If tomorrow never comes II

 

 

Auteure : Virginie

E-mail : l_virginie31@hotmail.com

Résumé :Les conséquences de la rencontre avec Thot. Suite de If tomorrow never comes.(vaut mieux lire la première partie pour mieux comprendre).

Genre : De la romance surtout.

Spoiler : Je sais pas trop…je dirais Stargate en général

Disclaimer : Pas à moi pour Stargate ; s’adresser à MGM, Showtime, etc. Pour ce qui est des deux phrases de la chanson ‘if tomorrow never comes’, j’ai pas l’autorisation : c’est trop bête : Ronan Keating était chez moi hier encore et j’ai oublié de lui demander ! !

Note : Me revoilà après une absence de quinze jours ! ! Pour ceux qui ne sont pas au courant, mon ordinateur était cassé, c’est pour ça que je n’ai pas pu répondre aux feedbacks, pas pu en envoyer on plus, et surtout, pas pu écrire la suite ! !

Note2 : J’ai entendu dire qu’il y aura une saison 7 et que RDA pourrait y être. Est-ce que vous savez si tous les autres acteurs y seront aussi ? ? ? ça serait sympa de m’envoyer un message si vous avez des infos ! !

Bonne lecture

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Résumé de l’épisode précédent :

SG-1 est faite prisonnière par Thot ; Daniel devient son scribe, Teal’c travaille dans les mines de aqquahda et Sam et Jack sont prisonniers dans la même cellule. Thot interroge ces deux derniers avec sa délicatesse de Goa’Uld ( !) Alors que Sam est torturée et que Jack est revenu à la vie grâce à un sarcophage, Jacob retrouve Daniel et Teal’c parvient à s’échapper. Quand Sam revient en cellule, inconsciente, Jack lui avoue que les paroles de la chanson ‘if tomorrow never comes’ le fait penser à elle. Jacob , Daniel et Teal’c parviennent à libérer leurs amis, qui apprennent qu’une bombe Tok’ra est sur le point d’exploser. Ils se retrouvent face à Toth que Jack tue. Submergés par les gardes de ce derniers, ils sont sauvé par les équipes de secours. ; Ils sortent du palais et sentent le souffle de l’explosion, mais sont téléportés à temps par Thor. Ils rentrent à la base où Janet apprend au général que Sam peut avoir des conséquences psychologiques dues à sa torture.

 

And now, ladies and gentlemen, la suite !

 

Lendemain matin , infirmerie.

 

Daniel ouvrit péniblement les yeux . Il reconnut le lieux dans lequel il se trouvait et se remémora les derniers événements.

D : Janet, vous êtes là ?

Une infirmière entra.

Inf : Je suis désolé, mais le docteur Frasier n’a pas encore pris son service…Je vais vous mettre sous nutrition par intra- veineuse et vous apporter un petit –déjeuner.

D : Et les autres ?

Inf : Tout ce que je sais, c’est qu’ils sont tous hors de danger.

Daniel la remercia et elle partit après avoir fait quelques vérifications. Deux heures plus tars, Janet arriva et fit le tour de ses patients.

J : Ah ! Daniel ! Vous vous sentez bien ? Pas de douleurs ni de vertiges ?

D : Non, tout va bien, mais…et les autres ? Je sais qu’ils sont hors de danger, mais rien d’autre…

Jan : Comme je l’ai dit au général Hammond, Teal’c et le colonel avaient surtout besoin de repos. Je vous ai mis vous et le colonel sous sédatif mais il a suffit à Teal’c d’un Kel’No’Reem pour récupérer. Vous êtes sous nutrition et le colonel a un poignet cassé. La plus touchée est Sam ; le reste tiens du secret professionnel .

Daniel acquiesça et Janet lui permit de sortir de l’infirmerie et de rejoindre son labo, à la seule condition qu’il revienne 3h00 plus tard, sans toutefois lui accorder le droit de passer voir Jack et Sam, qui n’étaient pas encore réveillés.

 

Labo de Daniel.

T : Heureux de vous revoir en bonne santé Docteur Jackson !

D : Merci Teal’c ! Vous savez, je n’avais rien de très grave…Vous avez pu voir Sam et Jack ?

T : Non, le docteur Frasier n‘a pas voulu.

Daniel ne dit rien, mais il trouvait ça frustrant de ne pas , ne serait- ce que les voir. Janet avait eu beau lui expliquer que Jack n’était pas réveillé que Sam aurait pu rester ‘volontairement ‘ dans le coma si elle avait entendu une voix lui remémorant ce qui s’était passé, il n’arrivait pas à se faire une raison .

Une semaine passa. Jack s’était réveillé 24h00 après Daniel et un briefing avait été organisé. Ils racontèrent leur mission, de la rencontre avec Thot, à l’intervention in extremis des Hasgards, en passant par celle des Tok’râ. Daniel leur apprit ce qu’il était parvenu à déchiffrer sur les colonnes : apparemment, Thot revenait à peine de deux longs millénaires de convalescence, car la larve avait un défaut et la plupart des hôtes mourraient au bout de quelques jours. Jack était de moins mauvaise humeur que ce qu’avaient pu craindre les autres, car il avait passé un deal avec Janet : rester près de Sam sans toutefois lui parler, juste en la veillant et en lui tenant la main.

Et enfin, Sam ouvrit les yeux. Elle ne fit pas de blocage verbal, comme l’avait craint Janet, mais était cependant amnésique.

 

" L’équipe SG-1 est demandée à l’infirmerie. L’équipe SG-1 est demandée à l’infirmerie. "

 

Daniel et Teal’c rejoignirent Jack et Hammond, déjà présents.

Jan : Bien, comme je le pensais, elle fait une amnésie provoquée par son inconscient ; elle ne se souvient ni de qui elle est, ni du projet, et encore moins de nous.

H : Que préconisez-vous ?

Jan : Lui rappeler certains faits de sa vie immédiatement et d’autres uniquement si elle pose des questions dessus.

D : Et qu’a –t’on le droit de lui dire ?

Jan : Tout ce que l’on dirait à une personne non impliquée dans un projet top secret : son nom, son métier –vous n’avez qu’à dire qu’elle travaille dans les satellites -, son âge,…Si elle pose des questions ayant un quelconque rapport avec la porte des étoiles, il faudra lui mentir afin de ne pas provoquer un refus total de la vérité.

J : Et que sait-elle pour le moment ?

Jan : Qu’elle est dans une infirmerie, qu’elle s’appelle Sam et moi Janet. Je n’ai pas jugé bon de lui en apprendre davantage pour le moment.

T : Et quand sortira- t’elle de son amnésie ?

Jan : Dans deux jours, deux mois, deux ans…nul ne le sait, surtout que ça n’est pas dû à un choc physique ; ça doit venir d’elle même. Vous pouvez aller la voir ; mais ne lui dite que vos noms, grades et métier.

Les trois membres de SG-1 rentrèrent dans la pièce et virent Sam, allongée sur le dos, qui contemplait le plafond.

J : Bonjour Carter !

Il reçut un coup de coude de Daniel dans les côtes.

D : Bonjour SAM(il insista bien sur le prénom, à l’intention de Jack) ! Comment vous sentez-vous ?

S : Oh, pardon…c’est à moi que vous parlez…ça va, merci. Enfin, pour ce que je m’en souviens !

T : C’est un plaisir de vous voir aller mieux major Carter.

S(surprise) : Major ?

J : Oui, vous êtes major dans l’USAF ; le major Samantha Carter.

D : Et je suis Daiel Jackson, lui c’est Teal’c et lui, le colonel Jack O’Neill.

S(à Jack) : Nous travaillons ensemble ?

J : Oui Carter ; en fait, nous travaillons tous les quatre ensemble.

S : Oh ! Et que faisons-nous ?

D(précipitamment) : Satellites ! (+ calme)euh…nous travaillons dans une société de satellites.

Sam paraissait heureuse de parler à quelqu’un qui la connaissait. Elle se posait des centaines de questions, mais préférait ne pas les poser. Pas tout de suite en tous cas. Elle avait remarqué le regard insistant de Jack sur elle et ne savait comment réagir. Les trois hommes la quittèrent, heureux de voir qu’elle commençait à se rétablir physiquement.

 

Infirmerie, après-midi.

Ils revinrent la voir pour déterminer si elle se souvenait de leurs prénoms.

S(ravie de les revoir) : Oh ! Jack, Ethaniel, Tom !

J(souriant) : Vous vous souvenez du plus important, c’est déjà ça…

S(aux deux autres) : Je suis désolée…

D : Ce n’est rien Sam, C’est normal ! Je suis Daniel et lui c’est Teal’l.

S(fermant les yeux) : Daniel, Teal’c, Daniel, Teal’c, Daniel, Teal’c. J’espère que je m’en souviendrai !

Au bout d’une heure, Daniel et Teal’c se retirèrent et seul Jack resta près d’elle.

S : Est-ce que j’ai une famille ?

J(hésitant) : Pour ne rien vous cacher…votre mère est décédée lorsque vous aviez 15 ans. Mais vous vous entendez bien avec votre frère Mark et votre père Jacob…même s’il est loin !

S : Oh…et où est-il ?

J(pris au dépourvu) : Chez les T… Touaregs !

S(étonnée) : Les Touaregs ? et quel est son métier ?

J : Il est ethnologue. (voulant changer de sujet) Vous vous souvenez de certaines choses ?

S : Oui, un sigle : SG-C. Qu’est-ce que ça signifie ?

J : C’est le sigle de notre base ; ça veut dire…Satellite General Center !

Sam parut intéressée et parla avec Jack pendant encore ¼ d’heure ; il dut partir sur les ordres de Janet. Jack était prêt à sortir quand Sam l’interpella.

S : Jack…ça peut vous paraître futile, mais…quel est mon âge ?

J : Je me vois dans l’impossibilité de vous répondre Carter ! (devant l’air interloqué de son major) Vous l’avez classé secret défense !

La dernière chose qu’il vit en quittant la pièce fut le sourire de Sam.

 

Salle de briefing, une heure plus tard.

H(entrant) : SG-1, asseyez-vous ! Je vous ai fait réunir sur les recommandations du Docteur Frasier…docteur…

Jan : Merci mon général ! Comme vous l’avez peut-être remarqué, l’amnésie de Sam est particulière…Non seulement elle ne se rappelle pas un certain nombre de choses, mais son inconscient l’empêche d’y parvenir.

J : ça veut dire…

Jan : Eh bien par exemple, elle ne vous a posé aucune question sur votre blessure au poignet ou sur sa vie sentimentale.

J : Mais elle m’a pourtant demandé ce que faisait son père.

D : Que lui avez-vous répondu ?

J : Qu’il était ethnologue chez les …Touaregs…

D : Les Touaregs ? ? ?

Jan : C’est étrange !

J : Oh ! ça va vous deux !

Jan : Je ne parlais pas de votre réponse mon colonel , mais simplement du fait que la barrière de son inconscient semble déjà faiblir…les gênes de Jolinar sans doute…

H : Que préconisez-vous docteur ?

Jan : Il lui faut du repos, un univers connu qui pourrait l’aider à se souvenir de quelquechose, et surtout quelqu’un pour s’occuper d’elle.

H : Bien, je vais prendre toutes les mesures nécessaires pour faire rappeler Jacob.

J : Sauf votre respect mon général, je ne crois pas que ce soit une très bonne idée…

H(surpris) : Pourquoi ça colonel ?

D : Oui c’est vrai ça…pourquoi Jack ?

J : Et bien imaginez : qu’est-ce qui pourrait justifier le départ précipité de Jacob aux yeux de Sam si les Tok’râ l’appellent ? Le major risque de s’enfoncer encore plus dans son amnésie.

T : Je suis d’accord avec vous O’Neill.

Jan : Je dois dire que vous m’étonnez colonel ! Je n’y avait pas pensé…

H(résolu) : SG-1, vous avez deux semaines de vacances. Je vous charge néanmoins de rester près du major et de vous occuper d’elle. Si j’ai bien compris, il est préférable qu’elle rentre chez elle (signe affirmatif de Janet). Rompez !

Tous sortirent ; Daniel rattrapa Jack dans le couloir.

D : Alors, vous allez vous décider à le lui dire ?

J(agacé) : Dire QUOI à QUI, Daniel ?

D : Jack, ne jouez pas à ça avec moi !

J : Daniel ; Carter est amnésique !

D : Et alors ?

J : Et alors ? ! Mais enfin, je ne vais pas profiter du fait qu’elle ne se souvienne de rien pour lui dire quelque chose qu’elle a toujours refusé avant !

Sur ce, Jack quitta un archéologue médusé et se dirigea vers ses quartiers.

 

Infirmerie, lendemain matin.

 

Jack entra et fut accueilli par son major qui lui souriait.

S(debout, enfilant sa veste) : Ah, Jack ! Je suis si heureuse de pouvoir rentrer chez moi !

J(souriant) : Je n’en doute pas ! Vous êtes prête ?

 

Plus tard, chez Sam.

 

Sam entra dans la maison, comme si elle la découvrait pour la première fois. Elle déposa son manteau, se dirigea vers le salon et avisa quelques photos. La plupart représentaient SG-1, Hammond, Janet ,d’autres étaient officielles et d’autres encore représentaient des gens qu’elle ne connaissait pas. Un photo, plus en avant que les autres, retint son attention : on y voyait Jack présentant un chien à une petite fille et Sam, debout, admirant la scène. Elle prit la photo en mains , murmura ‘j’en était sure’, et se dirigea vers son colonel, qui était dans la cuisine.

S : Comment s’appelle- t’elle ?

J(avisant la photo) : Oh ! C’est Cassandra !

S : Et quel âge a- t’elle ?

J : Presque 15 ans aujourd’hui ; mais elle en avait 11 sur la photo.

S : Oh… Et depuis combien de temps sommes-nous mariés ?

J(surpris) : je vous demande pardon ?

S : Oh ! Nous vivons seulement en concubinage…

J : Non Carter, nous…

Il fut interrompu par la sonnette de la porte d’entrée.

S(souriant et sortant de la cuisine) : il faudra que l’on en reparle plus tard !

Elle ouvrit la porte et découvrit ses deux autres amis.

S : Daniel, Teal’c ! Vous ne deviez pas passer plus tard ?

D : Si, mais on s’est dit que le fait de vous laisser seule aux mains de Jack tout une journée était trop cruel !(voyant le sourcil levé de teal’c) Enfin… JE me le suis dit.

Sam souriait, moins pour la blague de Daniel que pour le fait qu’elle se sentait bien et qu’être entourée d’amis l’y aidait.

 

Soirée, maison de Sam.

 

SG-1 était installée dans le salon de Sam depuis quelques heures, à parler de tout et de rien. Sam semblait avoir décroché depuis une dizaine de minutes et intervint soudain, coupant cours à la dispute de Daniel et Jack.

S : Est-ce que j’ai des amies…féminines ?

D : Bien sûr Sam ! Il y a Janet !

S : Je veux dire…en dehors de la base…

D : C’est à dire que vous ne nous en avez jamais…

J(le coupant) : Il y a Molly, que vous connaissez depuis votre enfance, Jane, avec qui vous avez fait vos études d’astrophysique ; et Emma. Elle est votre meilleure amie…Vous pouvez passer des heures au téléphone avec elle !

Daniel et Teal’c étaient surpris que Jack en sache tant. Sam, elle, était ravie et se disait qu’elle devrait tenter de les contacter.

S(se levant) : Vous voulez du café ?

T : Volontiers major Carter.

S : Vous allez voir ; c’est le meilleur du monde ; une recette de ma mère ! Même les Hasgards n’en font pas un…

Elle ne put finir sa phrase qu’elle s’évanouit. Quand elle ouvrit les yeux, elle se trouvait dans une pièce blanche ; en tournant la tête vers la gauche, elle vit quatre personnes discuter en lui tournant le dos. Il y avait une femme brune, assez petite, avec une blouse blanche, un homme grand, noir, avec un étrange tatouage doré au milieu du front ; un autre légèrement plus petit, brun ; un troisième aussi grand que le premier, les cheveux poivre et sel.

T : Elle se réveille Dr Frasier.

La doctoresse se précipita vers elle et commença à l’ausculter. Les trois hommes restèrent en recul. Sam ne pouvait détacher ses yeux du regard chocolat qui la fixait.

Jan : Sam, Sam ? Vous m’entendez ? Est-ce que ça va ?

S(tournant la tête) : C’est à moi que vous parlez ?

Jan (inquiète) : Vous ne vous souvenez plus de qui vous êtes ?

Sam fit signe que non et Janet dit aux trois hommes d’approcher.

Jan : Je m’appelle Janet Frasier et je suis médecin. Et voici vos trois collègues : Teal’c, Daniel Jackson et Jack O’Neill.

S(à Jack) : Vous me rappelez quelqu’un…

J : J’espère bien Carter ! On n’oublie pas son colonel comme ça !

S : Carter, colonel…je ne comprend pas…

D : Vous vous appelez Samantha Carter et vous êtes major dans l’USAF.

S : Oooooh…et vous deux ?

T : Nous sommes civils.

S : Et qu’est- ce que je fais ici ?

Jan : Pour ne rien vous cacher, vous avez eu un accident qui a causé chez vous un léger coma. Vous vous êtes réveillée au bout d’une semaine, amnésique. Je vous ai permis de rentrer chez vous, mais vous vous êtes évanouie…et apparemment, vous êtes à présent amnésique de votre amnésie !

Sam l’écoutait attentivement. C’était très frustrant de ne pouvoir se rappeler quoi ou qui que ce soit.

S : Docteur, est-ce que je peux rentrer chez moi ?

Jan : Non ; je préfère vous avoir à disposition si vous avez le moindre problème…Je peux par contre vous faire installer dans vos quartiers si vous voulez…

 

Un quart d’heure plus tard, quartiers de Sam.

 

J : …et puis c’est très confortable !

Sam souriait ; ce Jack était un homme merveilleux, drôle, et pour ne rien gâcher, plutôt mignon ; et il avait une telle façon de la regarder !

J : Carter, Carter ! (ayant retenu son attention)Alors, on rêve ?

S(souriant) : Non…je réfléchissais…

J : Pour changer !

S : Pardon ?

J : Disons que vous nourrissez une passion pour tout ce qui est réflexion… Vous voulez certainement vous reposer…je vais vous laisser !

S : Non, restez !…s’il vous plaît…(prenant la seule photo de la chambre sur la table de chevet) : Dites moi qui ils sont.

Jack avisa la photo et sourit ; elle avait été prise peu de jours après le test Zatar’k.

J : Alors lui c’est Georges, mais il préfère qu’on l’appelle général Hammond…allez savoir pourquoi (sourire de son major) ; eux trois, vous les connaissez : Daniel Teal’c et Janet ; elle c’est Cassandra, la fille adoptive de Janet ; là c’est papa…

S : Votre père ?

J(souriant) : Non, le vôtre…c’était une blague entre nous…avant…hum et là c’est le major Samantha Carter, mais elle préfère qu’on l’appelle Sam. Elle a un caractère bien trempé et sait imposer ses idées, qui sont toujours les meilleures, ce qui est assez déprimant…mais ne lui répétez pas ! Voilà ! Vous connaissez tout le monde.

S : Non… Vous ne m’avez pas parlé de lui…

J : Lui c’est le colonel Jack O’Neill ; un vieux ronchon qui a rempilé au lieu de profiter de sa retraite…

S : Et qu’en a pensé sa femme ?

J : EX femme ! Elle l’a quitté pour ça…en partie.

Un silence se fit ; le regard de Jack se voilà.

S : Pourquoi êtes vous si triste soudainement ?

J(se levant) : Ce n’est rien Carter ! Je vous laisse…reposez-vous bien !

Il sortit de la pièce, laissant Sam perplexe. Elle alluma la radio et tomba en plein milieu d’une chanson qui disait : ‘this is how, you remind me , who I really am’. Sam s’endormit alors que la chanson finissait.

 

Lendemain matin, self, 8H30.

 

Sam arriva en trombe dans le lieu, repéra ses trois amis et s’assit à leur table.

S : Que veulent dire Tok’râ, Tollan, Goa’Uld, Shappaï, Zat’Nik’tel, naquadah, Jolinar, et tous les autres noms que j’ai oublié ? C’est une langue ancienne, c’est quoi ?

J : Tout d’abord, BONJOUR Carter ! Deuxièmement : comment avez vous su ces mots ?

S : Ils me sont venus alors que je dormais. Qu’est-ce qu’ils veulent dire ?

T : Nous ‘avons malheureusement pas le droit de vous le révéler Major. Sachez seulement que ça a un rapport avec votre métier.

Sur ce, il se leva et partit dans ses quartiers. Sam le regardait, perplexe, et décida enfin de se servir un petit déjeuner.

La journée se passa sans incident, mis à part le fait que Sam failli avoir un arrêt quand elle entendit l’alarme de la porte. Jack lui dit que c’était la semaine d’essai des alarmes de la base, ce que Daniel trouva très ingénieux, plus en tous cas à ses dires, que l’histoire des Touaregs.

 

Soirée ; quartiers de Sam.

 

Elle s’allongea sur son lit et alluma la radio. Elle s’endormit alors que sur les ondes était diffusé une chanson qui lui rappelait quelque chose ; une phrase de cette chanson vint hanter ses rêves : ‘if tomorrow never comes, would she know how much I love her ?’. Des flashs envahirent alors son sommeil. Elle se réveilla en sueur, se leva, et se précipita vers les quartiers de Jack ; étrangement, elle savait où ils se situaient . Elle frappa et n’attendit pas longtemps avant que Jack n’ouvre la porte, étonné de tomber sur son major affolée, pieds nus et en tenue de nuit.

J : Carter ? ! Que…

S : Je peux entrer ?

Jack s’écarta et la fit entrer.

S : J’ai eu des flashs…

J : Des…flashs ? !

S : Je vais être directe : est-ce que l’on était ensemble ?

J : Pourquoi cette question ?

S : Dans mes visions, nous nous embrassions, on se disait qu’on s’aimait, …

J : Oh… Carter, il existe dans le règlement de l’USAF une stupide loi qui nous interdit de…fraterniser…

S : Oh… Vous voulez dire que même battre les Goa….

Elle s’arrêta net.

S(affolée) : Non, je n’ai pas le droit de m’en souvenir. Je ne DOIS pas !

J(mettant ses mains sur ses épaules) : Si Sam, vous le devez ; c’est bien !

S(le fixant, les larmes aux yeux) : Désolée…

Elle s’évanouit à nouveau. Jack la prit dans ses bras et l’emmena à l’infirmerie où, par bonheur, officiait encore Janet. Celle-ci lui fit passer toute une batterie d’examens qu’elle analysa toute la nuit.

A SUIVRE…

J’espère que cette suite vous à plu (feedbacks please ! ! !) la suite ne sera pas si longue à venir (pourvu que mon ordinateur ne me lâche pas ! ! !)