Auteure : Virginie

E-mail : l_virginie31@hotmail.com

Résumé :Mais qui est Thot ? ?

Genre : De l’aventure (pour une fois qu’il y en a ! !) et de la romance (étonnant, non ? !)

Spoiler : Je sais pas trop…je dirait Stargate en général

Disclaimer : Pas à moi pour Stargate ; s’adresser à MGM, Showtime, etc. Pour ce qui est des deux phrases de la chanson ‘if tomorrow never comes’, j’ai pas l’autorisation : c’est trop bête : Ronan Keating était chez moi hier encore et j’ai oublié de lui demander ! !

Note : J’ai la fièvre créatrice ; pour une fois, je me lance dans une fiction plus aventure, mais pas d’inquiétude pour les shippers : il y a de la romance ! Que dire de plus ? ? Envoyez moi des feed back, même si c’est pour dire que vous n’aimez pas du tout !

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J(râlant) : Et moi je vous dit que cette sonde s’est trompée ! Il n’y a pas un centimètre carré habité –ni habitable d’ailleurs- ici !

Il s’arrêta de marcher et se retourna vers son équipe.

J : Non mais regardez ! Il y a du sable, un soleil de plomb, du sable, une température plus qu’élevée, ai-je mentionné le sable ? !

Cela faisait deux heures que l’équipe était arrivée sur une planète qui ressemblait à un vaste désert. La température dépassait les 35°c, et pas une oasis en vue. Sam écoutait à peine les jérémiades de son colonel ; elle avait le nez plongé dans ses appareils et continuait à avancer. O’Neill se retrouva bientôt derrière les trois autres membres de son équipe, ceux-ci n’ayant pas daigné s’arrêter.

J(pour lui) : Ben voyons !

Il les rattrapa, ou, plus précisément, arriva à la hauteur de Sam, Teal’c étant devant et Daniel un peu en arrière.

J : Alors Carter, que disent vos joujous ?

S : Une forte activité vers le nord mon colonel…pas plus de précision, désolée !

T : O’NEILL ! Vous devriez venir voir par ici !

Le jaffa se tenait une cinquantaine de mètres en avant, sur une butte semblant surplomber une vallée. Les deux militaires coururent vers lui.

T( lui passant les jumelles) : Cinq jaffas à 12H00 ; au loin, trois vaisseaux mère.

J : Bon…vaut mieux pas traîner dans le coin et éviter de se faire repérer !

D : Euh…Jack…

J(sans se retourner) : Quoi DANIEL ? !

D : Je crois que c’est trop tard…

Les trois autres se retournèrent et virent deux jaffas en armure tenir en joue l’archéologue.

J : Salut les gars…

Jaf #1 : Kel’Mac Tau’ri !

J(arrogant) : Désolé mais je …

Le second jaffa lui envoya une décharge de zat ; Sam regarda horrifiée son colonel s’effondrer.

Jack se réveilla avec un horrible mal de crâne. Il ouvrit les yeux et vit Sam assise à côté de lui.

S : Mon colonel…est-ce que tout va bien ?

J(sarcastique) : Formidable Carter ! Où sommes nous ?

S : les deux jaffas nous ont conduits dans une salle proche des cellules grâce à des anneaux un peu à l’ouest de l’endroit où nous étions.

J : Et quelle est la situation ?

S : Les cellules sont fortement gardées : deux gardes par cellule, un changement toutes les heures, sans laps de temps de relâche suffisant pour tenter quoi que ce soit.

J : Combien de temps j’ai été dans les vapes ?

S : Approximativement 2heures et quart mon colonel !

Un garde qui avait le masque d’un singe ouvrit la porte, alors qu’un autre à tête d’oiseau gardait le couloir.

Jaf singe : Suivez-moi ! Notre dieu veut vous voir !

Jack et Sam furent escortés jusqu’à une salle richement décorée où ils retrouvèrent Daniel et Teal’c. Le trône au milieu de la pièce était encore vide et les quatre membres furent enfermés seuls dans la salle.

J : Alors, Daniel, une idée sur notre hôte ?

D : Eh bien, j’ai d’abord songé à une alliance entre deux Goa’ulds, mais je pense aujourd’hui qu’il s’agit de Thot.

J : Ooooh…un copain à vous Teal’c ?

T : Jamais entendu parlé O’Neill !

D : Il s’agissait du dieu de l’écriture et du savoir. Il a apparemment gardé les deux animaux qui le représentaient pour les armures.

S : Ce nom ne m’est pas inconnu…

D : C’est le dieu du savoir et des sciences…vous en avez peut-être entendu parler lors de vos études ?

Sam ne semblait pas convaincue ; elle fut interrompue dans sa réflexion par l’entrée d’un petit homme grassouillet escorté d’une dizaine de jaffas.

Un jaffa : Tau’ri kree djmal !

J : Je vous l’ai déjà dit, je ne …

Il ne put finir sa phrase qu’on les obligea à s’agenouiller.

Thot : Kel’mac Tau’ri !

J(à Daniel) : Vous pouvez traduire ?

D : La ferme !

Jack le regarda, incrédule.

D : C’est la traduction…

J : Ooooh…

Th : Je vous trouve bien bavard…ne craignez-vous pas mes jaffas ?

J : Oh, vous savez…on en a vu tant !

Thot s’approcha et examina un à un les membres de SG-1. Il leva la main et la passa devant la tête des quatre personnes, au niveau du front. Il portait une sorte d’arme de poing de laquelle sortait un rayon bleu.

Th à Daniel : Je détecte en toi un grand savoir ! Tu seras mon scribe.

Daniel ne savait pas s’il devait se sentir honoré ou non de cette fonction.

Th à Teal’c : Le shol’va…je te garanti que tu ne me trahira pas ! Tu travaillera dans mes mines de naquahda ; il faut bien que ta force physique serve à quelquechose !

T : Plus jamais je ne servirai un faux- dieu.

Thot éclata de rire et s’approcha de Sam.

Th : Tu es belle…belle et intelligente…je ressens une présence en toi…tu as porté un des nôtres, ou plutôt un Tok’râ ! (lui caressant le visage) Tu m’apprendras beaucoup de choses !

S(se dégageant) : Plutôt mourir !

Th(riant) : Comme tu voudras ! (à Jack) Je te sens arrogant…tu connais beaucoup de choses sur la porte…tu pourrais m’être utile ! (aux jaffas) Conduisez ces deux là en cellule et le shol’va à la mine !

Jack essaya de contester mais la perspective de recevoir une autre décharge de Zat le fit se taire. Thot fit sortir tous les jaffas de la pièce et se retrouva face à Daniel.

Th : Alors dis-moi…respecte-t-on toujours mon culte sur ta planète ?

D(hésitant) : Eh bien en fait…non…

Th(coléreux) : Comment ça NON ? ! C’est Apophis, c’est ça ? IL a profité de ma faiblesse pour détruire mon culte !

D : Euh…Apophis est mort…

Th : Qui l’a tué ?

D : Notre équipe…

Th : Alors qui a détruit mon culte ?

D : Je crois que vous avez environ 2000 ans d’histoire à rattraper…

Un jaffa : Prend ces outils shol’va, et commence à travailler.

Teal’c toisait les gardes babouin et ibis qui l’avaient escorté. Il s’était juré de ne plus jamais être au service d’un faux- dieu, mais avait appris, au contact des Tau’ri, qu’il valait mieux ne pas agir immédiatement. Il se mit donc au travail, abattant deux fois plus de roches que les autres prisonniers de corpulence plus faible.

Daniel finissait d’expliquer à Thot les exploits de SG-1 sur les autres dieux. Celui-ci était ravi que l’équipe lui ait supprimé ses ennemis.

Th : Il ne me reste plus qu’à vous tuer après avoir puisé un maximum d’information puis de conquérir la Tau’ri !

D(pour lui- même) :là, c’est mal barrer…

Jack se réveilla et vit Sam, crevée mais réveillée, adossée au mur.

J : Carter ! Vous avez dormi cette nuit ?

S : Je n’ai pas pu mon colonel…

J : J’ai ronflé ? !

S(souriant) : Non mon colonel…c’est que…je sais d’où je connais Thot.

J : C’est votre ex ? !

S(amère) : Les souvenirs de Jolinar me sont revenus dès que j’ai fermé les yeux : Elle avait infiltré ses rangs ; quand il l’a découverte, il l’a énormément torturée, jusqu’à ce qu’elle en meure. Il…(inspirant à fond) il l’a ressuscitée et elle a réussi à s’enfuir. Mon dieu, c’était si…abominable !

J(inquiet) : Vous croyez qu’il sait que vous avez été son hôte ?

S : Non, mais il ne devrait pas tarder…

J : Bon, essayez de vous reposer pour le mom…

Deux gardes firent irruption.

Jaf (désignant Jack) : TOI ! Suis-nous, notre maître veut te parler !

J(à Sam) : Surtout, reposez-vous !

Thot avait renvoyé Daniel dans ses quartiers de scribe et avait fait appeler Jack.

Th : Te voilà Tau’ri ! Dis-moi tout ce que tu sais sur le Shappaï.

J(faussement ignorant) : Le quoi ?

Th : La porte des étoiles !

Il observait avec méfiance Thot qui lui tournait autour.

J : Ah…ça ! C’est chouette, hein ? !

Thot lui infligea un coup de bâton dans le dos.

Th : Maintenant, dis-moi ce que tu sais dessus.

D : Désolé, je n’ai jamais été très fort en devinettes…

Le faux dieu revint devant Jack et leva la main ; une boule d’énergie en sortit et projeta Jack contre le mur. Celui-ci essaya d’ouvrir les yeux mais n’y parvint pas ; sa tête le faisait horriblement souffrir et il se sentait partir. Une phrase d’une chanson lui revint en mémoire : ‘if tomorrow never comes, would she know how much I love her ?’, puis ce fut le trou noir.

Sam ne pouvait dormir : d’abord cette histoire avec Jolinar, et maintenant son colonel qui devait être torturé. Elle ferma les yeux et se mordit la lèvre à cette pensée. La porte s’ouvrit et les gardes balancèrent le corps inerte de Jack dans la cellule. Immédiatement, Sam prit son pouls et constata qu’il était très faible et que sans soins urgents, il ne survivrait pas. D’un pas décidé, elle s’avança vers la porte de la cellule et demanda aux gardes de la conduire auprès de Thot.

Th : Tu as demandé à me voir Tau’ri ?

S : Oui… pour vous demander de soigner le colonel et de relâcher mes amis.

Th : Et pourquoi accepterais-je ?

S : C’est ça ou je met fin à ma vie !

Th (dédaigneux) : Et que veux tu que ça me fasse ? !

S : Je connais plus de choses sur la porte et les technologies qu’eux trois réunis !

Th : Et alors ? ! Je peux avoir ces informations quand je veux ! Et si tu te suicides, je pourrais toujours te ramener à la vie !

S : Mais vous n’êtes sans savoir que l’utilisation du sarcophage peut, à l’excès effacer de la mémoire des informations qui ne nous sont pas acquises de longue date. Il se trouve que j’ai certaines informations qui pourraient disparaître car elle ne sont pas imprimées dans mon cerveau !

Th : Les informations de ton symbiote !

S : Elles pourraient vous être indispensables !

Th : Aucune information n’est irremplaçable !

S(le fixant) : Sauf s’il s’agit de celles détenues par Jolinar de Malkshur !

Thot sembla hésiter, puis finalement donna l’ordre à ses jaffas de partir chercher O’Neill.

Th : Bien…maintenant dis-moi ce que tu sais !

S(méfiante) : Pas avant qu’il ne soit guéri !

Th : Tu es intelligente mais tu semble oublier quelquechose (se tournant vers elle et lui lançant une boule énergie de moindre intensité que pour O’Neill) ici c’est MOI qui commande !

Sam se releva et le fixa.

Th : Tu es aussi arrogante que ton colonel…bien, bien, bien… tu as raison : une fois que mes jaffas l’auront réanimé et que je me serai lassé de te …faire parler…j’aurais un nouveau moyen de pression sur toi !

Il partit en riant et Sam fut ramenée dans le cellule vide.

Teal’c ne laissait paraître sur son visage aucune émotion ; il frappait mécaniquement les pierres, tout en observant le rythme auquel les changements de gardes avaient lieu. IL avait remarqué que sa section de travail ‘était plus surveillée que par un seul garde ibis aux alentours de midi. Le lendemain à la même heure, il agirait.

Daniel semblait oublier son état captif : il était assis sur le sol, et déchiffrait certains hiéroglyphes inscrits sur des frises en bas de colonnes. La porte s’ouvrit soudain et Thot apparut.

Th : Tu sembles mieux t’adapter que tes deux autres amis.

D : Il y a une chose que je ne comprend pas : vous êtes le dieu du savoir et des sciences, mais vous n’êtes pourtant pas plus évolué que tout ceux que nous avons vaincus !

Pour seule réponse, il reçut un coup au visage ; il se releva difficilement, essuyant du revers de la main le sang qui coulait du coin de la lèvre.

Th(sortant) : Tu paieras pour avoir été insolent !

Le sarcophage s’ouvrit et Jack en sortit. Immédiatement, il repensa à cette phrase : ‘if tomorrow never comes, would she know how much I love her ?’. Il fallait qu’il voit Sam. Jack s’arrêta soudain ; il était seul dans la salle, il sortait d’un sarcophage ; que s’était-il passé ? Sa réflexion fut interrompue par l’arrivée de Thot.

Th : Tu es réveillé…bien, bien, bien ; ELLE sera contente ! Jaffa kree !

Sam essayait de trouver une position assez confortable pour ne pas faire souffrir son bras droit. La porte s’ouvrit et Jack y fut envoyé sas ménagement.

J : Eh ! Doucement avec les jeunes sarcophagés !

S(se relevant précipitamment) : Mon colonel ! Il l’a enfin fait !

J(se dégageant) : Euh …oui ; mais comment êtes-vous au courant ?

S : C’est moi qui le lui ai demandé.

Sam lui expliqua toute l’histoire.

J(en colère) : QUOI ? ! Mais qu’est-ce qui vous a pris ? ! Vous seriez peut-être libre à l’heure qu’il est !

S(presque criant) : Et vous vous seriez MORT !

J(calmé) : Et alors ? Ma vie a moins d’importance que les trois vôtres.

Deux gardes entrèrent à nouveau et Jack put juste entendre Sam lui dire, en partant : ‘pas pour moi mon colonel…’

Jack était abattu ; il ne parvint pas à trouver le sommeil.

Daniel continuait sa traduction ; Thor ne lui avait pas fait parvenir de nourriture, et son dernier vrai repas remontait à plus de douze heures. Il essayait de noyer sa faim en travaillant, mais il avait de nombreux mots d’estomac.

? ? : C’est pas vrai, dites moi que vous le faites exprès !

Daniel se retourna au son de la voix qu’il connaissait bien et se retrouva face à un garde ibis..

D : Euh…Jacob ?

Jac(enlevant son casque) : Oui…je suis infiltré dans un des deux autre vaisseaux mais j’ai entendu dire que des prisonniers avaient été faits : deux hommes, une femme ancien hôte et un jaffa. Il faut vous en aller : les vaisseaux doivent sauter d’ici trois heures !

Daniel le regardait, incrédule et de plus en plus inquiet. Jacob lui exposa son plan.

Teal’c s’approcha de la sortie ; le garde le mit en joue. Le jaffa simula un malaise et, quand le garde relâcha la garde, Teal’c lui sauta dessus et prit son armure. Il fut surpris en retrouvant sur son chemin Jacob et Daniel qui sortaient de la salle des scribes.

La porte s’ouvrit à nouveau et Sam fut jetée à terre. Jack se précipita vers elle et l’installa plus confortablement. Son pouls était régulier mais assez faible et du sang s’écoulait de son sourcil gauche ainsi que du coin de sa lèvre gauche. Son T-shirt était déchiré aux épaules et au niveau du ventre, laissant apparaître de nombreuses contusions et des hématomes. Jack enleva sa propre veste afin d’en couvrir son major. Il s’adossa au mur et étendit ses jambes, afin de poser dessus la tête de son major, de façon à ce que leurs deux corps forment un axe perpendiculaire. Une heure passa sans que son état ne s’améliore.

J : Vous savez Carter, ça va vous paraître bête, mais juste avant de plonger dans mon coma et lorsque je suis sortit du sarcophage, une phrase d’une chanson m’est revenue en mémoire ; ça dit : ‘if tomorrow never comes, would she know how much I love her ?’

Il fut interrompu par une porte qui s’ouvrait, laissant apparaître deux gardes ibis et Daniel ; l’un d’eux se précipita sur Sam.

Jac : Sam, ma chérie, répond- moi !

J : Jacob ? !

Jac : Vous êtes perspicace jack ! Prenez Sam…

J : Vous nous couvrez ?

D : Il serait plus judicieux que l’on se fasse passer pour des prisonniers, non ? !

Jac : Daniel a raison, mais dépêchons- nous : les vaisseaux devraient exploser d’ici moins de ¾ d’heures !

J : QUOI ? !

D : On vous expliquera plus tard !

Ils se mirent en marche vers la salle du trône où se trouvaient des anneaux pouvant les mener, d’après Jacob, plus près de la porte des étoiles que ceux situés dans la salle annexe aux cellules ; là, ils tombèrent nez à nez avec Thot.

Th (à teal’c et Jacob) : Que faites-vous ici avec eux ?

Avant que Jacob ne puisse répondre quoi que ce soit, Jack posa Sam et se saisit d’un zat que tenait Jacob. Thot déclencha son bouclier et évité ainsi la décharge. Des jaffas entrèrent et, pendant que les trois autres leur tiraient dessus, Jack prit un couteaux que Jacob lui tendait et l’envoya dans la main du faux- dieu ; il le désintégra par la suite en lui donnant trois coups de zat.

Les jaffas arrivaient toujours plus nombreux, et bientôt, les quatre hommes furent submergés. Alors qu’ils allaient se rendre, des bruits de MP5 se firent entendre et bientôt apparurent les équipes SG-2, 5 et 10.

J : On a failli attendre !

Jac : Dépêchons ! Nous n’avons plus que 15 minutes avant que tout n’explose !

Ils coururent vers la sortie, abattant les rare gardes se trouvant sur leur chemin. Jack portait Sam et avait refusé qu’un autre s’en charge. A peine furent-ils tous sortis des vaisseaux qu’une explosion puis deux autres se firent entendre. Ils étaient trop près pour en réchapper ; ils le savaient, mais continuèrent à courir. Ils sentirent le souffle de l’explosion les projeter en avant, puis plus rien. Jack serrait Sam contre lui et rouvrit les yeux.

J : Thot, vous êtes le meilleur !

Le gris le regardait en inclinant la tête. Les membres des autre équipes étaient émerveillés, car pour la plupart, ils voyaient la technologie Hasgard pour la première fois.

Jac( à Jack) : Peut-être pourriez-vous lâcher ma fille maintenant ? !

Le général Hammond regardait, inquiet, par la baie vitrée de la salle de briefing, la porte désespérément inactive. Soudain, l’alarme de cette dernière se fit entendre ; il descendit en salle de commande.

H : Un code ?

Airman : Pas encore…C’est SG-10 mon général !

H : Ouvrez l’iris !

Les trois équipes de secours arrivèrent sur la passerelle, immédiatement suivies de Daniel, Teal’c, puis de Jack qui portait Sam.

H : Une équipe médicale en salle d’embarquement ! Bon retour parmi nous SG-1 !

Les trois membres valides lui adressèrent un sourire. Jack déposa Sam sur un brancard et ils partirent à l’infirmerie.

Sg-2,5 et 10 venaient de finir leur compte-rendu de mission et sortaient de la salle, croisant Janet en sens inverse.

H : Alors docteur, comment vont-ils ?

Jan : Teal’c n’a rien, si ce n’est quelques égratignures ; une fois qu’il aura fait sa méditation, tout ira bien. Pour ce qui est du docteur Jackson, je l’ai mis sous sédatifs et nutrition. Il a une faiblesse généralisée mais rien de très grave. Le colonel O’Neill est également sous sédatifs : il a une fracture du poignet droit, qui ne s’est pas améliorée quand il a porté le major, et manque de sommeil. Sa santé générale est bonne car d’après ce que j’ai compris, il a séjourné dans un sarcophage.

H : Et le major Carter ?

Jan : Comme vous le savez, c’est elle la plus touchée : multiples fractures, hématomes, plaies diverses, cinq côtes fêlées et deux cassées. Je l’ai mise sous sédatifs ; elle est dans un léger coma, mais je suis optimiste : elle devrait en sortir d’ici une semaine.

H : Bien…vous pouvez disposer !

Jan : Ce n’est pas tout mon général… Je pense qu’il y aura des répercutions psychologiques et peut-être une amnésie volontaire développée par son inconscient. Ça se guérit avec le temps, mais ça veut dire plus de mission pendant environ un à deux mois après son réveil.

H : Bien, nous aviserons en temps et en heure. Merci docteur !

J’ai des grandes idées pour ma suite ! ! ! J’espère que ça vous a plu mais comme je suis pas devin (enfin, je prend des cours pour le devenir ! !) j’aimerais que vous m’envoyiez des feedbacks, ça serait cool ! !