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N°34 - septembre 1999

SOMMAIRE
La Francophonie à Moncton
Le forum des associations francophones
La démocratisation de l'informatique
Revues disponibles

À lire ...
Manifestations
Sites internet ...

 La Francophonie à Moncton

La VIIIe Conférence des chefs d’État et de gouvernement des pays ayant le français en partage s’est tenue du 3 au 5 septembre 1999 à Moncton, au Nouveau-Brunswick, Canada. Ce Sommet de la Francophonie était consacré à la jeunesse, « car c'est sur son engagement et son adhésion que repose la pérennité du projet francophone. » Les dix-sept points de la déclaration finale posent la francophonie comme :

Le plan d’action élaboré constitue, pour les deux prochaines années, le cadre de la coopération multilatérale francophone. Ce plan est articulé autour de cinq axes d’intervention prioritaires :

Le premier axe consacre notamment une fonction d’observatoire dévolue à l’Agence intergouvernementale de la Francophonie, qui collectera et analysera des informations juridiques, institutionnelles et politiques « en étroite concertation avec les institutions nationales et internationales, et avec la société civile à travers les organisations internationales non gouvernementales compétentes. »

Dans le second axe, il est stipulé à propos de la langue : « Nous renouvelons notre engagement à défendre et à promouvoir l’utilisation de la langue française dans les organisations et enceintes internationales. […] Nous veillerons au respect du plurilinguisme et de l'utilisation du français dans les organismes de normalisation tels l’AFNOR (Association française de normalisation) et l'ISO (Organisation Internationale de normalisation). Nous soutiendrons la participation de francophones aux réunions d'experts de ces organismes, et la coopération internationale en matière de terminologie française. » (cf. AILF Info n° 31 de mars 1999 ISO, langue française et terminologie ) Déjà, au Sommet de Hanoï, un plan d'urgence pour la relance du français dans les organisations internationales avait été mis en place.

Dans le contexte de la mondialisation, l’importance de la contribution de la Francophonie à la promotion de la diversité culturelle est réaffirmée comme la conviction que « les biens et services culturels, y compris audiovisuels, reflets des identités nationales et régionales, ne doivent pas être traités comme de simples marchandises, notamment dans le cadre des négociations commerciales multilatérales. » Et pour faire prévaloir ces convictions, il apparaît « nécessaire de mobiliser de façon accrue et concertée les sociétés civiles autour de ces enjeux  ». La Conférence ministérielle thématique des années 2000 et 2001 sera consacrée à la problématique de la mondialisation au regard de la diversité culturelle.

Le cinquième axe est placé sous le signe de la continuité. Ainsi les moyens du Fonds francophone des Inforoutes devraient être accrus. L’accès aux TIC et tout particulièrement à internet devra être facilité. Un effort en faveur de la sensibilisation et de la formation des nouveaux utilisateurs des TIC devrait être engagé par les opérateurs de la Francophonie.

Annie Marcheix

 Le forum des associations francophones

L’AFAL a organisé, les 15 et 16 juin 1999, au Centre de conférences internationale de Paris, le forum des associations francophones, dans la perspective du prochain Sommet des chefs d’État et de gouvernement des pays ayant le français en partage, dont le thème principal est la jeunesse.

Les associations présentes ont exprimé leurs points de vue et fait part de leurs espoirs, difficultés, critiques et recommandations. À l’issue des débats un texte de synthèse, destiné à être porté à la connaissance des délégations réunies lors du Sommet, a été élaboré.

Les messages formulés

« Le forum des associations francophones, compte tenu du thème général de la jeunesse choisi pour le Sommet des chefs d’État et de gouvernement qui va se tenir à Moncton en Acadie,

demande que soit mis en place un conseil consultatif des jeunes rassemblant les représentants des associations et organisations engagées activement dans les domaines de la jeunesse et de la francophonie, et

souhaite que la création et le fonctionnement des associations de jeunes soient facilités dans les États membres ;

demande la création pour les jeunes des pays francophones d’organismes semblables à l’office franco-québécois pour la jeunesse, par exemple l’office franco-roumain ;

demande que soit développé l’enseignement spécifique portant sur la francophonie à tous les niveaux et dans toutes les filières afin de sensibiliser les jeunes aux richesses des cultures francophones, ainsi que les échanges scolaires et les jumelages entre établissements ;

demande la création par des équipes pluridisciplinaires et internationales d’outils pédagogiques modernes : diapositives, cédéroms, bandes dessinées, courts métrages, sites Internet, etc. sur les divers aspects de la francophonie et toutes ses composantes, et leur large diffusion ;

souhaite une augmentation sensible de bourses accordées par les États membres, notamment pour les jeunes des pays francophones ;

souhaite l’adoption de mesures bilatérales portant sur l’équivalence et la reconnaissance des diplômes et sur les dispositifs d’accueil et de séjour des étudiants, stagiaires ou porteurs de projets francophones ;

demande le renforcement des moyens de promotion des 4èmes Jeux de la Francophonie qui auront lieu en juillet 2001 à Ottawa et à Hull (Canada) ;

appelle l’attention des chefs d’État et de gouvernement sur la place du français aux jeux olympiques et paralympiques, langue officielle dans laquelle doivent se tenir les épreuves sportives en hommage au pays qui en 1894 a ressuscité l’olympisme et aux pays d’expression française, et leur demande d’intervenir avec détermination auprès du comité olympique international (CIO) à ce sujet ;

souhaite que la Journée de la francophonie prenne l’aspect d’une grande manifestation culturelle, officiellemnt annoncée dans tous les pays et organisée dans tous les établissements scolaires ;

renouvelle par ailleurs avec instance sa demande pour :

demande que, outre les « États et les gouvernements des pays ayant le français en partage », ne soient pas négligées les régions n’ayant pas le statut d’État, mais où vit une population francophone, comme la Louisiane ;

renouvelle sa demande d’intervention auprès des autorités compétentes pour l’usage du français par les compagnies aéroportuaires et de transport aérien, souligne le caractère impératif que devrait avoir cet usage pour les compagnies des pays francophones et souhaite que soit souligné à l’ensemble des compagnies internationales l’intérêt qui s’attache à l’usage de la langue française sur l’ensemble des lignes, en particulier celles qui desservent les pays ayant le français en partage ;

apporte son soutien à la proposition de tenir à Beyrouth le prochain Sommet des pays ayant le français en partage et souhaite que le Sommet suivant (2003) ait lieu à Bruxelles. »

Paru dans la revue de l’AFAL, Liaisons n°23.

Annie Marcheix

Sommaire Le démocratisation de l'informatique

Elle se heurte à trois obstacles distincts.

Le premier est d'ordre financier. Les « PC » ont certes vu leur prix baisser et on peut en trouver d'occasion pour vraiment pas cher, mais les logiciels les plus courants restent dans l'ensemble inabordables pour ceux qui ont des petits moyens, sauf à récupérer des produits dépassés. La solution « logiciel libre » n'est pas encore dans les moeurs mais le ciel n'est pas bouché.

Le deuxième est d'ordre culturel. Si certains logiciels sont conviviaux et en langue française, une bonne part du savoir-faire informatique repose sur la connaissance du jargon informatique anglais, et sur une formation ad-hoc. On restera facilement exclu du contrôle d'un monde que seule la maîtrise de l'outil informatique autorise, en résistant au « globalitarisme » ambiant et à la « pensée unique » véhiculée par les mass-media, grâce par exemple à internet.

Le troisième est dû à la nature même de l'informatique actuelle. Elle est née comme une activité de spécialistes triés sur le volet, à une époque où les applications se résumaient à la comptabilité d'une part, et aux calculs scientifiques de l'autre, ces derniers souvent à vocation militaire, comme à l'origine avec ENIAC (bombe A, cryptologie) et ses premiers descendants. Dans ces conditions, elle a toujours cultivé la « confidentialité » et même le secret, ce qui n'a en rien aidé la diffusion d'un vrai savoir, mais a plutôt promu des mythes à caractère parfois paranoïaques comme celui de la « Mega-machine » des romans et films de science fiction asservissant l'humanité à une logique sans vie et sans espoir.

Or, programmer aussi bien qu'utiliser un ordinateur, c'est lui apprendre à obéir et lui donner des ordres, qu'il est sensé comprendre puis exécuter.

Il s'agit bien, dans le domaine informatique, de traduire une demande de la part d'utilisateurs en « quelque chose » que la machine puisse comprendre et exécuter.

La première étape du processus de programmation, classiquement l'« analyse » n'est rien d'autre que la mise sur papier, -en bon français- d'un problème que l'on suppose logiquement soluble, et dont l'expression suppose parfois l'utilisation d'un jargon de métier, renvoyant à des dispositifs matériels : cartes et circuits électroniques, ou humains : circuits de distribution ou de décision, etc., qui dans tous les cas ne font pas partie du contexte « informatique » proprement dit, mais se situent à l'extérieur des ordinateurs.

Le processus qui part de la demande s'arrête à la fin de la documentation, à la spécification détaillée d'un ou plusieurs «  programmes » qui sont du type « compétence ». Jusque là, on n'avait employé que le « bon français  » pour exprimer le besoin, et proposer une façon de le satisfaire. L'utilisation de graphiques, organigrammes en particulier, n'est souvent qu'une façon de présenter la chose, mais tout programme, surtout avec l'analyse dite structurée, peut se verbaliser dans une langue comme le français.

La phase suivante va consister à « coder » le résultat de l'analyse, sans lui ajouter grand chose, sinon une inintelligibilité pour le profane, qui va garantir le « secret de fabrication » du programme, et trop souvent va mettre l'usager dans l'impossibilité de savoir exactement ce que fait celui-ci.

Cette phase, dite parfois de « transfert » entre un texte humainement compréhensible et des programmes rédigés en langage spécialisé, puis compilés, assemblés, etc., pour donner l'exécutable, ne constitue en fait qu'une toute petite partie de l'effort de production des logiciels, souvent moins de 20% de l'effort global.

Puisqu'il s'agit d'une traduction, ce processus s'accompagne d'erreurs, à savoir classiquement : contresens, faux-sens, barbarismes et solécismes que les pratiquants des versions et thèmes latins de ma jeunesse auront reconnus comme étant la base de la notation attribuée aux travaux des élèves latinistes (aussi bien d'ailleurs qu'hellénistes, germanistes...).

Lesquelles erreurs empêchent le programme produit de « tourner » comme il le devrait.

La correction de ces erreurs constitue une part importante du processus de programmation : la mise au point et le suivi des programmes peuvent parfois dépasser 50% de l'effort (en temps de travail) quand le programme est complexe. De plus, les utilisateurs ont toujours des programmes contenant des erreurs et doivent s'en remettre à la discrétion des éditeurs de logiciels pour que ces dernières soient corrigées, ceci nécessitant souvent l'achat d'une mise à jour ou d'une nouvelle version. À noter que l'on n'entend pas parler de vice caché pour les logiciels, ce qui est une exception juridique unique que l'on a tourné via les « licences » d'utilisation, qui en fait ne garantissent rien du tout, sinon le revenu de l'éditeur.

La logique voudrait que l'on cherche à modifier cette situation en donnant la possibilité à l'utilisateur de comprendre ce que fait le programme et d'être à même d'en corriger les erreurs rencontrées. Une solution pour cela serait que les programmes « existent » sous une forme de texte en langage courant, leur prise en charge par la machine se faisant lors de l'installation (pré-compilation, assemblage, édition de liens, etc.) sur celle-ci : les PC modernes peuvent d'ailleurs parfaitement exécuter ce travail en des temps raisonnables.

C'est bien sûr possible dans la mesure où les éditeurs accepteront que le logiciel soit considéré exactement comme n'importe quel type de texte ou d'image, avec les mêmes droits de copie et d'exécution (comme dans le cas d'une partition de musique!), sans qu'il y ait nécessité d'une juridiction particulière et parfaitement abusive pour protéger les « intérêts de l'industrie ». On doit d'ailleurs remarquer que tout programme est avant tout une œuvre intellectuelle et individuelle, et donc par là susceptible de tomber dans le cadre des lois ordinaires sur les droits d'auteurs.

L'effort pour passer des programmes codés (disons même cryptés) aux programmes en « bon français » ne me semble pas immense, dans la mesure où il ne s'agit que de traduction automatique, qui est possible dès que le texte d'origine ne comporte pas d'ambiguïté. La difficulté peut venir du fait que les marchands de logiciel voudront préserver leur pouvoir et leur revenu, et donc que la programmation en langue courante risque de rester un moment l'apanage des universitaires et des chercheurs ou même de doux rêveurs.

Cependant, lorsqu'on voit la puissance de travail disponible et le succès d'une communauté mondiale de programmeurs comme celle de LINUX et des autres logiciels coopératifs libres, on peut penser que l'émergence d'un nouveau type d'utilisation des calculateurs est prévisible, même si cela doit coûter un krach à Wall Street pour les maisons d'édition de logiciels.

Les calculateurs personnels (PC) sont à même de rendre tous le service qu'on peut attendre d'eux s'ils ne deviennent pas des périphériques dédiés d'un système globalitaire qui imposerait une uniformité logicielle, payante bien sûr, avec l'appui des lois (dont celle du marché).

Bernard Michaux
Membre de l'AFUL

Sommaire Revues disponibles au secrétariat

Expertises des systèmes d’information : n°227, juin 1999 ; n°228, juillet 1999 ; n°229, août-septembre 1999

La lettre d’information du Ministère de la Culture : n°50, 23 juin 1999 ; n°51, 7 juillet 1999 ; n°52, 21 juillet 1999

Liaisons - AFAL : n°23, juin 1999

La lettre – ADELI : n°36, juillet 1999

Les exclusives de l’AFNOR : n°187, 5 juillet 1999

La lettre de l’assemblée parlementaire de la francophonie : n°16, mai-juin 1999

MACIF : n°6, juin 1999

Terminologies nouvelles -RINT : n°18, juin 1998

Rapport d’activité 1998 - AFNOR

Les actes de LexiPraxi 98 « Former des citoyens pour maîtriser la société de l’information » sont en vente au tarif de 100 F frais de port inclus. Adressez-nous un chèque libellé à l’ordre de l’AILF, nous vous enverrons les actes par la Poste.

Vous pouvez obtenir ces revues en vous adressant à Annie Marcheix.

Sommaire À lire ...

Expertises des systèmes d’information, n°227
Protection des données personnelles : enfin un avant-projet de loi.
Internet et responsabilité : une nouvelle proposition de loi. [texte du député RPR Olivier de Chazeaux]
Explorateur de fond du droit des télécommunications : Me Thierry Montgermont, par Monique Langlet. [Expresion de la volonté de créer une association « composée de juristes et d’avocats, de techniciens et de personnalités pour que se développe une réflexion permettant une certaine vigilance, voire une certaine éthique sur les innovations technologiques et leurs répercussions sur la vie privée. »]
Cryptographie : la transition française (1ère partie), par Olivier Debouzy et Thaima Samman.

Expertises des systèmes d’information, n°228
La généralisation de l’usage du numéro de sécurité sociale par Bercy – Safari : le retour ?, par Sylvie Rozenfeld.
L’indépendance de l’expert judiciaire en informatique questionnée, par Sylvie Rozenfeld.
Contrôle des salariés sur internet et intranet : FO appelle à la transparence.
Sofia [Société française des intérêts des auteurs de l’écrit] ou l’alliance des lettres et du multimédia, par Emmanuel Pierrat.
CNIL : trois normes simplifiées modifiées. [Norme simplifiée 23 relative à la gestion des membres des associations, « le traitement peut avoir comme finalité l’établissement d’un annuaire des membres, à condition qu’il ne soit pas sur internet… »]
Cryptographie : la transition française (2ème partie), par Olivier Debouzy et Thaima Samman.

Expertises des systèmes d’information, n°229
Protection des données personnelles : pas d’accord entre les USA et la Commission. [Concept de « Safe Harbor » , le port de sécurité]
Déclaration obligatoire de la séropositivité.
Bercy renonce au NIR comme identifiant fiscal.
19ème rapport d’activité de la CNIL : 1998 l’année du regain d’intérêt pour la protection des données.

Lettre d’information du ministère de la culture, n°50
Dossier : le livre numérique. [Rapport d’Alain Cordier, objectif : identifier les effets du développement d’internet sur le livre et la lecture.]

Lettre d’information du ministère de la culture, n°51
Faciliter l’accès aux pratiques culturelles. [Les mesures présentées par Catherine Trautmann en faveur de la démocratisation de la culture]
Dossier : les portes de l’an 2000, mode d’emploi.

Lettre d’information du ministère de la culture, n°52
Journées du patrimoine : la citoyenneté et l’Europe 18 et 19 septembre 1999.
Dossier : les états-généraux du disque.
« La France est un bouquet de langues », par Bernard Cerquiglini (vice-président du Conseil supérieur de la langue française).

Liaisons, n°23
Dossier spécial : la Charte des langues régionales ou minoritaires.

La lettre de l’ADELI, n°36
ADELI prend un risque ! par Alain Coulon. [présentation du PÉRILoscope au congrès francophone du management de projet organisé par l’AFITEP]
Réseau Sémantique Universel : appel à la création d’une commission, par Jean-Luc Blary.
Le bogue de l’an 2000. Est-ce bien sérieux ? Que va-t-il se passer ? par Martine Otter.

Les exclusives, n°187
Terminologie. Arrêté du 20 mai 1999 du ministère des affaires étrangères portant création de sa propre commission spécialisée de terminologie et de néologie. JORF n° 132 du 10 juin 1999

La terminologie : théorie, méthode et applications. Maria Teressa Cabré
Traduit du catalan et adapté par Monique C. Cormier et John Humbley. Les Presses de l’université d’Ottawa, Armand Colin, (Collection U linguistique), 1998, 322 p.

Annie Marcheix

Manifestations

17ème forum de l’APP : la brevetabilité des logiciels, 25 et 26 novembre 1999
Organisé par l’Agence de protection des programmes avec le Centre universitaire d’enseignement et de recherche en propriété intellectuelle de l’université Pierre Mendès France de Grenoble, ce forum aura lieu à Grenoble.
Thèmes : la brevetabilité des logiciels, la communication des produits immatériels...
Contact : APP 119 avenue de Flandre 75019 Paris - Tél. : 01 40 35 03 03 – Mél. : info@app.legalis.net

Que ne peut l’informatique ? 27-29 octobre 1999
Colloque organisé par l’université Paris Nord et le CNAM, avec l’association Diderot, qui aura lieu au CNAM 292 rue Saint-Martin 75003 Paris.
Thème : apports de l’IA à la connaissance de la pensée, art et informatique, maîtrise des systèmes complexes–modélisation et contrôle des systèmes critiques, informatique et libertés, les enjeux de l'informatisation du monde du travail, informatique et besoins sociaux, rôle de l’informatique dans la mondialisation.
Contact : Alain Cazes - CNAM Groupe Diapason 2 rue Conté 75003 Paris – Tél. : 01 40 27 27 02 - Fax : 01 40 27 24 58 - Mél : cazes@cnam.fr – Site internet : http ://www.cnam.fr/Actualite/QNPI

Annie Marcheix

SommaireSites internet ...

Renouvellement du Conseil supérieur de la langue française :
http://www.culture.fr/culture/dglf/Actualites/cons-sup-lang-frcse.html

Dictionnaire anglais-français des difficultés de la traduction, outil pratique pour le traducteur :
http://users.skynet.be/guide/

Trois lexiques du CAFI (Comité d'action pour le français dans l'informatique).
Lexique sur l'informatique et les domaines connexes (français - anglais, anglais - français).
Lexique du chiffrement et de la sécurité informatique (français - anglais, anglais - français).
Lexique XML (anglais - français, en préparation) :
http://www.cafi.org/lexiques/

Rapport de Jean-François Abramatic sur le « développement technique de l’internet » :
http://mission-dti.inria.fr/Rapport/index.html

Les actes des IVe Journées internationales de terminologie sur le thème « Les besoins terminologiques en Europe face à la société de l'information », Barcelone, 23-24 octobre 1997, sont accessibles :
http://www.unilat.org/dtil/IVjornadas/presentacion_fr.htm

La page de liens de Philippe Rouquet, « L'infoport du traducteur » :
http://www.wipo.int/eng/general/links/bookmark/pr/main.htm

Les actes du colloque CREIS 98 en ligne « Informatisation et anticipations. Entre promesses et réalisations " :
http://www.ufr-info-p6.jussieu.fr/~creis/serveur/journal/is98_actes.htm

Le répertoire des sources d'informations en informatique réalisé par l’INRIA :
http://www.inria.fr/InfoWeb/

Synthèse des indicateurs économiques de l'Internet, au niveau entreprises, gouvernements, organisations… :
http://www.internetindicators.com/index.html

L'Agence universitaire de la francophonie (AUF) et l’AFUL ont signé un accord cadre de partenariat qui vise à développer l'usage des logiciels libres « dans les pays du Sud » :
http://www.aupelf-uref.org/uvf/utils/linuxConventionAFUL.pdf

Annie Marcheix

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