SOLIDAIRES JUSQU’AU BOUT.

 

TITRE : Solidaires jusqu’au bout 

AUTEUR : Gasst

EMAIL : ndaga@brutele.be

CATEGORIE : aventure, romance Sam/Jack

SPOILERS : Plusieurs épisodes de la saison 3

SAISON : 3 et 4

PUBLIC : Tout public

RESUME : Le colonel O’Neill tue un jeune garçon sur une planète et peu après il donna sa démission …

STATUT : Incomplet, attend une suite dans « La puissance des sentiments »

ARCHIVE : Il suffit de demander.  www.ifrance.com/mglayer

DISCLAIMER : les personnages présents dans ce fan fic sont la propriété de MGM et SHOWTIME.

Je ne suis pas paye pour le fan fics que j'écris et je le fais uniquement en tant que fan et par plaisir.

 

NOTES DE L'AUTEUR : Ce serait assez sympa de me dire ce que vous pensez (réellement des mes histoires, comme ça je ferai mieux la prochaine fois.

 

 

 

 

 

L’équipe SG-1 était sur une planète dont ils venaient juste de découvrir les coordonnées.  Sur cette planète tout semblait danger et toute l’équipe était nerveuse, même teal’c qui semblait toujours calme était sur le point de craquer .

Ils se séparèrent pour une petite exploration et O’Neill avait bien insiste pour que personne ne s’éloigne a plus de 500 m et donc serait a portée de voix.

 

Ils partirent comme convenu mais quelques instants après ils entendirent le colonel qui poussait des cris coléreux.

Ils se ruèrent tous vers l’endroit d’ou provenaient les cris et carter fut la première a arriver sur les lieux.

Elle vit jack qui pointait son arme sur un jeune enfant d’une dizaine d’années qui pleurait et suppliait pour qu’on l’épargne.

S- mon colonel qu’est ce que vous faites ?

Jack tira trois balles sur l’enfant qui s’écroula juste après. Sans doute mort en conclut rapidement carter.

Elle se jeta sur son colonel qui l’empoigna et l’embrassa en la serrant très fort contre lui.

Elle tenta de se dégager mais il la frappa et elle s’évanouit ; alors qu’il allait la tuer, teal’c survint et lui tira dessus avec un zat.

 

 

Lorsque jack se réveilla il était a l’infirmerie et était attaché a son lit. Le docteur Frazier entra et lui jeta un regard plutôt méprisant.

O-salut doc.  vous n’avez pas l’air de bonne humeur aujourd’hui.

J- comment osez vous parler comme ça après ce que vous avez fait ?

O- comment ça « ce que j’ai fait » ? … et puis d’abord pourquoi je suis attache au lit ?

J- j’espérais que vous auriez au moins des remords.

O- oh  là j’aimerais savoir ce que signifie tout ce cirque, je veux savoir  ce qui c’est passé car il s’en ai passé des choses.

J- (soudainement calmée) vous ne vous souvenez de rien ?

O- ben si je me rappelle qu’on devait aller sur PX… machin truc ;  nous avons franchis la porte et puis plus rien jusqu’à mon réveil ici et a votre attitude plus qu’étrange a mon égard.  Maintenant que j’ai répondu a vos questions, pouvez vous m’expliquer ce qui se passe et me détacher car j’aimerais … me gratter.

 

Apparemment jack ne se souvenait de rien, et devoir le  lui dire ? … non elle ne voulait, elle ne pouvait pas il fallait que quelqu’un d’autre le fasse. Alors elle prit le téléphone et annonça que le colonel O’Neill était réveillé.

 

 

Sam fut la première a se présenter, en arrivant elle fut surprise de voir son colonel avec un grand sourire ;  jusqu’aux oreilles, elle avait espère que tout ça ne soit qu’un affreux cauchemar mais la elle commençait a désespérer.

O- wooooooow major que vous est-il arrive ? une dispute d’amoureux ?

Sam le regarda très attentivement, elle ne comprenait pas l’attitude de jack lui qui était toujours si gentil avec les enfants il ne pouvait pas en avoir tué un… pas après ce qui était arrive…

Elle s’apprêtait a répondre mais Janet la devança.

J- il ne se souvient de rien Sam.

O- ne me dites pas que … c’est moi qui vous ai fait ça ?

S- oui mon colonel.

O- bon écoutez je suis sincèrement désolé je comprends qu’on m’ait attaché croyant que je n’étais toujours pas moi même. Mais je vais bien maintenant et vous savez combien je déteste être attaché alors si vous voulez bien faire quelque chose, je vous emmènerai prendre un verre pour me faire pardonner et …

Il s’arrêta en voyant le regard que Sam posait sur lui, il se dit qu’il en savait la cause et ajouta :

O- bon d’accord oublions le verre mais détachez moi.

Sam allait s’exécuter quand tout a coup un homme entra :

- ça suffit major, laissez ces menottes ou elles sont.

O- youpiiiiiiii et voilà un autre malade qui vient voir le spectacle jack O’neill. D’abord vous êtes qui vous ?

-je me présente, Général Harold Washington.

O- ah d’accord alors je vais tout reprendre depuis le début., je suis désolé d’avoir frappé le major mais je ne crois pas que cela requiert votre présence.

W- et que faites vous de l’enfant ?

O- wooooooooow mais de quel enfant vous parlez ? personne ne m’a parlé d’enfant moi.

Le docteur Frazier dit au général que jack ne se souvenait pas de ce qui s’était passé, et celui ci fit alors entrer 2 hommes assez costauds.

Ils retirèrent les menottes de jack du lit pour les lui attacher dans le dos en disant :

-colonel Jonathan O’Neill nous vous arrêtons pour coups et blessures sur un officier, tentative de meurtre sur un officier et meurtre sur un jeune garçon nommé actuellement X.

A ces mots jack comprit enfin tout ce qui se tramait depuis s son réveil. Il regarda vers Sam comme pour chercher à se réfugier dans ses yeux mais  celle ci tourna la tête et regarda ailleurs.

Jack fut traîné mais le général Hammond qui venait d’arriver intervint et demanda a ce qu’on le traite bien, mais jack se fichait de tout se qui l’entourait, il ne regardait plus que Sam cherchant un peu d’espoir mais fut rapidement déçu de voir qu’elle évitait a tous prix de croiser son regard.

 

Jack fut emmené dans une cellule en attendant d’être jugé en cour martiale, mais  lorsque le président fut mis au courant de l’affaire, sachant toutes les fois ou jack avait risqué sa vie pou leur planète il ordonna que le nécessaire soit fait pour sa libération.

Mais lorsque jack le sut il refusa en disant que si on avait étouffé toutes les affaires de meurtres il n’y aurai plus de planète a défendre aujourd’hui, mais il avait beau protester il fut quand même envoyé au SGC d’ou il se dirigea immédiatement vers le bureau du général Hammond.

H- colonel …

O- mon général je ne veux pas qu’on …

H- colonel vous savez aussi bien que moi que vous n’étiez pas vous même  et que dans ces cas ..

O- non ! allez donc dire ça aux parents de cet enfant que j’ai tué, qui l’aimaient de toutes leur force…

A votre avis que que font ils en ce moment ? ils se disent que si jamais ils retrouvaient l’enfant de salaud qui …

H- auriez vous peur colonel ?

O- arrêtez vous savez aussi bien que moi que ça n’a rien a voir avec la peur, Général je suis venu vous remettre officiellement ma démission avec effet immédiat …

H- je la refuse catégoriquement, colonel je suis sur le point de partir et lorsque je ne serai plus la c’est vous qui me succéderez vous êtes sur le point de foutre votre avenir en l’air.

O- et l’avenir de ce jeune garçon hein?  vous y avez pensé ? Il est mort et rien ne changera cela, je suis un danger tant que j’ai une arme dans les mains et je démissionnerai avec ou sans votre accord … je suis sur que vous pouvez me comprendre.

La dessus il sortit du bureau et marcha dans  les couloirs, il rencontra Sam qui marchait également apparemment vers le bureau d’Hammond.  Elle l’aperçut et se fut elle qui entama la conversation.

S- bienvenue chez-vous mon colonel.

Il la regarda attentivement et ne répondit pas.

Sam sut a son regard qu’il allait lui annoncer une mauvaise nouvelle.

O- adieux Sam et prenait bien soin de vous. Dit il en lui caressant le visage.

S- mon colonel je …

O- vous savez je ne suis plus colonel maintenant.

Puis il s’éloigna car il ne voulait pas que carter se mette a essayer de le retenir et il se mit a la recherche de teal’c et Daniel pour leur dire au-revoir aussi.

Il les trouva tous les deux dans le laboratoire du Dr Frazier.

D-( en criant de joie) jack !

T- bienvenue O’neill. Dit teal’c également heureux de revoir jack.

J- eh bien colonel je crois que je n’ai rien a ajouter.

O- je ne suis plus colonel je viens juste de démissionner et je suis venu vous dire a tous au-revoir.

Il avait dit cette phrase très vite comme pour s’en débarrasser.

D- jack … vous ne pouvez pas faire ça … on a besoin de vous…

T- O’Neil les goa’ulds auront gagné une partie de la bataille si vous abandonnez maintenant.

O- teal’c, Daniel je vous en prie c’est déjà suffisamment difficile sans que vous n’en rajoutiez j’ai déjà pensé a tout ça.

Je sais que les goa’ulds et vous ne pouvez pas vous passer de moi.

Tout le monde  sourit  en voyant l’effort que faisait jack pour ne pas craquer et essayer de rendre les adieux moins pénibles.

Ils décidèrent donc que si jack était venu jusque là ils ne devaient pas lui faire plus de mal en essayant de le retenir.

Alors ils sortirent et le laissèrent tout seul.

Juste après leur départ les yeux da jack brillèrent de larmes et il commença a se remémorer les heureux moments passés avec son fils charlie.

Puis tout a coup en lui retentit un coup de feu il s’essuya violemment les yeux et partit !

 

 

 

La suite dans  « la puissance des sentiments . »