VIII


L'arbre qui tombe dans la forêt fait-il du bruit si personne ne l'entend ?

 

Ne penser à rien !

 

L'état post-mortem est-il semblable à l'état ante-natal ?

  

-1 = i * i = sqr(-1) * sqr(-1) = sqr((-1) * (-1)) = sqr(1) = 1

 

La Réalité n'est que Vide...
Les atomes ne représentent
qu'un millionième de milliardième
du volume de n'importe quel solide !

 

Quelle a été ma première pensée ?



Où est stockée notre mémoire ?

        Les particules de mon corps ont 15 milliards d'années

 

Écouter le silence...

Je ne suis pas Molière pour t'écrire des grands vers
Je ne suis pas Baudelaire pour t'écrire des grands mots
Mais je ne suis que moi pour t'écrire et te dire :

Je t'aime.

 

Ma mission est de tuer le temps, et la sienne est de me tuer à mon tour. On est tout à fait à l'aise entre assassins.

Si tu cherches la vérité, trouve d’abord tous les mensonges puis suppriment les, ce qu’il reste c’est la vérité. 
 

On croit avoir peur de mourir... En fait on a peur de VIVRE.

 

Tuer la mort ne serait-ce qu'une seconde, n'est-ce pas devenir immortel l'espace d'une seconde ?

 

L'éternité ne dure pas.

 " Qui ne fait rien ne casse rien. "
Aimer, c'est risquer le rejet.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Espérer, c'est risquer le désespoir.
Essayer, c'est risquer l'échec.
Risquer est une nécessité. Le plus grand des dangers, c'est de ne pas risquer.
D'être enchaîné dans ses certitudes comme un esclave.
   Seul celui qui ose risquer est vraiment libre!

 

"Un paysan s'est rendu un jour à la ville. Il y allait pour vendre les produits de sa ferme et quelques outils. Mais avant de repartir, il s'est dit : «je vais aller trouver le rabbi». Une question le tracassait depuis quelque temps et le rabbi, peut-être, lui donnerait la solution. 

Le rabbi l'a reçu comme il recevait tous les étrangers de passage et lui a proposé de poser sa question : 

Rabbi, qu'est-ce que l'étude du Talmud ? J'entends parler à gauche, à droite, du Talmud, des grands sages... les colporteurs nous rapportent de ces histoires que cela a fini par m'intriguer et je veux savoir... 

Et de combien de temps tu disposes pour que je puisse répondre à ta question ? a répondu le rabbi. 

Oh ! Une heure tout au plus ; il est tard, la nuit va tomber et ma femme va s'inquiéter... 

Alors, reviens quand tu auras plus de temps, a dit le rabbi, je ne peux pas en une heure t'expliquer ce qu'est le Talmud. 

Mais le paysan a insisté : 

Rabbi, je ne t'es jamais rien demandé ; je donne ma contribution à la communauté ; alors pour une fois que je demande quelque chose, tu pourrais faire un effort ! 

Et le paysan a tellement insisté que le Rabbi excédé lui a dit de s'asseoir et d'écouter : 

Je vais t'expliquer ce qu'est le Talmud : deux voleurs entrent dans une maison par la cheminée et se retrouvent dans la salle à manger ; l'un des deux a le visage noir de suie et l'autre le visage propre. Lequel des deux doit aller se laver le visage, avant de sortir ? 

Le paysan n'a pas hésité pour répondre : 

Attends Rabbi c'est simple le Talmud et, tout paysan que je suis, j'ai compris : c'est évident ! Celui qui va se laver c'est celui qui a le visage sale ! 

Et bien tu vois, lui a répondu le Rabbi, reviens quand tu auras plus de temps ; car celui qui a le visage sale, quand il voit que son ami a le visage propre, pense que lui-même a le visage propre ; alors que l'autre qui voit son acolyte le visage tout noir, croit qu'il en de même pour lui ; et c'est celui qui a le visage propre qui va se laver le visage ! 

Et là le paysan est resté un moment bouche bée puis il s'est exclamé : 

Extraordinaire ! C'est fort, très fort le Talmud ! Quelle profondeur ! Mais tu vois Rabbi, je n'ai pas trouvé mais j'ai compris ton explication, tout paysan que je suis ! 

Non, décidément, reviens quand tu auras plus de temps, a répondu le rabbi, car depuis quand lorsque deux hommes sortent d'une cheminée, il y en a un qui a le visage propre ? Pose la question qui ne te concerne pas et tu auras la réponse qui ne te plaît pas ! 
Le paysan n'a pas insisté, il est rentré chez lui, vexé et le rabbi a continué à étudier."


"L'Histoire est le roman qui a été, le roman est de l'histoire qui aurait pût être."

 

"On est obligé de faire qu'une seule chose dans la vie, celle de mourir, le reste est optionnel."

 

"À long terme nous serons tous morts."

 

"Dans le doute, hésite."

 

"C'est pas ce qui est beau qu'on aime, c'est ce qu'on aime qui est beau."

   

"Ce n'est pas le puits qui est trop profond, mais c'est la corde qui est trop courte."

 

"J'aime le travaille je peux m'asseoir devant et le regarder pendant des heures !"

 

 Ce que nous croyons être une loi de la nature n'est qu'un déplorable effet de l'habitude

 

La vraie sagesse de la vie consiste à voir l'extraordinaire dans l'ordinaire.

 

Si j'étais immortel, j'inventerais la mort pour avoir du plaisir à vivre.

 

Le meilleur qu'on puisse ramener de voyages, c'est soi-même, sain et sauf.

 

On ne peut marcher en regardant les étoiles quand on a une pierre dans un soulier.

 

Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement.

 

Grand est celui qui n'a pas perdu son cœur d'enfant.

Vis comme si tu devais mourir dans dix secondes.

Je suis mort parce que je n'ai pas le désir que je crois posséder, je crois posséder parce que je n'essaie pas de donner. Essayant de donner, on voit qu'on a rien, essayant de se donner, on voit qu'on est rien. Voyant qu'on est rien, on désire devenir. Désirant devenir, on vit.

Tu vis non des choses mais du sens des choses.

 

Tourne toi comme tu veux, ton cul sera toujours derrière.

 

L'hésitation est source de complications.

 

Que le soleil se lèvera demain est une hypothèse.

 

Si cela va sans dire, cela va encore mieux en le disant.

  

Toute intelligence au monde est impuissante contre une idiotie à la mode.

   

Apprendre sans désir, c'est désapprendre à désirer

Épingler un papillon n'est pas la meilleure façon de faire connaissance avec lui. Celui qui transforme le vivant en chose morte, sous quelque prétexte que ce soit, démontre seulement que son savoir ne lui a même pas servi à devenir humain.

Dans la société capitaliste, le travail est la cause de toute dégénérescence intellectuelle, de toute déformation organique.


Travaillez, travaillez, prolétaires, pour agrandir la fortune sociale et vos misères individuelles, travaillez, travaillez, pour que, devenant plus pauvres, vous avez plus de raisons de travailler et d'être misérables. Telle est la loi inexorable de la production capitaliste.


Être heureux, c'est à la fois être capable de désirer, capable d'éprouver du plaisir à la satisfaction du désir et du bien-être lorsqu'il est satisfait, en attendant le retour du désir pour recommencer. On ne peut être heureux si l'on ne désire rien. Le bonheur est ignoré de celui qui désire sans assouvir son désir, sans connaître le plaisir qu'il y a à l'assouvissement, ni le bien-être ressenti lorsqu'il est assouvi.

L'homme raisonnable s'adapte au monde qui l'entoure. L'homme déraisonnable persiste à essayer d'adapter le monde qui l'entoure pour lui. Donc, tout progrès dépend de l'homme déraisonnable.

 

Le système philosophique n'est pas fait pour être compris, mais pour comprendre.

« Quand un miroir se regarde dans un miroir, qu’est-ce qu’il y a à voir ? »

 

Pourquoi la poignée des tournevis pour les vis plus petites est-elle plus petite? Nos mains restent pourtant à la même taille!

 

Le sage cherche toujours à apprendre, tandis que l'ignorant veut toujours enseigner .

  

Nous passons un septième de notre vie un lundi

 

 "La Vérité doit être dite, le monde dût-il en voler en éclats"

Apprenez qu'un bon livre ne donne jamais ce qu'on peut attendre. Il doit vous hérissez de point d'interrogation

 

Je suis une passionnée de lecture, parce que c'est à mon sens une bonne façon de s'enrichir sans voler personne.
 

"Il faut se tenir là où la destruction ne se conçoit pas comme point final, mais comme préliminaire."


"Celui qui pose une question risque cinq minutes d'avoir l'air bête, celui qui ne pose pas de question restera bête toute sa vie."

 

"Un jour, un jeune disciple d'un philosophe demanda : 
-Monsieur ! Que puis je faire pour voir Dieu ? 
Immédiatement le philosophe l'a amené près d'un étang et lui a enfoncé la tête dans l'eau. Après quelques secondes, alors qu'il n'arrivait plus à respirer, il lui a sortit la tête de l'eau. Le philosophe lui demanda alors : 
-Comment te sentais-tu quand tu étais sous l'eau ? Il répondit: 
-Monsieur, incapable de respirer librement, je me débattais pour sauver ma vie. Le philosophe lui dit : 
-De la même façon que tu te battais pour respirer, tu dois aussi te battre pour chercher Dieu et tu le trouveras."

 

J'éprouve l'émotion la plus forte devant le mystère de la vie. Ce sentiment fonde le beau et le vrai, il suscite l'art et la science. Si quelqu'un ne connaît pas cette sensation ou ne peut plus ressentir étonnement ou surprise, il est un mort vivant et ses yeux sont désormais aveugles.

 
La rose qui meurt de soif a besoin du jardinier, mais le jardinier a encore plus besoin de la rose qui meurt de soif : sans la soif de sa fleur, il n'existe pas.

 

Tout maladie est un programme de survie engendré par un conflit psychologique

 

L'univers n'est pas seulement plus bizarre que nous l'imaginons, il est plus bizarre que tout ce que nous pouvons imaginer

 
La Lune n'est pas là, si vous ne la regardez pas.

LES SIKHS RACONTENT L'HISTOIRE D'UN SAGE QUI DONNA A DEUX HOMMES UN COQ CHACUN.
IL LEUR DIT : "ALLEZ LES TUER A L'ABRI DE TOUS REGARDS."
L'UN VA TUER LE SIEN DERRIÈRE LA CLÔTURE.
L'AUTRE CHERCHE UN ENDROIT EN VAIN PENDANT 2 JOURS.
LE SAGE LUI DEMANDA : "POURQUOI NE L'AS-TU PAS TUÉ ?"
& L'AUTRE REPONDIT : "PARTOUT OU JE VAIS, LE COQ ME REGARDE.."


Carré magique d’ordre 6 :

S = 111
et somme de tous les nombres = 6 x 111 =
666 !

6

25

24

13

7

36

35

11

14

20

29

2

33

27

16

22

10

3

4

28

15

21

9

34

32

8

23

17

26

5

1

12

19

18

30

31


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