c’est impossible … il faut qu’on y aille… il faut qu’on sorte d’ici …Mic est un grand garçon et il sait ce qu’il fait … pour l’instant je dois penser a moi … et Harm puis aux autres allez Sarah, tu as le bonheur devant toi … enfin a côte de toi et tu ne vas pas laisser des espèces de serpents –d’après jack- te le prendre … hein ? … n’est ce pas ?…

***Mac***

Après que tout soit fini ils reprirent la marche mais cette fois ci Sam voulut rester avec Jack, prétendant que elle devait surveiller son sang, ce qui mit Backer dans une rage incroyable mais ça ne fit que sourire Jack et Harm car il devait l’avouer lui non plus n’aimait pas Backer, et il était sur que si Jack voyait Brumby il ne l’aimerait pas non plus…

Backer restait dans un coin, il regardait Sam qui parlait avec Jack et a chaque fois il avait l’impression de la perdre, qu’elle était irrésistiblement attirée par Jack cela crevait les yeux pour lui mais il l’aimait sincèrement et il ne donnerais pas une seule chance a jack, mais il avait commis plusieurs erreurs dans sa vie, des erreurs impardonnables … et il savait que si jamais Sam le savait il la perdrait pour toujours … il avait fait ça rien que pour s’amuser … mais peu a peu il s’est aperçut de tout et là il ne pouvait plus faire marche arrière … il avait déjà tué … et il avait adoré …

***Kevin Backer***

Ahhh l’odeur du sang … tout ça me plaisait, plus je tuais plus je me sentais mieux … puis j’ai rencontré Sam et elle détestait tuer …elle ne le faisait que si sa vie était mises en danger …elle détestait tuer… et moi… je l’aimais … je devais choisir entre le pouvoir de tuer et son cœur …finalement je l’ai choisi elle… mais je n’ai pas pu combattre mon envie de tuer, et chaque nuit au Park je me faisais un petit meurtre … mais cela ne me suffit plus …et elle me quitte lentement mais sûrement … elle me quitte pour lui…cet homme que je hais … et je ne peux même pas le tuer mais avec le temps je trouve toujours un point faible, et aujourd’hui j’ai le sien il est mal en point et sans défense … mais je ne peux pas le tuer, si je le touche devant Sam … elle me haïra et ça …ça me tuerai…

***Kevin Backer***

B- seltar !

Il se maudit d’avoir dis ces mots, il savait qu’il venait de faire la plus grosse erreur de toute sa vie et qu’il allait la payer très cher dans un cas ou un autre.

Jack qui était tout devant n’avait pas entendu, mais Harm avait tout entendu et il était resté la bouche ouverte avant que ses réflexes ne prennent le dessus et il prit backer par le col et le souleva, jack s’aperçut du geste et les poussa dans une planque === he oui je sais y en a beaucoup mais qu’est ce que vous voulez ===

H- tu veux répéter ?

M- Harm qu’est que vous faites ?

O- c’est vrai ça qu’et ce que tu fais ? c’est mon boulot ça …

Voyant que ça n’avait aucune effet il utilisa des termes plus professionnels.

O- capitaine, que faites vous ?

Harm se contenta de requestionner Backer en serrant plus sur sa gorge.

S- mais enfin arrêtez vous allez le tuer.

O- n’exagérons rien …

B- J’ai dit … j’ai dit seltar …

Harm le relâcha et ce fut Jack qui prit la relève.

O- tu as dit seltar ? espèce de …

S- Mon colonel ?

O- major trouvez quelque chose pour l’attacher.

S- mais mon colonel ..

O- exécution !

Elle lui donna sa ceinture qui ne lui servait pas a grand chose et il attacha les mains de Backer derrière son dos.

B- lâchez moi et vous aurez une chance de partir…

O- attends je réfléchis .. non !

Harm et jack avaient vraiment un semblant de haine dan leurs yeux, mais les surprises n’étaient pas finies.

Une voix derrière eux leurs dit de ne plus bouger, mais aussi bien Mac que Harm reconnurent la voix.

H- Brumby ?

A-qu’est ce que ça veut dire d’où te connaissent-ils ?

Br- Eh bien mon seigneur la femme est ma compagne.

Le reste de l’équipe se retourna pour voir Brumby a coté d’apophis tenant un Zat dans sa main.

O- alors c’est vous les fameux Brumby ? … on m’a beaucoup parlé de vous …. Oh que du bien ne vous en faites pas …

M- oh Mic ses choses t’ont forcé a leur servir d’hote ?

Il regarda Apophis d’un œil et ne dit rien.

D- non ils n’ont forcé personne … enfin pas cette fois-ci.

S- je confirme, pas l’ombre d’un symbiote en lui.

Brumby leur jeta un regard plus qu’assassin baissa les yeux quant ils rencontrèrent ceux de Mac, il l’avait vraiment aimée et il voulait quitter les Goa’ulds, mais il avait fait une erreur en acceptant de leur servir d’espion, il aurait pu refuser avant que les choses ne deviennent plus sérieuses, mais il avait tenu a aller plus loin toujours plus loin jusqu’au jour ou il a vu qui étaient réellement les goa’ulds, il aurait pu aller le dire a tout le monde mais non il s’est tu et il a continué a les servir comme des dieux, d’une certaine façon il aimait ce qu’il voyait, son spectacle préféré était de voir comment les gens souffraient avant de mourir quand Apophis utilisait son arme de poing, ou alors voir la lumière jaune qui sortait de partout lorsqu’on torturait les gens avec le fouet goa’uld.

***Brumby***

Désolé Sarah, mais tout ça est de ta faute, si tu n’étais pas tout le temps avec ce Harm j’aurais fini par changer j’aurai eu la force d’échapper aux Goa’ulds ou alors je serais mort en ayant de l’estime dans ton cœur mais je sais que maintenant tout ça n’arrivera jamais … non car je t’ai trahie et je le regrette … mais on ne change pas le passé … ni l’avenir et le mien et de faire en sorte qu’Apophis gagne comme ça j’aurai la chance que je mérite  peut-être avec elle si elle est toujours en vie … mais sera-t-elle toujours en vie ? … bien sur … bien sur …bien sur … bien … bie …bi …

***Brumby***

Jack enrageait de ne pouvoir rien faire il détestait quand la situation le dépassait mais le fun a côté de tout ça c’est qu’il voyait qu’il y a avait des humains encore assez stupides pour vénérer les Goa’ulds même sans symbiote.

Apophis jeta un œil vers Brumby qui se rapprocha des autres et leur dit :

B-(difficilement) on s’agenouille devant son dieu.

Il n’arrivait pas a croire qu’il ait fait ça dans toute sa vie sur terre il s’était montré arrogant mais ici avec Apophis toute son arrogance était réduite à l’humiliation et a une prise de conscience qu’il venait de perdre l’estime et peut-être l’amour de celle qu’il aimait et le respect===si toute fois y’en a eu J=== de son rivale.

Il regarda vers Harm qui le regardait d’un regard méprisant puis vers Mac qui elle aussi le regardait en le méprisant mais il sentait qu’au fond elle avait pitié de lui et c’est ça qu’il détestait par dessus tout  … il aurait tout donné pour ne jamais voir de la pitié pour lui dans ses yeux, au fait il se rendit compte que tout le monde le regardait de ce regard !

Il insista en avançant sa main pour faire s’agenouiller Mac mais a son regard qu’elle lui lança il retira immédiatement sa main.

M-(tout doucement et avec haine) Ne me touche pas … ne me touche plus jamais.

 

 

 

 

 

On les conduisit tous dans une pièce, bien sur ce n’était pas la prison mais quelle différence ils étaient enfermés et seuls.

Il prit un petit temps a Sam pour remarquer que Backer n’était pas là et elle dirigea son regard vers jack.

O- vous vous rappelez la fameuse blessure qui me faisait si mal et dont vous vous interrogiez sur la provenance ?

S- oui mais … Kevin n’aurait …

O- mais où il est votre Kevin hein ? où il est, vous refusez seulement d’admettre que c’est un traître et qu’il nous a trahi ?

S- mon colonel je …

O- vous aussi vous pouvez faire des erreurs Sam… il n’est pas des nôtres et c’est comme ça …

S- oh mais bien sur juste parce que vous ne l’aimez pas c’est un traître.

O- non major parce que c’est un traître je ne l’aime pas … et c’est pas la seule raison.

S- je refuse d’y croire …

O-mais enfin ouvrez les yeux …

S- c’est simple vous…vous avez toujours raison et c’est tout.  Parce que vous dites quelque chose on doit tous se plier a votre avis ?

O- quand ai-je exigé cela d’un membre de mon équipe ?

Elle ne dis rien et se contenta de partir mais il la suivi, il ne voulait pas laisser passer sa chance pas de cette façon … pas a cause de lui …

O- attendez enfin …

Elle s’arrêta dans un endroit un peu triangulaire d’ou personne ne voyait ce qui se passait !

O- écoutez je suis désolé si je vous ai vexé mais …

S- vous n’avez pas a être désolé…

O- si je dois … écoutez, ce n’est pas facile pour moi mais … vous savez quand nous sommes allés pour détruire le vaisseau d’Apophis ?

S- oui …

O- eh bien quand vous étiez derrière les champ d’énergie et que vous me disiez d’y aller … je … je …

S- vous n’avez pas a vous forcer mon colonel …

O- je ne pouvais simplement pas partir en vous laissant … que serait ma vie sans vous sam ?

S- mais il y a tous vos autres amis … je veux dire Daniel teal’c le général … Harmon … Sarah ..

Elle s’arrêta en se maudissant..

S-Je voulais parler de cette Sarah-si mon colonel.

O- j’avais compris.

S- merci.

O- non vous savez moi je ne vous vois pas comme mon amie, vous l’avez été mais pas longtemps, je vous considère comme bien plus.

S- c’est à dire.

O- c’est à dire que je ne supporte plus de voir que cet imbécile de Backer peut vous prendre dans ses bras quand il veut, comme il veut et où il veut, tandis que moi je dois attendre de frôler la mort pour pouvoir vous prendre dans mes bras et sentir vos cheveux … et changer mon plaisir en bonheur quant je rencontre enfin vos yeux … il fallait que je vous le dise et si vous ne ressentez pas la même chose ce n’est rien … bien sur que ça me fera de la peine mais je préfère savoir que vous ne m’aimez pas en vous l’ayant dit plutôt que d’espérer en vous cachant tout !

Il s’arrêta un moment pour la regarder pendant qu’une larme coulait des ses magnifiques yeux pour rouler sur sa joue et  il avança sa main l’essuya puis en se levant :

O- ne vous en faites pas je n’en mourrais pas …

Il força un sourire et il s’en alla  il sentait qu’il n’était pas bien, tout ce a quoi il s’était accroché venait de disparaître et son envie de vivre avec.

***Jack***

Pourquoi est ce que tu lui a demandé O’Neill tu n’es rien d’autre qu’un idiot, comment as tu pu espérer qu’elle ressentirait quelque chose pour toi ?

Bien …je…ne vois plus de raison de continuer … et puis j’ai si mal alors pourquoi ne pas me laisser aller … avec de la chance je vais arriver a la maison en vie où alors je mourrais ici de toute façon quelle importance ? Je ne l’aurais jamais … ah Sam si tu savais …si seulement tu savais …si …

***Jack***

Il s’arrêta de penser en s’apercevant que ses jambes ne le maintenaient plus debout il tomba, attendit de toucher la terre mais il ne la toucha jamais, il ouvrit un œil et ne fut pas étonné de voir que teal’c et Harm le tenaient fermement.

Ils allèrent le déposer sur ce qu’il aurait appelé un banc et le couchèrent il regarda Harm dans les yeux et secoua légèrement la tête, Harm comprit mais il aurait parié que Sam ressentait quelque chose pour Jack… quelque chose d’autre que de l’amitié simple… il avait attendu sa voix au téléphone et si il y a une chose qui ne trompe pas c’est la voix.  Il était dépassé.

H- Jack tu ne dois pas abandonner maintenant.

O- laisse tomber Raby, je n’ai plus aucune raison de continuer, je suis vieux … et j’ai fait l’important de ma vie … je vais retrouver mon fils … tu devrais me féliciter…

H- allons jack, tu n’est  pas un lâche et tu sais aussi bien que moi qu’au niveau de l’age physique tu n’as pas a t’en faire, et au niveau de l’age mental, plus tu en as et mieux c’est n’est ce pas ?

O- pourquoi est ce que je me battrais encore, ma seule préoccupation vient de m’être prise, alors laisse moi m’en aller tant que j’ai encore de bons souvenirs.

H- jack, tu peux en avoir d’encore meilleurs …. Et puis il y’a ton équipe jack, il n’y a qu’a toi que l’amiral a montré comment maintenir ton équipe en vie … Jack ne les abandonnes pas …

Harm savait que ça faisait du mal a jack ce qu’il disait mais ça lui faisait deux fois plus mal et en plus il préférait le voir en vie et ne voulait pas aller a son enterrement sitôt.

Jack était si fatigué, pourquoi ne pouvait-on pas le laisser dormir, personne ne comprenait donc ce qu’il ressentait ? Il avait perdu Charlie … son fils unique … et maintenant Sam … comment pouvait-on l’accuser de … lâche et dire … qu’il abandonnait son équipe … jack O’Neill préférait souffrir mille morts plutôt que d’abandonner son équipe, et même en sachant que  ils iraient bien, il n’avait pas le droit de les laisser entre les mains des goa’ulds.

Il chercha la force en lui et réussit a se mettre péniblement debout !

D- ouais jack vous êtes le meilleur, allez tenez encore quelques minutes.

Mais jack était si fatigué la seule chose qu’il voulait s’était s’endormir et pour toujours et rêver de Sam !

Mac s’approcha lentement de lui et commença et le soigner, mais bientôt carter revint et décida que c’était son boulot, Mac ne protesta pas et il n’eut pas besoin de mots pour savoir que Sam allait s’occuper du reste maintenant !

Mais jack ne voulait pas avoir l’air aussi « pathétique » devant Sam et surtout il ne voulait pas qu’elle sache qu’elle en était en grande partie responsable.

S-(s’adressant a tous avec une colère) pourquoi ne m’avez vous rien dit ?

Tout le monde regarda jack et personne ne répondit.

O- parce que je leur ai ordonné major !

S- mais …

Elle s’arrêta comprenant la raison de cette « rechute » chez jack , elle allait parler mais jack l’en empêcha en parlant avant elle .

O- bon nous partons maintenant avant que je ne puisse plus bouger.

H- on aimerait tous sortir jack mais donne nous une clé magique et nous partirons volontiers.

Mac sursauta lorsqu’il sorti un couteau qui brilla au contact du soleil qui provenait d’on ne sait où.

O- si il y a du soleil ça veut dire que nous ne sommes pas trop loin de la surface, et qu’y a t il dans tout camp goa’uld digne de ce nom ?

T- des vaisseaux.

Teal’c avait dit ce mot si calmement admirant l’idée de jack pour quelqu’un qui avait autant de logique, il devrait s’en servir plus souvent mais vous ne verrez jamais Jack O’Neill réfléchissant sans qu’il y ait une véritable catastrophe.

O- exactement, et même si il n’y a pas de vaisseaux il y aura toujours des planeurs de la mort.

S- il ne reste plus qu’a trouver comment faire pour que quelqu’un vienne se faire poignarder.

En disant cela la porte grinça et jack eut juste le temps de passer le couteau a teal’c avant qu’un jaffa ne vienne les voir.

Jaffa- vous êtes attendus …_désignant Mac_ vous d’abord.

O- voyons mon garçon, il faut prendre rendez-vous pour prendre un avocat.

La jaffa s’approcha pour frapper jack pour son insolence mais eu en retour une lame dans le ventre.

Ils se précipitèrent tous vers la sortie et teal’c alla aider jack.

Ils allèrent tous vers la lumière espérant y arriver avant de faire une mauvaise rencontre, mais il y avait trop de jaffas.

O- allez-y je vais vous couvrir.

S- pas question, vous ne pouvez rien faire dans votre état.

O- et c’est pour ça que je vais vous couvrir … et puis je n’ai pas a m’expliquer devant vous, je vous donne un ordre vous y obéissez point.

S- pas cette fois mon colonel …

O- comme si d’habitude vous le faisiez… mais là c’est différent si vous désobéissez a mes ordres je vous traînerai en cour martiale est ce bien clair major ?

S- oui mon colonel.

Sur ce elle s’avança et remplaça teal’c tout en lui donnant le Zat qu’ils avaient pris sur le jaffa.

S- essayez de nous couvrir teal’c.

T- bien major Carter.

O- teal’c dites lui de me lâcher enfin … vous vous obéissez toujours aux ordres ?

T- pas cette fois O’Neill … désolé

O- il faut croire que mes ordres sont maudits, j’achèterais une camera au cas ou un de mes hommes voudra obéir.

Il reçut un charmant sourire de Sam et puis essaya de tenir plus ou moins debout pour qu’elle n’aie pas trop de mal car elle était beaucoup moins forte que teal’c .

Ils arrivèrent bientôt a la lumière mais teal’c avait de plus en plus de mal a tenir, c’est alors qu’ils tombèrent sur un jaffa qui semblait perdu dans les couloirs …

O- méfiez vous des jaffas perdus.

Harm n’eut pas trop de mal a se débarrasser de lui et prit le Zak qu’il avait, il échangea avec le Zat de teal’c car celui-ci était plus habile avec son Zak et grâce a ça ils gagnèrent un peu plus de temps .

En sortant dehors ils furent frappés par le soleil car ils n’avaient pas vu le jour depuis deux jours.

Tes vaisseaux doivent être là-bas.

Harm et Mac ne voyait rien a part un grande zone dégagée.

M- mais il n’y a rien là-bas.

O- camouflage optique, très pratique !

Teal’c s’avança vers les vaisseaux mais rien ne changeait aucun d’entre eux ne se montraient.

T- ils doivent être protégé par un mot de passe comme celui du chasseur de primes.

O- merde on avait bien besoin de ça.

D-laissez-moi essayer quelque chose …

O- nous sommes actuellement ouverts a toutes propositions Dany boy … même les vôtres.

Daniel ne répondit pas s’avance et cria :

D- seltar.

L’un des vaisseaux pas très loin apparut soudain.

Harm commençait a s’habituer a touts ses surprises, il aurait vu superman qu’il n’aurais pas bougé mais Mac …

Ils allaient entrer dans les vaisseaux quand une voix se fit entendre derrière eux.

*- Arrêtez … vous ne pensiez pas que ça allait être un peu trop facile ?

O- ben avec vous on sait jamais.

Il se retourna pour voir les visages de Backer et Brumby.

O- tiens les B sont réunis.

Ba-(adressant a Sam et Mac) Venez avec nous, vous aurez tout ce que vous voulez .. mais la gloire en plus.

S-(avec colère) mais quelle gloire .. celle de tuer des milliers de gens chaque jour ?

Backer aurait aimé dire « oui » mais si il le faisait il serait le plus bel imbécile de la planète.

Br-(vers Mac) Allez viens tu seras heureuse là où nous allons.

H- vous pensez que Apophis va vraiment vous laisser vivre après avoir attaqué la terre ?

Br- méfies toi, il est intelligent !

H- peut-être que c’est Brumby qui est derrière tout ça hein ? … qui sait il a peut-être conclut un marcher comme quoi s’il vos tuait il sera recompensé … ou alors c’est vous –montrant Backer du doigt- Oui pourquoi pas, vous semblez quelqu’un d’avide de pouvoir …

Mais admettons que rien de tout ça n’est vrai, vous êtes innocents tous les deux Apophis vous laissera-t-il vraiment prendre un partie de son règne ??… jack ???

O- avec l’arrogance qu’il a ??? noooon je ne pense pas mais bon ses messieurs peuvent encore patienter…

Un bruite vaisseau qui s’envole attira tout le monde et teal’c et Harm en profitèrent pour désarmer les deux « crétins », mais brumby réussit a avoir le couteau que teal’c avait utilisé pour tuer le premier jaffa il courut vers Harm mais une grosse boule de feu lui traversa la poitrine avant qu’il ne puise atteindre Harm.

H- je vous remercie teal’c.

Il se contenta juste d’incliner la tête comme d’habitude !

Mais pendant ce  temps là Backer était entrain de courir vers le vaisseau d’Apophis toujours en phase de décollage !

B- mon seigneur revenez,   vous aviez promis … vous aviez promis …

Il revint au vaisseau les bras le long du corps dans un signe de totale défaite mais Teal’c se demandait pourquoi le vaisseau d’Apophis ne s’en allait toujours pas …

Puis en tendant l’oreille il entendit un bruit qu’il connaissait trop bien et il s’amplifiait.

T- tout le monde dans le vaisseau vite !

O- hey teal’c du calme, vous voyez bien qu’il n’y a plus de menace.

T- c’est là que vous vous trompez O’Neill, il y a la plus grosse… un genre d’autodestruction .

O- oooops.

Ils montèrent tous dans le vaisseau et commencèrent a regarder vers le tableau de bord.

Sam se raprocha de l’ouverture et apella.

S- allez vient Kevin on y va !

B- est ce que si je viens tu resteras avec moi ?

S- … je … je ne peux … pas, j’aime quelqu’un d’autre, mais nous serons amis … c’est pareil … allez viens …

Backer la regarda mais il comprit qu’il l’avait perdue depuis très longtemps, quoi qu’il ait pu faire ou ne pas faire elle ne lui appartiendra jamais, alors il se retourna et commença a courir vers le vaisseau d’Apophis en criant. « faux dieux … vous n’êtes que des faux dieux … je vous hais tous … espèces de faux dieux … »

Sam voulut descendre pour aller le chercher mais teal’c l’arrêta en lui barrant le passage.

T- il a eu sa chance major Carter, nous n’avons plus le temps quand le signal aura atteint son niveau maximum tout ce qui est ici va exploser et ça sera une très grosse explosion, c’est pour ça que nous devrons être loin …

Elle le regarda une dernière fois mais c’est vrai il avait eu sa chance … mais pas avec la bonne personne.

Ils se mirent tous dans le vaisseau Mac était encore choquée par la mort de Brumby, mais étrangement cela ne lui faisait pas l’effet qu’elle attendait, elle était heureuse, non pas parce qu’il était mort mais parce qu’elle était avec l’homme de sa vie.

Elle se dit qu’il avait tenté sa chance… mais pas avec la bonne personne !

Teal’c s’installa devant le tableau de bord mais il n’y comprenait rien, du chinois pour lui tout était nouveau et il n’avait jamais vu ce genre de vaisseaux auparavant.

T- O’Neill … je ne connais pas ce vaisseau.

O- teal’c ramenez-nous et ensuite vous pourrez faire connaissance.

T- non je veux dire que je ne sais pas piloter ce vaisseau .

Et lui qui s’était demandé pourquoi le vaisseau d’Apophis n’avait toujours pas mis les voiles.

Il attendait juste de les voir « exploser ».

Bon est ce que quelu’un se porte volontaire pour essayer ?

Ils se regardèrent tous sans dire un mot et Harm commença a s’approcher du tableau de bord, il lui semblait assez familier.

H-Je pense que je vais essayer, il a l’air assez similaire a celui d’un Tomcat.

O- bon ben … vas-y … je ne vois pas d’autres solutions.

Harm s’assit prit une espèce de boule qu’il aurait appelé le manche, effectua tous ce qu’il faisait avec son Tomcat et se prépara a décoller.

Les premières secondes étaient très « turbulentes » mais il réussit a maîtriser le vaisseau avant qu’il n’ai de crash seulement les petit bruit commencait a se faire entendre.

O- Raby que fais-tu allez ramène-nous …

H- je ne sais pas … il sembles que je ne peux pas aller vers l’avant, je ne peux que monter verticalement…

T- si nous montons verticalement nous ne serons pas assez loin quand ça explosera.

O- teal’c pouvez-vous me donner votre recette pour être aussi calme en annonçant de telles nouvelles ?

Il ne répondit pas et se dirigea vers le tableau de bord pour voir ce qu’il pouvait faire.

Le bruit devenait vraiment insupportable, et ils virent le vaisseau d’Apophis aller an diagonale mais tout a coup ils devint invisible.

O- eh comment ils font ça je savais pas qu’on pouvait faire ça en vol.

T- moi non plus O’neill.

Le bruit commençait maintenant a percer le vaisseau et a se faire vraiment très insupportable.

Harm aperçut une manette en bas tous près de son pied.

Teal’c commença a décompter.

T-9…8…7…

Harm hésita mais puisqu’ils allaient exploser pourquoi ne prendrait-il pas ce risque ?

T-4…3…

Harm poussa sur la manette avec son pied mais rien ne changea.

T-1…

Ils entendirent une énorme explosion suivie d’un gros nuage de fumée on aurait dit hirochima en plus grand.

O-Hey mais teal’c vous vous êtes trompé d’endroit ?

T- non O’Neill, regardez en bas.

Jack regarda et vit qu’ils n’étaient plus au dessus du camp, seulement sans qu’il n’eut le temps de dire quoique ce soit qu’ils furent tous projetés en arrière et Harm fut écrasé dans son siège.

Ils se demandèrent tous ce qui s’était passé et jack regarda vers Carter qui devait sans doute avoir une théorie .

Il était toujours a terre et étrangement il n’arrivait plus a se relever, après tout ce n’était pas nécessaire … il avait réussi a ramener son équipe en vie.

S- mon colonel … c’était les effets de l’accélération, nous avons quitté l’endroit si vite que nous en avons ressenti les effets seulement après… dans l’espace temps il y a …

O- on a compris le principal Carter … merci.

S- oui mon colonel … mon colonel ?

O- quoi Carter ?

S- pourquoi vous restez couché ?

O- j’ai pas le droit de rester couché ?

S- si mais …

Elle s’aperçut que sa blessure avait recommencé a saigner.

S- mon colonel, je vais devoir changer votre bandage.

O- carter  … mais qu’est ce que je vous ai fait ?

Elle commença a rire et reprit un bandage dans sa poche.

O- vous avez dévalisé la trousse de secours ou quoi ?

Elle lui sourit encore et entama de changer les bandage, il se montra un peu plus endurant cette fois-ci … c’est sûrement qu’il n’avait pas la force de râler.

M- eh je peux vous demander ce qui vous a pris quand vous avez entendu le Lt Backer dire « Seltar » ?

H- eh bien … jack et moi ... avion étés pris l’autre nuit.

Ils ont emmené jack dans une pièce et moi dans une autre, ils m’ont fait boire un truc visqueux et j’ai commencé a voir des hallucinations, vous me demandiez de vous renseigner sur la sécurité de notre gouvernement.

O- tu n’as pas répondu… n’est ce pas ?

H- non ! je n’ai pas répondu ça me semblait étrange que Mac me demande ça.

Personne ne prit vraiment le temps de leur expliquer sauf Daniel qui se déplaça et se lança a leur faire mieux comprendre ce que Jack avait essayé de leur expliquer.

T- et vous O’Neill que vous ont-ils fait ?

O- rien nous avons … discuté.

Sam comprit soudain d’ou provenait la blessure pendant que jack était entrain de maudire teal’c pour poser toujours les mauvaises questions aux mauvais moments.

S- mon colonel ? … pourquoi ne nous avez rien dis?

O- eh bien comme je l’ai dit a Raby, il ne vous aurait été d’aucune utilité d’apprendre que vous alliez être soit mutilé soit drogué, nous devions vous sortir de là avant et c’est … c’est le plus important.

Elle allait répliquer qu’ils avaient le droit de savoir, mais elle se souvint qu’elle lui avait fait la même chose … seulement lui il l’avait tiré d’affaire tandis que elle …

Le bandage était fini et il y avait un bon silence on n’entendait plus que Daniel qui était toujours entrain de répondre aux question de Harm et Mac.

Sam invita Jack a poser sa tête sur ses genoux et a se reposer, celui-ci lui prit la main et elle ne la retira pas, au contraire elle la pressa dans la sienne … Jack était assez étonné, il la regarda dans les yeux prêt a parler … mais il vit quelque chose dans ses yeux … elle avait peur … peur de s’engager avec lui … peur de ne pas être a la hauteur … des tas de petites peur qui réunies en font une grosse, et il n’avait pas le droit de la brusquer … il devait être patient, le temps viendra pour eux … des jour, des mois, des années peut importe le temps qu’il faudra …. Il sera toujours là pour elle. Elle vit qu’il la comprenait dans ses yeux et hésita avant de prononcer un petit « merci » presque inaudible. Ils se retournèrent vers la petite fenêtre et regardèrent le plus magnifique coucher de soleil de leur vie.

Chez Harm et Mac c’était pareil, ils se tenaient la main et regardaient le coucher de soleil.. et les questions se firent moins successives jusqu'à ce qu’il n’eut plus aucun son. Harm avait mis le pilote automatique ===eh oui il y en a un ==== et ils flottaient a peine dans l’air, l’instant était vraiment magique et Daniel et Teal’c regardaient les 4 personnes avec un sourire non caché.

Fin

VOUS VOULEZ UNE SUITE A L’HISTOIRE ??? Y’A QU’A DEMANDER A…Gasst