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 Knowledge Management - Gestion des Connaissances

Les connaissances distinctives de l'entreprise, créatrices de valeur économique. Vers un changement profond des  critères de compétitivité

ATTENTION ! Les adresses de ce site sont périméees

Vous pouvez retrouver la communauté francophone du KM sur une plate-forme technologique avancée

http://www.i-km.com

i-KM  Intelligence- Knowledge Management -

Les idées

Concepts, méthodes, outils : notre séminaire

Définitions:KM ;   Learning organization

Les sites

Une approche méthodique, et l'échange des informations et savoirs
Ce site a pour vocation de devenir le votre, un outil collectif pour le Knowledge Management, sa compréhension, sa mise en oeuvre : enrichissez le en indiquant les liens intéressants et en proposant des idées. Vos propositions seront classées en fonction de leur problématique. Ce n'est pas automatique : pas de KM sans intervention humaine ! Partagez votre savoir ! Faites part des initiatives,  des questions, et des solutions de votre entreprise.

Le Management des connaissances en France :

nouveau

Une synthèse de l'article du magazine Enjeux Les Echos

Vers un changement profond des mentalités

Et si le XXIème Siècle s'annonçait sous le signe des savoirs, des vertus de la connaissance, et d'une renaissance de la relation ?

Derrière les technologies, et de plus en plus souvent grâce à elles, la parole circule,  des liens se tissent, les savoirs s'échangent, et dans l'interrelation  une réalité nouvelle est en train de se construire. Parti pris et optimisme humaniste? Peut-être... mais l'interactivité est inhérente aux technologies de l'information, qui sont un moyen relationnel d'une portée incomparable, un outil inédit d'expression, de création, et de mise à disposition de la connaissance.

Les relations interpersonnelles et collectives, l'expression des besoins et des attentes, les conceptions organisationnelles et la création de valeur économique... tous les aspects de l'activité humaine et des comportements sont en train d'évoluer vers des configurations nouvelles  marquées par la transformation de l'espace et du temps.

Mais quel sens allons nous donner à l'action, dans ces nouveaux contextes ? Se centrer sur les savoirs et les connaissances, dans le monde de l'entreprise, permet à la fois de répondre à une exigence d'efficience et d'efficacité, et de redonner à l'homme sa place fondamentale d'acteur  vivant, exerçant dans l'organisation, pour y créer de la richesse, sa faculté de penser, de créer, d'échanger. Il ne peut plus y être considéré comme un facteur parmi d'autres, une simple ressource, et devient un vrai partenaire interne qu'il faut savoir intéresser... non plus seulement avec des stocks options, mais aussi en lui donnant l'occasion de s'enrichir en connaissances(*). Le désir d'apprendre, qui habite tout être humain, trouve dans l'entreprise du XXIème Siècle un terrain d'élection : le savoir s'y transforme en action visible et en richesse économique.

Le Knowledge Management indique un processus de transformation profond, et probablement durable, qui touche la conception même de l'entreprise. Il s'agit d'abord de son savoir propre, qu'elle connaît mal, et qu'elle veut transformer en richesse. Mais aussi du savoir qui se crée dans ses relations partenariales, et dans le lien avec la clientèle. Et ce qui permet de progrésser avec autant d'intensité dans des voies nouvelles, c'est le déploiement extrèmement rapide et en continuelle évolution des nouvelles technologies de l'information.

Une approche systémique

Le Knowledge Management regroupe une diversité d'éléments qui se développent rapidement en interaction :

  • des phénomènes historiques:  la dé-taylorisation du secteur privé et de rapides évolutions culturelles dans les entreprises et dans leurs modes relationnels , la mondialisation de l'économie, le développement rapide du secteur des entreprises spécialisées dans la création de l'information et son traitement (*)...
  • des concepts et de champs d'action:   l'orientation client, l'entreprise étendue, l'entreprise apprenante (*), la mémoire d'entreprise (*), le benchmarking...
  • des technologies  : les technologies du web et leur impact dans l'univers professionnel, le groupware et le workflow, et leur version aujourd'hui la plus aboutie -Lotus Notes Domino...- et de pratiques organisation apprenante, mémoire d'entreprise
  • des pratiques et des préoccupations :  les exemples sont légions, et révèlent toute la richesse en savoirs des producteurs de richesse ; dans les métiers de l'entreprise par exemple, les nouvelles technologies permettent de rendre vivante et immédiatement utile la mémoire. Des procédés et des techniques qui se perdent, qui sont enfouis sous la poussière du temps ou des dossiers, qui sont à reprogrammer à l'occasion de nouvelles commandes, etc. peuvent maintenant devenir disponibles, qualifiés, finalisés à nouveau...

Le KM regroupe tout ces éléments, et l'énumération n'est pas limitative ; il assure leur interrelation de manière systémique, mais permet aussi d'orienter les processus et de donner sens et cohérence à un ensemble vivant et en développement : c'est une manière de donner leur plein effet, et une certaine direction aux nombreux facteurs de transformation de l'entreprise et de son impact.

Une question de vocabulaire ?

 Le terme français de "gestion de l'information" ne reflète pas la réalité vivante et dynamique du KM. Elle correspond à l'un de ses aspects seulement, qui est de l'ordre de la méthode : c'est une approche méthodique parmi d'autres (dont certaines nettement plus puissantes).

Un étonnant phénomène :  IBM prof de management

Peu d'acteurs proposent une approche qui soit à la fois théorisée, méthodique, directement praticable, et assise sur des technologies précises (mais citons à nouveau ALVEA : info@alvea.compour être informé). Mais on assiste à de curieux phénomènes de partage du savoir : la diffusion de ce qui restait jusqu'à présent réservé aux étudiants des business schools,  universités, et autres Séminaires pour managers. Sur les réseaux Intranet, et même sur le Web,  Depuis un peu plus d'un an l'implication d'IBM dans une sorte de pédagogie du changement et de l'utilisation stratégique des NTI est quelque chose de tout à fait inédit. L'influence de Lotus Notes, entré dans son giron n'y est probablement pas pour rien.

 

Quelle approche cohérente et réaliste pour les entreprises ?

La suite prochainement sur vos écrans d'ordinateur

Merci jeanmarc.blancherie@hol.fr

 

Bibliographies récentes :

Books Dealing with Knowledge and Intellectual Capital

http://www.business.mcmaster.ca/mktg/nbontis/ic/

http://www.uni-hohenheim.de/~miepple/ikcenter.html

http://www.infomart.ca/sla/km/kmrefa.htm

Livres

Internal Knowledge Markets

Revues

REVUE "SYSTEMES D'INFORMATION ET MANAGEMENT"

Revues Magazines généralistes

Internet Professionnel IP

L'étonnante solution ALVEA pour le Knowledge Management: un outil de gestion globale de l'information à l'échelle des Groupes + un ensemble d'applicatifs Lotus/Domino ( en téléchargement, dont un gratuit !) + une méthodologie complète pour mettre en oeuvre systématiquement le K M : http://www.alvea.com
 Connaître et maîtriser le foisonnement d'Intranet et de Groupware à l'echelle des Groupes internationaux est une préoccupation de base du Knowledge Management. ALVEA répond aux contacts qui sont pris dans ce but : info@alvea.com
Autre site, autre approche, autre technologie : Fulcrum Knowledge Network permet à l'utilisateur et  à l'administrateur de dresser une cartographie des diverses sources d'informations disponibles.http://www.fulcrum.com/fren ch/press/97 0415.htm

Autre site, autre approche, autre technologie:Dataware Technologieshttp://www.dataware.c om/

Le concept de Knowledge Management : quelques liens

Mais qu'est-ce que c'est ? : here

Le nouveau paradigme de l'entreprise globale :

La problématique de la gestion des connaissances dans les entreprises, et de la mémoire d'entreprise :      Des articles importants de
A. Godbout
Gestion des connaissancesMetaconnaissance
et : La connaissance- diffusion, rétention, protection !
et un très complet panorama :
 
knowledge organization

Sans oublier l'entreprise apprenante :http://sigma.unisg.ch/~sgzz/links/stp/lo/l o.htm
la pensée systémique indissociable de l'apprentissage organisationnel
http://www.fse.ulaval.ca/fac/ten/cours/ht ml/kofsen.html
Et la nécessité de désapprendre ! :http://www.stern.nyu.edu/~wstarbuc/unl e arn.html

La notion d'écologie: Toward a Knowledge Ecology forr Organizational White-Waters

Et l'apport du constructivismeNo Title

Entreprise as-tu une mémoire ?  Bien sûr, comme les individus, nous dit Nemesia sur son beau site :http://www.nemesia.com/pages/framepub l ications

Des articles : Le concept d'espaces d'action et l'empowerment :No Title ; Un article intéressant de Philippe BAUMARD

Le cours d'IBM/ Lotus :
1. Executive Overview  
2. Knowledge Management- The Next Big Thing-
3. The Lotus-IBM Knowledge Management Framework    
4. Accommodating Organizational Culture
5. Real World Insights 
6. A Vision for Knowledge Management  7. Appendix- Suggested Reading

Les définitions de Ernst & Young :glossary.asp

Des différences avec l'intelligence économique (competitive intelligence) :C.I. Handbook

Sur les pas du sénat :Des pyramides du pouvoir aux réseaux de savoirs - Tome 2

Une présentation imagée: http://www.mitre.org/resources/centers/a dvanced_info/g04f/kmsystems/1997revie w/

Des exemples d'applications du Knowledge Management : quelques liens

 

Pourquoi le Knowledge Management : quelques liens

 

Les "big six" et les autres : que font les  Cabinets de Consulting pour le Knowledge Management ? :

  • Benchmarking and KM :

Creating the Knowledge-Based Organization - The Benchmarking Exchange abreviat

  • Choosing Collaborative Tools :

Apr. '97- Choosing Collaborative Tools

 

Une liste de Consultants KM :
Consultants
 

Best practices, business solutions, qualitative marketing software :

Patricia Seybold Group Overview

 

 

 

Le Knowledge Management : quelques propositions de définition

Notre proposition :

Le Knowledge Management est un ensemble de processus de valorisation de l'activité et de la compétence de l'entreprise, s'appuyant sur la circulation et la capitalisation des connaissances générées par l'utilisation des nouvelles technologies de l'information.

Un ensemble de phénomènes interdépendants explique l'importance du Knowledge Management pour les années qui viennent, et indiquent comment orienter sa mise en pratique :

óLa part croissante de l'immatériel et des savoirs dans la valeur économique et la compétitivité

óL'importance de la maîtrise des processus pour connaître et satisfaire très rapidement les attentes de plus en plus diversifiées, personnalisées et complexes des clients, et pour faire concourir les partenaires à cette satisfaction

óUne transformation fondamentale du marketing  qui transite d'une logique probabiliste vers un paradigme du lien concret et informé avec le client, et de la capacité réactive

óLes possibilités considérables ouvertes par l'utilisation des technologies de l'information : affranchissement de contraintes d'espace et de temps, transformation de l'implicite en explicite, du momentané en expérience, de l'expérience en savoir partagé ; identification et cartographie des biens intellectuels (intellectual assets), création de nouveaux savoirs indispensables à la compétitivité, accessibilité partagée de très larges ensembles d'informations corporate, diffusion des meilleures pratiques, transformation de la stratégie en réalisations identifiables

____________________________________________________________

Divers sites anglophones proposent :

 

Knowledge management is "a set of practices that includes identifying and mapping intellectual assets within organizations, generating new knowledge for competitive advantage, making vast amounts of corporate information accessible, sharing best practices, and applying management strategies and technology that support all of the above." --CAP Ventures, http://www.capv.com/index.html

It is "a business activity with two primary aspects: Treating the knowledge component of business activities as an explicit concern of business reflected in strategy, policy, and practice at all levels of the organization; and making a direct connection between an organization's intellectual assets--both explicit (recorded) and tacit (personal know-how)--and positive business results." --"Knowledge at Work," an on-line publication, http://www.knowledge-at-work.com

It "holds the potential to enable adaptable environments in which human change is aligned with process and technology programs to provide business performance optimization." --DCI http://www.dci.com/manknowl

It is "a business practice that refers to the concept of harnessing information and knowledge, and making it effortlessly available to all employees to help them do their jobs more effectively." --Doculabs http://www.doculabs.com

Une belle récolte de définitions sur le site :  http://www.infomart.ca/sla/km/abram6.htm

"Management is the broad process of locating, organizing, transferring, and using the information and expertise within an organization. The overall knowledge management process is supported by four key enablers: leadership, culture, technology, and measurement." --- APQC

"Knowledge Management is the management of your business's most important asset: the knowledge your people hold. The core competencies of your researchers, sales and marketing people, etc. are the competitive edge you have if you maximize their development. Knowledge Management is a combination of Information Management, Communications, and Human Resources." --- Cara Burton

"Knowledge Management is a discipline that promotes an integrated approach to identifying, managing and sharing all of an enterprise's information assets, as well as unarticulated expertise and experience resident in individual workers. Simply stated, knowledge management is taking advantage of what you know." --- Gartner Group

"Knowledge is the beginning of practice; doing is the completion of knowing." --- Wang Yang-Ming, 1498

"In Time Of Profound Change, The Learners Inherit The Earth, While The Learned Find Themselves Beautifully Equipped To Deal With A World That No Longer Exists." --- Al Rogers

"Successful knowledge transfer involves neither computers nor documents but rather interactions between people." --- Tom Davenport

"Imagination is more important than Knowledge." -- Albert Einstein

"The wise see knowledge and action as one." --- Bhagavad-Gita

"The computer is merely a tool in the process. . . . To put it in editorial terms, knowing how a typewriter works does not make you a writer. Now that knowledge is taking the place of capital as the driving force in organizations worldwide, it is all too easy to confuse data with knowledge and information technology with information." -- Peter Drucker

 

 

 

 

Quelques définitions de "l'organisation apprenante"

 Ou des pages de référence

 

L'essence de l'apprentissage organisationnel, c'est la capacité d'utiliser l'étonnante capacité mentale de tous ses membres pour créer les processus qui vont améliorer les siens propres

"The essence of organisational learning is the organisation's ability to use the amazing mental capacity of all its members to create the kind of processes that will improve its own" (Nancy Dixon 1994)

_______________

"A Learning Company is an organisation that facilitates the learning of all its members and continually transforms itself" (M. Pedler, J. Burgoyne and Tom Boydell, 1991)

"Organisations where people continually expand their capacity to create the results they truly desire, where new and expansive patterns of thinking are nurtured, where collective aspiration is set free, and where people are continually learning to learn together" (Peter Senge, 1990)

 

Enjeux Les Echos (Sept 98) :

La gestion du savoir, un avantage compétitif pour l'entreprise

Synthèse commentée.
Par J-M Blancherie Consultant Gestion dynamique des connaissances

Non, ce n'est pas une mode : la gestion des connaissances constitue pour l'entreprise un avantage compétitif, et demande autant d'attention que les autres ressources. Pourtant, c'est en ces jours de rentrée de 1998 que le Knowledge Management fait irruption dans la vie des entreprises françaises... et l'objet d'un chapitre dans un dossier d'un grand grand magazine économique français. Ils ne sont que quelques uns, en effet, ces grands groupes internationaux Made in France, à avoir découvert cette "nouvelle frontière du management... cette  nouvelle terre d'élection pour la création de valeur".

Le groupe Suez Lyonnaise fait partie des pionniers français, et Thierry Chambolle, qui est membre du comité de direction explique que, depuis 10 ans, le groupe, sans en avoir eu au départ vraiment conscience, a mis en place des moyens pour capitaliser son expérience de la gestion de l'eau, au travers d'une synthèse supportée par un outil nommé "Transfaire". Depuis quelques mois, la démarche est systématisée, le but étant d'optimiser le partage des connaissances dans le groupe.

Avec le groupe Suez Lyonnaise, Axa, Elf, Thomson-CSF, Schneider, Alcatel sont cités comme les groupes qui entrent dans une démarche active de gestion des connaissances après en avoir compris les enjeux et les principes. Le capital intellectuel est absent du bilan des entreprises, mais, nous dit l'article, Wal Mart, Microsoft ou Toyota sont devenus des leaders parce qu'ils ont su gérer cet actif que constitue la somme des savoirs nichés dans la tête de leurs salariés et qui leur assure un avantage compétitif. Et la nature de ces savoirs n'est pas nécessairement de l'ordre de l'érudition ou  de la technologie: il peut s'agir de l'intuition d'une équipe de recherche, du savoir faire de fidélisation des clients d'un directeur des ventes, d'une méthode inventée par un contrôleur de gestion.

Les raisons de se préoccuper de la gestion des savoirs évoquées par l'article ne manquent pas: l'économie est maintenant fondée sur l'information, et dans un contexte éminemment concurrentiel le savoir devient un levier essentiel. De lui dépend vitesse de réaction et maîtrise des coûts. Autre idée force : organiser la transmission des connaissances évite de réinventer sans cesse des solutions pour des questions déjà abordées. Dans un contexte de mouvement, il faut savoir se servir de ce qui a été déjà élaboré, expérimenté, acquis. Les exemples pris par le journaliste montrent bien qu'il ne s'agit pas d'imaginer une nouvelle théorie de management. Chaque entreprise, dans son contexte, va trouver les moyens d'amorcer une démarche. Dans le secteur du BTP par exemple, est-ce qu'il ne faut pas tout simplement, pour commencer, accorder beaucoup plus d'importance à la qualité des comptes-rendus finaux de chantiers et s'en servir de manière cumulative ensuite ? A mon sens, c'est seulement avec le nouvelles technologies de communication,  qui  ouvrent la voie de solutions communicantes simplifiées et donc réellement praticables sur le terrain, que le management des connaissances peut se concevoir et se déployer. Par exemple, pour rester dans le secteur BTP, la société ALVEA a conçu sous Notes Domino une application qui permet de valoriser la connaissance acquise lors de grands chantiers de BTP, et non pas de manière volontariste et détachée du contexte de travail, mais à l'intérieur du processus de communication propre à la réalisation des chantiers, et en les intégrant au système d'information de l'entreprise. L'article aborde également la question du KM sous l'angle des nouvelles technologies. Thierry Chambolle le dit bien: "l'informatique communicante donne un outil très efficace" et l'Intranet est inséparable du management des connaissances. Alcanet d'Alcatel est cité comme un exemple de communication entre des sites dispersés dans le monde entier, pour harmoniser programmes de formation, échanges et forums en tous genres. Jean-Marie Plet, de Thonson-CSF évoque la collecte et la matérialisation de l'information existante, pour évoluer ensuite vers "la formalisation du savoir qui est dans la tête des experts".

Cette dernière remarque mériterait réflexion, car le KM ne doit pas, à mon avis, réitérer les illusions d'une intelligence artificielle capable de se substituer aux processus mentaux des experts! Ma conception, c'est que le KM est au contraireune dialectique vivante entre

  • les réalités empiriques du terrain et de l'action,
  • les connaissances et savoir-faires singuliers et différenciateurs constitutifs de l'identité de l'entreprise,
  • une expertise évolutive et la capacité permanente d'innovation,
  • l'orientation clients,
  • une approche intelligente des technologies de communication et de leur utilisation généralisée,
  • et enfin une évolution culturelle collective, pour passer de l'information pouvoir à l'information partage, de la compétence d'expert à la compétence communicationnelle, et de la compétitivité par la puissance à la compétitivité par la capacité de création renouvelée de valeur...
    Du travail en perspective pour les théoriciens qui voudront bien s'éloigner des anciens modèles stratégiques (Strategor), ou des analyses en termes de "jeu d'acteurs" (Michel Crozier).

 

Jean-Marie Plet résume l'orientation du changement : "Il s'agit de développer une culture de partage". SHARING KNOWLEDGE, le partage de la connaissance, voilà la question. Et ce n'est pas d'en haut que cela se décrète. Il s'agit d'une construction collective. Cela ne va pas se faire non plus par la magie des nouveaux outils de communication : ce n'est pas parce qu'on est connecté qu'on échange pour autant les connaissances.   Et les réticences ne vont pas manquer, face aux changements qu'annonce  cette nouvelle approche du travail, et au fait que la position hiérarchique, alors, importe moins, pour le cadre et sa carrière, que de savoir mettre la connaissance individuelle et collective au service de l'entreprise.

Cet article résume bien l'état de l'art du KM en France aujourd'hui. Il ne fait aucunement référence aux expériences plus anciennes menées aux Etats-Unis, ni aux concepts et à la pensée réflexive et méthodique qui sont toujours nécessaires à l'élaboration de pratiques humaines nouvelles. Il confirme en tous cas que nous en sommes aux débuts d'une conception dynamique nouvelle de l'entreprise, du travail, de la connaissance, et de la valeur économique... et de leur inter-relation.

ATTENTION  La suite est en construction

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Gestion documentaire :

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Les questions d'apprentissage, de cognition, de coopération

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http---learning.mit.edu

http---world.std.com-LO

 

Web Sites for
Knowledge Management Software

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http---www.infoadvan.com

 

http---www.wincite.com

http---www.ctp.com

http---absu.amef.lehigh.edu-

 
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