Birthday II

 

Auteure : Virginie

E-mail : l_virginie31@hotmail.com

Résumé : Joyeux anniversaire…joyeux anniversaire…suite de birthday

Genre : Aventure (un peu) ; humour (un peu plus) ; romance (indigestion ! !)

Spoiler : Il paraît que je suis un tout petit peu shippeuse (moi ? ? ? ! ! si peu…vous devez confondre ! !) alors je dirais de reprendre tous les épisodes ship !

Disclaimer : étant donné que tout m’appartient, je demanderai à tous les auteurs de ff de m’envoyer des chèques à mon nom pour les droits d’auteur….pardon…je rêvais tout haut…eh bé comme d’habitude : pas à moi, pas de sous…juste pour le plaisir !

Note : Un grand merci à tous ceux qui m’écrivent ou m’encouragent ! ! ! Cette fanfic m’a été inspirée par Charline, que je remercie beaucoup ; j’espère qu’elle sera à la hauteur de tes espérances…

Note2 : Désolée pour les fautes d’orthographe ou les lettres oubliées s’il y en a…il est tard quand j’écris et je ne les vois pas forcément… dites-moi s’il y en a vraiment trop : je les corrigerai !

Bonne lecture

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Fin de l’épisode précédent :

Deux heures plus tard, laboratoire n°3, quartier des sciences.

 

S(toute excitée, à Mélia, une scientifique) : Quoi ? alors vous voulez dire que la molécule de N3 que je m’entêtais à vouloir répliquer était en fait elle-même une réplique, et que de ce fait, elle ne pouvait être copiée !

Mélia(souriant) : Oui ! ! Nous avons fait la même erreur dans le passé ! Mais il suffit en fait de trouver la molécule souche, qui curieusement est la N13 !

Les deux femmes rirent à cette dernière remarque, et s’arrêtèrent lorsque Jack se racla la gorge.

J(voyant qu’il avait interrompu les deux femmes) : Oh…désolé…je ne voulais pas vous interrompre… (se sentant de trop ; à Zêti) : dites-moi, vous n’auriez pas une boutique cadeau dans le coin ? !

Quelques minutes plus tard, grande bibliothèque, quartier de la culture.

Daniel et Teal’c étaient tous deux très impressionnés par le savoir que détenait Frema ; en effet, la jeune femme pouvait répondre à toutes leurs questions, que ce soit au niveau technologique ou culturel, et ce sur une période couvrant les milles dernières années. Elle leur apprit ainsi comment s’était réellement passée leur bataille contre les Goa’Ulds.

F : Et c’est ainsi qu’ils s’enfuirent, nous menaçant toutefois de revenir s’ils apprenaient que nos réacteurs à naquahda ne marchaient plus.

T : Votre vitesse est votre principal atout à ce que je vois…

Il fut interrompu dans sa réflexion par l’intrusion de Jack, suivi de Zêti qui lui courait presque après.

J : Alors, ça bosse par ici ? !

D : Tiens Jack ! J’aurais dû me douter que vous ne tiendriez pas longtemps entouré de scientifiques ! Et ce malgré la tenue de Sam…

J : DANIEL ! J’ai juste une petite course à faire en ville et je voulais voir comment allait le reste de mon équipe avant de partir !

T : Nous allons très bien O’Neill.

J : Bien…dans ce cas je vais vous laisser à l’étude passionnante de… ce que vous faites ! A plus tard !

Les deux hommes sortirent de la pièce, laissant ainsi aux trois autres personnes la possibilité de continuer à parler des Goa’Ulds. Zêti conduisit Jack dans la plus chic boutique de la ville, de laquelle il ressortit ½ heure après, un paquet rectangulaire sous le bras, mais plus de lunettes sur le nez, troc oblige ! Ils visitèrent ensuite les autres ruelles du quartier des commerces puis se dirigèrent vers le lieu de rendez-vous qu’ils avaient fixé ultérieurement avec les autres membres de l’équipe.

 

12h30, place principale de la ville.

 

Daniel et Teal’c, en grande discussion, attendaient les deux autres pour aller manger. Jack arriva, tout content de son achat.

J : Eh bien ! je ne suis pas le dernier on dirait ! Alors, vous avez appris des choses intéressantes ?

D : Oui…entre autres, pourquoi ils n’ont pas pris peur en voyant le tatouage de Teal’c.

J : Vous voyez Teal’c…vous vous êtes fait es copains sans avoir à sourire ! (ne prenant pas garde à l’air interrogateur de Teal’c) Ah ! Voilà Carter…on va pouvoir aller manger !

Les trois hommes regardaient Sam évoluer à travers la foule. Elle parlait avec passion à une scientifique, et Jack ne pouvait s’empêcher de la trouver magnifique dans ce paréo noir. Quand la scientifique la quitta, Sam regarda autour d’elle ; la place était magnifique : une fontaine en son centre était entourée de fleurs multicolores. En regardant devant elle, elle vit ses trois amis qui la fixaient et se fendit d’un sourire.

S : Je me fais attendre à ce que je vois…

D : Jack ; fermez la bouche !

Les deux militaires furent mal à l’aise.

S(pour changer de sujet) : Tiens…Zêti n’est pas là ? ! Il devait pourtant nous conduire à l’hôtel !

J : Oh euh…oui ! Il m’a dit que nous devions le rejoindre devant le palais du régent ; de là, il nous mènera au palais.

D : Dans ce cas, allons-y ! je suis pressé de retourner étudier certains textes que Frema m’a montrés !

Ils se mirent en route et, 10 minutes après, ils retrouvèrent le jeune homme au lieu dit.

Z : Ah ! Mes amis ! Venez, entrez !

Il leur indiqua une sorte de cabine qui était entourée d’un tube transparent qui s’élevait dans le ciel. Jack leva la tête et plissa les yeux. L’ascenseur dans lequel ils devaient monter s’élevait jusqu’à une passerelle qui devait se trouver à 5 km au-dessus de la surface. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ils se retrouvèrent sur cette passerelle. Le spectacle qui s’offrait à aux était fantastique : la passerelle était en fait un tunnel transparent qui menait à l’entrée d’un hôtel ; des deux côtés de la passerelle volaient des sortes de bulles, transparentes elles aussi, dans lesquelles mangeaient à des tables de 2, 4 ou 6 personnes des touristes.

S : C’est surprenant ! Comment va-t-on dans ces bulles ?

Z : Oh ! C’est en fait très simple : par un procédé de téléportation ; tenez, regardez !

A cinq mètres d’eux, un groupe de trois personnes se plaça dans un cercle blanc, et une hôtesse appuya sur différents boutons ; les touristes disparurent et réapparurent presque aussitôt dans une bulle.

J : Alors ça, c’est vraiment cool !

Sam sourit et Zêti les mena dans le hall de l’hôtel puis alla parler au réceptionniste ; moins de 10 minutes plus tard, ils étaient dans leurs chambres ; chacune était très luxueuse et possédait un balcon et une bulle individuelle ; Zêti leur avait assuré que le dispositif était assez sûr pour qu’ils ne risquent pas de retrouver un inconnu dans leur bulle.

Z : Rejoignez-moi dans dix minutes sur la passerelle. Je vous fais commander le menu ‘spécial touriste’ !

Chaque membre de SG-1 entra dans sa chambre ; Sam était émerveillée par le spectacle qui s’offrait à elle à travers la baie vitrée : elle dominait toute la ville et pouvait voir, au loin, les immenses étendues de sapins ; son regard fut attiré par d’autres villes qui semblaient être disposées en cercle autour de celle-ci. Elle se dit qu’elle devait penser à en demander davantage à Zêti.

? ? : Samantha, je vous dérange ?

S(surprise, se retournant) : Zêti ? ! non…mais vous ne deviez pas aller tout arranger pour notre déjeuner?

Zêti sourit et referma la porte.

Z : Oh, vous savez, en réalité ce fut très vite fait ! Je voulais vous voir parce que… (il se rapprocha d’elle) Voilà…je vous trouve très belle et…

? ? : Carter ! Vous…oh, désolé !

S : Mon colonel ! Non…(gênée, mais contente qu’il soit arrivé à temps) Zêti était venu me dire que tout était prêt !

J(sarcastique) : Oh…parfait parfait ! Je voulais vous parler de ce que l’on a parler…avant…vous vous souvenez…

Z(se sentant de trop) : Je vais y aller… Samantha, Jack…à toute à l’heure…

Jack le suivit du regard jusqu’à ce qu’il quitte la pièce. Il enfouit ses mains dans ses poches et regarda Carter qui, rouge de honte, avait tourné la tête vers la fenêtre.

J : Alors…il a tenté sa chance ?

S(lui souriant) : Vous ne lui en avez pas laissé le temps mon colonel !

J(se prenant au jeu) : Je peux aller le rappeler si vous voulez !

S : Euh…non, ça ira, merci ! Vous savez, il est gentil, mais…un peu trop jeune pour moi !

Jack parut se vexer à cette remarque.

J : je ne savais pas que vous accordiez tant d’importance à l’âge Carter…

S : Non, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire mon colonel, mais…c’est presque encore un enfant ! (changeant de sujet) Vous étiez venu me voir pour…

J : Oui…j’ai trouvé un cadeau pour Hammond !

S : Oh ! Alors ?

J : Eh bien j’ai pensé que vous vouliez peut-être vous mettre avec moi pour le lui offrir ?

S : avec joie ! Je vous rembourserai une fois à la base !

J : Dans ce cas, vous me devez une demi-pair de lunettes de soleil !

Sam sourit mais ne comprit pas l’allusion ; Jack lui promit de lui expliquer plus tard et de lui montrer le soir même de quoi il s’agissait, mais que pour le moment, il leur fallait aller manger.

 

Fin d’après- midi, quartier des sciences.

 

Sam essayait de comprendre comment répliquer certains éléments du réacteur à naquahda, car malgré toutes les explications qu’on lui fournissait, quelquechose lui échappait. Elle n’entendit pas Jack entrer ; celui-ci en profita pour l’admirer, puis décida enfin de lui parler.

J : Alors, on bosse toujours autant ? !

S : Mon colonel ! Oui…à vrai dire, c’est tout- à- fait fascinant ! Figurez –vous qu’ils sont arrivés à maîtriser en un an ce que j’ai mis 6 ans à essayer de comprendre et…

J : Tatata Carter ! On croirait entendre Daniel ! (devant l’air de totale incompréhension de son major) Je viens d’aller le voir… il est plongé sur une traduction et m’a sorti à peu de choses près la même chose que vous… Teal’c est allé voir les armes avec Zêti.

Sam rougit à ce nom ; le jeune homme avait essayé de l’aborder à nouveau après le repas, mais elle l’avait envoyé balader, prétextant avoir beaucoup de travail et très peu de temps. Elle sourit à cette pensée, se disant qu’après tout, ça n’était pas faux, et qu’elle tolérait déjà à peine la présence de Daniel et Teal’c lorsqu’elle travaillait, alors un inconnu ! Seul Jack avait le privilège de pouvoir la déranger à n’importe quel moment. Elle essuya un long bâillement qui n’échappa pas à Jack.

J : Vous savez ce que ça veut dire ?

S(surprise) : Quoi mon colonel ?

J : Votre bâillement ! ça veut dire que votre organisme en a marre de travailler sur le jumeau de naqquih et qu’il a follement envie de venir pêcher un peu avec moi dans le magnifique lac que nous avons vu tout- à- l’heure !

S : Mais mon colonel, nous sommes en mission ! Nous ‘avons pas le temps de nous divertir !

J : Carter ! Qui est le colonel ici ? (changeant d’air et devenant suppliant) Allez, s’il vous plait…Daniel a déjà dit non et Teal’c est introuvable !

Sam se vexa un peu ; alors comme ça, elle arrivait en dernier recours, lorsque le colonel n’avait plus personne à qui demander !

J : Eh oh…Carter ! Vous m’écoutez ? !

S(froidement) : Désolée mon colonel mais mon travail m’attend !

? ? : Plus pour longtemps j’en ai bien peur !

J : Qu’est-ce que vous voulez dire par-là Zêti ?

Z : Oh ! ce n‘était pas des menaces, rassurez-vous ! Ce qu’il y a, c’est qu’ici, le travail s’arrête à 18 heures pour laisser la place aux loisirs !

J : Tiens ! Qu’est ce que je disais ? !

Sam lui en voulait encore pour ce qu’il avait dit auparavant ; elle décida de se venger à sa façon, quoi qu’en y réfléchissant bien, elle ne savait pas qui ça punirait le plus !

S : Formidable ! Comme ça ; vous allez pouvoir aller pêcher avec Daniel mon colonel ! (se détournant d’un Jack abasourdi)  Dites moi Zêti, qu’y a t- il de bien à faire ici pour se divertir ?

Jack n’en croyait pas ses oreilles et encore moins ses yeux lorsqu’il vit Sam prendre le bras de Zêti et l’entraîner en dehors du labo.

 

19h30, lac principal.

 

D : ça va Jack ? Vous n‘avez rien dit depuis que nous sommes ici.

J(énervé) : ça va très bien Daniel ! J’ai besoin de calme pour pêcher ; alors si vous n’êtes pas capable de vous taire trois minutes, vous feriez mieux de partir. Maintenant si vous tenez absolument à rester, que je ne vous entende plus !

Daniel n’en revenait pas ; il avait déjà vu Jack énervé, mais jamais contre lui ; en tous cas, jamais à ce point.

D : Eh ! Du calme ! Oh, j’ai compris…Sam à préféré Zêti à vous ! Et bien je vous prierai à l’avenir de ne plus reporter votre colère sur moi. Sur ce, bonne pêche !

Daniel quitta furieusement l’endroit, laissant tomber sa canne à pêche de fortune dans l’eau. Jack ruminait sa colère. Certes il y avait été un peu fort, mais tout de même ! Pourquoi lui avait-elle fait ce coup là ? Il essayait de se remémorer ce qui s’était passé pour essayer de comprendre ce qui s’était passé ; quand il comprit l’erreur qu’il avait faite, il se frappa la tête avec la paume de la main et laissa tomber son activité, bien décidé à tirer tout cela au clair avec Carter.

 

Quartier des divertissements, 1/2 heure plus tard.

 

Il n’avait fallu que 5 minutes à Jack pour rejoindre la ville, mais plus de vingt pour arriver à savoir où était Carter. Il entra finalement dans la patinoire de la ville pour y retrouver son major qui, selon ce qu’il avait entendu dire, y était entrée au bras de Zêti. Il ne put convaincre le garde à l’entrée qu’il ne voulait pas patiner et dût acheter un billet en échangeant une barre de céréales. On lui donna une paire de patin. Quand enfin la glace fut en vue, il chercha Sam du regard et l’aperçut enfin, tenant la main de Zêti dans la sienne, le sourire aux lèvres ; elle ne semblait pas très sûre d’elle sur des patins, mais elle paraissait s’amuser énormément. Il allait mettre un pied sur la glace quand une vois familière le retint.

? ? : O’Neill ! Que faites vous ici ?

J(faisant volte face) : Teal’c ? ! Vous…je ne vous aurais jamais imaginé dans une patinoire !

T : Moi non plus, étant donné que je ne savais pas de quoi il s’agissait il y a une heure encore. Mais les enfants de la ville m’ont fait découvrir ce que c’était. Maintenant, ils m’emmènent au bouledogue !

J :Je pense que vous voulez parler du Bowling Teal’c !

Celui- ci acquiesça, le salua et partit, entraîné par une dizaine d’enfants. Jack regarda à nouveau en direction de Sam ; elle n’était plus comme auparavant au milieu de la piste, mais se reposait sur le bord, contre la rambarde ; elle semblait être en grande discussion avec Zêti. Jack entra sur la glace ; il dût faire un tour de piste pour rejoindre Sam, le contre- sens étant interdit. Plus il s’approchait d’elle, plus il entendait ce rire cristallin qu’il aimait tant.

J : Alors, on s’amuse ici ? !

S(sursautant et cessant de rire, se retournant) : Mon colonel. Il est arrivé quelquechose ?

J(à Zêti) : Euh…excusez-moi ; pourriez-vous nous laisser s’il vous plait ?

Z : Bien sûr ! Sam, je te revoie tout- à l’heure !

S(souriant) : Pas de problème ! (à Jack) Vous avez besoin d’un bouche trou mon colonel ?

J : Sam s’il vous plait ! Laissez- moi m’expliquer au moins !

S : Pourquoi ? tout est clair pour moi !

Elle commença à partir, d’un pas mal assurer ; Jack la retint par le bras et plongea son regard dans le sien.

J : Je vais vous dire pourquoi ! Parce que je suis venu vous chercher sur la glace, où je m’étais promis de ne plus jamais aller depuis la mort de Charlie parce que ça me rappelle trop de souvenirs de lui ; parce que je suis venu m’excuser platement de ce mal entendu ;(presque criant) parce que je ne supporte pas que vous sortiez avec LUI ! Il s’arrêta, net, réalisant que ses paroles avaient coulées toutes seules ; il quitta la patinoire, laissant derrière lui Sam, seule et les larmes aux yeux.

 

Zêti vit que Jack partait et se rapprocha de Sam.

Z : Hey Sam ! Que s’est- il passé ? Mais…tu pleures ?

S : Ramène moi à l’hôtel s’il te plait…(voyant l’air dépité de l’autre) Je n’ai pas envie d’en parler…

Zêti comprit que Sam ne changerait pas d’avis ; il la reconduisit à l’hôtel, lui fit porter un dîner dans sa chambre puis la quitta, en lui souhaitant une bonne nuit. Elle avait l’air fatiguée ; il pensait l’aimer, amis avait compris dès le début que son cœur était déjà pris par le colonel ; à vrai dire, il lui avait mentit cet après-midi quand il lui avait dit qu’elle était une sœur pour lui, mais c’était pour lui le seul moyen de pouvoir l’approcher et la tutoyer. En y réfléchissant bien, ne la considérait-il pas vraiment comme ça sœur ? Si…quoi d’autre ? Il aimait l’écouter car elle lui apprenait beaucoup de choses, il adorait son air protecteur, et depuis ce soir, il détestait l’homme qui l’avait fait pleurer, no pas parce qu’il craignait qu’il lui prenne Sam, mais tout simplement parce qu’il ne voulait pas la voir triste.

 

Une bulle de la passerelle, 20h30.

 

Jack mangeait avec Teal’c ; autant dire que la conversation n’allait pas bon train, mais ça en semblait pas déranger le jaffa outre mesure. Daniel arriva près de leur bulle, et demanda à l’hôtesse de l’y téléporter, ce qu’elle fit immédiatement.

J : Tient…un revenant !

D : Moi aussi je suis ravi d’être parmi vous…

Un silence s’installa. Teal’c regardait ses deux amis sans comprendre.

J : Ecoutez Daniel…pour tout à l’heure, je suis désolé…

D : Non, c’est moi…je n’aurais pas dû m’emporter comme ça…

J : Bon…on oublie tout ?

Daniel lui sourit et se mit à table, plus détendu.

J : Alors… qu’avez-vous fait depuis cette après –midi ?

D : J’ai marché… Et vous Teal’c ?

Le visage du jaffa s’éclaira d’un semblant de sourire. Il leur raconta que le bowling s’était merveilleusement bien passé et qu’il n’aurait jamais cru que lancer une boule sur des quilles aurait pu être si drôle !

 

La bulle 22h30.

Les trois hommes étaient en grande discussion ; enfin, plutôt Daniel et Teal’c, car Jack était perdu dans ses pensées et sondait le fond de son verre depuis un petit moment. Il fut tiré de sa rêverie par la voix de Daniel qui venait de s’exclamer ‘ah, Sam ! Vous voilà enfin !’

Il releva la tête et la découvrit, fatiguée mais souriante, face à eux. Visiblement, elle avait dormi et s’était changée, car elle portait un jean bleu délavé et une blouse de mousseline blanche qui lui laissait une épaule nue.

S : Oui… Zêti m’avait fait monté un plateau repas mais je me suis endormie et c’est froid, alors…me voilà !

T : Ravie de vous voir major Carter ! Avez-vous déjà joué au bowling ?

Sam sourit et Daniel décida d’emmener Teal’c se coucher ; visiblement, la boisson locale ne convenait pas au jaffa ! Il souhaita bonne nuit aux deux autres et se fit téléporter, soutenant Teal’c.

Un long silence se fit ; on apporta à Sam ce qu’elle avait commandé et elle commença à manger dans le silence le plus complet. Ce ne fut qu’au moment du dessert que Jack ‘entama’ la conversation.

J : Eh bien Carter…ce n’est pas pour casser l’ambiance, mais…je vais aller me coucher !

Il se leva et lui tourna le dos, prêt à demander à l’hôtesse de le ramener sur la passerelle.

S : Mon colonel attendez…s’il vous plait… (il se retourna ; Sam fut intimidée) Hum…bonne nuit mon colonel.

L’hôtesse appuya sur un bouton et Jack partit vers sa chambre sans se retourner.

 

A SUIVRE…