Destiny

 

Auteure : Virginie

E-mail : l_virginie31@hotmail.com

Résumé :Une jeune femme arrive au SG-C et pourrait bien agir sur le destin de deux personnages.

Genre : En majorité de la romance.

Spoiler : Les épisodes ayant un rapport avec le miroir quantique.

Disclaimer : Pas à moi pour Stargate ; s’adresser à MGM, Showtime, etc. Pour la chanson, j’ai rien demandé, alors je prie pour pas être poursuivie ! !

Note : ça fait pas mal de temps que j’ai rien tapé, mais je bossais sur mes ff sur papier. Alors entre une angine et quelques D.S, je me suis débrouillé pour écrire cette ff. Il s’agit en fait d’une idée qu’Orlane m’a proposée et que j’ai acceptée ! De plus, je travaille en collaboration avec une autre auteure pour une ff commune. Je vais essayer de finir destiny avant Noël et de la faire en deux parties maximum, mais c’est pas sûr ! ! ! ! ! ! !

Evidement dédiée à Orlane ! merci pour ton idée (ça tombe bien : j’étais à cours d’idées ! !)

Bonne lecture

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Cheyenne Mountain Complex.

Daniel marchait dans un couloir, la tête penchée sur un dossier. Il s’agissait du dernier rapport des scientifiques travaillant sur le miroir quantique, maintenant gardé en dehors de la base. Un passage retint son attention ; il fit brusquement demi-tour, ne prêtant pas attention à un militaire qui l’avait esquivé de justesse, direction le bureau de Hammond.

Ayant frappé, il entra dans la pièce.

H :Docteur Jackson ?

D : Bonjour général. Euh…puis-je vous demander une faveur ?

H : De quoi s’agit-il ?

D(montrant le dossier) : Eh bien j’ai lu là-dedans que des scientifiques qui se sont penchés sur le miroir avaient découvert une série de symboles qui constitueraient apparemment un texte. Seulement, ils ne parviennent pas à le déchiffrer…

H : Et vous voudriez faire venir le miroir à la base afin de l’étudier.

D : oui mon général.

H : Requête acceptée docteur. Je vais prendre toutes les mesures nécessaires pour que vous l’ayez d’ici demain.

D(en partant) : Merci général !

H : Oh, docteur Jackson ! Veuillez annoncer à SG-1 que vous êtes officiellement en vacances dès aujourd’hui, et ce pour une semaine.

Daniel lui fit un signe de tête et sortit. Ne sachant pas le moins du monde où se trouvait ses amis, il tenta au hasard le labo de Sam.

Labo de Sam.

D :*Bingo !* Euh…Sam, Jack, je vous dérange ?

J : Pas du tout, Carter m’expliquait ce qu’est le processus de transmutation des molécules de naquadah.

Daniel regarda Jack d’un drôle d’air.

J : Je blaguais Daniel !

D : Encore je me disais : plus de trois syllabes dans votre bouche !

J(agacé) : Vous êtes venu pour…

D : Euh, oui ! Le général nous accorde une semaine de vacances dès aujourd’hui.

J : Ouah ! Et pourquoi ?

D(vague) : J’ai des traductions importantes à faire sur le miroir.

S(étonnée) : Le miroir quantique ?

D : Oui, il arrive demain. Bien…je vais prévenir Teal’c.

Il sortit de la pièce, alors que Jack se tournait vers Sam.

J : Je vous en supplie Carter ! Mes poissons font une dépression de ne jamais vous avoir vue à mon chalet.

S : C’est une invitation ?

J : On peut dire ça comme ça…

S :Mon colonel ! Vous savez très bien que j’ai du travail ici !

J(suppliant) : Carteeeer !

S : Mon colonel, vous savez très bien que…

J : Ok Carter ! Bon et bien, bonnes vacances avec vos…bidules !

Il sortit de la pièce alors que Sam s’en prenait à elle-même de ne pas avoir accepté alors qu’elle en mourrait d’envie. Prise d’une pulsion, elle se leva et courut jusque dans le couloir.

S : Mon colonel !

J : Euh, Carter, dites moi si je me trompe, mais…ça ne fait pas trois fois qu’on joue cette scène ?

S(souriant) : C’est d’accord.

J : C’est d’accord quoi ?

S : Aller pêcher…ou autre chose…

J(souriant mais incrédule) : Ouah, je veux dire : Bien !Soyez prête demain matin à 10H00 précises !

Sam le regarda partir, un sourire sur les lèvres : elle avait enfin accepté, et elle espérait que rien ne viendrait gâcher la semaine qu’elle s’apprêtait à vivre.

Lendemain, 10H00, labo de Sam.

J : Allez major ! Il ne faut pas perdre plus de temps !

S : Juste une minute !

J : Carter…vous avez déjà dit ça il y a cinq minutes !

En effet, la jeune femme venait de recevoir un rapport de mission de SG-7 et tenait à le lire. Elle leva les yeux vers son colonel, lui sourit et ferma le rapport sans l’avoir fini.

S : Vous avez raison…et puis…je suis en vacances, non ? !

Jack répondit à son sourire et tous les deux sortirent du labo de Sam, se dirigeant vers les ascenseurs.

Même moment, labo de Daniel.

L’archéologue avait reçu le miroir ½ heure auparavant et était concentré sur sa traduction, tant et si bien qu’il ne vit ni n’entendit une jeune femme en sortir précipitamment et le désactiver rapidement.

JF : Daniel ! Où est Jack ?

D(absorbé par sa traduction) : La dernière fois que je l’ai vu, il se dirigeait vers le labo de Sam (réalisant) Mais qui…

Mais la jeune femme avait déjà disparu en courant. Prudent, Daniel préféra avertir le général.

Devant l’ascenseur.

J : Je n’en reviens toujours pas que vous…

? ? : JACK !

A cet appel, il se retourna et vit une jeune femme courir vers lui et se jeter dans ses bras.

J : Mais…

JF : Oh mon Jack ! Je suis si heureuse de te revoir !

Sam était abasourdie : elle ne pouvait voir la tête que faisait son colonel, mais elle voyait en tout cas qu’une femme un peu plus jeune qu’elle se blottissait sans gêne dans ses bras. Finalement, Jack s’écarta de la jeune femme et recula d’un pas, tout juste à la hauteur de Sam.

J : Je peux savoir qui vous êtes ?

A ce moment, Hammond, Daniel et deux soldats arrivèrent.

H : C’est exactement ce que j’allais demander !

La jeune femme les considéra tous un moment, de la peur et de la tristesse sur le visage.

JF : Vous…Vous ne me reconnaissez pas ? !

J : On ne vous CONNAIT pas tout court !

JF(les larmes aux yeux) : C’est impossible ! Pas toi Jack !

H : Mademoiselle, je propose que vous nous accompagniez à l’infirmerie où vous nous en direz un peu plus.

Infirmerie.

Tous étaient réunis dans une salle annexe à celle où se trouvait l’inconnue. Janet venait de pratiquer une série d’examen sur la patiente et arrivait avec certains résultats.

Jan : Tous les tests semblent normaux…elle présente un état de fatigue générale mais pas de choses plus graves. Cependant, j’attend les résultats des analyses pour déterminer si tout va bien.

H : Merci docteur ! Nous pouvons la voir ?

Jan : Bien sûr !

Jack voyait bien que Sam avait un comportement étrange ; il n‘avait pas encore eu le temps de parler avec elle et savait qu’elle était prête à exploser.

J : Carter, ça va aller ?

S(froide) : Très bien colonel ! Le général nous attend.

Elle entra dans la chambre, immédiatement suivie de Jack.

H(à la jeune femme) : Veuillez vous présenter !

JF : Je suis le capitaine Mary O’Neill…

J : Je vous demande pardon ? !

H : Colonel, laissez-la parler ! Il se trouve que cette jeune femme est arrivée par le miroir.

Sam se détendit un peu en entendant cela. Il ne la connaissait donc pas. Jack se calma et fut heureux de voir que la ‘bombe Sam se désamorçait’.

M : Je suis entrée dans l’USAF pour suivre les traces de Jack…

D : Pardon, mais…qui êtes-vous par rapport à Jack ?

M : Sa sœur voyons ! je dois bien exister dans cette réalité là aussi…non ?

S : Il faut que vous sachiez que beaucoup de choses peuvent changer d’une réalité à l’autre : l’époque, les familles, les événements,…

M : Je m’en doutais ! C’est dû à la distorsion spatio-temporelle, n’est-ce pas ? !

S : Oui, en partie, mais aussi de par…

M : L’axe de la dimension d’origine par rapport à celle d’arrivée !

J : Pitié...ne me dites pas que ma sœur est scientifique….

M : Docteur en astrophysique.

J : J’ai déjà eu cette conversation !

Sam et Hammond sourirent à cette évocation.

M : Je…j’aimerais voir Charles.

H : De qui parlez-vous ?

M : De mon fiancé ! Charles Kawalsky !

Un silence se fit. Mary comprit et baissa la tête.

M : Evidement…je ne pouvais pas retrouver tout le monde vivant !(semblant cherhcer quelqu’un) Mais…ne me dites pas que Teal’c…

J : Oh, non ! lui s’est juste offert une semaine de vacances ! D’ailleur, grâce à lui, nous en avions aussi…mais il se trouve que votre arrivée…

H : Colonel ! (à Mary) Qu’entendez-vous par ‘je ne pouvais pas retrouver tout le monde vivant’ ?

M : Il se trouve que je suis la dernière survivante de ma dimension…En fait, nous croyions nous être débarrassé des Goa’Uld depuis 2004…

J : 2004 ? De quelle année venez-vous ?

M(étonnée) : De 2006 évidemment ! En quelle année êtes-vous ?

S : Nous sommes en 2002 ! C’est formidable ! Ma théorie de distorsion du temps est enfin vérifiée !(voyant que les autres la regardaient bizarrement) C’est important pour moi…

H : Continuez capitaine !

M : Il se trouve que le dernier des Goa’Uld (elle avait de plus en plus de mal à parler) a construit la plus puissante flotte que l’on ait jamais connue et…(fondant en larmes) excusez-moi…

H : Reposez-vous capitaine, nous viendrons vous voir plus tard.

Il sortit, immédiatement accompagné de Teal’c et Daniel, eux-mêmes suivis de peu par Sam qui fit signe à son colonel de réconforter sa sœur. Il se planta en face d’elle, au bout du lit et mit ses mains au fond de ses poches.

J : Hum…je n’ai jamais été très doué pour dire ces choses-là…

M(faisant un triste sourire) : Je sais.

J : Bref, toujours est-il que même si je reste un peu sceptique quand au fait que vous êtes ma sœur…

M : Pardon ?

J : Ecoutez…Mary…Si vous êtes vraiment celle que vous prétendez êtes, vous devez savoir que je ne place pas ma confiance très facilement dans les gens et…

M : Je sais tout ça Jack, et je ne t’en veux pas ; pas le moins du monde !

J : Hum…bon…euh, je sais que vous avez vécu des choses très difficiles et que ça n’est pas facile pour vous, mais je voulais que vous sachiez que dès que l’on saura si vous êtes vraiment ma sœur, vous pourrez compter sur tout le monde ici pour vous épauler.

M : Merci Jack. Mais pour l’amour du ciel, pourquoi me vouvoies-tu ? Je suis ta sœur !

J : Non, vous êtes la sœur d’un Jack d’une autre dimension.

M : Bien sûr…jouer sur la nuance !Tu as toujours su le faire…en particulier avec les règlements…sauf UN

J(agacé) : on peut savoir de quoi vous parlez ? Non…à la réflexion, je préfère ne pas savoir…(voyant que Mary commençait à sourire) Bien, je vois que ça va mieux. Reposez-vous !

Il quittait la pièce quand Mary l’appela.

M : Jack…peux-tu appeler le général Hammond ?

J : J’y vais de ce pas !

Il se remit en marche mais fut de nouveau interrompu.

M : Jack !

J : (impatient) : oui ?

M : Merci…pour tout.

Le général arriva à l’infirmerie une dizaine de minutes plus tard.

H : Vous avez demandé à me voir capitaine ?

M : Oui mon général. Janet m’a dit que je devrai rester au lit pendant une semaine et étant donné que, si nous entreprenons des explorations afin de retrouver le Goa’uld qui a fait ça à ma galaxie, je tiens à faire partie d’une des équipes, car…

H : Venez en au fait capitaine !

M : Je voudrais que vous laissiez à SG-1 les vacances dont ils devaient bénéficier. Je ne pourrai vous l’expliquer, mais je ses que c’est très important.

H : Bien, je crois en effet qu’ils en ont besoin !

M : Merci mon général…merci pour eux.

Hammond ne saisit pas bien le sens de cette précision, mais préféra ne pas relever et laissa Mary se reposer.

Salle de briefing.

Hammond avait réuni SG-1 afin de faire un point sur ce qui s’était produit et savoir si ce que traduisait Daniel avait un quelconque rapport avec l’arrivée de Mary.

D : A première vue je ne pense pas…Tout ce que je suis arrivé à traduire pour le moment, c’est ‘amants ignorés’ ou ‘amants interdits’…

J : La nuance est en effet très subtile…que pensez-vous de ‘amants maudits’ ? ça fait beaucoup plus dramatique, mais…

H : COLONEL !

J : Je ne faisais que proposer mon général…

Sam avait cependant souri lors de l’intervention de son colonel, qui n’était pas intervenu dans un autre but. Daniel reprit :

D : …puis il y a un long passage parlant d’un voyage ou d’une initiation…la suite est plus confuse. La seule chose dont je sois vraiment sûr, c’est qu’il s’agit d’une sorte de prophétie, qu’il faut un élu pour qu’elle se réalise, et que le texte comprend des mots formant une sorte de formule…seule l’élu connaîtrait l’emplacement de ces mots…

S :Donc, rien de concret concernant Mary.

D : Désolé…

H : Bien, Le capitaine O’Neill m’a suggéré de vous laisser vos vacances et je crois que je vais l’écouter.

J : J’adore ma sœur !

H : Rompez !

Sam et Jack se levèrent alors que le général quittait la pièce.

J : Alors Carter, toujours prête à aller pêcher ?

S : je suis désolée mon colonel, mais j’aimerais beaucoup me pencher sur la dimension d’origine de Mary et voir avec elle si elle peut m’apprendre des choses…

D : Sam, je sais que je me mêle de ce qui ne me regarde pas…

J : Vous vous trompez Daniel : vous vous mêlez ENCORE de ce qui ne vous regarde pas !

D : Vous devriez prendre des vacances ! Je ne suis pas psychologue, mais je ne suis pas sûr qu’il soit très bon pour Mary de sans cesse reparler de ce qui s’est passé !

Jack attendait la réaction de Sam ; Daniel avait fait fort sur ce coup là : il faisait douter la grande Samantha Carter sur le fait de travailler ou non pendant les vacances.

S : Vous avez raison Daniel ! Eh bien mon colonel, vous n’avez pas peur que les antidépresseurs de vos poissons ne cessent leur effet avant notre arrivée ?

J(répondant au sourire de Sam) : Si nous partons maintenant, ça devrait aller !

Daniel sortit de la pièce, content de lui. Les deux militaires récupérèrent leurs sacs et se dirigèrent vers les ascenseurs ; ils s’y engouffrèrent et commencèrent leur lente remontée vers la surface. Tout à coup, une violente secousse ébranla l’appareil et la lumière s’éteint.

J : mais c’est pas vrai !

Sam se laissa glisser sur le sol, prenant son mal en patience.

S : le générateur de secours ne devrait pas tarder à se mettre en marche.

Jack se calma et s’assit à ses côtés, alors que la lumière verte du générateur remplissait le lieu, lui conférant un atmosphère intime.

J : A croire que quelque chose veut nous empêcher de partir en vacances !

S : il faut croire…

J : Entre nous, je crois que c’est naqquih…

S(amusée) : Et pourquoi ça ?

J : Il est jaloux que vous passiez pour une fois vos vacances avec moi et pas avec lui…Il a peur.

S : Oh ! Et de quoi a-t’il peur ?

J : je ne sais pas…peut-être qu’il se passe là-bas quelque chose qui ferait que vous passeriez toutes vos futures vacances avec moi !

S(hésitante) : Et que pourrait-il se passer ?

L’ascenseur se remit en marche alors que la lumière crue revint, cassant la magie du moment.

J : Hum…eh bien vous pourriez pêcher plein de poissons et vouloir tout le temps y retourner pour essayer de battre votre record !

S : Bien sûr…

Les portes s’ouvrirent et tous deux se dirigèrent vers la voiture de Jack.

Pendant ce temps, labo de Daniel.

Mary avait eu le droit de quitter l’infirmerie pendant une heure, et ses pas l’avaient conduite dans le labo de Daniel.

M : Daniel, tu es là ?

D(se levant de derrière le miroir) : Je suis ici Mary ! Dites…je sais que c’est difficile, mais…expliquez-moi ce qui s’est passé…

La jeune femme fixa un point invisible sur le sol et commença son récit.

M : Eh bien…en fait, nous nous sommes perdus à cause de notre naïveté…quand nous avons vaincu les derniers grands maîtres Goa’Uld, nous avons continué les missions d’exploration. En arrivant sur une lune, un Goa’Uld du nom de Kankek est venu à nous en ami…

D : mais ça n’était pas vrai.

M : En effet…il a été sympathique au début, il a partagé sa technologie…mais ce que nous ignorions, c’est qu’il a levé en secret la plus grande flotte jamais connue. La Terre a été dépeuplée en trois jours. C’est un miracle que j’ai pu en réchapper.

La jeune femme avait maintenant les larmes aux yeux.

D : Vous voulez que j’aille vous chercher quelque chose ? Un café ?

Elle acquiesça et Daniel sortit. Mary fut irrésistiblement attirée par le miroir. Certains mots brillèrent lorsqu’elle passa la main dessus.

La tension était à son comble dans la voiture ; tous deux pensaient que cette fois-ci, leur vie allait peut-être changer et leur rêve le plus cher se réaliser. Pensant détendre l’atmosphère, Jack alluma la radio et tomba sur la chanson de Phil Collins ‘can’t stop loving’.

Mary fut comme hypnotisée et commença à lire les mots.

Cause I can’t stop loving you

Lensi ama tarkama inmata

Oh I can’t stop loving you

Mana San’la rei te

No I won’t stop loving you

Lensi ama tarkama inmata

Why shoul’d I ?

Mana San’la rei te

Un éclair blanc jailli de l’endroit où se trouvait le texte et balaya la route sur laquelle roulaient Jack et Sam. Le colonel perdit le contrôle du véhicule, la voiture atterri dans un fossé, puis ce fut le trou noir.

Quelques temps plus tard.

Sam ouvrit les yeux et ne reconnut pas immédiatement la pièce dans laquelle elle se trouvait.

? ? : Ah, Sam ! Enfin tu te réveilles !

S(surprise que son amie la tutoie) : Janet…mais qu’est- il arrivé à l’infirmerie ?

Jan : mais voyons Sam ! C’est toi et moi qui avons fait les plans pour le changement de décoration !

S : Quoi…

Jan : Samantha, je crois que tu as reçu un sérieux coup sur la tête, malgré ce que me disent tes radios ! Je m’en souviens comme si c’était hier : ça devait être en octobre- novembre 2003, puisque ton ventre t’empêchait de monter sur les escabeaux !

S(n’y comprenant rien) : Janet, quelle est la date d’aujourd’hui ?

Jan : Nous sommes le 15 décembre.

S : non, je veux dire…l’année ?

Jan (étonnée) : 2006 !

A suivre ! ! ! ! ! !

Un feedback serait tellement sympa ! ! !