Thoughts

Auteure : Virginie

26/07/02

Résumé : lisez et vous verrez bien ! !

Genre : humour, romance S/J ; aventure (un peu).

Disclaimer : pas à moi ; pas d’argent ! !

Note : Merci à tous ceux qui m’ont écrit pour ma première trilogie : Happytaz, rose, Gabrielle, Nine, …

Merci à tous les auteurs qui m’ont donné envie d’écrire !

Des commentaires ? ? ? Ecrivez-moi à l_virginie31@hotmail.com !

Pour ceux qui parlent pas du tout anglais, le titre, ça veut dire " pensées " ; il sera justifié dans la deuxième partie.

Note 2 (écrite après la première de ce fic) : je vais faire une petite pause pour ce fic et n’écrire la suite que dans 2ou3 jours ; je pense me mettre à l’écriture d’une autre fic + drôle ; donc vous étonnez pas si vous ne trouvez pas de suite la deuxième partie ! !

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H : Désolé d’avoir interrompu vos vacances SG-1, mais deux membres de SG-7 ont la grippe et toutes les autres équipes sont en mission ! La planète qu’ils devaient explorer n’est pas plus importante que les autres, mais si nous ne remplissons pas le quota ce mois-ci, un inspecteur sera envoyé au SG-C pour vérifier notre travail !

J : Oh vous savez, de toutes façons, le lac est gelé à cette période de l’année, alors je n’aurais pas pu pêcher ! On va où cette fois général ? ? Un petit paradis ensoleillé…Hein ? ? Dites oui, dites oui, dites oui ! ! ! !

Sam sourit à cette remarque ; elle était plutôt contente que ces vacances soient annulées : 1-elle n’aurait pas à refuser encore une fois la proposition de son supérieur, de peur de ne pouvoir canaliser ses sentiments lorsqu’ils ne seraient que tous les deux ; 2-elle en avait marre du froid ; 3-chose incroyable : travailler sur son réacteur ne lui disait rien pour le moment.

H : Vous allez être content colonel ! Major Carter, voulez-vous nous présenter la planète !

S : Eh bien la sonde ne relève aucune donnée susceptible de nous empêcher de l’explorer normalement ! La température est de 30° le jour et selon mes calculs , doit descendre à 18° la nuit. C’est une planète d’apparence désertique sur 5 km autour de la porte, mais la sonde a repéré des traces de vie à 5km au nord.

H : Bien ; des questions… (regardant Jack qui allait prendre la parole) sérieuses ?

Personne ne répondit et il fut décidé que SG-1 parte une heure plus tard.

Les chevrons s’enclenchèrent un à un.

H : Vous avez deux jours ; bonne chance SG-1 !

J : Après vous Carter !

S(dans un sourire " spécial Jack ") : Merci mon colonel !

D (une fois que Sam eut passé la porte et que Teal’c s’y engouffrait) : Pourquoi vous ne me laissez jamais passer comme vous faîtes avec Sam ?

J (un peu en colère): Daniel ; le jour où vous serez une belle astrophysicienne blonde, là on en reparlera !

Il franchit la porte, suivit de Daniel qui esquissait un sourire : à chaque fois qu’il le taquinait sur Sam, son ami était sur la défensive.

J : Carter ?

S : R.A.S ! Je propose que nous marchions vers le village ! Je ne détecte pas de traces de naqquadah, on ne devrait dons pas rencontrer de Goa’Uld !

T : Le major Carter a raison O’Neill ! Je ne ressens pas la présence de Goa’Uld.

J : Ok alors on y va ! Teal’c vous ouvrez la marche et vous prenez Daniel avec vous ! Carter avec moi ; on avance !

Il marchèrent environ une heure, et comme l’avait dit Sam, ils virent bientôt un village.Il ne devait pas compter plus de vingt habitations, mais apparaissait comme beaucoup plus moderne que n’importe quelle ville terrienne ; en effet, les maisons, immenses, était faites de matériaux qui captaient la lumière du soleil et donnait aux façades une apparence magique ; lorsque SG-1 pénétra dans le village, ils purent constater que tous les déplacements se faisaient sur tapis roulants. Leur arrivée fut très vite remarquée et bientôt, un homme en toge blanche à bordereau pourpre vint à leur rencontre.

J : Daniel ! je crois que ça va être à vous de parler !

D(à l’homme) : Bonjour, parlez-vous notre langue ?

? : Nous possédons un cerveau capable de comprendre toutes les langues ; je me nomme Gwalim. Vous êtes ici à Thuriméa, la ville principale de notre région.

D : Enchanté Gwalim ! Je suis Daniel Jackson, et voici le colonel Jack O’Neill, le major Samantha Carter et Teal’c !

G(prenant peur en voyant Teal’c) : Que nous voulez-vous ? Apophis n’a-t-il pas compris que jamais notre peuple ne serait asservi ?

D : N’ayez crainte Gwalim ; teal’c était le primat d’Apophis, mais il s’est révolté et est maintenant avec nous ! Nous sommes de pacifiques explorateurs venant de la planète Terre, aussi connue sous le nom de Tau’ri. Nous voyageons à travers la porte des étoiles, aussi appelée Chappaï, à la recherche de peuple qui accepteraient de faire une alliance avec nous contre des ennemis tels les Goa’Uld, et qui voudraient également partager leur technologies.

G : Bien, je vous crois ! Suivez-moi, Tau’ri ! je vous emmène chez moi.

J (à sam) : On peut savoir pourquoi ils nous appellent Tau’ri à chaque fois ? Daniel ne devraient pas leur dire qu’ils peuvent nous appeler comme ça ! Je trouve que ça fait…extra- terrestre !

S(dans un sourire) : Et que croyez- vous que nous sommes pour eux ?

Puis elle rejoint les autres, contente de son effet ; le colonel, quant à lui, restait sur place, la bouche ouverte, étoné de la réponse de son major.

G : Je vous présente ma femme : Néèria !

Tous furent étonnés : Néèria était une jeune femme d’une vingtaine d’années, alors que Gwalim avait dans les 90 ans. Sam était presque choquée : en temps normal, une différence d’âge ne l’aurait pas dérangée- c’est vrai, pensa-t-elle en regardant Jack, jusqu’à 15ans d’écart, ça va- mais le fait qu’une fille qui pourrait être l’arrière –petite fille de Gwalim soit sa femme…

N(voyant la réaction des hôtes) : Je comprends que vous soyez étonné ; mais, voyez-vous, je suis en plein cycle de fureion- cycle que gwarim va commencer demain- ; ça explique la différence !

J : Oh ! Bien sûr ! !

D : Qu’est-ce que le cycle de fureion ?

G(étonné) : Vous ne connaissez pas ? Mais comment marche la vie chez vous ?

D : Eh bien… Nos parents nous crées, nous grandissons et vieillissons, et, arrivés à un certain âge, nous mourons.

G : Oh ! Pour notre civilisation, vingt ans après qu’un enfant ait été conçu, nous le soumettons à la cérémonie du molifupore ; ainsi, nous savons qu’arrivé à l’âge de cent, ans (mon âge), il terminera son cycle de moreion pour commencer celui du lireion ; il aura de nouveau vingt. Puis viendra le cycle du fureion –dans lequel je serai demain et où est déjà Néèria-, celui du poreion et enfin le rereion. A la fin de ce dernier cycle, nous nous élevons vers le Sak’raîl, lieu sacré !

S(exitée) : Donc, si je comprends bien, vous avez évolué technologiquement parce que ce que vous saviez, vous avez pu l’exploiter durant des centaines d’année !

N : Tout à fait ! Si vous voulez, je vous emmènerai dans mon laboratoire ; mais avant, mangeons !

Ils déjeunèrent, tout en parlant et en riant. Au moment du dessert, ils goûtèrent, avec le gâteau, à une boisson délicieuse qui ressemblait à un cocktail alcoolisé que SG-1 avait eu l’opportunité de goûter chez les Tok’râ. Gwalim leur assura cependant qu’il n’y avait que des fruits dedans, et pas d’alcool.

Après manger, Sam et Néèria se dirigèrent vers le labo de cette dernière tandis que Daniel alla avec Gwarim pour parler de leur civilisation. Teal’c, quant à lui, fut pris d’assaut par les enfants qui voulaient savoir comment il avait fait pour échapper à Apophis. Jack décida de faire le tour du village ; il arriva près du laboratoire et s’apprêta à entrer lorsqu’il entendit les deux femmes parler :

N : Votre mari ne semble pas être très ouvert à tout ce qui est science !

S : mon mari ? … Oh ! Vous voulez parler de Jack ? ! Il n’est pas mon mari ; c’est mon supérieur. Nous ne sommes qu’amis. C’est vrai ; il n’est pas très ouvert à ce qui est scientifique, mais il fait des efforts : à chaque fois que je lui explique quelque chose, je sais qu’il ne comprend rien mais il est trop gentil pour me le dire ;  alors il reste à m’écouter !

N (surprise) : Vous n’êtes pas mariés ? ? ? Mais pourtant, vous vous aimez ; ça se sent !

S(du regret dans la voix) : Même si c’était le cas, on ne pourrait pas s’aimer au grand jour ; le règlement de notre armée nous l’interdit !

Jack était content : elle n’avait pas riposté quand Néèria lui avait dit qu’ils s’aimaient. Attendant quelques instants que leur conversation parte sur autre chose, il entra dans la pièce.

J : Bonjour mesdames ! Que faîtes vous ?

S : Oh ! Nous étudions la différence d’impact sur les ions XBZ° d’autres ions de variabilité instable afin de voir si leur degré de résistance serait suffisant pour que je ramène ces appareils sur terre afin de leur faire subir quelques test qui me seraient utiles pour détecter diverses anomalie sur mon réacteur à naqquadah !

J : Oh ! ! !

S(lançant un coup d’œil signifiant " vous voyez, qu’est-ce que je vous avait dit " à Néèria et souriant à Jack) : Vous vouliez nous dire quelque chose mon colonel ?

J : Euh…oui ! Je sais que ça ne va pas vous faire plaisir, mais le général nous a demandé de rentrer demain matin au lieu de demain soir ; il m’a dit qu’il allait envoyer SG-11, qui était rentrée plus tôt que prévu, pour poursuivre les pourparlers en vue d’un traité ; il nous offre ainsi nos vacances !

S(pas l’air déçu) : Je pense que ça ira mon colonel ! néèria m’a permis de rapporter quelques objets sur Terre !

J : Eh bien je vais vous laisser : il va falloir que je convainque Daniel maintenant !

Au repas du soir, Daniel suppliait Jack de rester encore un peu plus longtemps sur la planète. Sam rigolait en voyant ses deux amis se disputer ; elle fut intriguée lorsqu’elle entendit Daniel dire à Jack :

D : Et si je me teins en blonde et que je me mets à faire des études d’astrophysique, j’ai une chance de vous convaincre ?

J(un peu mal à l’aise) : Vous avez trop bu Daniel !

La soirée se déroula ensuite sous forme d’une fête ; les femmes et les hommes du village dansaient et vers la fin de la soirée, ils décrochèrent 4 bracelets qui étaient suspendus au milieu de la salle et vinrent les donner à SG-1. Néèria donna à Sam et Jack un bracelet bleu et à teal’c et Daniel un vert. En se penchant vers sam, elle lui dit juste : pour vous aider !

Il était plus de minuit quand ils regagnèrent leurs chambres. Au petit matin, ils se rendirent compte que leurs bracelets n’étaient plus à leurs poignets. Gwarim, redevenu jeune, ce qui les étonna, malgré le fait qu’ils aient été prévenus, leur dit, sans autre forme d’explication, que c’était normal.

J : Merci pour votre accueil Gwarim ! L’autre équipe devrait arriver d’ici 2 jours !

G : Je crains que ce ne soit impossible Colonel ! Nous avons décidé de fermer notre porte pendant un mois pour prendre notre décision vous concernant !

J : Eh bien dans ce cas, je vais demander à Hammond que nous venions nous- même d’ici un mois ! Allez les enfants ; en route !

L’équipe passa la porte.

N(se retournant vers son mari) : tu crois que ça va marcher ?

G : Bien sûr ! Si ça a marché sur les Goa’Uld !

N : mais pourquoi en avoir donné aussi aux deux autres ?

G : L’illusion ma chérie ; l’illusion !