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N°33 - juillet 1999

SOMMAIRE
La biennale de la langue française
Association française des sciences et technologies de l'information
Le colloque du CILF
Le séminaire d'ITEM-Sup et de GEMME
L'appel de Terminal
Revues disponibles

À lire ...
Manifestations
Sites internet ...

Vous êtes encore quelques uns à ne pas avoir payé votre cotisation pour l’année 1999. Pensez-y avant de partir en vacances !
Le trésorier

 La Biennale de la langue française

Comme son nom l’indique, la Biennale de la langue française est un colloque qui se tient tous les deux ans dans un pays francophone. C’est aussi le nom de l’association qui organise ce colloque. Nous avions rendu compte en son temps, de la tenue de la Biennale 1997 à Neuchâtel en Suisse dans AILF-Info. Cette Biennale, dont le thème était " Multimédia et enseignement du français " avait rassemblé plusieurs dizaines de contributions dont au moins trois provenant de membres de l’AILF. Les actes sont maintenant disponibles et peuvent être commandés au secrétariat de l’association : 113, avenue Galliéni, 78670 Villennes-sur-Seine.

La prochaine Biennale aura lieu à Ouagadougou (Burkina Faso) début novembre 1999. Une trentaine de contributions ont été retenues sur deux thèmes : " l’expression du droit " et " le Burkina Faso et la francophonie ". Il s’agira d’une part d’examiner la pertinence d’une jurisfrancité dans l’usage de la langue française dans l’expression du Droit. Et d’autre part, de percevoir les évolutions culturelles burkinabé face à l’ensei-gnement et aux nouveaux médias. À cette occasion l’AILF présentera une intervention sur le thème suivant : " Informatique et libertés : expérience française, perspectives européenne et francophone ".

Karl Crochart, Jean-Alain Hernandez

 Association française des sciences et technologies de l'information

L’ASTI qui regroupe une vingtaine d’associations, poursuit progressivement sa mise en place (cf. AILF-Info n°31). Cette société scientifique et professionnelle reconnaît comme disciplines scientifiques motrices dans le développement des STI : l’électronique, l’informatique, l’automatique et le traitement du signal, le lien avec l’homme via des disciplines qui relèvent des sciences de la vie, des sciences de l’homme et de la société, des cognisciences, de la communication Homme-Machine.

L’association a décidé récemment de réaliser trois manifestations :
- en novembre 1999 sur le thème " Gestion des systèmes d’informations techniques ",
- en février 2000 sur le thème " Productivité des postes de travail ",
- au printemps 2001 un colloque qui permettra de faire connaître les travaux de l’ASTI tout en parrainant des séminaires organisés par les associations membres qui souhaiteront profiter de cette dynamique.

Concernant l’AILF, le groupe de travail " Usages et Éthique " devra permettre de faire partager les travaux de l’AILF sur le respect de la langue française ainsi que ceux sur la protection des données personnelles. Ce groupe devra aussi organiser le débat social avec les différents groupes d’acteurs (chercheurs, industriels, distributeurs, organisations syndicales, élus, organisations de consommateurs, club d’utilisateurs, ...) sur les besoins attendus en terme de produits et services autour des applications des technologies de l’information et de la communication. Enfin, il pourra promouvoir des initiatives comme le " Permis de conduire informatique européen ", connu sous le sigle PCIE.

Un premier accord de collaboration a été signé en mai 1999 entre l’ASTI et l’IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers). Cet accord permet de faire bénéficier les associations membres de l’ASTI de réductions financières en matière de cotisation, d’achat de publications, …, mais aussi de favoriser des activités communes comme des conférences, des publications, des travaux de normalisation, …

Karl Crochart

Sommaire Le colloque du CILF

Le Conseil international de la langue française a organisé, le 14 mai 1999, au domaine de la Bûcherie un colloque sur le thème " Quelle politique mondiale de la langue française pour l’an 2000 ? ".

Des enseignants de Tunisie, du Maroc et de Jordanie ont présenté des réalités de l’enseignement du français dans leur pays, et ailleurs en Afrique, il a été fait état entre autres choses : du coût de la scolarité à l’école française au Maroc, de l’insuffisance des accords universitaires, du retour du français comme langue de la modernité dans la partie orientale du continent, de la nécessité de travailler sur l’image de la langue française…

Les résolutions adoptées

Nous, participants à la réunion organisée le 14 mai 1999 par le CILF sur le thème : " Quelle politique mondiale de la langue française pour l’an 2000 ? " sommes convenus de retenir un certain nombre d’éléments qui devraient faire l’objet d’une attention et d’une action particulières de la part des gouvernements, des institutions et autres acteurs du monde francophone.

À nos yeux, l’avenir de la langue française dans le monde est directement lié à un ensemble de facteurs essentiels relevant des domaines de l’éthique et de la politique, de l’économie, de la démographie, de l’enseignement et de la formation, des sciences et des techniques.

Le respect des droits de l’homme et des peuples et de l’État de droit, le développement d’une citoyenneté francophone par les gouvernements sont les conditions du maintien de l’image du français dans le monde. On ne peut pas concevoir de développement de l’Europe sans que le statut du français soit respecté par les institutions européennes.

Pour les pays d’expression française, il n’y aura pas de développement économique et social sans que leur soit garanti, par un enseignement suffisant du français, l’accès plein et entier à la science, à la technique et à l’information, ce qui nécessite un puissant effort de transfert de moyens et de compétences en faveur des pays en développement.

Un effort important devra être consenti pour généraliser la scolarisation dans les pays du Sud, notamment en Afrique sub-saharienne, où le français est langue d’enseignement, en coopération avec les langues nationales et/ou régionales.

Nous appelons à la poursuite des efforts entrepris pour assurer au français et aux autres langues à vocation internationale toute leur place dans les grands réseaux d’information et pour développer leur ingénierie linguistique.

Nous appelons également les instances francophones internationales à redéfinir et renforcer le rôle que la langue française joue dans l’élaboration et le fonctionnement des instruments de coopération.

Un dialogue approfondi des langues et des cultures s’impose tant au sein des États qu’à l’intérieur de l’ensemble de la francophonie, elle même multilingue, mais aussi avec les autres grands ensembles linguistiques que sont notamment le monde arabe, les pays latins. Des projets communs doivent être systématiquement développés.

La Bûcherie, le 14 mai 1999

Les suites du colloque

Les résolutions ainsi établies ont servi à définir des propositions d’orientation qui seront reprises par un groupe de travail afin " de rediscuter et adopter formellement ces propositions et pour tenter de les mettre en œuvre ". Des mesures sont proposées relatives à : l’attitude face aux instances européennes, une alternative au modèle de développement proposé-imposé par les États-unis, la coopération avec l’arabophonie, le français 2e langue étrangère, les minorités nationales, la citoyenneté francophone…

Annie Marcheix

Sommaire Le séminaire d'ITEM-Sup et de GEMME

ITEM-Sup et Gemme ont organisé le 3 octobre 1998 à Rouen à l’IUFM de Rouen, un séminaire sur : " la formation aux TIC pour les acteurs de l'enseignement supérieur, analyse des besoins et propositions d'action ". Au cours des ateliers et la synthèse qui s'en est suivi la nécessité d'engager une action de formation volontariste est apparue.

Laisser faire les choses à la simple appréciation des bonnes volontés ne permettra pas une évolution rapide du niveau réel d’insertion des NTIC dans l’enseignement.

Des freins à la diffusion des NTIC ont été identifiés, ils portaient moins sur les aspects financiers en investissements directs que sur les réticences individuelles qui pouvaient exister.

Parmi les craintes évoquées on notait l'évolution " technique " du métier d'enseignant à deux points de vue :
- compétence technique à acquérir (maîtrise des outils) ;
- dérive technique qui limiterait la créativité de l'acte pédagogique.

Dans les freins institutionnels, on relevait les découpages en programmes, les évaluations des étudiants, le décalage entre l'évolution des technologies et les structures où elles seront mises en œuvre.

Dans les facteurs institutionnels, également :
- problème des carrières pour les enseignants chercheurs avec la difficile reconnaissance de travaux pédagogiques ou de recherche liés aux NTIC ;
- crainte qui les NTIC soient une recherche de productivité sans recherche d'une réelle amélioration qualitative ;
- grilles de recrutement mal adaptées pour les personnels ATOS, IATOS.

Quelques pistes d'actions ont été évoquées et la volonté de créer un groupe de travail s'est exprimée.

Il apparaît cependant important de susciter au préalable la motivation, avant tout programme de formation de fond, de discuter avec les pairs engagés dans l'usage des NTIC, de présenter des réalisations, en particulier dans une optique disciplinaire, de renforcer les actions au niveau des moniteurs et de les développer au sein des écoles doctorales. Par ailleurs, seront initiés des contacts avec les conférences des présidents d'université, des directeurs d'IUT et des directeurs d'IUFM, ainsi qu'avec l'Agence de modernisation de l'enseignement supérieur.

Il convient aussi de développer des programmes d'actions concertés utilisant des médias liés aux NTIC (Amphis de la Cinquième, visioconférences, sites Web, AudiosupNet, etc.).

Paru dans le bulletin n°7 d’ITEM-Sup.

Frédérique Péaud

Sommaire L'appel de terminal

La revue Terminal a lancé en mai 1999 un appel pour un séminaire de débats sur l’informatisation de la société.

Progressivement, l'informatisation a modifié nos manières de produire, de travailler et de communiquer. Elle a transformé le regard que nous portons sur nous même. Nos sociétés ont cependant bien du mal à appréhender la radicalité d'une mutation qui touche non seulement les entreprises, mais aussi l'ensemble du tissu social. Les fluctuations incessantes, l'obsolescence précipitée et le battage commercial assourdissant qui entourent l'industrie des TIC (Technologies de l'Information et des Communications) ne laissent guère de temps de répit et de réflexion. Il a fallu attendre la percée de l'Internet dans le grand public, avec le passage de l'informatisation du secteur de la production à celui de la communication, pour que s'effectue cette prise de conscience.

L'irruption d'Internet sur la scène médiatique a réveillé une informatique en voie de banalisation. Développé par le monde scientifique pour ses besoins propres et imposé à un monde industriel d'abord réticent, le protocole internet fournit un outil de communication direct entre chaque individu susceptible, dans une certaine mesure, de court-circuiter les pouvoirs en place. En l'affranchissant des censures et des frontières il redessine les limites de son autonomie. Certes, cette conjugaison entre l'informatique et la téléphonie, combinée à la mondialisation, annonce de nouveaux bouleversements technologiques et sociaux qui ne seront pas forcément positifs pour la majorité des populations. Mais, pour la première fois, l'utilisateur ne se retrouve plus en position totalement passive : il dispose d'une petite marge de liberté.

Objectifs du séminaire

C'est cette fragile marge de liberté que la revue Terminal voudrait contribuer à élargir en proposant l'organisation d'un séminaire public mensuel autour des enjeux sociaux de l'informatisation. Il s'agirait d'y naviguer entre deux écueils : celui de l'optimisme béat et celui du catastrophisme.

Aussi, nous vous proposons :
- de tirer ensemble un bilan, pour appréhender les dangers anciens et nouveaux de l'informatisation (certains s'aggravent fortement comme l'immixtion de l'État et des entreprises dans notre vie privée) ;
- mais aussi de tenter d'explorer les opportunités nouvelles, et positives, de transformations sociales que les TIC nous offrent. Car si la situation reste encore ouverte, le temps apparaît compté avant que les industries et les États n'aient laminé tous les possibles.

Il ne s'agit pas d'abandonner une position critique. Celle-ci reste plus que jamais indispensable face au déluge bêtifiant qui s'abat sur le consommateur et le citoyen pour le convaincre que le progrès technique va résoudre tous les problèmes. Il s'agirait de tenter de placer -autant que faire se peut- l'imagination au pouvoir, pour ne pas, encore une foi, être condamné au rôle passif de victime. Les machineries numériques et leurs agencements protéiformes obligent à de nouveaux investissements personnels et collectifs, elles interrogent la force et la fragilité des nœuds du commerce, du travail, de l'échange et du pouvoir.

Modalités du séminaire

Une discussion préalable entre les revues, associations et individus intéressés à organiser et alimenter un séminaire sur les enjeux actuels de la technologisation de la société, devrait aboutir à sérier les thèmes de départ et à définir des modalités précises de fonctionnement -y compris en termes de publication des résultats, de diffusion sur l'Internet, de décentralisation sur le territoire francophone.

Le projet, dont les modalités d'organisation sont à préciser, serait d'une séance de deux à trois heures mensuelles, tenues à l'université de Jussieu (par exemple), comportant un ou plusieurs exposés introductifs (si possible diffusés par écrit avant chaque séance), et axée essentiellement sur le débat entre les personnes présentes, à l'exclusion d'un simple jeu d'exposés questions aux orateurs. Début possible octobre 1999.

Chaque association et revue participant au séminaire serait libre de publier tout ou partie des textes et discussions. Pour amorcer la réflexion nous proposons quelques thèmes, non limitatifs, ni dans le fond ni dans la forme :

Une liste de discussion a été ouverte, il suffit d'envoyer un message à : seminaire-request@terminal.sgdg.org

Vous pouvez nous joindre :
- Terminal, mél. :
terminal@ras.eu.org
http://www.terminal.ens-cachan.fr
- Daniel Naulleau, tél.-fax : 01 44 27 71 13 ; mél. :
daniel.naulleau@ufr-info-p6.jussieu.fr
- Guy Lacroix, tél.-fax : 01 47 46 94 87

Daniel Naulleau

Sommaire Revues disponibles au secrétariat

Expertises des systèmes d’information : n°226, mai 1999

La lettre d’information du Ministère de la Culture : n°47, 28 avril 1999 ; n°48, 12 mai 1999 ; n°49, 2 juin 1999

Liaisons - AFAL : n°22, mars 1999

Bulletin – ITEM-Sup : n°7, mars 1999

Les exclusives de l’AFNOR : n°183, 26 avril 1999 ; n°184, 17 mai 1999 ; n°185, 7 juin 1999 ; n°186, 21 juin 1999

Alliances – Alliance française de Paris : n°32, février, mars, avril 1999

La gazette de la presse francophone : n°88, mars – avril 1999

Francité : n°23, mars/avril 1999 ; n°24, été 1999

Le bulletin de la C.I.P. – Dauphine Cellule Innovations Pédagogiques Université Paris 9 : n°7, juin 1999

Rapport d’activité 1998 - DGLF

Rapport annuel de la Commission générale de terminologie et de néologie 1998 – DGLF

Catalogue 1999 55e édition – AFNOR

L’annuaire des adhérents 1999 - AFNOR

Les actes de LexiPraxi 98 " Former des citoyens pour maîtriser la société de l’information " sont en vente au tarif de 100 F frais de port inclus. Adressez-nous un chèque libellé à l’ordre de l’AILF, nous vous enverrons les actes par la Poste.

Vous pouvez obtenir ces revues en vous adressant à Annie Marcheix.

Sommaire À lire ...

Expertises des systèmes d’information, n°226
CS.PLA (Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique) : un observatoire pour l’évolution du droit d’auteur, interview de Mme Trautmann
Arrêté portant création du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique.
Rumeur sur internet : tous les moyens ne sont pas bons pour lutter contre la contrefaçon de logiciels.
http://app.legalis.net/paris/
http://www.celog.fr/expertises/agentapp.htm
Le Stic toujours dans l’illégalité : résistance contre " le système de traitement des infractions constatées ", par Monique Linglet.

Lettre d’information du ministère de la culture, n°49
Dossier : la charte des langues régionales ou minoritaires vient d’être signée par la France, les 39 engagements retenus par le gouvernements.

Liaisons, n°22
Dossier spécial : l’accord culturel entre la France et la Communauté française de Belgique. [Accord de coopération linguistique, culturelle, éducative et scientifique]
Application de la loi du 4 août 1994, par Jean-Claude Amboise [Affaires jugées : Surcouf (magasin d’informatique), Comptoir des soldes (salle de jeux vidéo), Sédi (salle de jeux vidéo), La tête dans les nuages (salle de jeux), Geetha Maligai (magasin d’alimentation indo-pakistanais), Hyper games (magasin de jeux vidéo)].

Francité, n°23
Enquête sur la place, le rôle et l’avenir du français à Bruxelles.

Francité, n°24
Installation du nouveau Conseil supérieur de la langue française, par Philippe Ernotte.
" La Charte européenne des langues minoritaires ou régionales " " La Convention cadre pour la protection des minorités nationales ", par Philippe Ernotte.
Mél ou les infortunes de la vertu terminologique, par Philippe Ernotte.

Annie Marcheix

Manifestations

20e université d’été de la communication : le temps de l’homme mondial, 23-27 août 1999
Organisé par la Ligue française de l’enseignement et de l’éducation permanente et le Centre régional d’éducation permanente de d’action culturelle d’Aquitaine à Hourtin (Gironde).
Thèmes : la pertinence de l’économie des réseaux, (marché, transactions, production, entreprise) ; la nécessité du dialogue politique (choix du gouvernement et des collectivités locales, aménagement du territoire, valeurs, rapports entre élus et citoyens) ; la primauté des industries de l’immatériel (stratégies des groupes de communication, éthiques, contenus, thématiques mondiales) ; l’affirmation du citoyen autonome (humanisme, insertion sociale et professionnelle, éducation et formation, culture). Problématique centrale : chaque homme doit être maître de son avenir.
Contact : CREPAC d’Aquitaine BP 110 33030 Bordeaux Cedex ; tél. : 05 56 69 62 62 ; fax : 05 56 69 62 60 ; mél. : crepac@crepac.com - www.crepac.com

Rencontres internationales de Lure : rencontres de calligraphies, 18-21 août 1999 ; rencontres typographie et communication visuelle, 22-28 août 1999
Organisé par l’association Rencontres de Lure, à Lurs-en Provence.
Thème : typographie ordinaire, typographie singulière avec Marie-Anne Fonteinier (Sup InfoCom Valenciennes), Pierre Bongiovanni (CICV Montbéliard), Christian Artin, Antoine Denize…
Contact : Rencontres internationales de Lure 12 bis rue Soyer 92200 Neuilly-sur-Seine – Tél. : 01 42 55 79 13

Symposium 99 " Les TIC et les enseignements supérieurs en Europe " : appel à présentation d’expériences, 9-11 décembre 1999
Organisé par ITEM-Sup et GEMME à Bouzigues (Hérault).
Thèmes : présentation et analyse d’expériences de formation initiale ou continue à caractère multimédia, impliquant au moins deux partenaires européens (prise en compte du contexte institutionnel, sociologique, culturel et pédagogique mais aussi l’économie et la technologie de la transmission du savoir) ; cas concrets (illustrations de réussites et de difficultés) susceptibles de s’inscrire dans un atelier ou de faire l’objet d’une intervention au cours du symposium.
Contact : Jacqueline Guibal, université Montpellier I, mél. : jguibal@wanadoo.fr ; Louis Higounet, université Montpellier II, fax : 04 67 14 30 31

Colloque international sur la formation des traducteurs spécialisés, 24-25 septembre 1999
Organisé par le CFTTR (Centre de formation de traducteurs, terminologues et rédacteurs) et le CRAIE (Centre de Recherches et d'Applications en Ingénierie linguistique, documentaire et multimédia) à l'université de Rennes.
Thèmes : profils de formation et besoins du marché ; structures et organisations de cursus ; outils et technologies pour le traducteur ; outils et technologies pour le formateur ; et la qualité dans tout ça ? ; par l'autre bout de la lorgnette ; vues sur le vaste monde ; l'innovation à marche forcée.
Contacts : Hugo Marquant, mél. : inthaps@.be ; Daniel Gouadec, mél. : Daniel.Gouadec@uhb.fr ; Union Latine, mél. : DTIL2@calvanet.com
http://www.uhb.fr/langues/craie/cfttr

Annie Marcheix

SommaireSites internet ...

La Charte européenne des langues minoritaires ou régionales :
http://wwwcoe.fr/fr/txtjur/148fr.htm

La Convention-cadre pour la protection des minorités nationales :
http://www.coe.fr/fr/txtjur/145fr.htm

Rapport de Bernard Cerquiligni sur les langues de la France (langues parlées sur le territoire de la République par les citoyens français et qui correspondent aux critères de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires) :
http://www.dglf.culture.fr
http://www.ladocfrancaise.gouv.fr

Banque de données terminologique du service de la langue française au ministère de la Communauté française de Belgique :
http://wwwcfwb.be/franca

La traduction des brevets d’invention en Europe, appel contre le monolinguisme :
http://www.unilat.org/dtil/termilat/sft.htm

Université Paris 9 Dauphine la cellule innovations pédagogiques fait de la veille technologique et de la formation aux TIC pour les enseignants :
http://www.dauphine.fr/cip/

Les études de législation comparée du service des affaires européennes du Sénat, réf. LC 59 " L'interconnexion des fichiers administratifs " (juin 1999) :
http://www.senat.fr/lc/lc59/lc59.html

L’utilisation du NIR pour les directions générales des impôts, de la comptabilité publique, des douanes et taxes indirectes, l’action de la CNIL :
http://www.legalis.net/legalnet/actualite/nir.htm

Annie Marcheix

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