Say-men
Chapitre2 : 1 ère bataille pas très joli.
Depuis ce jour là, les trois enfants n'allèrent
plus à l'école pour s'entraîner. Leurs pouvoirs s'agrandissaient
et un jour :
" Bon, il faut retourner à l'école, dit Vanessa.
- Eh ouais, dirent en cœur Yoan et Mathieu. "
Ils durent rattraper les cours, et pendant rattrapage on tapa à la
porte :
" Contrôle de routine, dit l'un des soldats.
- On va vous en donner du contrôle de routine ! !dit Vanessa. "
Une bataille facile pour les trois enfants s'engagea, mais ils en laissèrent
un debout :
" Bon, va dire à ton chef que… ".
" … les SAY-MEN sont la et qu'il on l'intention de nous détruire
Chef, dit le soldat.
- Tuez cet incapable ! dit Calistère, et préparer l'automatisme
du vaisseau…
- …pour aller au quai se soir.
- Ce viel écouteur marche à merveille, dit Vanessa.
- Ce soir ! s'exclama Mathieu.
- Nous irons ! ! ! dit Yoan avec FORCE. "
Le soir venu :
" Ici, mettez les armes ici ! Se mit à hurler le lieutenant ;
"
Les SAY-MEN attaquèrent quelques Soldats par surprise, mais un soldat
vu un collègue au sol et sonna l'alerte
Une garnison de cinquante hommes arriva.
" Mince, celui la je ne l'avais pas vu ! s'exclama Mathieu.
- Ça va ! on va s'amuser, dit Vanessa en rigolant.
- Bon on y va ! ! dit Yoan.
Mathieu fit disparaître quinze hommes dans un trou noir, Yoan, lui,
se teleporta et fit une boule rouge, c'est une boule rempli d'électricité
de couleur rouge qui tuèrent vingt-cinq hommes. Vanessa elle traversa
le reste d'homme et lança des boules sur chacun d'eux ;
" Bien, c'était Facile ! dit Vanessa avec un air enthousiaste.
- Ha ! Ha ! Ha ! Facile ? C'est ce que vous croyiez ! ! "
Calistère était apparut et il fit apparaître une tournade
que les trois enfants ne purent pas contre carré. Ils se firent emporter
et ils se cognèrent contre un mur. Ils s'évanouirent et après
une heure ils reprirent connaissance. Il n'y avait plus personne et ils rentrèrent
chez eux déçu. Maintenant ils connaissaient la puissance de
ce lieutenant. En arrivant chez eux :
" Par ordre de notre supérieur on vous arrête, dit Calistère.
"
Des soldats munis de fusils tenseurs les endormirent. En se réveillant
ils étaient dans une prison faite en métal. Il était
dans une cellule séparé, mais il y avait une toute petite grille
pour qu'ils se parlent. La porte était munit d'une petite fenêtre
et au dehors de cette fenêtre on pouvait voir un unique couloir, sans
voir aucune autre cellule mais avec beaucoup de garde.
" Ouah ! De lendémentiom ! S'émerveilla Vanessa en toucha
le métal.
- Tu es contente d'être en prison ! s'exclama Mathieu. "
Yoan avait déjà essayé toutes ses techniques mais rien
ne marché :
" Cette prison et super sophistiqué, je n'ai fait que des égratignures.
- J'ai déjà vu ça quelque par, il faut qu'on pense a
une technique que nous avons vu et la multiplier.
- On va essayer, dit Yoan sans enthousiasme.
Vanessa fit le fameux rayon Maléfique et décrocha la porte de
ses gons, Mathieu vu une lame dépasser du matelas, il s'agissait de
la mythique épée Amtiric. Elle était magique et elle
pouvait trancher n'importe quelle matière. Il donna un seul coup et
la porte se fendit en deux. Yoan, lui, eu du mal a trouver une technique.
Et d'un coup il se rappela une technique d'un film véridique qu'il
avait regardé quand il était petit, mais il ne se rappelait
plus de l'histoire :
" KA… ME… HA… ME… HHHHAAAAA ! ! ! ! ! ! ! ! !
! ! ! ! ! ! ! !hurla t il. "
Ils se retrouvèrent à l'entrer, Vanessa avait un garde avec
elle et elle lui demanda ou était la basse principale :
" Parle ou je te désintègre ! ! s'exclama t elle.
- OK, OK, une des basses est un souterrain c'est tout ce que je sais ! dit
le soldat
- Bon ! ! dit elle en le lâchant le soldat qui courut vers la sortit.
- Tu ne vas pas le laisser partir ? Il va tout raconter à son maître…
! dit Yoan
Il n'avait pas fini sa phrase que :
- T'avais raison, dit Mathieu le bras encore tendu.
- Hé ! Regardez, il y a des soldats avec un autre homme ! ! ! s'exclama
Yoan.
- Ou ça ? disent Mathieu et Vanessa.
- LA ! ! ! ! cria Yoan.
- Vite, suivons-les, dit Mathieu.
Et Ils se mirent à voler
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