Après le règlement, la timidité (suite de perturbateurs).

 

Auteure : Virginie

E-mail : l_virginie31@hotmail.com (les autres adresses e-mail que vous trouverez dans mes fics ne sont plus valables). J’ai eu des problèmes d’adresse mais maintenant tout est rentré dans l’ordre ; vous pouvez donc m’écrire à l’adresse ci-dessus (ou à la rigueur à celle qui apparaît dans le site de val dans la section nouveauté du 30 août, mais j’aime moins, c’est celle de mon père).

Résumé : la suite de la suite de la suite de la suite de la suite de la suite du premier volet…

Genre : romance Sam/Jack ; humour (dans la limite des stocks disponibles).

Saison : de la 1 à la 5 mais sans prendre en compte la mort de Daniel (pasque yen a marre ! ! ! !lol).

Spoiler : Tous les épisodes shipers.

Disclaimer : les personnages ne sont pas à moi ; il en est de même pour la trame de fond de l’histoire qui cependant est en elle-même à moi ; je n’ai pas été rémunérée pour écrire ce fic. Toutes les choses se trouvant dans cette fic et ayant déjà été vu ou entendu dans la série ou le film ne m’appartiennent pas.

Note : Voilà une nouvelle fic ; Ça fait pas mal de temps que je n’ai rien tapé à l’ordinateur mais j’ai pas mal de notes manuscrites. C’est pourquoi je voudrais vous demander un service : j’ai pas mal d’idée d’histoire en tête alors vous serait-il possible de me renvoyer avec vos commentaires un petit mot me disant si vous préférez que ma prochaine fic porte sur :1- les vacances d’SG-1 offertes par le président ; 2- SG-1 arrive sur une planète où ils découvrent un objet capable de contrôler les esprits ; 3- Sam et Jack deviennent invisibles aux yeux des autres ; 4- Sam accepte enfin de venir au chalet de Jack ; 5- proposez-moi un thème ! ! ! Je commencerai à taper la fic qui aura eu le plus de voix dès le 5 septembre, alors faites-moi vite parvenir votre choix !Merci et bonne lecture !

Note bis : Un gros merci à tous ceux qui m’envoient des messages. Pour ceux qui m’en auraient envoyé et à qui je n’aurais pas répondu, c’est soit que je n’ai pas reçu votre message, soit (en fait ça revient au même) que vous me l’avez envoyé à l’une de mes anciennes adresses qui figure sur mes premières fics. En effet, je prends à cœur de vous répondre à chaque fois, car je trouve ça important.

4 septembre 2002

Les noms suivis du chiffre 1 sont ceux des nouveaux arrivants (vous comprendrez en lisant). Les pensées des personnages (pour le peu que j’en ai mis !) sont entre **** …****.

Bonne lecture !

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Rappel de l’épisode précédent :

J : Bien, je pense qu’il vaut mieux aller se coucher !

Elle acquiesça en essuyant un nouveau bâillement. Lorsqu’ils rentrèrent, Jack donna ses directives.

J : Bon Carter ! Vous, vous montez vous coucher –c’est la deuxième porte à droite- et moi, je vais vérifier que tout est fermé et éteint !

S (ironique) Bien mon colonel ! Et si je tombe sur une patrouille jaffa dans l’escalier, je les neutralise à coup de zats ? !

Jack lui sourit, en comprenant qu’elle se moquait gentiment de lui et lui souhaita une bonne nuit. Sam, crevée, monta et s’engouffra dans la première chambre qu’elle trouva. Elle se contenta d’enlever ses vêtements et se coucha nue dans le grand lit. Jack monta quelques seconds plus tard et entra dans la même chambre que Sam ; la jeune femme s’était en effet trompé de pièce ; cependant, Jack entra, ne prenant pas la peine d’allumer la lumière, et se coucha, nu lui aussi, dans le lit. Il s’endormit sur le moment, partant dans ses rêves, habités par un certain major de notre connaissance…

 

Le lendemain matin, Jack se réveilla ; il pressa un peu plus contre lui le corps nu et chaud de son major puis s’arrêta net.**** Mais qu’est-ce qu’elle fait dans mon lit ?**** Il se leva prudemment pour ne pas la réveiller et partit prendre une douche. Au bout de quelques minutes, il stoppa le jet d’eau chaude et ne laissa couler sur lui qu’un liquide glacé, d’une part pour se réveiller et se calmer, d’autre part pour avoir les idées plus claires. Il se remémora ce qui s’était passé la veille au soir mais rien ne conduisait au fait que Sam se soit retrouvée, nue qui plus est, dans son lit. Sortant de la douche, il se frappa le front ; c’était sûr, comment n’y avait- il pas pensé plus tôt ? ! Elle était montée, et trop fatiguée pour chercher, elle était rentrée dans la première chambre venue, lui l’avait suivi de peu et n’avait pas allumé la lumière. En descendant, il ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil à son major par la porte entrouverte. Elle était sur le ventre et le drap ne la couvrait qu’à partir du creux des reins. Il dû s’arracher à cette vision qu’il n’avait imaginée qu’en rêve et décida de se changer les idées en préparant le petit déjeuner.

 

10 minutes plus tard.

? ? : Je suppose que ça sera meilleur que nos rations de survie…

J : Oh ! Carter… Bonjour ! Bien dormi ?

S (souriant) : Oh oui ! Ça faisait longtemps que je n’avais pas passé une aussi bonne nuit !

J :(lui servant son café) Bien…je vois que mon lit est confortable…

Sam sourit, ne comprenant pas, et inclina vers la droite.

J : Ce que je veux dire, c’est que vous avez pris ma chambre au lieu de celle d’amis…

S : (sincèrement déçu) Je suis désolée mon colonel…j’espère que le matelas de la chambre d’amis est confortable…

J : Pour ça, il faudra demander à ceux qui sont venus y dormir Carter !

S : Mais, vous ne…(réalisant)Oh…. Vous voulez dire que…

Jack acquiesça.

S(apeurée) : De plein gré ?

J : Carter ! NON ! Bien sûr que non ! Jamais je n’aurais fait une telle chose ! La lumière était éteinte et je n’ai pas voulu l’allumer… alors je me suis couché là et endormi sans demander mon reste.

S : Mais j’étais…

J : Nue ? Oui….Moi aussi…Mais je vous ASSURE que je n’ai rien vu Carter ! J’en ai plus vu d’Hator que de vous !

S(ironique) : Hum…je me doutais qu’entre deux combats contre elle vous l’emmeniez ici !

J : Non, ce que je veux dire c’est que…

S(souriant) Je sais ce que vous voulez dire mon colonel ! Faites attention ! Vous perdez votre humour…

J : Si mon charmant major ne me le volait pas, je l’aurais peut-être encore !

S : Vous me trouvez charmante ? !

J : Mieux Carter… scientifique ! !

Sam sourit, bien qu’elle ne sache pas précisément s’il s’agissait d’un compliment ou non. Elle but sa dernière gorgée de café, alors que son colonel lavait son mug et ses couverts.

J : Alors…vous venez pêcher ce matin ?

S : Je ne pense pas mon colonel…j’avais envie de retourner nager un peu…habillée bien sûr…

Jack lui jeta un coup d’œil malicieux. Il sortit sans rien ajouter de plus, alors que Sam monta se changer. Elle arriva dans la chambre de Jack et regarda le lit ; elle sourit, repensant au bien être qu’elle avait ressenti en sentant le corps chaud contre elle, mais croyant que c’était un rêve, elle s’était rendormie. Elle prit la valise qu’elle avait posée là la veille et l’ouvrit. Elle se saisit ensuite d’un petit bout de tissu noir que Janet lui avait presque ordonné d’acheter. Il s’agissait d’un bikini très (trop au goût de Sam) échancré et décolleté. Se disant qu’elle ne pouvait décemment pas se présenter ainsi devant son colonel, elle chercha 10 minutes durant une idée pour régler son problème.

 

20minutes plus tard ; lac.

Jack était assis dans sa barque, au milieu du lac. Sa lige trempait depuis une dizaine de minutes sans qu’aucun poisson ne daigne mordre à l’hameçon. Lorsqu’il releva la tête de l’eau, il aperçut une silhouette longiligne s’avancer vers la berge. Il faillit lâcher sa canne à pêche en voyant ce que Sam portait : son major ‘avait rien trouvé de mieux que d’enfiler par-dessus son bikini un mini - peignoir en soie. Elle arriva sur le bord et, ne voyant pas que son colonel la regardait, elle le fit glisser le long de son corps. Quand elle regarda enfin dans sa direction, ce fut pour le voir se retourner. Sam ne sut comment interpréter ce geste. De sa barque, Jack avait suivit toute la scène et préféra se tourner pour résister à l’envie de lui sauter dessus. Il entendit le bruit que fit Sam en plongeant dans le lac et arrivait à percevoir le bruit régulier de sa nage.

Sam mit en place un plan machiavélique : elle plongea en apnée jusqu’à la barque de Jack, s’invita dessus et, avant que Jack ne réalise ce qui se passait, elle le poussa à l’eau et replongea. Jack, voyant Sam s’enfuir en riant en un superbe crawl, partit à sa poursuite. Sam, arrivée sur la rive, commença à courir lorsqu’elle se rendit compte que son colonel la poursuivait mais, trop fatiguée par son 50 mètres sans arrêt à la nage s’écroula. Ce petit laps de temps suffit à jack pour la rattraper et lui sauter dessus. Il était maintenant à cheval sur Sam, lui tenant les poignets.

J : Alors major ! On jette son colonel à l’eau ? !

Sam, pour toute réponse, rit de plus belle.

J : Je vous préviens que ma revanche sera terrible !

Leurs visages étaient très proches. Sam ne savait plus si elle devait ou non l’embrasser.

S(troublée) : Et en quoi va- t - elle consister ?

J(se relevant et lui tendant la main pour qu’elle se lève) : Je vais vous obliger à venir pêcher avec moi !

S(lui prenant la main et se soulevant) : Oh pour l’amour du ciel ! Vous n’abandonnez donc jamais ? !

J : Arrêtez de me piquer mes expressions Carter !

S : A force de trop vous fréquenter…

J(tout bas) : pas assez je trouve…

S(ayant entendu) : Qu’avez vous dit mon colonel ?

J : Oh…rien et…

S(le coupant) : S’il vous plait Jack ! Il faudra bien que l’on ait cette discussion un jour ou l’autre ! On ne peut pas faire comme s’il n’y avait rien !

J(la regardant dans les yeux et mettant ses mains sur les épaules de Sam ; lui parlant à l’oreille) : Pas maintenant sam ; bientôt…je vous promets.

 

Jack se retira et laissa Sam à sa contemplation du lac et de la nature environnante. Elle le rejoint dans la maison quelques minutes plus tard. Ils dînèrent en se rappelant les bons moments qu’ils avaient eus avec SG-1, puis décidèrent d’aller pêcher l’après-midi. Sam était restée en maillot de bain et fut contente de son choix quand elle se rendit compte qu’il leur faudrait nager jusqu’à la barque pour la rejoindre. Elle vit alors Jack se déshabiller et rester en simple caleçon de bain.

S**** calmes toi ma fille, calmes toi…****

Il était dans l’eau et l’appela. Sam réagit et le rejoignit. Tous deux montèrent dans la barque et Jack, après que Sam lui ait assuré qu’elle s’en sortirait seule, s’adossa à elle. Le contact de leurs deux corps presque nu les teint dans un mutisme complet.

 

30 minutes plus tard.

J(se retournant) : Alors Carter ! Ça mord ?

S (voyant que Jack n’avait rien pris) : Autant que vous je dirais !

J : NON ! Moi je l’ai fait exprès ! ! ! Allez, venez de mon côté, je vais vous apprendre !

Sam se déplaça en faisant attention de ne pas faire dessaler la barque et s’assit à côté de Jack. Lui-même se leva et vint s’asseoir derrière Sam. Leur position les mit mal à l’aise : en effet, Jack avait Sam, de dos contre lui et ses jambes entouraient Sam. Il l’entoura de ses bras et posa ses mains sur les siennes afin de bien les positionner sur la canne.

S : (s’énervant légèrement) Je vous assure que je faisais comme ça tout à l’heure !

J(à son oreille) : chut Carter : L’important n’est pas la façon dont vous tenez la canne mais si un colonel de l’USAF la tient avec vous…

Près de 15 minutes passèrent sans qu’aucun des deux ne prononce un mot. Ils n’en pouvaient plus d’être si proche l’un de l’autre.

S : Mon colonel…je crois que je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps…

J(inquiet) : Qu’y a t il Carter ? Ça ne va pas ?

S(disant cela en se levant d’un bond) : Non mon colonel ça ne va paaaaaaaaas

Elle finit sa phrase en tombant dans l’eau, mais s’étant agrippée à Jack, elle l’entraîna dans sa chute.

J : Sam est-ce que…

Mais Sam ne l’écoutait plus ; elle se jeta sur lui et l’embrassa fougueusement. Jack, d’abord surpris, répondit à son baiser.

J : Et…

S : Taisez-vous !

J : eh ! ! C’est moi qui donne les ordres !

Elle lui sourit et ils s’embrassèrent de nouveau.

S : Dites…vous comptez rester là toute la journée ou on peut visiter votre chalet…mon colonel ?

Jack suivit Sam qui commençait à nager vers la rive. Arrivée sur le bord, elle se retourna sur un Jack qui l'enlaça et commença à balader ses mains un peu partout.

S : Mais Jack…est-ce qu’on ne risque pas de…

J : T’en fait pas…les plus proches voisins sont à 10 km…

S : Oh…

Il l’allongea sur l’herbe et l’embrasa sur tout le corps.

? ? : Eh bien ! Je vois qu’on ne s’ennuie pas ici !

 

A suivre… C’est court, je sais, trop sûrement mais avec le lycée, c’est pas facile d’en écrire plus long… et puis j’ai eu une autre idée, que j’aimerais exploiter par écrit d’abord. Je préfère écrire un petit épisode que de vous faire poireauter 10 ans avant un très long… et puis ça maintient le suspense !