Résumé: La série fait un bon de 15 ans. Nous sommes maintenant en 2016. Une jeune fille de 15 ans est couchée et voit une apparition. Scully a maintenant 52 ans tandis que Mulder en a 55, mais ils sont très jeunes pour leur âge. Je vous n'en dis pas plus, à vous de lire la suite.

L’APPARITION MYSTÉRIEUSE, PARTIE 1
Par Isis

SCÈNE D’OUVERTURE
EN 2016 – 4 H 00 A.M.-

Dans une chambre, une jeune fille mince et qui a les cheveux roux long arrivant aux épaules est endormie dans un lit. Il y a quelques gouttes d’eau qui ruissellent sur son front. Elle se réveille parce qu’elle a trop chaud. Elle s’assoit sur le lit et sursaute lorsqu’elle voit quelqu’un devant elle. Cette personne a une lumière qui fait le contour de son corps et elle murmure quelque chose qu’Émilie ne comprend pas. .

Fille : Qui êtes-vous ? Que faites-vous dans ma chambre ?

La personne ne répond pas, elle continue à murmurer, le mot est court et elle le répète toujours.

Fille : Répondez-moi !

La personne s’approche et continue à murmurer le mot.

Fille : N’approchez pas de moi. Maman ! Maman ! Au secours !

Nous voyons un corridor qui est très silencieux et nous entendons la jeune fille crier à sa mère. La personne disparaît. La jeune fille reste effrayée.

ACTE 1
4 H 15 A.M.

La jeune fille est assise sur son lit, elle est toujours effrayée, sa mère et le petit ami de celle-ci entrent dans la chambre, ce sont Mulder et Scully. Celle-ci va s’asseoir sur le lit à côté de la jeune fille et Mulder reste dans l’embrasure de la porte et s’appuie le coude sur le meuble qui est à côté de la porte.

Scully : Qu’est-ce qu’il y a Émilie ?
Émilie : J’ai vu quelqu’un maman.
Mulder : Où ça ?
Émilie : (pointe l’endroit avec son droit) Là !
Scully : (lui touche le front) Tu as sûrement fait un cauchemar. Tu es très fiévreuse. Mulder ! Pourrais-tu aller me chercher une serviette d’eau froide s’il vous plaît.
Mulder : Tout de suite.

Mulder sort. Scully borde sa fille.

Émilie : Maman, je suis sûre de ne pas avoir rêvé, cette personne était belle et bien devant moi. Je t’assure. Je crois d’ailleurs que j’ai déjà vu cette personne, elle murmurait quelque chose, je n’ai pas compris…
Scully : Rendors-toi chéri. (Mulder entre avec la serviette d’eau froide. Scully la met sur le front d’Émilie)
Émilie : Maman !
Scully : Écoute Émilie, rendors-toi et on en reparlera demain.

Elle l’embrasse sur la joue et sort de la chambre. Mulder va aussi l’embrasser sur la joue, mais au contact de ses lèvres sur la joue d’Émilie, celle-ci tire la langue.

Mulder : Bonne nuit Émilie.
Émilie : Bonne nuit.

Mulder éteint la lumière de la chambre et rejoint Scully qui est dans le corridor. Ils se dirigent vers leur chambre.

Mulder : Qu’est-ce qu’elle a ?
Scully : Elle m’a dit qu’elle avait vu quelqu’un et qu’elle murmurait quelque chose.
Mulder : Est-ce qu’elle sait qui ?
Scully : Tu lui en parleras demain. Je ne lui ai pas posé de questions.

Mulder et Scully s’assoient chacun de leur côté sur leur lit. Au bout de quelques seconde, Scully se couche et ferme les yeux. Mulder se couche, mais ne s’endort pas. Scully le sent.

Scully : Qu’est-ce qu’il y a Mulder ?
Mulder : Rien Scully. Dors ma belle.
Scully : Tu penses à la vision qu’Émilie a eue.
Mulder : Oui !
Scully : Mulder ! Dormons, nous verrons cela demain avec elle.

Scully se colle contre lui, elle met sa tête sur la poitrine de Mulder. Elle s’endort. Mulder met sa main sur le dos de Scully, au bout de quelques instants, il s’endort.

Vers 6 h 30

Scully se réveille, elle se lève et se dirige vers la chambre d’Émilie. Elle entre, mais dès que la lumière s’allume, Émilie ouvre tout de suite les yeux.

Scully : Lève-toi ma chérie, elle est 6 h 30.

Émilie se réveille.

Émilie : D’accord, maman, je me lève.
Scully : Je vais préparer le déjeuner.
Émilie : D’accord.

Scully sort de la chambre et va dans la cuisine. Émilie se lève et s’habille. Au bout de quelques minutes, Émilie sort de la chambre. Elle est vêtue d’une jupe courte, une camisole verte et d’une chemise blanche qui n’est pas attachée. Elle a les cheveux attachés avec une pince. Elle porte des souliers à talon haut. Elle va dans la cuisine où Scully finit de faire cuire des gaufres. Émilie va à côté de sa mère. Elles ont tous les deux la même grandeur.

Scully : Les gaufres vont être prêtes dans quelques minutes.
Émilie : (regarde dans la cuisine) Mulder n'est pas là ?
Scully : Non, il dort encore.
Émilie : (surprise) Il me surprend, (d’un ton méchant) à cette heure, habituellement, il est parti au bureau où il est entrain de regarder un dossier qui porte sur des phénomènes qui n’existent pas.
Scully : Émilie ! Nous avons déjà discuté de cela. Changeons de sujet, tu as bien dormi.
Émilie : Je n’ai pas été capable de me rendormir, je me suis peut-être seulement assoupie.
Scully : (elle lui touche le front) Tu ne fais plus de fièvre.

Elle met les gaufres dans une assiette et les donne à Émilie qui va s’asseoir à la table.

Émilie : Je couvre peut-être un rhume.
Scully : Parle-moi de la personne que tu as vue.
Émilie : J’ai déjà vu cette personne, mais je ne sais pas où.
Scully : Décris-moi la personne. Peut-être que je vais pouvoir t’aider à identifier la personne.
Émilie : Elle était…

Elles sont dérangées par Mulder qui entre dans la cuisine.

Mulder : Hum ! Que ça sent bon ! (il embrasse Scully)
Scully : Bonjour chéri. Tu as bien dormi ?
Mulder : Très bien.
Émilie : (murmure) T’es chanceux toi.
Scully : (à Mulder) Veux-tu des gaufres ?
Mulder : Si c’est toi que les a faites, bien sûr. (il voit Émilie) Et toi, Émilie, tu as réussi à te rendormir ?
Émilie : Non, je n’ai pas été capable.
Mulder : Qui est la personne que t’as vue ?
Émilie : (impatiente) Je ne sais pas c’est qui.
Scully : Émilie ! Ne parle pas comme ça à ton père.
Émilie : Ce n’est pas mon père, ça ne l’a jamais été.
Scully : Émilie ! Excuse-toi tout de suite.
Émilie : Pas question. (à Mulder) Tu n’as pas des petits hommes verts que ont besoin de toi ?
Scully : Émilie, tu lui dois respect, il t’a élevé.
Émilie : C’est toi qui m’as élevée, lui, était trop occupé avec ses extraterrestres, nous avons tout le temps passé après son travail.

Émilie prend son sac è do et sort de la maison en claquant le porte. Mulder et Scully ne se parlent pas, ils sont ébranlés. Scully appuie ses bras contre la table, elle est découragée.

Scully : Excuse-moi chéri, je ne sais pas ce qu’elle a.
Mulder : (la prend dans ses bras pour la rassurer) CE n’est pas grave Scully.
Scully : Il faudra que cette situation arrête. Elle ne t’a jamais respecté et je ne le tolère pas.
Mulder : Elle va m’aimer un jour, j’en suis sûr.
Scully : J’ai hâte parce que des fois, c’est insupportable.

Scully prend ses gaufres et va s’asseoir à la table. Mulder la regarde faire.