High School Story

 

 

Auteure : Virginie

E-mail : l_virginie31@hotmail.com

Résumé :SG-1 est envoyé en mission dans un lycée ; ils y sont en tant que profs afin d’enquêter sur l’éventualité qu’un des professeurs est un Goa’Uld.

Genre : Un chouia d’aventure, un zeste de suspense ; une pincée d’humour et une cuiller à soupe d’ogre de romance.

Spoiler : Surtout les épisodes ship.

Disclaimer : Pas à moi pour Stargate ; s’adresser à MGM, Showtime, etc.

Note : C’est une ff dont j’ai eu l’idée un soir, dans mon lit (comme pour toutes mes ff précédentes d’ailleurs ! !), alors que je craignais connaître pour la première fois de ma vie le syndrome de la page blanche ! Je suis plutôt emballée par mon idée, alors dites moi ce que vous en pensez !

Bonne lecture

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Cheyenne Mountain Complex, Salle d’embarquement.

SG-1 revenait d’une mission particulièrement calme. Quand ils arrivèrent sur la passerelle, Hammond les accueilli avec un grand sourire et leur ordonna de passer à l’infirmerie.

Jan(finissant d’ausculter Sam, les autres étant déjà passés) : C’est étrange… Le colonel m’a dit que la mission avait été très calme, mais vous semblez être fatiguée… Vous dormez bien la nuit ?

S : Oui, plutôt très bien même !

Janet la considéra quelques instants sans rien dire, puis dit :

Jan : La question que j’aurais dû poser, c’est : combien d’heures dormez vous la nuit ?

Sam sourit timidement et baissa la tête, prise en faute.

S(d’une toute petite voix) : Trois heures…

Jan : Depuis combien de temps ?

S : Quinze jours…

Jan (d’un ton protecteur) : Sam, je comprend que vos expériences vous passionnent, mais si vous continuez à ce rythme là, vous ne pourrez plus en faire, pour la simple et bonne raison que votre manque de sommeil vous aura perdue en mission !

S : Mais…

Jan (reprenant un ton ‘docteur’) : Il n’y a pas de ‘mais’, Sam ! Je vous mets en repos forcé pour ce week-end. Sortez, voyez des amis, faites ce que vous voulez, mais ne touchez pas à vos expériences, sortez de la base et surtout, dormez au moins 10 heures par nuit ! Compris ?

S(ironique) : Oui docteur Frasier !

Jan : Sam, je ne plaisante pas.

S : Je sais bien Janet…je vais suivre vos prescriptions, c’est promis. J’ai un débriefing dans cinq minutes, je peux y aller ?

Jaet acquiesça et Sam sortit. Le débriefing se passa relativement vite, du fait que l’équipe n’avait rien de spécial à dire sur la planète : déserte, inhabitée, sans faune ni flore, sans artéfacts ni substances chimiques quelconques à étudier,…

Cependant, alors que tous croyaient qu’il était fini, le général Hammond reprit la parole.

H : SG-1, j’ai une mission disons…délicate et particulière à vous confier. Depuis quelques temps, la N.S.A soupçonne le professeur Roger Mcbrian, professeur de littérature anglaise au Lycée St John, d’enrôler ses élèves dans une sorte de secte.

D : Une secte ? Mais qu’est-ce qu’on a à voir là-dedans ?

H : Il se trouve que depuis l’histoire de secte dirigée par un Goa’Uld que nous avons connue, nos services internes mènent officieusement une enquête poussée sur chaque nouvelle secte repérée.

J : Génial ! Encore un serpent à tuer !

H : Eh bien nous n’en sommes pas si sûr, et c’est pourquoi vous devrez enquêter.

S : Je ne comprends pas…si nous ne sommes pas sûrs qu’il s’agisse d’un Goa’Uld, pourquoi ne pas laisser nos services internes enquêter d’abord ?

H : Le problème est que le suspect est très discret ; la seule preuve que nous ayons contre lui est le témoignage de deux de ses anciens élèves, qui disaient que ses yeux brillaient et que de sa main sortaient des boules de feu.

T : Cela correspond tout à fait à la description d’un Goa’Uld ; il n’y a donc pas besoin d’enquêter.

H : je crains que tout ne soit pas aussi simple Teal’c, car si ces témoignages ne sont pas mis de côtés, ils ne sont pas tout à fait pris en compte non plus, car des examens sanguins ont décelé la présence de drogues diverses chez les deux témoins.

J : Et quel va être notre rôle ?

H : Nous avons pensé que vous n’en apprendriez pas plus en enquêtant de l’extérieur, en tant que militaires ; c’est pourquoi vous allez devenir, et ce pour un trimestre, professeurs au lycée St John. Officiellement l’état a débloqué des fonds pour cette période, afin de voir si la présence de trois nouveaux professeurs désengorgeait suffisamment les classes et assouplissait les emplois du temps des autres professeurs.

D : Excusez-moi…vous avez dit TROIS professeurs ?

H : Oui, le major Carter se présentera en tant que professeur de physique –chimie, le colonel O’Neill sera professeur de sport et vous de latin –grec. Quant à Teal’c, état donné qu’il n’est pas d’ici et qu’il n’est pas habitué à notre système scolaire, nous l’avons fait employé comme inspecteur des classes.

J : Pardon mon général, mais vous dites toujours ‘nous avons fait ceci et cela’…mais c’est qui ce ‘nous’ ?

H(souriant) : Des gens bien plus haut placés que vous colonel ! Bien…des questions ?

S : Oui…est-ce que l’on garde nos identités ?

H : Oui…si quelqu’un vérifiait, il tomberait sur une page falsifiée retraçant votre carrière de professeur. Seul Teal’c en changera et s’appellera (regardant un papier)…Graham Krawls. Vous êtes attendus au lycée lundi matin à 7h30. Voici vos emplois du temps. Vous avez quartiers libres à partir de maintenant. Rompez !

Sam et Jack se levèrent et le saluèrent, puis tous partirent dans des directions opposées afin de commencer à préparer leurs trois mois de professorat.

Vendredi soir, maison de Sam.

Sam s’affale sur son canapé ; elle allait devoir tenir trois mois sans expériences, mais surtout trois mois en civile, durant lesquels rien ne l’empêcherait de fleurter avec Jack. Depuis son retour de la base, c’est cette idée qui lui trottait dans la tête, et pour ne plus y penser elle avait décidé de revoir le programme de physique- chimie de lycée pour savoir de quoi parler à ses élèves, mais rien n’y faisait, car le prénom de Jack apparaissait jusque dans le tableau de classification périodique de Mandeleiev ! Elle se remémora les paroles de Janet et décida de dîner légèrement puis d’aller se coucher.

21H30, maison de Sam.

Sam dormait depuis à peine une heure lorsque quelqu’un sonna à la porte. Elle se réveilla en sursaut en maudissant son visiteur ; lassée d’entendre la sonnette de la porte d’entrée, elle se leva, mit sa robe de chambre et descendit ouvrir à l’intrus.

S : Mon colonel ? ! Que faites vous là ? Il se passe quelque chose à la base ? mais pourquoi ne pas m’avoir téléphoné ?

J : ça fait beaucoup de questions à la fois, vous ne croyez pas ? Ne vous inquiétez pas, tout va bien. (se rendant compte de la tenue de son major) : Vous dormiez ? ! Je vais vous laisser alors…je repasserai !

S(précipitamment) : Non ! Euh…ce que je veux dire, c’est que ça n’est pas grave ; de toutes façons, je n’arrivais pas à m’endormir !

J(voyant pourtant ses yeux encore mis clos) : Ooooh ! Alors je peux entrer ?

Sam s’écarta, confuse de ne pas avoir pensé plus tôt à l’inviter à pénétrer dans la maison.

S : je vous sert quelque chose ?

J : je veux bien un café si vous en prenez un !

S : Interdiction du docteur ! je dois dormir, dormir, dormir ! Mais je peux tout de même vous en faire un !

J : Vous êtes sure que je peux rester…parce que si vous devez dormir…

S(se dirigeant vers la cuisine) : ne vous inquiétez pas ! Je rattraperai mon sommeil demain matin ! Alors…que me vaut l’honneur de votre visite ?

J : la mission…

S(ironique) : Comme ça vous me réveillez pour me parler boulot…Qui êtes vous, et où est le vrai colonel O’Neill ? !

J(sérieux) : C’est que je ne suis pas venu parler du côté professionnel de la mission…

Sam l’écoutait, intriguée ; elle lui servit son café et ils s’installèrent sur le canapé.

J : Depuis le briefing, je n’arrête pas de penser que ces trois mois risquent d’être un calvaire…Vous comprenez, quand je vous vois tous les jours, j’arrive à me contrôler, parce que je sais que nous sommes à la base, dans l’armée, qu’il y a un règlement,… Mais durant ce trimestre, rien ne me retiendra et…je ne veux pas vous faire souffrir et…

Ils étaient tous les deux extrêmement embarrassés ; c’était la première fois que l’un des deux parlait de leur relation aussi ouvertement.

S(coupant le silence) : je n’ai pas arrêté d’y penser.

J : Vous aussi ? !

S(levant les yeux et accrochant le regard de son colonel) : J’en suis même arrivée à penser que l’on pourrait avoir une aventure pendant ces trois mois, mais j’ai tout de suite effacé cette possibilité.

J(déçu) : Pourquoi ?

S : Parce qu’il est déjà dur pour moi de résister aujourd’hui, alors je n’ose imaginer l’enfer que ce sera après trois mois de bonheur, si nous sommes obligés de nous séparer.

Elle avait de nouveau baissé les yeux ; Jack ne savait pas comment réagir ; la vérité était qu’il pensait exactement comme elle et regrettait autant qu’elle d’en être arrivé à cette conclusion.

Sam se leva, prit la tasse vide et se dirigea vers la cuisine, où Jack la rejoignit.

S : Est-ce que je peux vous demander un service ?

J : Scout toujours prêt ! Je n’ai pas encore fait ma B.A aujourd’hui !

Sam sourit ; il était arrivé à détendre un peu l’atmosphère.

S : Est-ce que ça vous dérange de dormir ici cette nuit ?

J : Euh…non, mais…

S : S’il vous plaît, Jack…j’ai besoin d’avoir quelqu’un auprès de moi…

J : D’accord…j’espère que votre canapé est confortable !

S(rougissant) : C’est que je ne pensais pas vous faire dormir dans le canapé…

J(jouant au plus bête) : Oooh …vous avez une chambre d’ami ? !

S : Non plus…

J(souriant) : Je vois…

S : En tout bien tout honneur bien sûr…

J : Bien sûr…Montez vous coucher ; je vous prépare un tisane !

S : Vous savez, j’en ai déjà ingurgité cinq sans que ça ne me fasse quoi que ce soit !

J : Mais ça n’étaient pas des tisanes à la O’Neill !

Sam sourit et capitula, puis prit le chemin des escaliers.

Chambre de Sam, quelques minutes plus tard.

Elle attendait son colonel avec impatience ; rien que la perspective de dormir blottie contre lui la réjouissait au plus au point ; elle avait finalement décidé de laisser parler son cœur, et d’aviser au jour le jour. Des pas se firent entendre dans les escaliers et bientôt la porte s’ouvrit.

J : Service d’étage ! Madame est servie !

S : Mademoiselle…

J : J’ai de la chance alors…

Elle but la tisane et posa la tasse. Jack s’approcha du lit et remit les couvertures comme il fallait ; alors qu’il était encore penché sur elle, leur regard se croisèrent et Jack embrassa tendrement Sam.

J(se relevant) : je…je suis désolé Carter…

S : Pas moi !

Jack s’écarta un peu afin d’avoir une vision globale de son visage et vit qu’elle le pensait vraiment.

J : Alors moi non plus !

Les images autours d’elle devenaient de plus en plus floues, et il y avait encore cette satanée sonnerie de porte qui retentissait. Sam se réveilla en sueur, fit le tour de sa chambre du regard, et ne distingua dans la pénombre ni son colonel, ni tisane. Elle tourna enfin les yeux vers son téléphone, qui s’époumonait depuis quelques temps.

S :Allo ?

? ? : Sam, c’est Janet ! Vous m’avez fait une de ces peurs ! J’ai déjà téléphoné il y a une heure mais vous ne répondiez pas…

S : Je…je dormais.

Jan : Je ne voudrais pas vous alarmer, mais j’ai découvert que les conséquences de votre manque de sommeil pouvaient avoir des effets plus graves que la fatigue. Est-ce que tout va bien ? Pas de maux de tête, d’hallucinations, de vertiges ?

S : Euh…non, non, tout va bien…ah si, j’ai fait un rêve vraiment très réel : quelqu’un venait chez moi, je lui ouvrait et l’accueillait, je lui offrait un café…J’ai vraiment ressentis les choses ; je me souviens m’être brûlée avec la tasse et (regardant sa main) Oh mon dieu, Janet ! Je …j’ai effectivement une brûlure sur la main…

Jan : Bon…ne paniquez pas ; vous nous faites peut-être un peu de somnambulisme. Est-ce que je peux passer vous voir ?

S : Euh…oui, bien sûr ! Mais…pour la mission de longue durée…

Jan : Je suis assez optimiste et je dirais que ça ne devrais pas poser de problèmes. A tout de suite.

Sam raccrocha et songea à tout ce qui s’étais passé, ou plutôt à tout ce qu’elle avait crû qu’il s’était passé. Elle se souvenait de ses cours de philosophie, lors desquels elle avait appris que les rêves étaient le refoulement de désirs ; elle ne savait pas cependant si le somnambulisme mêlée aux hallucinations relevaient également du désir, mais elle sourit en pensant que dans ce cas précis, c’était justement le cas ! Peu à peu, son sourire se transforma en larmes ; elle venait de réaliser que tout cela, elle ne pourrait jamais le dire à Jack, d’une part parce qu’elle n’en trouverait pas la force une deuxième fois, d’autre part parce qu’il lui rirait au nez : un petit major comme elle ne devait pas lui convenir ; elle n’étais pas faite pour lui ! Les larmes cessèrent et un nouveau sentiment l’envahit : un sentiment de colère envers Jack : comment osait-il penser ça ? ! Mais pour qui se prenait-il ? Elle se leva, furibonde, et se mit à marcher de long en large, en apostrophant un colonel O’Neill inexistant. La sonnerie de la porte la stoppa dans son délire. Réalisant que la folie l’envahissait, Sam descendit les escaliers en vitesse et se précipita sur la porte qu’elle ouvrit.

S : Janet, aidez-moi, je deviens folle !

Jan : ça va aller Sam ; Je n’ai pas voulu vous alarmer au téléphone tout à l’heure, mais je sais d’où vient ce mal.

S : Vous ne comprenez pas : je passe du sourire aux larmes et des larmes à la paranoïa et à la folie !

Jan : je sais Sam, je sais… Laissez-moi vous expliquer. Lors de votre dernière mission, il y avait dans l’air un élément toxique ne touchant que les femmes ; il se trouve qu’il est très proche de certaines drogues que nous connaissons, et il yen avait dans vos analyses.

S : Qu…quoi ?

Jan : Vous êtes droguée Sam.

Elle commençait à avoir des tics nerveux ; elle tordait ses doigts dans tous les sens.

S : Et pourquoi las autres ne sont pas touchés ?

Jan : Je vous l’ai dit Sam, ça ne touche que les femmes !

S(tout bas, très vite) : Macho, macho, macho.

Jan : Qu’est-ce que vous dites ?

S(prenant un autre air) : Rien, tout va bien, merci colonel !

Jan : Sam ?

S : Vous m’appelez Sam maintenant ? C’est plus Carter ? Macho, macho, macho.

Janet, voyant que son amie hallucinait, sortit une seringue et la rempli de sédatif ; en effet, le temps était le seul remède au mal de Sam.

S(voyant la seringue) : Quoi, qu’est-ce que vous voulez me faire avec cette seringue ? Je ne dirai rien, je ne dirai rien, je ne dirai rien ! Le N.I.D peut bien employer tous les moyens qu’il veut.

Jan : Sam, voyons calmez vous ; c’est moi, Janet.

S : Non, non, non ! Et puis appelez moi major Carter Maybourne ! Y’a que Jack qui peut m’appeler Sam.

Sam redevint calme et regarda Janet, les larmes aux yeux.

S(pleurant) : Faites moi cette injection, je vous en supplie ! !

Janet s’exécuta et Sam s’endormit presque immédiatement.

Lendemain matin, chambre de Sam.

Nausée. Si un mot devait décrire cette journée, c’était bien celui là. A peine fut-elle réveillée, Sam sentit une grande envie de vomir. Elle revint de la salle de bain, s’habilla et descendit prendre son petit déjeuner.

A peine arrivée en bas, elle entendit du bruit dans la cuisine. N’ayant pas d’arme à sa portée pour se défendre, elle se saisit d’un vase assez lourd pour assommer. Elle pénétra dans la cuisine et eut la surprise d’y découvrir Janet, affairée devant une poêle.

S : Ja…Janet ?

Celle-ci se retourna et lui sourit. Revinrent alors à Sam les souvenirs de la veille.

S(s’asseyant) : Vous êtes resté là toute la nuit ? !

Jan : Oui…je ne préférait pas vous laisser seule !

S : Est-ce qu’il y a un risque que je rechute ?

Jan(lu servant le petit- déjeuner) : Rechuter, non, puisque ça agit comme une drogue ; cependant, à l’inverse des nôtres, celle –ci semble rester en trace plus longtemps dans l’organisme et peut avoir des effets secondaires qui devraient se résumer à un somnambulisme.

S : Mais pour la mission, ce sera bon quand même ? !

Jan : Oui, à condition que vous ne soyez pas seule la nuit ! J’ai déjà téléphoné au général Hammond qui vous a fait réservé une maison à une cinquantaine de mètres du lycée. Tout SG-1 y sera logé.

Sam avait un avis mitigé : certes elle serait près de Jack, mais…elle serait près de Jack ! Tout le problème résidait là : ce paradoxe si…paradoxal de vouloir à la fois être près de cet homme et d’en être le plus éloigné possible.

Jan : Si c’est pour vos bagages que vous vous faites du soucis, ne vous inquiétez pas : le SG-C va vous fournir des vêtements qui ne sont pas les vôtres pendant ce trimestre.

S : Oh…merci.

Janet se leva et ramassa ce qu’il y avait sur la table. Elle salua ensuite Sam et lui promit de lui téléphoner dans sa ‘nouvelle’ maison avant la fin de la semaine suivante. Puis le médecin reprit le dessus et lui dit de se reposer, de ne pas sortir, et de l’appeler au moindre problème.

Dimanche soir, ‘nouvelle maison’.

Tout SG-1 était réuni autour de la table de la salle à manger.

J : Et moi je vous dit qu’il faudrait organiser une pendaison de crémaillère !

D : Mais enfin, Jack ! On n’est même pas censés se connaître tous les quatre !

T : Qui voulez-vous pendre O’Neill ?

J : C’est une expression Teal’c !(revenant à Daniel) Et moi je vous dit que c’est le meilleur moyen de passer inaperçu !

D : Passer inaperçu en faisant du bruit ! Jamais rien entendu de plus ridicule ! Hein, Sam ? !

Sam n‘écoutait pas ses amis ; à vrai dire, elle se demandait si elle devait les prévenir de ce qui lui arrivait ; le général avait en effet prétexté aux trois hommes qu’ils seraient plus efficaces en étant tous réunis.

D : Sam ? !

S : Pardon…

D : Organiser une pendaison de crémaillère, vous en pensez quoi ?

S : Très bonne idée Daniel…excusez-moi, je vais me coucher.

Jack affichait un sourire vainqueur mais s’inquiétait tout de même que son major monte si tôt se coucher. Au bout d’une heure, il prétexta une fatigue soudaine et monta.

Chambre de Sam.

Elle essayait de dormir depuis une heure, quand elle entendit des pas qu’elle connaissait bien dans les escaliers ; elle s’enfonça un peu plus dans ses draps et se dit qu’elle aimerait terriblement aller le rejoindre, sa chambre étant située juste à côté de celle de Jack. Soudain, la porte de sa chambre s’ouvrit ; elle alluma la lumière sur un Jack souriant qui se contenta de dire : ‘Je savais bien que vous ne dormiez pas !’

 

 

A suivre ! ! !

Comme vous avez pu le voir, il y a éééééénnnnooooorrrrrmmmmmmééééémmmmmmmeeeeeennnnntttt

d’action dans ce ff ! ! ! Ne vous inquiétez pas, la suite justifiera enfin le titre et on saura enfin si le professeur Mcbrian est un méchant pas beau Goa’Uld ; on saura aussi pourquoi Jack est allé voir Sam au risque de la réveiller (bouh le vilain ! !) et si Kelly et Mike vont se remettre ensemble sans toutefois gâcher la vie de Tod qui en avait marre de Lilas et qui avait préféré ledit Mike à Nelly qui elle même…je m’égare : ça c’est ce qui se passe sur P10X558 avec SG-11 qui sont tombés sur la planète des feux de l'amour (les pauvres! ! ! ! !)

Bon, bref, point à la ligne, je serais eeexxxttttrêêêêêêêêmmmmmeeennnnttttt heureuse d’avoir des feedbacks ! ! !

P.S : je tiens à signaler pour ceux qui auraient des doutes que je suis ici dans un état tout ce qu’il y a de plus normal, et absolument pas sous l’effet d’une drogue quelconque ! !