Auteur : Virginie

E-mail : l_virginie31@hotmail.com

Genre : ship ; après la saison 4

Résumé : Sam part…

Disclaimer : pas à moi, pas de sous, just for fun !

Note : Encore une vignette : entre le drabble et la fanfic…un grand merci à Amy Shanks et à Thera L pour leurs mails qui m’ont fait super plaisir ! ! Et un p’tit mot pour Marie : je t’oublie pas, t’en fais pas ! ! ! c’est juste que je suis limite (encore !) niveau temps Internet ! !

Comment l’accepter ? Elle était celle qui l’avait ramené à la vie, et il devait la laisser partir comme ça ? ! Il en était hors de question !

Sans réfléchir, il quitta la salle de briefing , où la mauvaise nouvelle venait de tomber. Il avait besoin de respirer, loin des adieux hypocrites des autres. Etait-il donc le seul à qui son départ posait problème ? ! Il était arrivé dans les vestiaires ; de rage, il frappa son casier à grands coups. Il avait envie de…en tant que militaire, il ne pouvait pas l’admettre. Il s’assit sur un banc…le banc…Il passa une main sur son visage ; pourquoi ne s’était-il pas laissé faire lorsqu’elle s’était jetée sur lui ? Après tout, n’était-il pas sensé être sous l’emprise d’un virus ce jour-là ? Il se reprit…il savait bien pourquoi : il la respectait trop pour profiter d’elle. Il expira fortement en entendant quelqu’un entrer dans les vestiaires ; il ne fallait pas qu’il craque devant un de ses soldats.

" Mon colonel ? "

Bien sûr…elle n’aurait pas pu partir comme ça…il fallait qu’elle sache pourquoi…Il ne répondit pas, priant pour qu’elle se décourage et qu’elle parte… Au lieu de ça, il entendit un verrou qu’on fermait, et peu de temps après, elle vint s’asseoir à côté de lui, en silence. Il s’attendait à un flot de questions, mais rien ne vint. Ce fut lui qui brisa le silence.

J : Pourquoi partez vous ?

S : Vous le savez aussi bien que moi…

Il se tut de nouveau ; elle rompit le silence.

S : Cette situation est devenue ingérable…et je ne peux pas rester si je ne me sens pas soutenue…je veux bien faire semblant de ne rien ressentir devant les autres, mais je voudrais que dans l’ombre, il y ait quelque chose de concret.

Il ne répondit pas, se contentant de soupirer. Elle n’y tint plus et se leva, prête à partir ; elle ne pourrait plus rester maintenant…Elle commença à s’éloigner, refoulant ses larmes.

J : Reste…

Sam se retourna vivement ; il se tenait debout, en face d’elle ; les larmes coulaient sur son visage. Elle s’approcha de lui, essuya les larmes de l’homme qu’elle aimait, et l’embrassa tendrement.

S : Je reste…