Appartement de Scully
Scully a revêtu son pyjama et s'est installée devant la télévision. Elle se sent engourdis, endormie et elle «cogne des clous». Après quelques minutes, elle se dirige vers sa chambre. Elle entre et se met dos à la penderie pour défaire les draps. À ce moment, l'homme sort de la penderie et se jette sauvagement sur elle. Scully veut répliquer et se défendre, mais elle se sent bizarre et ne peut pas réagie comme elle le voudrait. L'homme la retourne et lui flanque une gifle retentissante. Puis une autre. Et une autre encore. La douleur réveille un peu. Scully qui tente de gifler son agresseur, mais ce dernier lui agrippe les poignets.
Homme : Alors ? rugit-il Où sont-ils ?
Scully : Je ne sais pas ? Je ne sais pas de quoi vous parlez !
L'homme lui serre les poignets plus forts avant de la gifler si fort que le nez de Scully se met à saigner.
Homme : Où sont-ils ? Où est Mulder et son bâtard de fils ?!?
Scully : Mon fils n'est pas un bâtard. Je ne sais pas où est Mulder. Et même si je le savais, je ne vous le dirais pas !
Homme : Tu ne veux pas parler, han ? Crois-moi, tu vas parler !
L'homme assomme Scully d'un coup de poing vigoureux. Lorsqu'elle revient à elle, encore groggy, Scully remarque qu'elle est bâillonnée et ligotée à une chaise de la cuisine. Elle voit l'homme qui chercher quelque chose dans les tiroirs. Un frisson de terreur la parcours lorsqu'elle le voit sortir le plus grand couteau qu'elle possède, le tournant dans tous les sens avant de le remettre dans le tiroir à son grand soulagement. L'homme se retourne soudainement et, constatant qu'elle est réveillée, s'approche avec un sourire machiavélique aux lèvres.
Homme : Alors, on daigne enfin se réveiller ? Tu vas parler sale chienne ?
Scully fait «non» avec la tête. L'homme s'approche, lui détache la main gauche, lui prend délicatement l'index et le casse. Scully gémit de douleur et ses yeux roulent dans leurs orbites. L'homme la gifle de nouveau pour la réveiller. Scully reste inconsciente. Il voit qu'il ne pourra rien tirer d'elle. Les coups pleuvent sur Scully qui ne ressent plus rien tant la douleur est grande. Puis l'homme la détache et la jette par terre avec violence avant de la ruer de coups de poings et de coups de pieds. Après quelques minutes, il se calme, empoigne le pyjama de Scully, la soulève et dit :
Homme : Écoute-moi bien sale chienne ! Tu vas dire à ce salaud de Mulder qu'il a intérêt à se montrer, car la prochaine fois, tu n'en ressortiras pas vivante !
Et il l'assomme de toutes ses forces avant de la projeter à travers la pièce. Puis il la laisse là, un bras et une jambe dans un angle anormal. Il brise le téléphone et sort.