Trève

 

Auteure : Virginie

E-mail : l_virginie31@hotmail.com

Résumé :Le nouvel an au SG-C.

Genre : Romance, romance et romance (assaisonnée d’un peu d’humour !)…absolument aucune aventure…

Spoiler : Tous les épisodes ship !

Disclaimer : Pas à moi pour Stargate ; s’adresser à MGM, Showtime, etc.

Note 1 : Si vous voulez mettre mes ff sur votre site, reprendre des idées contenues dedans, ou, pourquoi pas, faire une suite ou une version différente de la même ff, pas de problème, à condition que vous me le demandiez ! !

Note 2 :J’avais de grosses envies de romantisme, alors ne vous attendez pas à quelque chose rempli de suspens ! ! !

Note 3 : N’oubliez pas le feedback ! ! Merci à tous ceux et celles qui ont répondu à on sondage (pour ceux qui ne me l’ont pas renvoyé ou qui souhaiteraient y répondre, il est encore temps ! !)

BONNE ANNEE 2003 A TOUS ! ! !

Bonne lecture

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SG-C, salle de briefing, lundi 29 décembre 2002.

 

SG-1 était réunie depuis ½ heure dans la salle de briefing avec le général Hammond afin de parler de leur dernière mission..

H : Donc, aucun échange technologique intéressant en vue ?

J : A moins que les objets en silex puissent nous aider à vaincre les Goa’Uld…non ! Mais sinon, ce sont de bons p’tits gars !

D : Oui, ils pourraient nous apprendre des choses sur leur civilisation.

H : Bien ! Vous repartirez sur cette planète après les fêtes pour signer une alliance. (voyant Jack prêt à se lever) Une seconde colonel ! Le président a prévu de venir nous rendre visite le 31 décembre au soir. Une réception sera organisée.

S : Sauf votre respect mon général, je doute que beaucoup de membres du personnel préfèrent passer leur réveillon dans une soirée officielle plutôt qu’avec leur famille !

H : Nous y avons déjà pensé major ! C’est pourquoi les familles du personnel seront invitées.

D : Les familles ? !

H : Oui ; limitées à six membres par personne. La soirée se déroulera au sous-sol 19, dans la salle 13.

J(amer) : Je suppose que l’uniforme d’apparat est de rigueur…

H : Non…le président a pensé qu’il serait mieux que tout le monde se détende un peu. Vous pourrez donc ressortir votre vieux smoking colonel !

Sam sourit alors qu’Hammond annonçait la fin de la réunion. Elle resta assise à sa place, songeuse, alors que les autres quittaient la pièce.

J : Carter, vous ne venez pas ?

S(sortant de ses songes) : Pardon mon colonel…je…j’étais ailleurs !

Elle se leva et suivit ses trois coéquipiers vers le self.

 

Self.

 

Sam arrivait à la table où ses amis s’étaient installés , portant un plateau repas assez léger. Elle s’assit à côté de Jack qui ne put s’empêcher de le remarquer.

J : Aaaah ! Carter ! Je veux mes hommes en pleine forme sur le terrain et croyez-moi, ça n’est pas avec une banane et un verre de lait que vous tiendrez le coup !

S(rougissant) : Vous oubliez le muffin monsieur !

J : Vous appelez ça un muffin ? ! Il faudrait une loupe pour le voir !

Sam sourit alors que Teal’c entamait son deuxième plat principal.

D : Je vais aller vous chercher quelque chose d’autre avant que Jack ne nous fasse une crise !

J(s’emportant) : Je ne fais pas une crise, je…

T : Daniel Jackson à raison O’Neill ! Votre état est assez inquiétant. Vous devriez plus vous soucier de votre état que de celui du major !

Jack fulminait et décida d’aller se resservir, alors que Teal’c et Sam échangeaient un sourire complice. Daniel revint et tendit à Sam une assiette de lasagnes

D : C’est tout ce qu’il y avait ; j’espère que ça vous ira…

S : Merci Daniel, c’est parfait !

T : voulez-vous du jus d’oranges major Carter ?

S : Oui, merci Teal’c, mais…

J(revenant) : Regardez ce que j’ai trouvé Carter : une belle part de forêt noire !

Sam regarda son colonel placer l’assiette sur son plateau, puis considéra attentivement les trois hommes.

S : Janet vous a parlé, n’est-ce pas ? !

D et J: Quoi ? Non !

T(en même temps) :Elle nous a en effet prévenus que vous aviez perdu trois kilos en deux semaines.

J : TEAL’C ! Qu’est-ce qu’on avait dit ? !

T : Je suis désolé O’Neill, mais vous êtes venu me réveiller tard cette nuit alors que j’étais en plein Kel’No’Reem et je n’ai pas enregistré toutes les parties de votre plan.

D(voyant que Jack était de plus en plus mal à l’aise) : Il n’a pas tord sur ce point Jack : à trois heures du matin, je n’étais pas très frais non plus !

Sam regardait le spectacle qui s’offrait à elle, amusée. Elle ne put s’empêcher de rire en voyant son colonel prêt à s’enterrer sous la table au fur et à mesure que Daniel et Teal’c faisaient leurs révélations. Les trois hommes, étonnés, la regardèrent.

S : C’est juste …de vous voir vous inquiéter comme ça pour moi, ça me touche énormément…on dirait trois pères poule ! Vous êtes tout simplement…adorables !

J : Adorables ? ! Ah je ne vous permet pas major ! je peux être compréhensif, à la rigueur attentionné, mais adorable, sûrement pas ! un colonel n’est PAS adorable ! Un colonel agit en colonel et le fait jusqu’à ce que tout soit régler !

Daniel sourit alors que Teal’c levait un sourcil : c’était bien la première fois qu’on le traitait d’"adorable" !

S(à Jack) : ne vous inquiétez pas pour moi ! C’est juste que j’ai été un peu surmenée ces derniers temps. Regardez vous-même : j’ai presque fini mon assiette !

D : je crois que Jack ne vous lâchera pas de sitôt Sam !

Jack lui lança un regard assassin et décida de changer de conversation.

J : Alors Teal’c, qu’allez vous faire demain ?

T : je vais aller voir mon fils et ma femme afin de les convier à la soirée.

J(méfiant) : Vous comptez inviter Bra’tac ?

T : Non, demain et les jours qui suivent,, il participera au Hat’ma ‘tac.

J(n’y comprenant rien) : oh !

D : Une sorte de fête entre maîtres jaffas.

J : Aaaah ! Et vous Daniel ?

D(malicieux) : Je ne suis pas un maître jaffa !

J : Daniel !

D : Jack ?

J : Daniel !

D : Je vais rester ici à faire quelques traductions !

J : Bien ! Mais sachez que vous êtes le seul ici que j’autorise à rester dans son labo. (à Sam) N’est-ce pas ? !

S : Ne vous inquiétez pas pour moi mon colonel…J’ai d’autres obligations à remplir !

J : Je vois…paperasse ?

S : Shopping !

Ils se sourirent, alors que les deux autre quittèrent la table. Sam et Jack les imitèrent presque immédiatement.

 

 

Lendemain matin, centre commercial.

 

Sam n’en pouvait plus : elle était dans ce centre commercial avec Janet depuis près de deux heures, et elles n’avaient trouvé que leur vernis à ongles ! Apercevant l’ultime boutique dans laquelle elles pourraient trouver leur bonheur, Janet eut une idée.

Jan : Il paraît qu’ils font de merveilleuses robes de mariée dans ce magasin…

S(ne voyant pas où elle voulait en venir) : et… ?

Jan : On pourrait en essayer…pour s’amuser…

S : Janet…ça me met le moral à zéro !

Jan : Allez…ça sera drôle !

Elles entrèrent dans la boutique et immédiatement, le regard de Sam se posa sur une robe de mariée magnifique, discrète mais élégante : elle était blanche, droite sur toute sa longueur, sauf en bas d’où partait une petite traîne ; elle était composée en haut d’un bustier retenu par deux fines bretelles et se finissait en pointe sur une jupe de soie ; le bustier était brodé de fin fils argentés et de petites perles nacrées. Janet voulant s’amuser s’était dirigée vers les robes ‘meringues’, mais Sam préféra demander à la vendeuse d’essayer celle qu’elle avait vue.

Elle sortit de la cabine quelques minutes plus tard et se regarda dans le grand miroir du magasin.

? ? : Vous êtes magnifique, mais vous n’avez pas peur que ça fasse un peu trop pour la soirée ? !

Elle se retourna au son de cette voix qu’elle connaissait bien et se retrouva face à son colonel, en costume pour ladite soirée. A ce moment, la vendeuse arriva.

V : Oh ! Je vois que le futur mari déroge à la règle !

J : Futur mari ? !

S : Euh…non…je, je ne vais pas me marier…pas tout de suite en tous cas !

Elle n’avait pas quitté son colonel des yeux en disant cela.

V : Alors pourquoi essayez-vous cette robe ? !

S : C’est que…elle me rappelle beaucoup celle de ma mère !

Janet, qui avait passer son temps à essayer d’enfiler sa robe meringue, fit son entrée.

Jan : Tataaaaaaa ! Oh ! Colonel !

 

J : Eh bien doc ! Vous avez…un certain goût !

Jan : très drôle colonel ! En attendant, ça n’est pas moi qui suis en train de répéter la cérémonie de mon mariage !

Sam rougit et se tourna vers elle avec un regard noir ; de ce fait, Janet s’éclipsa, attrapant au passage une robe de soirée bordeaux en velours.

Jack la regarda partir, un sourire aux lèvres, puis reporta son attention sur Sam.

J : J’ai vu une robe de soirée qui pourrait bien vous aller !

S : Vous prospectez pour moi mon colonel. !

Il lui sourit, lui dit de fermer les yeux, lui prit la main et la mena ainsi devant une superbe robe longue noire à fines bretelles, raisonnablement décolletée devant, mais largement derrière, avec une fente le long de la jambe gauche.

J(se plaçant derrière elle et murmurant à son oreille) : Vous serez encore plus magnifique dans cette robe…

Sam frissonna au contact de son souffle sur sa peau, mais essaya de ne pas montrer son trouble.

S : Elle n’est pas un peu…décolletée dans le dos ?

J(souriant) : ça n’est pas moi qui m’en plaindrai…

Elle se retourna, lui sourit à son tour et prit la robe.

S : Vous m’attendez ?

J : Je préfère avoir la surprise !

 

Un quart d’heure plus tard.

 

Sam sortit de la cabine en tenue de ville. Janet en était restée baba lorsqu’elle l’avait vue dans la robe noire. Elle avait quant à elle choisit la robe bordeaux qu’elle avait essayé : à courtes manches, elles était décolletée devant et légèrement derrière. Sam et Janet avaient choisi respectivement de longs gants noirs et blancs. Après avoir payé, elles sortirent du magasin ; Sam était intriguée : la vendeuse avait glissé dans la poche dans la boîte où elle avait mis sa robe un paquet rectangulaire. Cependant, Janet l’entraînait déjà vers le plus proche magasin de chaussures et elle n’eut pas le temps d’y penser.

 

Soir, maison de Sam.

 

Il était 22H00 quand elle rentra chez elle. Elle était fatiguée mais contente de sa journée : Après avoir choisi leurs chaussures, Sam et Janet avaient déjeuné dans un charmant petit restaurant, puis s’étaient rendues chez une esthéticienne afin de profiter de soin, chose trop rare dans leur métier ! Elles avaient été ensuite chez le coiffeur puis étaient rentrées chez Janet où elles avaient dîné et parlé.

Immédiatement, elle sortit sa robe de la boîte et la pendit dans son armoire ; Elle posa le mystérieux paquet sur le rebord de sa baignoire et se fit couler un bain chaud ; pendant que l’eau coulait, elle marqua sur un papier ce qui lui restait à faire le lendemain, et enfin s’immergea dans sa baignoire.

La musique douce qu’elle avait mise en fond la berçait, si bien qu’elle ferma les yeux, oubliant totalement le paquet ; cependant, alors qu’elle essayait d’atteindre un flacon de sels de bain, sa main se posa dessus. Elle le prit, défit le papier qui l’entourait et découvrit un magnifique écrin de velours noir, autour duquel était enroulée une lettre. Elle l’enleva, ouvrit l’écrin et découvrit une magnifique collier fait de fins diamants noirs taillés chacun en petits carrés ; au milieu du collier resplendissait un diamant blanc en forme de cœur.

Un instant, elle avait pensé appeler Jack ; à vrai dire, elle s’était même saisie du téléphone et avait commencé à composer son numéro mais elle s’était ravisée : elle n’aimait déjà pas exposer ses sentiments de vive voix, alors par téléphone ! Elle sortit de son bain et se mit en pyjama tout en pensant à ce qu’avait été sa relation avec Jack depuis qu’elle le connaissait : pour elle, leur’ attachement réciproque’ était remonté en surface le jour où ils avaient été coincés dans ce glacier, et n’avait cessé de croître depuis.

Sam sortit de ses pensées en entendant la sonnerie du téléphone ; elle mit quelques secondes avant de se décider à répondre : et si c’était lui ? qu’allait –t’elle lui dire ? Elle décrocha finalement, pleine d’appréhension. Celle-ci s’envola lorsqu’elle reconnut la voix de Janet au bout du fil.

Jan : Sam, je ne vous réveille pas j’espère ?

S : Non, je n’étais pas encore couchée…Vous ne pouvez plus vous passer de moi ? !

Jan : J’ai l’impression d’entendre le colonel O’Neill !

S : Le colonel ?

Jan : Je viens de l’avoir au téléphone et il m’a fait à peu près la même blague ! Passons aux choses sérieuses…Le lieutenant Meagan de SG-8 vient de me téléphoner pour me dire que la plupart des femmes des équipes avaient prévu de se retrouver pour faire une farce à ces messieurs !

S : ça pourrait être intéressant…

Jan : Oui ; on a plusieurs idées qu’il faudra trier demain. La ‘réunion’ est à 9H30…vous pourrez venir ?

S : Sans problème Janet !

Jan : Oh, autre chose : le colonel m’a appelé, comme vous le savez, mais je ne vous ai pas dit pourquoi ; vous avez entendu parlé du fait que les ‘étrennes’ des gardes seraient que pour la soirée du réveillon, ils n’auront rien à faire et que ce sont les officiers supérieurs qui seront chargés des tours de garde en binôme, et ce pendant une demi-heure ?

S : Oui en effet…je croyais qu’il s’agissait de bruits de couloirs…

Jan : Eh bien non ! J’en suis dispensée grâce aux permanences que j’assure à l’infirmerie, mais ça n’est pas votre cas !

S(sarcastique) : Si vous saviez comme je suis heureuse ! !

Jan : ça je n’en doute pas !

S : Et vous savez avec qui je devrai effectuer mon tour de garde ?

 

Ça faisait maintenant plus d’une ½ heure que Sam avait raccroché ; elle était étendue sur son lit, un sourire sur les lèvres, l’air rêveur. La réponse que Janet lui avait donné l’avait plus que comblée : non seulement elle effectuerait son tour de garde dès 23H00, ce qui lui laissait le reste de la soirée libre, mais en plus, elle l’effectuerait avec Jack qui, selon les dire de Janet, lui avait confié qu’il ‘préférait le faire avec Carter plutôt qu’elle ne se retrouve avec un de ces gars de la logistique qui bavent rien qu’en la voyant’.

Ainsi Sam rêvait-elle, imaginant toutes les façons dont ce tour de garde pourrait se passer, telle une adolescente anticipe la façon dont doit se dérouler son premier rendez-vous. La fatigue se fit sentir et Sam sortit de sa rêverie. * Tu es bête ma fille ! Ce tour de garde se passera comme un tour de garde normal effectué par un colonel et un major ayant des relations professionnelles devrait se passer !*

Sam se coucha, mais avant de s’endormir, une pensée lui vint à l’esprit : tout le monde savait que les relations entre elle et Jack étaient bien différente de ce qu’elles devraient être.

 

 

Lendemain matin, maison de Sam.

 

Elle s’était réveillée à 6H30, toute heureuse ; elle ne se souvenait plus du rêve qu’elle avait fait mais était convaincue qu’il était en rapport avec Jack. Ainsi s’était –elle préparée dans un état d’esprit qui lui ressemblait peu ; il était rare, voire inexistant de voir le major Samantha Carter ne pas se lever en ayant l’esprit déjà occupé par quelconque calcul : c’était là une carapace qu’elle se donnait afin de ne pas penser au manque d’amour dans sa vie qui la rongeait.

Après avoir déjeuné, elle jeta un coup d’œil à ce qu’elle avait à faire aujourd’hui : faire prévenir son père, vérifier les systèmes de sécurité, aider à décoré la salle, et bien sûr, se réunir avec les femmes des autres équipes SG.

Elle regardé sa montre :7H30 ; si elle se débrouillait bien, elle pouvait être à la base à 8H00 et réaliser ses deux premières tâches avant la réunion. Elle se souvint qu’il lui fallait préparer un sac dans lequel elle mettrait son trousseau pour la soirée : en effet, elle avait prévu de ne pas rentrer et de se changer directement à la base.

 

SG-C, 19H00.

 

Jack était plus anxieux qu’il ne l’avait été à son mariage ; il se trouvait idiot : il avait enfin eu le courage de donner ce collier à Sam et maintenant, il craignait de la voir le soir même ! La soirée commençait une heure plus tard et il e savait comment il devrait se comporter face à Sam, qu’il avait soigneusement évitée toute la journée. Il marchait au hasard dans les couloirs, ne voulant se préparer qu’à la dernière minute, quitte à arriver en retard.

De son côté, Sam était contente de sa journée : elle avait réussi à tout faire en temps et en heure et flânait maintenant dans les couloirs, les mains clouées au fond des poches de son uniforme kaki. Son père ne pouvait pas venir ce soir, à cause d’une mission, mais il lui avait promis de passer dans la semaine. Au détour d’un couloir, elle tomba nez à nez avec son colonel, évitant de peu de le heurter.

S : Mon colonel !

J : Carter ! Bonne journée ?

S(encore troublée) : Excellente mon colonel ! (feignant la surprise) C’est vrai que nous ne nous sommes pas vu aujourd’hui ! J’ai été si occupée que…

J : Vous m’avez évité ?

S(du tac au tac) : Oui.

J : Je préfère ça !

S : je ne comprend pas…

J : le fait que vous vouliez m’éviter prouve au moins que vous avez pensé à moi ! Si votre première version était vraie, ..là je me serais inquiété !

Sam sourit en baissant la tête.

S : je voudrais vous remercier pour…

J : Ce n’est rien…une babiole…

S : je ne l’avais pas pris comme ça…

J : Tant mieux…

Ils se faisaient face, voulant tout se dire mais n’en faisant rien.

D : Jack, Sam ! La soirée commence dans ¾ d’heures ! Vous n’êtes pas en train de vous préparer ? !

S : J’y allais justement ! le colonel me demandais si…

J : Si Jacob venait ! Eh bien Carter, je sus très heureux de revoir votre père ce soir !

D : je vous laisse…(montrant ce qu’il avait dans les mais) : Je dois apporter ce gui à Janet ! A toute à l’heure !

Sam attendit que Daniel ait disparut de sa vue puis se retourna vers son colonel.

S : Papa ne vient pas ce soir mon colonel…

J : Oh…Il ne reste plus qu’à espérer que Dany Boy va devenir amnésique d’ici ce soir ! Allez vous préparer Carter…je veux que vous fassiez pâlir de jalousie tous les autres commandants d’équipes SG !

Sam prit donc le chemin de ses quartiers, suivie de peu par Jack, ses quartiers étant dans la même direction que ceux de son major.

 

19H45, quartiers de Sam.

 

Sam finissait de se maquiller ; elle n’avait pas encore mis sa robe, de peur de la froisser. Elle allait se changer lorsqu’on frappa à la porte ; elle ouvrit et découvrit son colonel, son nœud papillon à la main.

J : Carter au secours !

Sam sourit, le fit entrer et ferma la porte, puis se retourna vers lui et prit la bande de tissu dans ses mains.

J : Vous n’êtes pas encore prête ?

S : A vrai dire, j’allais me changer quand vous êtes arrivé. Et voilà !

Elle laissa ses mains sur son colonel, plongeant ses yeux dans ceux de son colonel ; il s’écoula quelques seconds, puis Sam se décala.

S : Bien, attendez moi là !(voyant l’air incompréhensif de son colonel) Un service en vaut un autre !

Jack ne comprenait pas d’avantage, mais s’assit sur le lit, alors que Sam disparaissait dans la petite salle de bain avec sa robe. Jack, prenant son mal en patience s’assit sur le lit de son major. Il se releva presque aussitôt, s’apercevant qu’il venait de s’asseoir sur quelque chose ; c’est alors qu’il reconnut la lettre qu’il avait lui même écrite il y a longtemps. La page était abîmée, témoignage que son major l’avait dépliée et repliée maintes et maintes fois, donc lue autant de fois. Il posa la lettre en vitesse quand Sam sortit de la salle de bain, splendide.

J : Wouah ! Carter, je veux dire…quel est le service que je dois vous rendre ?

Sa sourit et s’approcha de lui.

S : Pouvez –vous m’aider à attacher cette ‘babiole’ ?

Elle tourna le dos à son colonel qui lui attacha le collier, profitant de cela pour caresser la nuque de son major ; il alla même jusqu'à frôler sa peau de ses lèvres. Sam se retourna au bout de quelques minutes et lui sourit.

S : Je peux vous demander autre chose ?

J : Tous ce que vous voulez…

S : Vous vous engagez sur une piste dangereuse…

J : Je prend le risque…

S(troublée) : je…je comptait sur papa pour être mon cavalier et…

J : Avec joie…

S(souriant) : je ne vous ai pas encore demandé !

J : Alors je le fait en premier : voulez –vous être ma cavalière ?

Sam sourit t passa son bras sous celui de Jack.

S : Avec joie…mon colonel…

 

 

A suivre…

Je suis désolée pour ceux qui détestent les suites, mais le début est déjà assez long et j’avais déjà promis de la mettre sur les sites hier, alors… Vous aurez la suite le plus tôt possible (vu que c’est la rentrée demain, je vais essayer de me débrouiller, mais il se peux qu’elle n’arrive que le week-end prochain ! !) Comme d’habitude, un feedback serait très sympa ! !