If tomorrow never comes III

 

 

Auteure : Virginie

E-mail : l_virginie31@hotmail.com

Résumé :Les conséquences de la rencontre avec Thot. Suite de If tomorrow never comesI et II.(vaut mieux lire les premières parties pour mieux comprendre).

Genre : De la romance surtout.

Spoiler : Je sais pas trop…je dirais Stargate en général

Disclaimer : Pas à moi pour Stargate ; s’adresser à MGM, Showtime, etc. Pour ce qui est des deux phrases de la chanson ‘if tomorrow never comes’, j’ai pas l’autorisation : c’est trop bête : Ronan Keating était chez moi hier encore et j’ai oublié de lui demander ! !

Note : J’ai entendu dire qu’il y aura une saison 7 et que RDA pourrait y être. Est-ce que vous savez si tous les autres acteurs y seront aussi ? ? ? ça serait sympa de m’envoyer un message si vous avez des infos ! !

 

Fini le 25/11/02

Bonne lecture

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Résumé des épisodes précédents.

SG-1 est faite prisonnière par Thot ; Daniel devient son scribe, Teal’c travaille dans les mines de aqquahda et Sam et Jack sont prisonniers dans la même cellule. Thot interroge ces deux derniers avec sa délicatesse de Goa’Uld ( !) Alors que Sam est torturée et que Jack est revenu à la vie grâce à un sarcophage, Jacob retrouve Daniel et Teal’c parvient à s’échapper. Quand Sam revient en cellule, inconsciente, Jack lui avoue que les paroles de la chanson ‘if tomorrow never comes’ le fait penser à elle. Jacob , Daniel et Teal’c parviennent à libérer leurs amis, qui apprennent qu’une bombe Tok’ra est sur le point d’exploser. Ils se retrouvent face à Toth que Jack tue. Submergés par les gardes de ce derniers, ils sont sauvé par les équipes de secours. ; Ils sortent du palais et sentent le souffle de l’explosion, mais sont téléportés à temps par Thor. Ils rentrent à la base où Janet apprend au général que Sam peut avoir des conséquences psychologiques dues à sa torture.

Elle se réveille au bout d’une semaine, amnésique. Commence alors le temps de refaire connaissance avec les autres et surtout elle-même. Janet l’autorise à rentrer chez elle, sous la garde des trois autres membres ; Jack, arrivé le premier, essaye de lui expliquer, alors qu’elle est persuadée du contraire, que Cassi n’est pas leur fille et qu’ils ne sont pas mariés. Mais l’arrivée de Daniel et Teal’c le coupe dans ses explications. Plus tard dans la soirée, Sam va préparer du café ; en en vantant les mérites, elle fait une comparaison aux Hasgards et s’évanouit. Elle se réveille à l’infirmerie, de nouveau amnésique. Janet lui interdit de retourner chez elle mais l’installe dans ses quartiers. La nuit, elle a des flashs et le lendemain, demande à ses amis ce que signifient certains mots. Ils ne lui répondent pas. La nuit suivante, elle a des flashs d’elle et Jack ; elle va dans les quartiers de son colonel pour mettre les choses au clair. Il lui explique qu’il y a une loi de non- fraternisation, et, alors qu’elle est sur le point de prononcer le mot Goa’Uld, elle dit : " Non, je n’ai pas le droit de m’en souvenir. Je ne DOIS pas ! ". jack lui dit que si, mais elle s’évanouit, en murmurant avant : " désolée ".

Et maintenant : la suite.

Lendemain matin, salle de briefing.

 

Tous étaient réunis pour entendre ce qu’avais à dire Janet à propos de Sam.

H : est-ce que son état s’est aggravé depuis sa première amnésie ?

Jan : Non, et c’est un point positif. En fait, son cerveau agit comme une cassette sur laquelle on enregistrerait quelque chose qui s’effacerait lors de la prononciation de certains mots…

J : Mais elle ne s’est pas évanouie quand elle a eut les flashs de tous les autres mots au self.

Jan : Non, parce qu’elle ne les a pas prononcé en comprenant ce qu’ils signifiaient…alors que les deux autres fois…oui.

J : C’est un cercle vicieux alors : elle se souvient, elle s’évanouit, elle s’évanouit, elle ne se souvient plus !

Jan : J’ai peut-être une trace : j’ai isolé dans son organisme une protéine non- humaine.

T : Une gêne de Jolinar de Malkshur ?

Jan : C’est ce que je pensais au début, mais en fait non : c’est ce qui bloque l’accès à la mémoire et la fait s’évanouir.

D : Vous avez un remède ?

Jan : Peut-être pourrait-on demander aux Tok’râ de l’aide avec l’activateur de mémoire ?

J : Ne risque- t’elle pas d’être surchargée de souvenirs et de faire un coma plus grave ?

Jan : Je ne pense pas…

J(en colère) : Vous ne PENSEZ pas ? Est-ce que je dois vous rappeler que c’est de la vie de Carter dont il s’agit ? !

H : COLONEL !… Docteur, continuez !

Jan : Je disais donc qu’il faudrait occuper ces protéines pendant l’activation de mémoire… Il suffirait de rajouter un peu de sang au sien pour qu’elles soient occupées, ce qui prendrait environ 24 h00. Avec toutes les informations qui afflueront d’un seul coup, ert étant donné qu’elles seront affaiblis par l’apport de sang, ça devrait provoquer comme un court- circuit et elles devraient s’ auto - détruire.

H : Bien ! Je fais prévenir les Tok’râ.

Il sortit de la salle, accompagné de Teal’c et Janet.

D : Jack, je peux vous parler ?

J(sec) : C’est ce que vous faites déjà.

D(ne tenant pas compte de la remarque) : Je voudrais vous demander d’arrêter de vous acharner sur Janet ! Elle y a passé la nuit, et c’est son amie également !

J :DANIEL ! Il s’agirait de Janet, et Sam vous dirait qu’elle ne ‘pense’ pas qu’elle puisse en mourir, comment réagiriez-vous ?

D : Jack ! Ce ‘est pas la question ! je suis aussi terriblement inquiet pour Sam ! Mais la seule différence avec vous, c’est que je ne passe pas ma colère sur tous ceux qui m’entourent !

Il quitta la pièce alors que la porte des étoiles s’ouvrit. Jack regarda par la baie vitrée l’équipe partir chercher les Tok’râ.

 

Deux heures plus tard.

 

Jacob arriva dans l’infirmerie, assez furieux.

Jac : ça n’explique pas pourquoi vous ne m’avez pas prévenu avant !

H : Nous ne voulions pas t’inquiéter Jacob !

Sel : Bonjour à tous ! Jacob doit se remettre. Je vais procéder à l’installation du matériel. Tout se passera en elle et on ne saura si ça a marché que lorsqu’elle se révaillera. L’opération devrait durer environ 10 h00.

J : Si longtemps ?

Sel : Il faut lui ramener les souvenirs de toute sa vie ! A- t’elle déjà eu un apport de sang ?

Jan : Pas encore…le colonel s’est porté volontaire !

 

Après deux heures, les membres de Sg-1 furent autorisés à rendre visite à Sam. Jack s’était vite remis de sa prise de sang et se précipita à l’infirmerie dès qu’il en eut l’autorisation. il y trouva Jacob en train de veiller sa fille.

J : Alors… Comment va- t’elle ?

Jac : Oh, Jack ! Elle va aussi bien qu’elle le peut dans sa situation…

J(pour lui même) : Question stupide…

Jac : Non, non…je comprends ; vous vous inquiétez. J’ai rarement vu un colonel aussi dévoué pour son major !

J(gêné) : Hum, oui… C’est que…nous sommes amis, et…

Jac(souriant) : Ne vous en faites pas Jack. Je comprends très bien…Je vais au self, je vous rapporte quelque chose ?

J : Non merci, ça ira !

Jacob partit. Jack prit un tabouret et s’assit près de Sam.

J : Alors Carter…on récupère ? Je parie que vous vous rappelez deux ou trois petites choses de votre enfance… Vous verrez : votre vie est passionnante ! Hum…Sam ; je …je voudrais vous dire que…bon, vous allez me dire que j’en profite parce que vous êtes endormie, mais…vous savez cette chanson…je…j’ai vraiment cru que ça se passerait comme ça...je veux dire : j’ai vraiment cru que j’allais vous perdre et que je n’aurais jamais l’occasion de vous dire que…que je tiens énormément à vous et que…

Il fut interrompu par l’arrivée de Daniel ; il ne put pas, pendant les 9 h00 qui suivirent, se retrouver seul avec elle, car tous ses amis se relayaient à son chevet.

 

9h00 plus tard.

 

S : Ja…Janet ?

Jan : Sam ! Bon retour parmi nous !

S : Où suis-je ? Je ne me souviens que de Thot et… (pleurant) oh mon dieu ! Je voudrais ne jamais avoir vécu ça !

Jan : Si ça peut vous rassurer, je n’ai fait part à personne de ce que j’ai découvert…

S : Merci…

Jan : Je vais vous mettre sous sédatifs afin que vous vous reposiez le plus possible.

Elle le lui administra et sortit de l’infirmerie pour prévenir les autres, après avoir fait quelques examens.

 

Lendemain matin.

 

A son réveil, Sam trouva toute l’équipe en train de discuter près d’elle.

S : Hey ! Tout le monde vient assister à mon réveil ? !

T : Major Carter, ravie de vous voir !

S : Merci Teal’c.

D : Alors Sam, on veut nous fausser compagnie !

J : Daniel, mon humour déteint sur vous !

D : Janet, j’ai besoin d’un vaccin !

Sam sourit à cette scène. Quand elle avait été amnésique, elle ne comprenait pas d’où lui venait cette impression de vide. Ils parlèrent quelques temps, puis Daniel et Janet partirent, suivi de peu par Teal’c. Jack restait seul, en face de Sam, les mains dans les poches. Aucun d’eux ne se décidait à parler. Au bout de quelques minutes, Jack brisa le silence.

J(très sérieux) : Je sais que ça n’est peut-être pas le moment pour vous parler de ça, mais…Sam, que vous a- t’ il fait ?

Sam baissa les yeux ; le lui dire impliquait beaucoup trop de choses, mais, en même temps, elle voulait qu’il le sache, surtout après ce qu’elle avait cru entendre quand elle était inconsciente.

S : Quand…quand les gardes m’ont emmené dans la salle, Thot a voulu me faire parler sans torture.

J : Mais têtue comme vous êtes, vous ‘avez rien dit… c’est bien !

S : Toujours est-il qu’il a commencé à utiliser une arme de poing contre moi ; il a dû y aller trop fort, car je me suis réveillée dans un sarcophage…il a continué en me frappant et…

Les larmes commençaient à couler ; Jack s’approcha et s’assit sur un tabouret, près d’elle.

S : il a…pris vos traits et m’a…violée…

J(désolé) : Crater ! Je ne l’aurais jamais fait.

S : je sais, mais…croyant que c’était vous j’étais…consentante…

Un blanc se fit ; Sam et Jack baissaient les yeux.

Jan : Désolée de vous interrompre, mais Sam doit se reposer.

Jack se leva et partit à la suite de Janet.

S : Ce que vous m’avez dit dans la cellule…cette chanson…elle s’adressait à moi, n’est-ce pas ?

Jack se retourna et accrocha son regard au sien. Il revint sur ses pas, prit le visage de Sam entre ses mains et l’embrassa. Sam, surprise, ferma les yeux et mit ses mains sur les poignets de Jack. Il se recula enfin et la fixa.

J : Maintenant, tout peut arriver, je m’en fiche…vous le savez.

Il lui caressa la joue et partit, ne se détournant qu’au dernier moment.

 

2 jours plus tard, salle de briefing.

 

Sam entra en fauteuil roulant. Elle n’avait pas revu Jack depuis leur baiser et était un peu anxieuse de se retrouver confrontée à lui lors de ce briefing exceptionnel. Elle remarqua tout de suite qu’il était le seul à manquer.

H : Ah, major vous voilà ! Nous allons pouvoir commencer !

S(étonnée) : mais…nous n’attendons pas le colonel ?

H : Non ; il est absent depuis hier pour raisons personnelles.

Aucunes des personnes présentes dans la salle, hormis Sam, ne semblait surprise par cette nouvelle.

S : Peut-on savoir où il est allé ?

H : Major, étant donné votre état actuel , je doute que vous puissiez aller l’y rejoindre. En conséquent, je ne vois pas à quoi ça vous avancerait. Docteur, que pouvez-vous nous dire sur ce virus ?

Jan : Eh bien il a été inoculé à Sam à la toute fin de son…entretien avec Thot. C’est un virus qui a la possibilité d’annihiler presque entièrement les défenses de l’organisme.

S : Est-ce que c’est ce qui m’a fait avoir des hallucinations quant à l’identité de l’homme qui se trouvait e face de moi ?

Jan : Eh bien oui Sam…ça n’est pas sa fonction première mais je crois que ça a servi à Thot pour l’étalonner…ce qu’il a fait par la suite n’était que pour son plaisir.

T : Peut-on savoir ce qu’il a fait par la suite ?

H : Ceci est privé Teal’c.

S : Non…ça va ! Ce sont mes amis et je veux qu’ils le sachent. Voilà… Thot a pris les traits du colonel et m’a… violée.

D(choqué) : Oh mon dieu, Sam ! Je suis tellement désolé de n’avoir pas agi avant.

Sam fut touchée par la sollicitude de son ami. Le briefing se termina un quart d’heure plus tard. Sam rejoignit l’infirmerie où Janet voulait la garder en observation.

 

Minuit, infirmerie.

 

Sam ouvrit les yeux ; elle sentait une présence dans la pièce. Tournant la tête sur sa droite, elle vit Jack, calé au fond d’un fauteuil, qui l’observait.

S : Mon colonel ? Mais que faites vous là ? ça fait longtemps que vous êtes ici ?

J : ça fait presque une heure que je vous regarde dormir.

S : Pourquoi ne m’avez vous pas dit où vous alliez ?

Il se décolla du dossier.

J : Je ne voulais pas vous donner de faux espoirs…

S(intriguée) : A propos de quoi ?

Jack ne répondit pas ; il se leva, s’approcha du lit, lui tendit une enveloppe et la pria de ne pas l’ouvrir immédiatement.

J : Voilà…j’étais à Washington ces deux derniers jours….L’explication se trouve dedans. Bonne nuit Carter.

Il quitta l’infirmerie alors que Sam ouvrait l’enveloppe. Elle parcourut rapidement les quelques lignes des yeux, se leva rapidement, manquant de tomber, et se lança rapidement à la poursuite de son colonel. Elle le chercha partout sans le trouver. Finalement, sur le chemin du retour, elle passa à côté de la salle de sport où elle vit de la lumière. Elle entra doucement et vit Jack de dos, en train de taper un punching-ball.

S : C’est magnifique ce que vous avez fait…je veux dire…pour le SG-C…

Jack arrêta de boxer, surpris ; il ne pensait pas la revoir avant le lendemain.

J : Carter ! Que faites vous debout dans votre état à cette heure ?

S(se rapprochant) : Et que vouliez-vous que je fasse ? Que je me rendorme sagement ?

Jack ne répondit rien ; elle s’assit sur un banc.

S : Alors…qu’est-ce qui vous a motivé ?

J : Oh ! Et bien pas mal de choses à vrai dire : voir certains de mes hommes souffrir de ce règlement , le risque de la court martiale sans tenir compte des risques pris par eux jour après jour…notre dernier baiser…

S : OOOH…

 

Il était venu s’asseoir à cheval sur le banc, en face de Sam. Leurs regards plongés l’un dans l’autre disaient bien plus que tous les mots du monde. Jack se pencha vers elle et l’embrassa tendrement. Leur baiser devint plus intense et Sam s’allongea sur son colonel, à cheval sur lui.

S : Nous sommes les premiers à profiter de cette dérogation ?

J : Mais Hammond n’est pas encore au courant, mais…

Il fut coupé par les lèvres de son major sur les siennes. Ils finirent la nuit dans les quartiers de Jack.

 

Lendemain matin, quartiers de Jack.

 

J : Allez major, debout !

Il l’embrassa un peu partout.

S : Hum… je veux bien attendre 6 ans de plus si c’est pour avoir un tel traitement à la fin…

J : A dans 6 ans alors…

S : Je crois que je ne pourrai pas attendre plus de six secondes.

J : Dans ce cas…

 

Le major Carter est demandé à l’infirmerie.

 

J : C’est pas vrai !

S : Je te promet de revenir très vite.

 

Infirmerie.

 

Jan : Sam ! Mais où étiez vous passé ?

S : Eh bien…

Jan : Attendez…(prenant l’enveloppe restée sur le lit) : Vous avez passé la nuit avec le colonel ! Il a eut sa dérogation ! Qu’est-ce que vous attendez ? Filez vite le rejoindre !

Sam ne se fit pas prier et revint aux quartiers de Jack où elle le trouva endormi. Elle se glissa dans son lit et se colla à lui.

S : Jack ?

J : Hum ?

S : If tomorrow never comes…I’ll know how much I love you.

 

 

The end ! !

Bah voilà, j’espère que ça vous a plu ! ! Je travaille actuellement sur papier sur une nouvelle ff intitulée ‘high school story’ et qui me plaît bien ! ! Un petit feedback est toujours le bienvenu !